Boullay-les-Troux
Boullay-les-Troux[1] (prononcé [bulɛ lɛ t̪ʁu] ) est une commune française située à trente kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Boullay-les-Troux | |||||
L’hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Palaiseau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Limours | ||||
Maire Mandat |
Hugues-Alexandre Rousseau 2020-2026 |
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Code postal | 91470 | ||||
Code commune | 91093 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Boullaisiens | ||||
Population municipale |
648 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 135 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 40′ 42″ nord, 2° 02′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 99 m Max. 177 m |
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Superficie | 4,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gif-sur-Yvette | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Ses habitants se nomment les Boullaisiens[2].
Géographie
Situation
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 8,9 % | 43,35 |
Espace urbain non construit | 2,6 % | 12,43 |
Espace rural | 88,5 % | 429,55 |
Source : Iaurif[3] |
Boullay-les-Troux est située à trente kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[4], point zéro des routes de France, vingt-neuf kilomètres au nord-ouest d'Évry[5], quatorze kilomètres au sud-ouest de Palaiseau[6], dix-sept kilomètres au nord-est de Dourdan[7], dix-sept kilomètres au nord-ouest de Montlhéry[8], dix-huit kilomètres au nord-ouest d'Arpajon[9], vingt-neuf kilomètres au nord-ouest d'Étampes[10], trente et un kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[11], trente-deux kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[12], quarante-trois kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[13].
Hydrographie
Deux cours d'eau prennent leur source sur la commune : le Montabé, qui donne son nom à un des hameaux du village, et le Moulecrotte. Tous deux sont affluents de l'Yvette, dans la vallée de Chevreuse. Ces deux cours d'eau délimitent un espace protégé, abritant notamment des écrevisses à pattes blanches, espèce protégée.
Relief et géologie
Le point le plus bas de la commune est situé à quatre-vingt-dix-neuf mètres d'altitude et le point culminant à cent soixante dix-sept mètres[14].
Communes limitrophes
Chevreuse | Saint-Rémy-lès-Chevreuse | Les Molières | ||
Choisel | N | Les Molières | ||
O Boullay-les-Troux E | ||||
S | ||||
Choisel | Pecqueuse | Les Molières |
Climat
Boullay-les-Troux est située en Île-de-France et bénéficie d'un climat océanique dégradé, caractérisé par des hivers frais, des étés doux et des précipitations également réparties sur l'année. Les températures moyennes relevées à la station départementale de Brétigny-sur-Orge s'élèvent à 10,8 °C avec des moyennes maximales et minimales de 15,2 °C et 6,4 °C. Les températures réelles maximales et minimales relevées sont de 24,5 °C en juillet et 0,7 °C en janvier, avec des records établis à 38,2 °C le et −19,6 °C le . La situation en grande banlieue de la commune entraîne une moindre densité urbaine et une différence négative de un à deux degrés Celsius avec Paris. De même, la présence de rivières et de champs cause la formation de brumes et brouillards qui grèvent l'ensoleillement, établi à 1 798 heures annuellement, soit cinquante de moins que la capitale. Avec 598,3 millimètres de précipitations cumulées sur l'année et une répartition approximative de cinquante millimètres par mois, la commune est arrosée dans les mêmes proportions que les autres régions du nord de la Loire.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 1 | 2,8 | 4,8 | 8,3 | 11,1 | 13 | 12,8 | 10,4 | 7,2 | 3,5 | 1,7 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 3,4 | 4,3 | 7,1 | 9,7 | 13,4 | 16,4 | 18,8 | 18,5 | 15,6 | 11,5 | 6,7 | 4,3 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,1 | 7,6 | 11,4 | 14,6 | 18,6 | 21,8 | 24,5 | 24,2 | 20,8 | 15,8 | 9,9 | 6,8 | 15,2 |
Ensoleillement (h) | 59 | 89 | 134 | 176 | 203 | 221 | 240 | 228 | 183 | 133 | 79 | 53 | 1 798 |
Précipitations (mm) | 47,6 | 42,5 | 44,4 | 45,6 | 53,7 | 51 | 52,2 | 48,5 | 55,6 | 51,6 | 54,1 | 51,5 | 598,3 |
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes de bus de la SAVAC : Services automobiles de la vallée de Chevreuse.
Lieux-dits, écarts et quartiers
Avant la Seconde Guerre mondiale, le tronçon Saint-Rémy-lès-Chevreuse-Limours de la ligne de Sceaux desservait la commune de Boullay-les-Troux, au lieu-dit qui est toujours appelé la gare de Boullay.
Un autre lieu-dit de la commune se situant dans la forêt entre Boullay-les-Troux et Saint-Rémy-lès-Chevreuse est le petit hameau de Montabé.
Urbanisme
Typologie
Boullay-les-Troux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Troux[réf. nécessaire], Trous vers 1265[22], E. de Trociis au XVe siècle, E. de Trocis, Tros au XVIe siècle, Trocs, Les Toues en 1621[23].
À Boullay-les-Trous, où sont signalés des carrières de pierre meulière, les « trous » indiquent-ils les excavations provoquées par l'extraction des pierres[22] ?
La mention de Boullay fut ajoutée en 1864[24].
Boullay de l'ancien français boul « bouleau » (issu du latin d'origine gauloise betul(l)a) suivi du suffixe d'ancien français -ay (issu du gallo-roman -ETU) servant à désigner « un ensemble d'arbre appartenant à la même espèce », moderne -aie, d'où le sens global de « lieu planté de bouleaux »[22].
En 1793, la commune fut créée sous le nom de Les Trous, l'orthographe fut régularisée en 1801 dans le bulletin des lois.
Histoire
Vers la fin du XIIe siècle, Les terres du Boullay (Booleium ; Le Bouelois) deviennent la propriété des templiers. Elles sont dévolues ensuite aux hospitaliers[25].
Vers 1490, honorable homme et saige Guillaume Basin, docteur, régent en la faculté de médecine de Paris, seigneur du fief des Troux lez Chevreuse.
Le , le noble homme Nicolas Le Grant, seigneur des Troux, médecin ordinaire du roi, constitue une rente.
En 1644, Anne Hennequin, veuve du seigneur de Marly, se faisant fort d'Alexandre Legrand, échange la terre et seigneurie des Troux avec Anne Desault, veuve du vicomte de Corbeil, contre des rentes. Cette dernière la revendra à Guillaume Dugué en 1650.
Le village fut acheté en 1646 par Guillaume Dugué de Bagnols qui embellit l'hôtel seigneurial ; il fut un ami fervent de Port-Royal et reçut chez lui les jansénistes obligés de se disperser en 1661 ; il acheta aussi le hameau de Montabé. En 1654, Guillaume Dugué obtint de Monseigneur de Gondi, archevêque de Paris, l'autorisation de construire une nouvelle église pour remplacer l'édifice du XIIIe siècle en ruine. Le maître maçon Bricart en assura la construction en forme de croix latine et à chevet arrondi. Les travaux furent terminés en 1655. Elle était placée au centre du cimetière.
Au XIXe siècle, l'église fut consolidée, le clocher réparé. En 1854, une nouvelle cloche fut mise en place. En 1865, la paroisse fut rattachée à celle des Molières.
Jusqu'en 1939, la commune était desservie par la ligne de Sceaux.
Une nouvelle phase de rénovation complète a été entreprise par la municipalité depuis 2002 et l'église entièrement refaite est inaugurée en octobre 2012[26].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2019, la commune comptait 648 habitants[Note 3], en augmentation de 3,51 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 331 hommes pour 316 femmes, soit un taux de 51,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Politique et administration
Politique locale
La commune de Boullay-les-Troux est rattachée au canton de Gif-sur-Yvette, représenté par les conseillers départementaux Michel Bournat (UMP) et Laure Darcos (UMP), à l'arrondissement de Palaiseau et à la quatrième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP).
L'Insee attribue à la commune le code 91 3 13 093[32]. La commune de Boullay-les-Troux est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 100 930. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[33].
Liste des maires
Tendances et résultats politiques
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 87,68 % pour Jacques Chirac (RPR), 12,32 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 89,34 % de participation[36].
- Élection présidentielle de 2007 : 55,21 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 44,79 % pour Ségolène Royal (PS), 91,56 % de participation[37].
- Élection présidentielle de 2012 : 53,00 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 47,00 % pour François Hollande (PS), 86,80 % de participation[38].
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 60,40 % pour Pierre-André Wiltzer (UMP), 39,60 % pour Marianne Louis (PS), 73,52 % de participation[39].
- Élections législatives de 2007 : 57,59 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 42,41 % pour Olivier Thomas (PS), 68,13 % de participation[40].
- Élections législatives de 2012 : 50,14 % pour Olivier Thomas (PS), 49,86 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 75,46 % de participation[41].
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 26,72 % pour Harlem Désir (PS), 18,62 % pour Patrick Gaubert (UMP), 57,43 % de participation[42].
- Élections européennes de 2009 : 27,97 % pour Michel Barnier (UMP), 26,22 % pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 61,25 % de participation[43].
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 46,58 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 45,34 % pour Jean-François Copé (UMP), 76,21 % de participation[44].
- Élections régionales de 2010 : 56,52 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 43,48 % pour Valérie Pécresse (UMP), 62,47 % de participation[45].
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : données manquantes.
- Élections cantonales de 2008 : 54,05 % pour Christian Schoettl (DVD), 28,72 % pour Mouna Mathari (PS), 70,25 % de participation[46].
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 327 voix pour Françoise Lawrence (?), 325 pour Alain Masson (?), 70,64 % de participation[47].
Référendums :
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 78,26 % pour le Oui, 21,74 % pour le Non, 43,62 % de participation[48].
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 66,39 % pour le Oui, 33,61 % pour le Non, 83,11 % de participation[49].
Enseignement
Les établissements scolaires de Boullay-les-Troux sont rattachés à l'académie de Versailles. Elle dispose sur son territoire d'une école primaire publique[50].
Jumelages
La commune n'a développé aucune association de jumelage.
Vie quotidienne à Boullay-les-Troux
Sports
- Association de football de Boullay-les-Troux (AFBT).
- Association de tennis de Boullay-les-Troux (ATBT).
Lieux de culte
La paroisse catholique de Boullay-les-Troux est rattachée au secteur pastoral de Limours et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Jean-l'Évangéliste[51].
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
Boullay-les-Troux accueille un important centre d'écoutes de la direction générale de la sécurité intérieure[52],[53],[54].
Emplois, revenus et niveau de vie
Boullay-les-Troux est l'une des communes françaises où la richesse moyenne par habitant est l'une des plus élevées ; en 2012, Boullay-les-Troux était classée au 16e rang pour le revenu net médian par ménage avec 5 428 € mensuel[55]. Elle est en cela la 1re commune d'Essonne[56].
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 66 228 €, ce qui plaçait Boullay-les-Troux au 14e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[57].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Boullay-les-Troux | - | - | - | - | - | - |
Zone d'emploi de Versailles | 0,2 % | 3,8 % | 29,2 % | 27,9 % | 26,1 % | 12,8 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Boullay-les-Troux | - | - | - | - | - | - |
Zone d'emploi de Versailles | 1,0 % | 17,4 % | 5,2 % | 14,3 % | 19,7 % | 7,3 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[58],[59],[60] |
Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
Boullay-les-Troux est une commune du Parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse. Les bois du quart nord-est du territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[61].
La commune est traversée par le GR 655 OT, itinéraire moderne sur la variante par Chartres de la via Turonensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Le cheminement qui passe tout près du hameau de Montabé et du chef-lieu, puis qui traverse le hameau de la Gare de Boullay, utilise le tracé de l'ancienne ligne de Sceaux. On vient de Saint-Rémy-lès-Chevreuse ; le prochain jalon est Pecqueuse.
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Boullay-les-Troux :
- Jacques Rémy (1911-1981), de son vrai nom Raymond Assayas, scénariste et dialoguiste, y est enterré ;
- Olivier Assayas (1955-), réalisateur et scénariste, et Michka Assayas (1958-), journaliste et écrivain, l'un et l'autre fils de Raymond Assayas, y vécurent.
Héraldique
|
La commune de Boullay-les-Troux ne dispose pas de blason.
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Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Fiche de Boullay-les-Troux dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 01/04/2009.
- Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
- « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
- « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le ).
- « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207)[réf. non conforme].
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p. 109-110
- Bulletin municipal spécial du 20 octobre 2012.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boullay-les-Troux (91093) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
- Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 07/01/2010.
- Fiche entreprise de la commune de Boullay-les-Troux sur le site verif.com Consulté le 11/04/2011.
- Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 25/05/2009.
- Fiche de la commune sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 10/05/2010.
- Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
- Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 20/06/2012.
- Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/03/2010.
- Résultats de l'élection cantonale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/01/2013.
- Résultats du référendum 2000 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2009.
- Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 02/09/2010.
- Fiche de la paroisse catholique de Boullay-les-Troux sur le site officiel du diocèse. Consulté le 13/10/2009.
- La dépêche, La DST ira écouter ailleurs..., 1er août 2000.
- Jean Marc Manach, Frenchelon: la carte des stations espion du renseignement français, 16 juin 2009.
- Jean-Marc Manach, « Comment on peut, en trois clics, découvrir la carte des stations d'écoute des espions de la DGSE », www.slate.fr, , La DCRI à Boullay les Troux (lire en ligne).
- Salaires Moyens en France Consulté le 28/03/2012.
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- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- %5CCOM%5CDL_COM91093.pdf Rapport statistique communale sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.
- %5CDL_ZE19901142.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi de Versailles sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.
- Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
- Carte des ENS de Boullay-les-Troux sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.
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