Le Malzieu-Forain

Le Malzieu-Forain est une commune française, située dans le nord-ouest du département de la Lozère en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Malzieu.

Le Malzieu-Forain

Église de Mialanes - Le Malzieu-Forain.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac
Maire
Mandat
Colette Rouquet
2020-2026
Code postal 48140
Code commune 48089
Démographie
Gentilé Malziolains
Population
municipale
493 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 19″ nord, 3° 19′ 45″ est
Altitude Min. 855 m
Max. 1 486 m
Superficie 48,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Chély-d'Apcher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-sur-Limagnole
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Le Malzieu-Forain
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Le Malzieu-Forain
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Le Malzieu-Forain
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Le Malzieu-Forain

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Truyère, la Seuge, le ruisseau de Galastre, le ruisseau de la Gardelle, le ruisseau de Fontanille et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « montagne de la Margeride ») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Le Malzieu-Forain est une commune rurale qui compte 493 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 128 habitants en 1906. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Malziolains ou Malziolaines.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le nord de la Lozère, en limite du département de la Haute-Loire et proche de celui du Cantal.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 8,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 852 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ruynes - Gendar », sur la commune de Ruynes-en-Margeride, mise en service en 1951[7]et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de précipitations de 729,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 70 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « montagne de la Margeride »[15], d'une superficie de 9 400 ha, une longue colonne granitique au climat montagnard ayant permis le maintien de tourbières remarquables[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[17] :

    • les « Montricoux et la Loubeyre » (743 ha), couvrant 4 communes dont deux dans la Haute-Loire et deux dans la Lozère[18] ;
    • la « rivière de la Truyère autour de Malzieu » (65 ha), couvrant 6 communes du département[19] ;
    • les « sources du Pontajou » (472 ha), couvrant 3 communes dont deux dans la Haute-Loire et une dans la Lozère[20] ;
    • les « tourbières de Fraissinet-Langlade » (850 ha), couvrant 2 communes du département[21] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[17] :

    • le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » (503 ha), couvrant 14 communes du département[22] ;
    • la « Margeride » (37 011 ha), couvrant 35 communes dont 13 dans le Cantal, 16 dans la Haute-Loire et six dans la Lozère[23] ;
    • la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » (29 590 ha), couvrant 20 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Malzieu-Forain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[25],[I 1],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,8 %), zones agricoles hétérogènes (30,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,6 %), prairies (7,6 %), zones urbanisées (0,7 %), eaux continentales[Note 9] (0,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Le Malzieu-Forain n'étant pas un village existant – bien que voilà quelques années, le Montruffet a bien été rebaptisé ainsi –, il désigne un ensemble de hameaux.

    Toponymie

    Voir Le Malzieu-Ville quant à « forain » le mot dérive du latin forensis et de l'occitan fourès, signifiant « En dehors ».
    Le Malzieu-Forain n'a pas vraiment de centre historique; c'est un ensemble de hameaux formant la campagne de Le Malzieu-Ville, la partie foraine, du Malzieu[28].

    Cette même distinction a existé à Saint-Chély-d'Apcher, également en Lozère, commune issue en 1851 de la fusion des communes de Saint-Chély-Ville et Saint-Chély-Forain. Ce même principe persiste encore de nos jours dans la Nièvre à Château-Chinon (Ville) et Château-Chinon (Campagne).

    Histoire

    Avant le décret du , le Malzieu-Forain n'existait pas : ses communes faisaient partie du Malzieu-Ville. La création du Malzieu-Forain se fit vers 1793, deux sections y furent ainsi créées :

    • la section de Mialanes qui rassemble les villages des Ducs, Mialanes, Fraissinet-Langlade et plus tard la Vialette. Elle possède sa propre église datant de 1903 et son cimetière ;
    • la section du Montruffet qui comprend tous les autres villages : Brassalières, le Montchabrier, les Couffours-Bas, les Couffours Méjols, les Couffours-Hauts, la baraque de Fabre (ou de Prachurat), le Villard, le Nozier, le Montruffet, l'Estivalet, Villechailles, le Vernet, Mialanette, la Gardelle, le Soulier, la Chazette et la Salcette. La section partage avec le Malzieu-Ville, son église et son cimetière.

    Au cours du XIXe siècle et à trois reprises en 1844, 1850 et 1851, des tentatives de fusion des deux communes du Malzieu ont été faites par le sous-préfet de Marvejols mais furent rejetées.

    Lors de l'affaire de la bête du Gévaudan, deux victimes étaient du Malzieu-Forain de la section du Montruffet, l'une des Couffours-haut (attaque du ) et l'autre de Mialanette (). Concernant la victime de Mialanette, les lieux de l'attaque étant assez précisés dans les archives et autres documents d'époque, il est facile de s'y rendre et de les voir.

    Politique et administration

    Liste des maires du Malzieu-Forain
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1797 Jean-François Roux    
    1797 1808 Jean-Hippolyte Roux    
    1808 1816 Jean-Pierre Gachon    
    1816 1826 Guillaume Laporte    
    1826 1830 Pierre Chastang    
    1830 1840 Etienne Fraisse    
    1840 1850 Hippolyte Quatreuil    
    1850 1851 Honoré Portal    
    1851 1864 Jean Paul Victor Tuffier    
    1864 1876 Guillaume Cour    
    1876 1877 Jean-Baptiste Astruc    
    1877 1878 Jean-Louis Boulet    
    1878 1881 Guillaume Cour    
    1881 1882 Jean-Baptiste Buffeire    
    1882 1900 Jacques Augustin Tufféry    
    1900 1901 Paulin Astruc    
    1901 1908 Pierre Valadier    
    1908 1915 Paulin Astruc    
    1915 1919 Auguste Tufféry    
    1919 1947 Jacques Isidore Soulier    
    1947 1960 Fernand Marius Rozière    
    1960 1989 Albert Marie Bourrier    
    1989 2001 Jean-Louis Bourrier    
    2001 2020 Jean-Louis Soulier    
    2020 En cours Colette Rouquet    
    La mairie du Malzieu-Forain au Malzieu-Ville.

    Le Malzieu-Forain est une commune qui partage avec Château-Chinon (Campagne) (Nièvre) ; Pourcharesses (Lozère) ; Demi-Quartier (Haute-Savoie) ; Turquestein-Blancrupt (Moselle) ; Taillepied (Manche) ; Rouvres-sous-Meilly (Côte-d'Or) ; Le Plessis-Patte-d'Oie (Oise), la particularité d'avoir sa mairie située sur une autre commune : celle-ci se trouve sur le boulevard Robert de Flers au Malzieu-Ville.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2019, la commune comptait 493 habitants[Note 10], en augmentation de 7,64 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9828659795221 0061 0278711 004914
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9379341 0119689521 0451 0751 0221 028
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0141 128979974947938902763660
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    597533477379354357436458458
    2018 2019 - - - - - - -
    484493-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 216 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 495 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 700 [I 4] (20 420  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]2,1 %4,3 %6,9 %
    Département[I 7]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 276 personnes, parmi lesquelles on compte 81,5 % d'actifs (74,6 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs) et 18,5 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 69 emplois en 2018, contre 68 en 2013 et 86 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 215, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,1 %[I 10].

    Sur ces 215 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 51 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ruynes - Gendar - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Malzieu-Forain et Ruynes-en-Margeride », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ruynes - Gendar - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Malzieu-Forain et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duMalzieu-Forain », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101355 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune duMalzieu-Forain », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « Montricoux et la Loubeyre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « rivière de la Truyère autour de Malzieu » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « sources du Pontajou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « tourbières de Fraissinet-Langlade » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « Margeride » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Sources : DENLF, TGF, Motte 2003, Chabalier 2009
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. « Église paroissiale de l'Annonciation », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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