Gouarec

Gouarec [gwaʁɛk] est une commune française, chef-lieu de canton du département des Côtes-d'Armor en région Bretagne. La commune est en plein cœur de l'Argoat.

Gouarec

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes du Kreiz-Breizh
Maire
Mandat
Jérôme Lejart
2020-2026
Code postal 22570
Code commune 22064
Démographie
Gentilé Gouarécain
Population
municipale
948 hab. (2019 )
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 38″ nord, 3° 10′ 46″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 210 m
Superficie 6,41 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rostrenen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rostrenen
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gouarec
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Gouarec
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Gouarec
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Gouarec
    Gare de Gouarec.

    Ses habitants sont les Gouarécains et les Gouarécaines.

    Géographie

    Gouarec est située dans une vallée verdoyante au fond de laquelle coule le canal de Nantes à Brest. Les Anglais l'ont choisi comme l'une de leurs communes bretonnes préférées. Avec des maisons typiques et son environnement presque médiéval, Gouarec ne laisse pas indifférent.

    Gouarec se situe à quelques minutes de la Route nationale 164 en cours d'aménagement en voie express à Rostrenen.

    La paroisse faisait partie du territoire breton traditionnel du pays Fañch. Gouarec est la commune qui se trouve la plus au sud de la zone de Dañs Plin, une gavotte propre à ce pays. Dans la tradition cette ronde avait pour but d'aplanir les aires à battre avant les périodes de moisson.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 050 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rostrenen », sur la commune de Rostrenen, mise en service en 1954[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Gouarec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rostrenen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,7 %), zones agricoles hétérogènes (23 %), prairies (14,7 %), zones urbanisées (11,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Antiquité

    Une villa romaine datée du IIe ou IIIe siècle de notre ère, située à proximité du presbytère de Gouarec, fut fouillée en 2008 ; elle comprenait huit pièces disposées de manière symétriques autour de deux couloirs orthogonaux[21]. La ville était reliée par une voie romaine avec Saint-Brieuc.

    Moyen Âge

    Gouarec est mentionnée dès le XIIe siècle. Le bourg est édifié autour du château médiéval des Rohan.

    Révolution française

    La promotion en commune et chef-lieu de canton date de 1790.

    Le XIXe siècle

    En 1849, 14 foires étaient organisées chaque année à Gouarec, bien que le préfet des Côtes-du-Nord ait écrit en 1837 : « Ces foires sont en trop grand nombre. Il en résulte un déplacement trop souvent répété des habitants des communes voisines qui pour la plupart n'ont rien à y faire et qui ne s'y rendent que pour boire dans les cabarets. Il serait bien qu'elles fussent réduites : on y ferait les mêmes affaires et il y aurait un bénéfice réel pour l'agriculture »[22].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Gouarec fait état de 23 soldats morts pour la France, dont 1 disparu en mer[23].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts porte les noms de 9 soldats morts pour la France, dont 1 disparu en mer : Louis Allenou, mort le 3 mai 1945.

    Le à 13 h 30, Louis Allenou, boulanger-pâtissier de la commune et responsable FTPF, né le à Gouarec, et son mitron Roger Melscoët sont arrêtés par la Gestapo au domicile du boulanger, situé au 14 rue au Lin. Après un violent interrogatoire, ils sont envoyés le même jour dans le quartier allemand de la maison d'arrêt de Saint-Brieuc. Le 19 mai, ils sont transférés au camp Margueritte de Rennes où Melscoët est libéré. Allenou est, lui, envoyé sur le Frontstalag 122 de Royallieu-Compiègne Il est déporté par le convoi du avec 1 652 hommes pour le camp de concentration de Neuengamme, destination qu'il atteindra le 31 juillet. Enregistré sous le matricule 40.182, il est affecté au kommando Bremen-Ostefort où il a comme tâche de réaliser un bunker pour sous-marins.). Il est évacué en avril 1945 à la suite de l'arrivée des Soviétiques vers le camp de Neuengamme principal puis celui de Sandbostel.

    Le 19 avril, les Allemands font embarquer plusieurs milliers de déportés sur 4 bateaux navires : les paquebots Cap Arcona et Deutschland IV (ce dernier n'étant finalement pas chargé), les cargos Thielbek et Athen qu'ils prévoient de couler avec des sous-marins. Cependant, à 14h30, la Royal Air Force bombarde les navires sans savoir que certains sont remplis de déportés, le Cap Arcona et le Thielbek coulent, près de 7 300 déportés périrent en 30 minutes. Allenou était à bord du Cap-Arcona.

    Aujourd'hui, sa maison est encore visible, transformée depuis en boutique d'antiquité. Une plaque commémorative a été apposée à sa façade, en hommage à ce fameux résistant gouarécain. Son nom apparaît aussi sur le monument aux morts.

    Le monument aux morts

    Le monument aux morts porte les noms de 33 soldats morts pour la Patrie[23] :

    Le XXIe siècle

    En 2020, environ 150 Britanniques habitent à Gouarec alors que la population communale totale est d'environ 900 habitants. Une association basée à Gouarec, Intégration Kreiz-Breizh", œuvre depuis 2003 auprès des Britanniques installés dans le Centre-Bretagne qui sont environ un millier installés à cheval sur le Finistère, les Côtes-d'Armor et le Morbihan[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Guouarec en 1184, Goarec en 1254, Gouerec en 1280, Goarec en 1373, Gouarec en 1395, Sainct Gilles de Goarec en 1670 [25].

    Le nom de la commune provient selon les sources les plus répandues du mot gwareg qui signifie « arc », « arcade » ou encore « courbe » en langue bretonne, désignant ici l'arc décrit par la rivière du Blavet sur la commune[26],[27],[28] Une interprétation différente, moins citée, est proposée par Jean-Marie Ploneis qui perçoit dans Gwareg l'adjectif gallois gwaredog. Ce terme signifie « rédempteur » ou « protecteur » et pourrait être une allusion au château disparu des Rohan[28].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent au poisson d'azur posé en pal, au chef de gueules chargé de trois mâcles d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1919 mai 1935 Hippolyte Le Moign Droite  
    mai 1935 mai 1945 Jean François Le Maoult Droite Agriculteur
    mai 1945 février 1965 Hippolyte Le Moign Droite  
    mars 1965 mars 1971 Yves Boscher    
    1983 2006 Paul Guéguen DVG  
    2006 25 mai 2020 Jean-Yves Le Guyader PS Retraite
    25 mai 2020 En cours Jérôme Lejart[29],[30]   Chef d'entreprise

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    687678640631806792809806678
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    855873871826815811809810782
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    825806690680687628654807704
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7217718191 0121 026952965947891
    2018 2019 - - - - - - -
    942948-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le canal de Nantes à Brest a marqué l'économie du bourg. On voit encore les vestiges du port fluvial et l'écluse restaurée récemment pour le passage des « houseboats » de tourisme. Une grande maison bourgeoise, près du canal, témoigne de la prospérité des commerçants à l'époque des chalands. L'eau fait partie aussi des malheurs de la ville, lorsque, au moment des crues, on se déplace en barque dans les rues de Gouarec.

    Lieux et monuments

    Halles de Gouarec.
    • La halle de Gouarec. Véritable monument historique, la halle était à l'origine le lieu du marché, à l'étage se trouvait l'école. Le marché ouvert a été transformé en salle des fêtes. Des travaux terminés fin 2013 ont permis de dégager les arches de la halle et de lui redonner son aspect d'antan[33].
    • Le pavillon de Rohan. Restauré récemment, le pavillon de Rohan est orné sur sa façade du blason de la Maison de Rohan avec les macles « symbole d'une pierre métallifère » exploitée dans la région et transformée notamment aux « Forges des Salles », un site unique créé pour la transformation du métal. Le pavillon de Rohan a connu de nombreux locataires. L'un des plus originaux était un photographe hollandais qui y avait installé son laboratoire photographique. L'instabilité de la fourniture de courant électrique néfaste au bon fonctionnement de la machine de développement l'a découragé.

    Le pavillon de Rohan abrite l'association franco-anglaise AIKB (Association Intégration Kreiz Breizh) dont le but est d'aider l'intégration des habitants anglophones dans la région. En plus, l'Association gère le Point Info Tourisme de la ville. Dans les étages, des salles accueillent des expositions temporaires de peintures, sculptures et photographies.

    Chapelle Saint-Gilles.
    • Chapelle Saint-Gilles (XVIe siècle), et son ossuaire dépendait à cette époque de la paroisse de Plouguernével, diocèse de Quimper.
    • Pavillon de Rohan, ancien rendez-vous de chasse, servait également à rendre la justice. Construit en schiste et granite, la façade est inscrite aux Monuments historiques.
    • Ancien presbytère (XIXe siècle).
    • Les Halles construites au XVIIIe siècle étaient tout d'abord la propriété du Duc de Rohan. En 1851, la commune s'en rendra propriétaire et le 1er samedi de chaque mois se déroulera sous ses arcades une foire. La commune percevra de ce fait un droit d'étalage de la part des commerçants participant à ce marché.
    • Château des Forges des Salles.
    • Ancien village sidérurgique des Salles.
    • Abbaye Notre-Dame de Bon-Repos
    • Chemin de fer de Bon-Repos, musée.
    • Anciennes maisons autour de halles, construites en schiste (dite pierre de Gouarec) recouvertes d'ardoises également de la région. Maisons du XVIIe siècle également à Kerdélés et au hameau de Launay.
    • Monument aux morts réalisé par Jules Charles le Bozec en 1947 (modèle Emilie Le Coq de Mellionnec)
    • Monastère Sainte-Thérèse d'Avila, communauté de sœurs hospitalières Augustines fondée en 1825, elle appartient à la Congrégation des Augustines de la Miséricorde de Jésus.
    • Église Notre-Dame.

    Personnalités liées à la commune

    • Saint Samson (480-565) : il serait né soit à Gouarec, soit dans le Pays de Galles. Fondateur de l'abbaye de Dol-de-Bretagne et premier évêque de Dol, il est l'un des sept saints fondateurs de la Bretagne.
    • Yves Marie Audrein (1741-1800) : prêtre né à Gouarec le , député à l'Assemblée législative et à la Convention nationale, évêque constitutionnel du Finistère, il vota la mort de Louis XVI et fut assassiné par les Chouans à Kerfeunteun, aujourd'hui un quartier de Quimper (Finistère).
    • Charles Filiger membre de l'école de Pont Aven, avait fréquenté notamment Gauguin et Sérusier à l'auberge du Pouldu. Au mois de , cet homme arrive à Gouarec et s'installe dans une modeste auberge derrière les Halles. Il aime la solitude et après avoir découvert Gouarec, apprécie le bourg ainsi que l'univers verdoyant qui l'entoure. Son séjour s'achéve en . Il quitte définitivement Gouarec, après le vol de son tableau préféré. On ne lui connaît aucune œuvre particulière de son passage en Pays Fànch, par contre il décora des écuelles de bois (voir une biographie dans www.charles-filiger.fr).
    • Pierre Le Moign' (1913-1974), né à Gouarec, résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs fois évadé, responsable de réseau, compagnon de la Libération.
    • Georges-Paul Wagner (1921-2006) : avocat et homme politique d'extrême-droite, député des Yvelines, possédait une grand-mère gouarécaine : Marie-Catherine Le Couail (1851-), épouse de M. Charles-Émile Wagner. La sépulture Le Couail-Wagner est encore visible dans le cimetière communal.

    Vie locale

    Les deux terrains de camping dont l'un, situé sur la commune de Plelauff, est uniquement réservé aux campings-cars, son mini-golf près de l'ancien « Hôtel du Blavet », sa galerie d'art contemporain (ouverte de façon ponctuelle), face à la Halle.

    Le club des passionnés de navigation sur le canal de Nantes à Brest. Il a construit une grande barque en bois qui a été mise à l'eau en avril 2022.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rostrenen - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gouarec et Rostrenen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rostrenen - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Gouarec et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Yves Ménez et Stéphane Hinguant, "Fouilles et découvertes en Bretagne", éditions Ouest-France, 2010, (ISBN 978-2-7373-5074-0).
    22. Fernand Ruchon, "Rostrenen au XIXe siècle", 1993, [ (ISBN 978-2-9502817-1-5)].
    23. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    24. « Marilyn Le Moign : « J’ai vu des Anglais de Bretagne pleurer à cause du Brexit » », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    25. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Gouarec » (consulté le ).
    26. Dictionnaire compact du breton contemporain bilingue breton - français F. Favereau éditions Skol vreizh 2005
    27. « Gouarec », sur pagesperso-orange.fr (consulté le ).
    28. Gouarec - Découverte du Patrimoine - P. Le Dour et P. Jezequel - octobre 2014
    29. « Municipales à Gouarec. Jérôme Lejart prend les rênes de la mairie », Ouest-France, (lire en ligne).
    30. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. « Les Halles, un espace ouvert au cœur de la ville » (consulté le ).
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