Pignan

Pignan [pi.ɲɑ̃] (en occitan Pinhan [pi.'ɲan]) est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie, bureau centralisateur du canton de Pignan.

Pignan

La partie centrale de Pignan et vignes.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Michelle Cassar
2020-2026
Code postal 34570
Code commune 34202
Démographie
Gentilé Pignanais
Population
municipale
7 959 hab. (2019 )
Densité 392 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 07″ nord, 3° 45′ 45″ est
Altitude Min. 29[1] m
Max. 217[2] m
Superficie 20,32 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Pignan
(ville isolée)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pignan
(bureau centralisateur)
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Pignan
Géolocalisation sur la carte : France
Pignan
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Pignan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Pignan
Liens
Site web www.pignan.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau du Coulazou, le ruisseau de Lassedéron, le ruisseau de Vertoublanc et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (la « montagne de la Moure et Causse d'Aumelas », la « plaine de Fabrègues-Poussan » et les « garrigues de la Moure et d'Aumelas ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Pignan est une commune urbaine qui compte 7 959 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Pignan et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Pignanais ou Pignanaises.

    La commune fait partie de Montpellier Méditerranée Métropole et compte 7 959 habitants.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Pignan se situe dans l'est du département de l'Hérault, dont l'agglomération principale se trouve à environ douze kilomètres à vol d'oiseau à l'ouest du centre de la préfecture Montpellier[3]. La commune est dans l'aire urbaine[4] et le bassin de vie de Montpellier[I 1].

    Carte.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le territoire communal se compose de deux parties. Au sud, une plaine de 30 à 60 mètres d'altitude est parcourue par des ruisseaux affluents de la Mosson. S'y sont développées des activités agricoles, notamment viticoles. Au nord, le relief de 95 à 150 mètres en moyenne est collinéen et la végétation est une garrigue parsemée de quelques vignes, vergers et résidences dispersées. L'altitude et l'encaissement des cours d'eau et vallées sèches s'accroît au nord-ouest jusqu'au point culminant et difficilement accessible de la commune, le Feraillès à 217 mètres[réf. nécessaire].

    La ville de Pignan s'est initialement développée au nord de la plaine, au pied des collines où passent également les routes départementales D5 et D5E5 en provenance de Montpellier. Les quartiers résidentiels du XXe siècle se sont majoritairement construits en habitat individuel dense entre le village et les premiers flancs des collines, puis en villas espacées sur le sommet autour des routes menant à Murviel-lès-Montpellier[réf. nécessaire].

    Pignan se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[5].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les lignes de bus 34, 38 et 43 de la Tam.

    Ligne Caractéristiques
    34 34
    Mosson Cournonsec — Les Clavoux
    Ouverture / Fermeture
    années 2000[6] / —
    Longueur
    Durée
    35 min
    Nb. d’arrêts
    26
    Matériel
    Jours de fonctionnement
    L, Ma, Me, J, V, S, D
    Jour / Soir / Nuit / Fêtes
    O / N / N / O
    Voy. / an
    Dépôt
    N.C.
    (Courriers du Midi)
    Desserte : Montpellier, Saint-Georges-d'Orques, Pignan, Cournonterral, Cournonsec
    • Pôles d'échanges : Mosson
    • Principaux arrêts desservis : Stade • Médiathèque La Gare • Mairie • Cournonsec — Les Clavoux
    Autre :
    38 38
    Rondelet Cournonsec — Les Clavoux
    Ouverture / Fermeture
    [6] / —
    Longueur
    Durée
    51 à 54 min
    Nb. d’arrêts
    27/45
    Matériel
    Jours de fonctionnement
    L, Ma, Me, J, V, S, D
    Jour / Soir / Nuit / Fêtes
    O / N / N / O
    Voy. / an
    Dépôt
    N.C.
    (Pays d'Oc Mobilités)
    Desserte : Montpellier, Saint-Jean-de-Védas, Lavérune, Pignan, Cournonterral, Cournonsec
    • Pôles d'échanges : Aucun
    • Principaux arrêts desservis : Rondelet • Saint-Denis • Lycée G. Clemenceau • Les Bouisses • Les Serres • Médiathèque La Gare • Mairie • Cournonsec — Les Clavoux
    Autre :
    • A certaines heures, des services directs relient Cournonsec à Rondelet sans desservir Pignan et Lavérune.
    43 43
    Saint-Jean-de-Védas — Centre Pignan — La Bornière
    Ouverture / Fermeture
    / —
    Longueur
    Durée
    Nb. d’arrêts
    15
    Matériel
    Jours de fonctionnement
    L, Ma, Me, J, V, S, D
    Jour / Soir / Nuit / Fêtes
    O / N / N / O
    Voy. / an
    Dépôt
    N.C.
    (Transdev Occitanie Littoral) .
    Desserte : Saint-Jean-de-Védas, Fabrègues, Saussan, Pignan
    • Pôles d'échanges : Saint-Jean-de-Védas — Centre
    • Principaux arrêts desservis : Saint-Jean-de-Védas Centre
    Autre :

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

    • la « montagne de la Moure et Causse d'Aumelas », d'une superficie de 10 694 ha, présentant sur 20 % de son territoire un couvert de pelouses méditerranéennes à brachypode rameux (Brachypodium ramosum) bien entretenues grâce à une pratique pastorale encore très fréquente. Des landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues et phrygana couvrent 45 %, et des forêts sempervirentes non-résineuses (chênaie verte et blanche avec de grands houx arborescents) pour 25 %. Sept espèces de chauve-souris, dont 3 d'intérêt communautaire, présentes sur le site[9]

    et deux au titre de la directive oiseaux[8] :

    • la « plaine de Fabrègues-Poussan », d'une superficie de 3 288 ha, favorable à de nombreuses espèces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale. Elle accueille notamment l'une des dernières populations languedociennes de la Pie-grièche à poitrine rose qui a fortement régressé en France, le Rollier d'Europe dont la répartition en France est quasiment limitée aux régions Provence-Alpes-Côte-d'Azur et Languedoc-Roussillon et l'Outarde canepetière qui en France est cantonnée aux grandes plaines céréalières du Centre-Ouest et aux plaines méditerranéennes dans le Languedoc et en Provence[10] ;
    • les « garrigues de la Moure et d'Aumelas », d'une superficie de 9 015 ha, abritant un couple nicheur d'Aigles de Bonelli. Ce site est aussi important pour l'aigle royal, comme zone d'alimentation des individus erratiques et d'un couple nicheur à proximité[11].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] : les « gorges du Coulazou » (239 ha), couvrant 2 communes du département[13] et la « plaine du Mas de Paillas » (204 ha), couvrant 2 communes du département[14] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[12] :

    • le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » (16 237 ha), couvrant 16 communes du département[15] ;
    • la « plaine de Fabrègues à Poussan » (3 330 ha), couvrant 8 communes du département[16].

    Toponymie

    Pignan s'appelle en occitan Pinhan, en latin : Pinianum, parfois Pinna.[réf. nécessaire]

    Histoire

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en janvier 1791, puis rebaptisée « Société populaire régénérée des sans-culottes » après la chute de la monarchie[17]. Elle est fréquentée par 151 personnes en 1793, soit 8,5 % de la population[18].

    Politique et administration

    Conseil municipal

    Conseil municipal de Pignan (mandature 2020-2026)
    Liste Tendance Effectif Statut
    « Pignan, toujours ensemble » Sans étiquette 23 Majorité
    « Pignan 2020 plus fort ensemble » Sans étiquette 6 Opposition

    Liste des maires

    Liste des maires depuis 1944.
    Période Identité Étiquette Qualité
    30 septembre 1944 31 octobre 1947 Benoît Michel   Président provisoire de la délégation spéciale
    nommée par le préfet, puis maire
    31 octobre 1947 25 mars 1959 Louis Maurin    
    25 mars 1959 23 mars 1965 Amédée Capion    
    23 mars 1965 21 octobre 1967 Gabriel Grollier   Général retraité. Démission
    21 octobre 1967 7 décembre 1967 Urbain Fabre   Adjoint faisant fonction
    7 décembre 1967 21 mars 1971 Lucien Aoust    
    21 mars 1971 Juillet 1973 Louis Loubet   Décédé
    Juillet 1973 7 septembre 1973 Gabriel Grollier   Général retraité. Adjoint faisant fonction
    7 septembre 1973 27 mars 1977 Pierre Fabre    
    27 mars 1977 Mars 1983 Guy Couderc SFIO-PS Conseiller général (1976-1994)
    Mars 1983 23 mars 2001 Sébastien Ros SE  
    23 mars 2001 21 mars 2008 Paul Charlemagne PS  
    21 mars 2008 En cours
    (au 24 mai 2020)
    Michelle Cassar DVG Ancien cadre. Vice-présidente de Montpellier
    Méditerranée Métropole
    [20],[21],[22]. 3e mandat de maire[23]

    Jumelages

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[25]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[26].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[25].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 692 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[28] complétée par des études régionales[29] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montarnaud », sur la commune de Montarnaud, mise en service en 1980[30]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[31],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 869,9 mm pour la période 1981-2010[32]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 20 km[33], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[34], à 15,1 °C pour 1981-2010[35], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[36].

    Urbanisme

    Typologie

    Pignan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[37],[I 2],[38]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pignan, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 7 019 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,6 %), cultures permanentes (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,6 %), zones urbanisées (10,2 %), forêts (5,5 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)[39].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logements

    En 2010, Pignan comptabilisait 2 639 logements sur son territoire parmi lesquels 94,1% de résidences principales, 2,1% de résidences secondaires et 3,6% de logements vacants[I 8]. La commune a, en 2011, 9,32% de logements sociaux[40].

    Projets d'aménagements

    La municipalité a créé une ZAC sur le lieu-dit de Saint-Esteve, d'une surface de 30 hectares. Cette ZAC comprend au moins 650 logements livrés à partir de 2017, un complexe sportif, de nouveaux commerces, un hameau agricole, des espaces verts et un nouveau cimetière[41]. Ce projet qui a rencontré des oppositions[42],[43]modifie fortement l'apparence de la commune laissant apparaitre depuis la route départementale D5 de nombreux immeubles collectifs qui contrastent avec les zones pavillonnaires alentour. Mais ces transformations rapide qui modifient le tissu urbain des communes touchent la Métropole de Montpellier dans sa globalité ou presque.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

    En 2019, la commune comptait 7 959 habitants[Note 9], en augmentation de 22,22 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4141 5661 5411 8091 8892 0121 9252 0181 903
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8911 9522 1582 1662 0811 7571 8351 8822 167
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1131 9491 8591 8191 7551 7661 6441 5091 680
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 9052 2162 6773 3194 0975 6656 0476 0926 525
    2017 2019 - - - - - - -
    7 0197 959-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements

    La commune dispose de nombreux commerces de proximité ainsi que de plusieurs restaurants, d'une grande surface d'alimentation générale, d'une médiathèque intercommunale dépendant de la Métropole de Montpellier, d'une crèche municipale, d'une antenne de la mission locale, d'un poste de police municipale, de deux gymnases, un dojo, plusieurs terrains de football, plusieurs courts de tennis, un terrain de tambourin, de nombreux boulodromes ainsi qu'un certain nombre d'aires de jeux pour les enfants et plusieurs salles de fêtes.

    Pignan dispose également d'une décharge et d'un aérodrome.

    Enseignement

    Pignan est dotée de trois groupes scolaires publics : Louis Loubet (maternelle), Lucie Aubrac (élémentaire) et Marcelin Albert (maternelle et élémentaire), d'un collège public (Marie Curie), et d'une école alternative à pédagogie multiple (Cœur d'École).

    Santé

    La commune dispose de huit médecins généralistes, un psychologue, sept kinésithérapeutes, deux pharmacies et un laboratoire d'analyses médicales. La commune accueille aussi une clinique psychiatrique (centre psychothérapeutique Saint-Martin de Vignogoul ).

    Manifestations culturelles et festivités

    Pendant la semaine du , la fête du village est organisée chaque année pendant laquelle sont proposées des activités taurines et des soirées dansantes avec une fête foraine pour les enfants (et les grands enfants).

    Sports

    Pignan compte plusieurs associations sportives, dont un club de foot, l'A.S Pignan, qui a reçu le label Qualité École de Football FFF[48].

    Depuis 2009, au mois de février, un trail[49] est organisé entre vignes et garrigue avec, en 2017 et 2018 :

    • Le Canitrail (depuis 2017) : canicross nature de 5 km avec son chien équipé d'une laisse adaptée
    • La Pignanaise : course nature de 5 km
    • La Garriguette : course nature ou marche nordique de 12 km
    • Le Maquis : trail de 20 km

    Cultes

    • Carte postale de Notre-Dame de la Paix (fin XIXe siècle - début XXe siècle)
      l'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption
    • le temple protestant
    • l'abbaye de Vignogoul

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 3 153 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 7 770 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 660 [I 9] (20 330  dans le département[I 10]). 54 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (45,8 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 11]7,5 %7,8 %9 %
    Département[I 12]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 659 personnes, parmi lesquelles on compte 73,9 % d'actifs (64,9 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 26,1 % d'inactifs[Note 12],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 1 458 emplois en 2018, contre 1 339 en 2013 et 1 285 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 3 050, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,7 %[I 15].

    Sur ces 3 050 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 665 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 85,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % les transports en commun, 7,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Secteurs d'activités

    620 établissements[Note 13] sont implantés à Pignan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 18].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble620100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    345,5 %(6,7 %)
    Construction8513,7 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    11117,9 %(28 %)
    Information et communication203,2 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance193,1 %(3,2 %)
    Activités immobilières294,7 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    12019,4 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    13922,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services6310,2 %(8,1 %)

    Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,4 % du nombre total d'établissements de la commune (139 sur les 620 entreprises implantées à Pignan), contre 14,2 % au niveau départemental[I 19].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[50] :

    • St-Martin De Vignogoul S A, activités hospitalières (4 900 k€)
    • Immopignan, activités des marchands de biens immobiliers (470 k€)
    • Soleil Fermetures, travaux de menuiserie bois et PVC (424 k€)
    • DI, autres activités auxiliaires de services financiers, hors assurance et caisses de retraite, n.c.a. (236 k€)
    • Lukmargaux, enseignement de la conduite (214 k€)

    Revenus de la population et fiscalité

    Le revenu moyen net par foyer fiscal en 2010 était de 25 083 [I 8]. Le taux d'imposition de la taxe d'habitation est fixé à 16.2 % en 2012[51]. tandis que la dette s'élevait à hauteur de 938 €/hab[52].

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations139856340
    SAU[Note 16] (ha)609709576411

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 139 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 85 en 2000 puis à 63 en 2010[55] et enfin à 40 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 71 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[56],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 609 ha en 1988 à 411 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 4 à 10 ha[55].

    Marchés et foires

    Des marchés sont présents dans la ville au cours de l'année :

    • Durant la saison estivale, deux marchés vivriers nocturnes organisés par la mairie en partenariat avec une association d'agriculteurs producteurs aveyronnais (Fermiers de l'Aveyron). Des tables et des bancs sont disposés pour la consommation sur place, de la musique accompagne le souper convivial pris en commun. Quelques revendeurs alimentaires et des viticulteurs de l'Hérault sont également présents durant ces soirées.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Château Turenne (XVIIe siècle) - mairie.
    Les tours de Pignan, de gauche à droite : le château Turenne, le fort Vieil, La chapelle des Pénitents et la tour de l'Horloge.
    Abbaye du Vignogoul.
    • Ensemble médiéval de Pignan. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1999[57].
    • L'actuel hôtel de ville est installé depuis 1895 dans le château de Turenne, construit fin XVIIe siècle sur les ruines d'un autre château par Gabriel d'Hebles et Henri de Baschi du Cayla.
    • Dans le vieux centre, de nombreux vestiges médiévaux sont visibles, dont plusieurs hautes tours bâties en Opus monspelliensis (l'une d'elles est surmontée d'un campanile) et d'anciennes portes de rempart.
    • En matière religieuse, l'ancienne église Notre-Dame-de-l'Assomption existe depuis le XIVe siècle, fut détruite plusieurs fois au cours des guerres de Religion jusqu'à sa dernière reconstruction au XVIIe[58]. Trois de ses arcs-boutants sont reliés à la tour Carrée, un ancien donjon du XIIe siècle de trente mètres de hauteur[59]. L'église paroissiale de style néogothique date de la seconde moitié du XIXe siècle. Un temple protestant existe, construit en 1823. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[60]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[60].
    • Abbatiale Sainte-Marie de Vignogoul.
    • Temple de l'Église protestante unie de France de Pignan.
    • Les caves oléicoles et vinicoles sont réputées. La première est connue pour sa rougette de Pignan, une huile d'olive primée issue de l'olivier de même nom[62].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Pignan se blasonnent ainsi: D'azur à un château à deux tours d'argent, maçonné de sable, accompagné en chef, à dextre d'un écusson de gueules chargé d'une croix cléchée, vidée et pommetée d'or (croix occitane), à senestre d'un écusson d'or aux quatre pals de gueules et en pointe d'un pin d'or.


    Culture populaire

    Littérature
    • Pignan figure parmi les lieux « visités » par Hermann Karlovitch, le héros de La Méprise du romancier russo-américain Vladimir Nabokov, publié en 1934.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • J. Bianquis, Les débuts du mouvement missionnaire à Pignan (Hérault) et la vocation de Th. Arbousset, 1820-1826, Montpellier, éd. L’Abeille, , 32 p.
    • Émile Bonnet, Sur une sépulture gallo-romaine découverte à Pignan (Hérault), Montpellier, Impr. Générale du Midi, , 16 p.
    • Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives communales de Pignan, Montpellier, Mission Archives 34, [ca 2015], 173 p.
    • Jean-Claude Richard Ralite, « Pignan : archéologie et monnaies », Études sur Pézenas et l'Hérault, no 4, , p. 3-32 (lire en ligne)
    • Louis Secondy et Jeanne Secondy, Pignan en Languedoc, Nîmes, C. Lacour, coll. « Eruditae indagationes », , 407 p.

    Fonds d'archives

    • Série : Délibérations consulaires et communales (1607-1982) [23 registres]. Fonds : Archives communales de Pignan; Cote : 125 PUB. Pignan : Mairie de Pignan (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[27].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Pignan » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Pignan » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pignan » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pignan » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Pignan » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. L'altitude minimale à Pignan correspondrait aux rives du Coulazou et du ruisseau de Brue à la limite avec la commune de Saussan, d'après les courbes de niveau et les points d'altitude de 30 mètres à proximité sur la carte topographique n°2743ET, titrée Montpellier, au 1/25 000e, Institut géographique national, 3e édition, 2004.
    2. 217 mètres est indiqué comme point d'altitude de Feraillès, un sommet dominant la vallée encaissée du Coulazou, au nord-ouest de la commune, sur la carte topographique n°2743ET, titrée Montpellier, au 1/25 000e, Institut géographique national, 3e édition, 2004.
    3. D'après Montpellier, carte topographique au 1/25 000e, Institut géographique national, 3e édition, 2004.
    4. Plan séisme
    5. Selon le site transports-de-mtp.wifeo.com
    6. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « site Natura 2000 FR9101393 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9112020 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR9112037 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pignan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF les « gorges du Coulazou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « plaine du Mas de Paillas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF la « plaine de Fabrègues à Poussan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 413.
    17. Dubost, ‘’Le réseau des sociétés…’’, op. cit., p. 395
    18. « Registres des délibérations communales », sur Archives départementales Pierres Vives (consulté le ).
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    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    50. Description sommaire, site Découverte 34.com, page consultée le 19 juillet 2009.
    51. Description sommaire, site Découverte 34.com, page consultée le 19 juillet 2009.
    52. « Collégiale Assomption, Eglise paroissiale », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    53. « Les Rencontres internationales de l'Abbaye de Vignogoul », sur france-orpheon.org.
    54. « Moulin a huile de l'Hérault », sur www.pommiers.com.
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