Artalens-Souin

Artalens-Souin est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes.

Artalens-Souin

Vue du village d'Artalens.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Andrée Dulout Gleize
2020-2026
Code postal 65400
Code commune 65036
Démographie
Gentilé Artouinois
Population
municipale
132 hab. (2019 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 33″ nord, 0° 02′ 45″ ouest
Altitude Min. 634 m
Max. 1 350 m
Superficie 3,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argelès-Gazost
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Artalens-Souin
Géolocalisation sur la carte : France
Artalens-Souin
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Artalens-Souin
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Artalens-Souin

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau des Bariquères, le ruisseau d'Estibos et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Artalens-Souin est une commune rurale qui compte 132 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 327 habitants en 1866. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Artouinois ou Artouinoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Artalens-Souin se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Beaucens (1,2 km), Villelongue (2,5 km), Adast (2,5 km), Pierrefitte-Nestalas (2,6 km), Vier-Bordes (2,7 km), Préchac (2,9 km), Soulom (3,1 km), Uz (3,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Artalens-Souin fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Dabant-Aygues qui regroupe huit communes[4].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Artalens-Souin est limitrophe de quatre autres communes dont Préchac au nord-ouest par un simple quadripoint, à Vielle.

    Communes limitrophes d’Artalens-Souin[5]
    Préchac
    (par un quadripoint)
    Ayros-Arbouix Vier-Bordes
    Beaucens

    Paysages et relief

    Vue sur la montagne depuis Souin.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau des Bariquères, le ruisseau d'Estibos, le ruisseau de Couyéou de Mates et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 203 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 23 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 5]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[22],[23],[24].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[25] : les « massifs du Montaigu et de Hautacam » (5 411 ha), couvrant 7 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Artalens-Souin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 2],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,6 %), forêts (31,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 121[I 5].
    Parmi ces logements, 45,3 % sont des résidences principales, 51,7 % des résidences secondaires et 3,0 % des logements vacants.

    Risques naturels et technologiques

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D100 qui monte à Hautacam.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Artalens-Souin à l'est d'Argelès-Gazost.
    Moulin sur le ruisseau d'Estibos.
    Les moulins.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[30] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Artalens

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Artalens.

    Du gaulois artos (ours).

    Souin

    Dénominations historiques :

    • Suin (1168, bulle d'Alexandre III) ;
    • Soi (XIIe ou XIIIe siècle, Livre vert de Bénac) ;
    • De Sohi (1313, Debita regi Navarre) ;
    • Sohii (1349, Livre vert Bénac) ;
    • de Soyno, latin (1379, Procuration Tarbes) ;
    • Sohy, Soyi, Soii (1429, censier de Bigorre) ;
    • Souy (1768, Duco) ;
    • Souin (1789, cahier de doléances de Bigorre) ;
    • Souin (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Nom occitan : Soïn.

    Histoire

    Cadastre napoléonien d'Artalens-Souin

    Le plan cadastral napoléonien d'Artalens-Souin est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[31].

    Politique et administration

    La mairie en 2017.
    Le foyer rural en 2017

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
      1951 Bernard Pellafigue    
    1951 1971 André Carrère    
    1971 mars 2001 Eloi Guiraud    
    mars 2001 mars 2008 Alain Vignes    
    mars 2008 en cours Andrée Dulout-Gleize   Retraitée

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Arribèra de Davantaygue, canton de Davantaygue (1790), Argelès (depuis 1801). Communauté distincte Saint-Andrey, non mentionnée dans la première répartition de 1790, est citée comme commune dans la seconde, et rattachée à Artalens entre 1791 et 1801. Artalens et Souin sont réunies en 1848, réunion ratifiée en 1850[32].

    Intercommunalité

    Artalens-Souin appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35]. En 2019, la commune comptait 132 habitants[Note 9], en diminution de 1,49 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    270212264289260282264265294
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    313324327305300289295302259
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    246233232199190248170161144
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    138135122115120110108108134
    2018 2019 - - - - - - -
    129132-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[38].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 6]1,5 %7,8 %11,1 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 72 personnes, parmi lesquelles on compte 83,3 % d'actifs (72,2 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs) et 16,7 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 54, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,4 %[I 10].

    Sur ces 54 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Pierre d'Artalens en 2017.
    L'église Saint-Michel de Souin.
    Le lavoir d'Artalens en 2017.

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts municipal.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent au serpent ailé de sable posé en pal, au chef d'azur chargé d'une étoile de six rais d'or accostée de deux croissants du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Artalens-Souin » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Artalens-Souin et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Artalens-Souin et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Artalens-Souin », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Artalens-Souin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Artalens-Souin et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Artalens-Souin et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    21. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    22. « Parc national des Pyrénées - la faune », sur www.pyrenees-parcnational.fr (consulté le )
    23. « Parc national des Pyrénées - le territoire », sur le site du parc national des Pyrénées (consulté le )
    24. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Artalens-Souin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « massifs du Montaigu et de Hautacam » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    31. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Artalens-Souin en 1827
    32. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    33. « Liste des juridictions compétentes pour Artalens-Souin », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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