Nédonchel
Nédonchel est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Nédonchel | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Diaz 2020-2026 |
||||
Code postal | 62550 | ||||
Code commune | 62601 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
351 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 90 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 31′ 30″ nord, 2° 21′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 182 m |
||||
Superficie | 3,89 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Auchel - Lillers (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 38 158 habitants en 2018.
Géographie
La commune est située sur la Méridienne verte.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le village est baigné par la rivière Nave. Elle prend sa source dans la commune de Fontaine-lès-Hermans et se jette dans la rivière Clarence au niveau de la commune de Robecq .
Par ailleurs, la commune est traversée par le Ravin de la Méroise, un cours d'eau naturel non navigable de 9,32 km, qui prend sa source dans la commune de Febvin-Palfart et se jette dans la Nave au niveau de la commune de Lespesses. Les communes traversées par cette rivière sont : Auchy-au-Bois, Febvin-Palfart, Fontaine-lès-Hermans, Lespesses, Nédonchel, Saint-Hilaire-Cottes et Westrehem[2].
Urbanisme
Typologie
Nédonchel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,5 %), prairies (37,5 %), zones urbanisées (4,7 %), forêts (4,3 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Histoire
Nédonchel a donné son nom à une famille de la noblesse : famille de Nédonchel, qui acquiert de la puissance au fil du temps, possède de nombreux biens, et dont plusieurs membres vont bénéficier du titre de marquis.
La seigneurie de Nédonchel passe au fil du temps dans les mains de différentes familles, la famille de Nédonchel ne possédant plus le fief d'origine[10].
La terre de Nédonchel, devenue baronnie au fil du temps, est érigée en marquisat (titre de marquis) en avril 1694. Elle est alors dite terre très considérable, relevant du roi (de France) à cause du château de Desvres en Boulonnais, ayant toute la justice seigneuriale[11].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [13] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[14]. À l'initiative des intercommunalités concernées[15], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[16] ;
- la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [17],[18].
La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [19].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2019, la commune comptait 351 habitants[Note 3], en augmentation de 43,85 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 146 hommes pour 170 femmes, soit un taux de 53,80 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein du regroupement pédagogique intercommunal des Deux Vallées, qui rassemble Aumerval, Fontaine-lès-Hermans, Nédon, Nédonchel et Bailleul-lès-Pernes. En 2016, il accueille 124 élèves, dont 49 de Bailleul, qui bénéficient tous des activités périscolaires et d'une cantine[30].
Santé
Un nouvel établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) de 83 lits ouvre en 2017 en remplacement d'un équipement ancien, pour lequel le propriétaire cherche un acquéreur[31].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Menne ; dans l'église : un ostensoir est classée monument historique à titre d'objet[32].
- Le monument aux morts commémorant les guerres de 1914-1918 et de 1939-1945.
- Au cimetière, deux tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
- Petit patrimoine religieux : calvaires et oratoires.
- Église Saint-Menne.
- Monument aux morts.
- Croix de chemin.
- Oratoire-niche dans un mur de ferme.
Famille de Nédonchel
- Barthélemy de Nédonchel participe en 1218 à la cinquième croisade. Son nom figure dans la deuxième salle des croisades du château de Versailles.
- Octave Eugène de Nédonchel, de même que l'aîné de ses enfants mâles, est autorisé en septembre 1723, par lettres patentes données à Versailles, à prendre la qualité de chevalier, marquis de Nédonchel. Les lettres précisent que la famille est une des plus anciennes des Pays-Bas. Onze demoiselles de cette maison ont été reçues dans les chapitres nobles de Denain, Maubeuge et Mons, quelques-unes ont été élues abbesses. Octave Eugène a servi huit ans en qualité de capitaine au régiment de Brézé où il s'est signalé; deux de ses fils sont actuellement au service. Il possède la baronnie de Bouvignies, située proche de Marchiennes, consistant en bois, moulin, maison, brasserie, terres, rentes ayant toutes les justices (justice seigneuriale), 2000 livres de produit; la terre et baronnie de Ravensberghe (Seigneurs de Ravensberghe) qui lui vient de sa tante Alexandrine de Nédonchel, chanoinesse de Denain, terre ayant toutes les justices, relevant du roi à cause de son Ghyselhuys de Bourbourg (châtellenie de Bourbourg), au revenu de 5000 livres; la terre et seigneurie d'Ochtezeele, la vicomté de Staple, lui provenant de la dite Alexandrine de Nédonchel, héritière féodale de la demoiselle de Macquembourg. La terre et baronnie de Bouvignies appartient depuis un siècle et demi à ses ancêtres. Jean de Nédonchel en a servi le dénombrement au roi d'Espagne le 15 février 1607. L'autorisation porte pour le dénommé et l'aîné de ses descendants mâles le droit de prendre le titre de chevalier, marquis de Nédonchel, de porter une couronne de marquis sur ses armes qui sont « D'azur à la bande d'argent »; couronnées d'une couronne de baron et d'appliquer le titre de marquisat sur telle terre qui lui convient. En cas de décès du fils aîné du dénommé, resté sans enfants mâles, ou si les mâles de sa branche viennent à manquer, le titre de marquis retournerait à l'aîné des autres enfants mâles et descendants du sieur Octave sans que lui ni ses successeurs ne soient tenus de payer au roi ou à ses successeurs aucune finance. Le roi confirme autant que de besoin le titre de baronnie pour la terre de Bouvignies[33].
- En 1788, Marie Anne Josèphe de Nédonchel, dame d'Ambricourt, de Matringhem et Gribauwal hérite de son mari Eugène François Léonard de Tramecourt, chevalier, lequel est en 1756 propriétaire dans la châtellenie de Bourbourg[34].
Autres personnalités
- Paul de La Grange I, mort en 1594, a été seigneur de Nédonchel. Il est le père d'Isabelle de La Grange, épouse de françois de La Rue, seigneur de Laubel. En son vivant, il a été président de la chambre des comptes et commission de renouvellement de la loi[10].
- Paul de la Grange II, petit-fils de Paul de La Grange I reçoit le , des lettres de chevalerie données à Madrid. Il est seigneur de Verlenghehem (Verlinghem) et de Nédonchel et rewart (gouverneur) de la ville de Lille[10].
- Maximilien François de Carnin, baron de Lillers, Nédonchel, Gomiécourt, Quernes, premier gentilhomme du pays d'Artois, député de la noblesse aux États d'Artois, bénéficie du titre de marquis pour sa terre de Nédonchel, érigée en marquisat, par lettres données à Versailles en avril 1694[11], à charge de le tenir du roi à cause de son château de (Viennes ou Vrennes) en Boulonnais[35].
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin de la Méroise (E3640700 ) » (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 245, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 58, lire en ligne
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
- « Les maires de Nédonchel », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- David Derieux, « « Le Bilan de maire » de Nédonchel : démissions, budget sous tutelle, retrait des délégations du maire… Chronique d’un gâchis : La succession de l’ancien maire Gérard Laigle a été difficile à Nédonchel, où le mandat qui s’achève aura été celui de toutes les oppositions, synonymes d’énorme gâchis pour le village. Désavoué et destitué de ses délégations, le maire Jean-Pierre Blanckaert n’a pas souhaité s’exprimer sur le bilan de ces années agitées. Un bilan de décisions qui, de fait, ne sont pas toutes les siennes. On en liste ici les étapes, recensées dans le registre des délibérations », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Nédonchel : Jean-Pierre Blanckaert réélu maire par une équipe unie : Seul candidat à sa succession, Jean-Pierre Blanckaert a été reconduit dans ses fonctions, vendredi soir, par l’ensemble du conseil municipal. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Alexis Degroote, « Nédonchel : la défense incendie et la rénovation du logement communal terminés : Le maire, Jean-Pierre Blanckaert, n’a pas voulu répondre à nos questions sur les projets de ce nouveau mandat. Nous avons donc « épluché » les délibérations du conseil pour savoir ce qui a été fait et ce qui se prépare… », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Nédonchel (62601) », -- (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Christelle Dubois, « Les travaux de l’église », L'Abeille de la Ternoise, nos 8601-1650, , p. 27.
- Aline Chartrel, « Le nouvel EHPAD en phase terminale, des embauches à venir : Tout vient à point à qui sait attendre. Il aura fallu faire preuve d’un peu de patience pour voir la construction du nouvel établissement d’hébergement aboutir, mais ce devrait être chose faite sous peu. Mi-avril pour la livraison, fin juin pour l’emménagement. Une douzaine d’embauches sont prévues », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Ostensoir », notice no PM62001147, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 400, lire en ligne.
- Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Gral, , p. 95.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 353, lire en ligne.
- Portail du Nord-Pas-de-Calais
- Portail des communes de France