Bailleul-lès-Pernes

Bailleul-lès-Pernes est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Bailleul et Pernes.

Bailleul-lès-Pernes

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Jean Bruyant
2020-2026
Code postal 62550
Code commune 62071
Démographie
Gentilé Bailleulains
Population
municipale
405 hab. (2019 )
Densité 116 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 34″ nord, 2° 23′ 17″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 188 m
Superficie 3,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auchel - Lillers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bailleul-lès-Pernes
Géolocalisation sur la carte : France
Bailleul-lès-Pernes
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Bailleul-lès-Pernes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bailleul-lès-Pernes

    Ses habitants sont appelés les Bailleulains.

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 38 158 habitants en 2018.

    Géographie

    Localisation

    Le village est entouré de bois et comprend 284 hectares en terres cultivables, 34 ha en prairies, 24 ha en bois. Le surplus des 349 hectares de la commune est constitué du village et des voiries[1].

    Il est desservi par la RD70, qui serpente le village sur 2,5 km[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

    Communes limitrophes de Bailleul-lès-Pernes
    Nédon Amettes
    Sachin Aumerval

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    C'est dans la commune que la Cauchiette, un cours d'eau naturel de 3,74 km, prend sa source et se jette dans la Nave au niveau de la commune d'Amettes[2].

    La commune est située dans la vallée verdoyante de la Coquelaine, aujourd'hui presque entièrement busée[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 903 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Urbanisme

    Une vue de la commune.

    Typologie

    Bailleul-lès-Pernes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,3 %), prairies (31,2 %), zones urbanisées (10,7 %), forêts (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Voies de communication

    La commune est desservie par la route départementale D 90 qui relie Nédonchel et Pernes. Elle est située à 10 km de la sortie no 5 de l'autoroute A26, appelée autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[11].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à 11 km de la gare de Lillers, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale. C'est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Baillol (1157) ; Baillul (1164) ; Baillol (1157) ; Bailloeul juxta Pernes (1254) ; Bailluel (1287) ; Bailoel (1291) ; Bailloel lez Pernes (1467) ; Bailleul en Ternois (1474) ; Bailliolum in Ternesio (1648)[12].

    Ce toponyme est issu du latin balliculum ("palissade"), ou d'un mot de base baculum ("bâton") et le suffixe diminutif -eolum de présence. Dans les deux cas, la ville a été nommée d'après la palissade qui l'entourait[réf. nécessaire].

    En français, la préposition « lès » signifie « près de », ici Pernes. D'usage vieilli, elle n'est guère plus rencontrée que dans les toponymes, plus particulièrement ceux de localités.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [13] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[14]. À l'initiative des intercommunalités concernées[15], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[16] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [17],[18].

    La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [19].

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 2008 Henri Huchette    
    2008 En cours
    (au 31 janvier 2022)
    Jean Bruyant   Ancien cadre
    Réélu pour le mandat 2014-2020[21],[22]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[23],[24]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés au sein du regroupement pédagogique (RP) des Deux Vallées, qui rassemble Aumerval, Fontaine-lès-Hermans, Nédon, Nédonchel et Bailleul-lès-Pernes. En 2016, il accueille 124 élèves, dont 49 de Bailleul, qui bénéficient tous des activités périscolaires et d'une cantine[1].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[25].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Bailleulains[26].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2019, la commune comptait 405 habitants[Note 5], en diminution de 1,7 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    315353279289337343297290254
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    261276270286307328345368366
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    363399383432423417406378380
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    391337311293299304332340367
    2014 2019 - - - - - - -
    424405-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 197 hommes pour 216 femmes, soit un taux de 52,3 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,9 
    4,7 
    75-89 ans
    8,5 
    16,1 
    60-74 ans
    14,6 
    22,3 
    45-59 ans
    18,4 
    19,7 
    30-44 ans
    21,7 
    11,9 
    15-29 ans
    13,7 
    25,4 
    0-14 ans
    21,2 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Économie

    Entreprises et commerces

    Le village compte en 2016 une exploitation agricole et deux artisans (un maçon et un menuisier). Il n'y a plus de commerces de proximité[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Omer.
    Le monument aux morts.
    • L’église Saint-Omer a débuté à partir de 1230 par André, seigneur de Bailleul. Le chœur de l'église fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [32].

    La construction de l’église Saint-Omer a débuté à partir de 1230. Par la suite, André, seigneur de Bailleul a réalisé des travaux dans l’église vers 1420. Vers 1420 Adrien, Seigneur de St. Martin, l'a fait réparer. En 1538, une enquête révèle que le village a souffert du voisinage de Pernes (Pillages et maladies). L’église a été dépouillée de ses cloches et de ses candélabres.

    Au XVIe siècle, le comte d’Hostrate fait agrandir la chapelle par un corps de bâtiment pour former « l’actuelle église ».

    En 1623 le Prince de Romes fait construire les deux chapelles qui forment une croix avec le bâtiment existant. L’une porte le nom de chapelle Saint-Omer datée de 1619 et au nord la chapelle du Rosaire, datée de 1623. Jusqu’à la Révolution française l’église de Bailleul, sous le vocable de Saint-Omer, dépend du doyenné d’Auchy-au-Bois et du diocèse de Boulogne, le collateur (celui qui avait le droit de conférer un bénéfice ecclésiastique) est le chapitre de Boulogne. En 1569 la dîme appartient, à l’abbaye Saint-Sauveur de Ham.

    Sous la révolution l’église est dépouillée de la plupart de ses ornements, la chaire et deux statues en albâtre sont cachées dans une grange. Après avoir servi à faire du salpêtre, l’église est vendue comme bien national. Les habitants demandent le rachat de l’édifice par les paroissiens. En 1802 des réparations sont entreprises.

    Le 17 juillet 1890, un ouragan détruit une bonne partie du versant ouest du toit en tuile, de la nef et une partie du clocher. Le 10 juin 1926 le chœur est inscrit à l’inventaire des monuments historiques. En 1996 la voute en torchis de la nef est remplacée par l’actuelle voûte lambrissée en châtaignier.

    Son plan est simple, une tour-clocher servant d’entrée, une nef, un transept à deux croisillons et enfin le chœur dont le chevet est à trois pans. La sacristie est construite à l’angle du croisillon sud et du chœur.

    L’entrée se fait d’abord par une sorte de porche couvert d’une voûte d’ogives puis sur un vestibule fermé par une grille.

    La nef est couverte d’une voûte lambrissée. Les murs sont enduits et badigeonnés à la chaux. Elle est éclairée par trois fenêtres en arc brisé qui sont équipées de vitraux dont l’un à la mémoire des victimes des deux guerres mondiales.

    La croisée est séparée de la nef par un arc doubleau mouluré en arc brisé. Le chœur est composé d’une travée droite et d’un chevet à trois pans coupés. Croisée et chœur sont couverts de voûtes d'ogives remarquables par la complexité de leur dessin, à liernes et tiercerons. Les clefs sont sculptées de blason, de motifs floraux et religieux.

    Le chœur est surélevé d’une marche et lambrissé en bois, sur une hauteur de 1,80 m. L’abside est percée de deux grandes fenêtres en arc brisé et au milieu d’une rose à réseau en pierre.

    Un escalier en pierre, dissimulé dans le faux lambris, permet d’accéder au niveau du premier étage du clocher.

    En 2013 une grande restauration a été entreprise: la cloche du nom de Marie, le coq restauré a été remis au fait du clocher rénové et la façade en pierres blanche a été réparée et nettoyée[33],[34].

    Héraldique

    Les armes de Bailleul-lès-Pernes se blasonnent ainsi :
    d’argent à la bande de gueules fuselée de sable[36],[Note 6].


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur gueules)

    Références

    1. Christelle Dubois, « Les travaux de l’église », L'Abeille de la Ternoise, nos 8601-1650, , p. 27.
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cauchiette (E3641050 ) » (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    12. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    13. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    14. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    15. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    16. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    17. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    18. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. « Bailleul-lès-Pernes - Un deuxième mandat de maire confié à Jean Bruyant », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
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    25. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    26. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bailleul-lès-Pernes (62071) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    32. « L'église », notice no PA00108188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Bailleul-lès-Pernes, église Saint-Omer », sur La sauvegarde de l'art français, (consulté le ).
    34. « Bailleul-lès-Pernes : l’église Saint-Omer inaugurée après la première phase de travaux (Pas-de-Calais) », sur observatoire du patrimoine religieux, (consulté le ).
    35. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    36. Banque du Blason.
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