Saint-Paul-Cap-de-Joux

Saint-Paul-Cap-de-Joux, connu sous la Révolution sous le nom d'Agout-Rousseau[1], est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».

Pour les articles homonymes, voir Saint-Paul.

Saint-Paul-Cap-de-Joux

L'église Saint-Paul de Saint-Paul-Cap-de-Joux.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes du Lautrécois et du Pays d'Agout
Maire
Mandat
Laurent Vandendriessche
2020-2026
Code postal 81220
Code commune 81266
Démographie
Population
municipale
1 084 hab. (2019 )
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ 53″ nord, 1° 58′ 35″ est
Altitude 155 m
Min. 127 m
Max. 300 m
Superficie 17,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Plaine de l'Agoût
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Paul-Cap-de-Joux
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Saint-Paul-Cap-de-Joux
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Saint-Paul-Cap-de-Joux
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Saint-Paul-Cap-de-Joux
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le ruisseau d'en Guibaud, Beral Den Alric, le ruisseau de la Calvétié et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Paul-Cap-de-Joux est une commune rurale qui compte 1 084 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Saint-Paulais ou Saint-Paulaises.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Paul-Cap-de-Joux[2]
    Damiatte Serviès
    Teyssode Guitalens-L'Albarède
    Prades Puylaurens

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Agout, le ruisseau d'en Guibaud, Beral Den Alric, le ruisseau de la Calvétié, Rec de la Ricaudié, le ruisseau de Nauzials, le ruisseau de Scalibert, le ruisseau des Carmes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[4],[Carte 1].

    L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[5].

    Le ruisseau d'en Guibaud, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens et s'écoule vers le sud puis se réoriente vers le nord-ouest puis vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[6].

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Paul-Cap-de-Joux.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 726 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaur », sur la commune de Lavaur, mise en service en 1985[12]et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 724,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 32 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[16] à 13,8 °C pour 1991-2020[17].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[19], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[21] : les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Paul-Cap-de-Joux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), forêts (7,4 %), zones urbanisées (2,9 %), prairies (0,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    Avant 1891, la commune était communément appelée Saint-Paul-de-Damiatte.

    Le village aux origines gallo-romaines a été rasé et brûlé durant les guerres de Religions.

    En 1585 Henri de Navarre Passe à Saint-Paul. Le futur roi de France Henri IV y signera le manifeste de Saint-Paul avec le gouverneur du Languedoc, Henri Ier, duc de Montmorency.

    En 1622, Saint-Paul sert de base arrière au chef des protestants de la région, Henri de Bourbon, marquis de Malauze[26], pendant le siège de Briatexte durant les rébellions huguenotes.

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'argent au paon de sinople, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.


    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Gilbert Léarte    
    mars 2001 mars 2008 André Jouqueviel    
    mars 2008 en cours Laurent Vandendriessche PS Conseiller général puis départemental
    vice-président du conseil départemental du Tarn
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28]. En 2019, la commune comptait 1 084 habitants[Note 7], en diminution de 1,19 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8729061 0321 0971 1821 2821 2251 2401 253
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1791 1951 1941 2311 2161 2131 1911 1131 057
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0551 0681 0649731 0011 0261 025999927
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9569209638989249609871 0071 071
    2015 2019 - - - - - - -
    1 1101 084-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 471 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 054 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 990 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]10,5 %10,9 %9,8 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 633 personnes, parmi lesquelles on compte 73,3 % d'actifs (63,5 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 26,7 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 199 emplois en 2018, contre 213 en 2013 et 231 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 408, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,3 %[I 10].

    Sur ces 408 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 88 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,8 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    86 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Paul-Cap-de-Joux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble86100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1618,6 %(13 %)
    Construction55,8 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2630,2 %(26,7 %)
    Information et communication11,2 %(2,1 %)
    Activités financières et d'assurance11,2 %(3,3 %)
    Activités immobilières22,3 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1011,6 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1922,1 %(15,5 %)
    Autres activités de services67 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,2 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 86 entreprises implantées à Saint-Paul-Cap-de-Joux), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31] :

    • Euro-Garage, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (435 k€)
    • La Petite Boulangerie, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (103 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Lauragais tarnais, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département du Tarn[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations34312419
    SAU[Note 13] (ha)9169631 0721 328

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 31 en 2000 puis à 24 en 2010[34] et enfin à 19 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[35],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 916 ha en 1988 à 1 328 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 70 ha[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Activités sportives

    Le club de tennis de table Ping Saint Paulais évolue de la Départementale 3 à la Régionale 4 et compte 143 licenciés à l'été 2013.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Site officiel

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Paul-Cap-de-Joux » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Paul-Cap-de-Joux » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Paul-Cap-de-Joux » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Paul-Cap-de-Joux » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Paul-Cap-de-Joux » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France : listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF 35460306), p. 67
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Saint-Paul-Cap-de-Joux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « l'Agout »
    6. Sandre, « le ruisseau d'en Guibaud »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station météofrance Lavaur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Saint-Paul-Cap-de-Joux et Lavaur », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météofrance Lavaur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Saint-Paul-Cap-de-Joux et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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