Université Montpellier-I
L'université Montpellier-I ou université Montpellier 1, héritière de l'université de Montpellier fondée en 1289, réunit des disciplines diverses telles que la médecine, la pharmacie, le droit et les sciences politiques, l'éducation physique, les sciences économiques, l'odontologie et les sciences de gestion. C'est aujourd'hui, la plus importante université de l'académie de Montpellier par le nombre de ses étudiants. Elle est l'un des membres fondateurs du PRES Sud de France. Son siège se situe à Montpellier, deux antennes se trouvent à Nîmes et à Albaret-Sainte-Marie.
Fondation | |
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Dissolution |
Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Président |
Philippe Augé |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
22 354 (mars 2014) |
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Enseignants |
971 |
Budget |
164 M€ (2014) |
Pays | |
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Campus | |
Ville |
Elle fusionne avec l'université Montpellier-II le pour restaurer l'université de Montpellier[1].
Histoire de l'université Montpellier-I
L'université Montpellier-I est l'héritière directe de l'université médiévale créée le par la bulle papale « Quia Sapientia » du pape Nicolas IV, des médecins andalous y ont enseigné. Elle réunit l'école de Médecine fondée en 1220 par le cardinal Conrad, légat du pape Honorius III, ce qui fait de la faculté de Médecine de Montpellier la plus ancienne en activité au monde, et l'école de Droit et des Arts dont les premiers statuts furent octroyés en 1242.
Son rayonnement, en particulier à partir de l'enseignement de la médecine et du droit, ne fit que s'amplifier jusqu'à la Révolution française qui fit disparaître les facultés en 1793. Elles se reconstituèrent progressivement au XIXe siècle[2]. L'ensemble de ces facultés est fédéré en application de la loi du .
La partition de l'université de Montpellier par la loi d'orientation du a donné naissance à l'université Montpellier-I qui associe autour des UFR traditionnelles de médecine et de droit, la pharmacie, l'économie, la gestion, l'odontologie, les sciences du sport (STAPS), ainsi que des instituts (IPAG, ISEM).
Depuis la loi du l'université est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel sous l'autorité d'un président élu par l'ensemble des membres des trois conseils, assisté d’un vice-président étudiant, de trois vice-présidents de conseil, d'un secrétaire général, d'un agent comptable et d'un bureau.
Quelques dates récentes
- 1956 : rachat du couvent des Visitandines[3] et déménagement de la faculté de droit de l'actuel rectorat à la rue de l'université (actuel bâtiment 1 de l'UFR Droit) et construction d'un bâtiment le long de la rue de l'École-Mage
- 1957 : construction du bâtiment de la Médecine préventive (actuel bâtiment 3 de l'UFR Droit)
- 1958 : création de l'école dentaire
- 1960 : construction de la partie « Giraud » de l'Institut de biologie au boulevard Henri-IV
- 1963 : création de l'IPAG
- 1964 : déménagement de la faculté de pharmacie du centre-ville sur son site actuel, avenue Charles-Flahault dans le quartier de Boutonnet sur un campus de six hectares
- 1969 : création « officielle » de l'université Montpellier-I avec cinq UFR (droit, médecine, pharmacie industrielle, sciences pharmaceutiques et biologiques, matières alimentaires et environnement)
- 1970 : création de l'UER (puis UFR) odontologie
- 1971 : création de l'UER (puis UFR) sciences économiques, élection du premier président de l'université : Georges Péquignot
- 1972 : création de l'ISEM, construction du site de Nîmes de l'UFR Médecine, création du musée de la pharmacie
- 1973 : rachat de l'ancienne « faculté des lettres » à la rue du Cardinal-de-Cabrières pour abriter les UFR sciences économiques et ISEM
- 1978 : création de l'UER (puis UFR) administration économique et sociale (AES)
- 1980 : achat du domaine de Veyrassi, création de l'UREPS
- 1984 : création de l'UFR STAPS, les UER deviennent des UFR
- 1987 : création de l'antenne d'Orfeuillette de l'IUP mangement hôtellerie-tourisme en Lozère (ISEM) avec l'achat d'une ancienne dépendance du Château d'Orfeuillette à Albaret-Sainte-Marie, près de Saint-Chély-d'Apcher
- 1992 : construction de l'UPM et de l'IURC sur le site d'Arnaud de Villeneuve, classement du Jardin des Plantes dans les « monuments historiques »
- 1993 : construction de la phase 1 du campus de Richter, aménagement des UFR AES, Sciences économiques et l'ISEM
- 1994 : réaménagement partiel de l'UFR Pharmacie, suppression de la « faculté de droit, sciences économiques et gestion » en cinq composantes distinctes
- 1996 : construction de la nouvelle Faculté (UFR) d'Odontologie dans le quartier Euromédecine, réhabilitation du bâtiment historique de l'UFR Médecine
- 1998 : réaménagement total des bâtiments de l'UFR Droit, construction du bâtiment pédagogique de l'UFR STAPS, réhabilitation du site de l'ISEM Orfeuillette
- 1999 : élection d'Alain Uziel en qualité de président et mise en place d'un poste de vice-président étudiant, construction de la phase 2 de Richter avec l'inauguration de la bibliothèque universitaire, fusion des trois composantes de Pharmacie en une seule UFR (suppression de l'UFR « matières alimentaires et environnement » et « pharmacie industrielle »), l'université compte désormais sept UFR et deux instituts
- 2001 : rattachement de l'école de Sage-Femme à l'UFR médecine
- 2002 : inauguration du palais universitaire des Sports de Veyrassi, création du Centre universitaire de formation et de recherche de Nîmes (les étudiants en droit de Nîmes ne sont plus rattachés à l'université Montpellier 1)
- 2003 : passage au LMD pour les filières Droit, Économie, Gestion & STAPS
- 2004 : réaménagement des services centraux, construction du « Pégurier », achat du bâtiment de la DEVE et du SCUIO, élection au premier tour de Dominique Deville de Périère en qualité de présidente
- 2005 : réaménagement total de l'antenne de Nîmes de l'UFR médecine, début de l'opération de réhabilitation du Jardin des Plantes, élections étudiantes : participation record
- 2006 : construction de la phase 3 du campus de Richter, déménagement de l'IPAG et de DIDERIS, inauguration du nouveau bâtiment de l'ISEM et de la Maison des Étudiants (qui prend le nom d'Aimé Schoenig en )
- 2007 : réhabilitation du bâtiment 3 de l'UFR droit
- 2009 : en application de la loi LRU, dite sur l'autonomie des universités, au 1er janvier, l'université Montpellier-I accède aux compétences élargies dans les domaines budgétaires et de gestion des ressources humaines, l'université Montpellier-I gère désormais un budget de 130 millions d'euros et assure la paye de ses 1 642 agents.
- 2015 : le , l'université Montpellier-I fusionne avec l'université Montpellier-II pour donner naissance à une nouvelle université unique : l'université de Montpellier
Présidents de l'université
Année d'élection | Nom | Qualité | UFR de rattachement |
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1971 | Georges Péquignot | Professeur des universités | Droit |
1972 | Fernand Sabon | Professeur des universités | Pharmacie |
1977 | Paul Coste-Floret | Professeur des universités | Sciences économiques |
1979 (réélu en 1984) | Jacques Mirouze | Professeur des universités | Médecine |
1989 | Jacques Demaille | Professeur des universités | Médecine |
1994 | Yves Loubatières | Professeur des universités | AES |
1999 | Alain Uziel | Professeur des universités | Médecine |
2004 | Dominique Deville de Périère | Professeur des universités | Odontologie |
2009-2015 | Philippe Augé | Professeur des universités | IPAG |
Patrimoine
Grâce à son ancienneté, le patrimoine de l'université Montpellier-I revêt un caractère exceptionnel. Depuis la Révolution française, ce dernier s’est enrichi de très beaux bâtiments allant de la Renaissance pour la faculté de médecine jusqu’aux bâtiments d’architectures contemporaines, comme la faculté d'administration économique et sociale (AES) sur le campus de Richter et la faculté des sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) du campus de Veyrassi[4].
L’université dispose du plus ancien jardin botanique de France (1593), le « jardin des plantes de Montpellier » et d'espaces dédiés à l'univers de la médecine, tels que :
- Le musée d'anatomie (1795) dont la majeure partie des collections sont classées au titre des monuments historiques ;
- Le musée Atger (1813) est le plus ancien musée de Montpellier et a formé la deuxième collection française après celle du Louvre ;
- Le musée de la pharmacie Albert Ciurana (1972) est le seul en France situé sur un site universitaire ;
- Le « droguier » de la faculté de pharmacie (1633) est le deuxième[5] de France après celui de Paris[6] ;
- Une bibliothèque de fonds documentaires anciens et de collections patrimoniales est mis à disposition des étudiants[7].
Information générale
Présentation
L'université Montpellier-I est une université pluridisciplinaire qui regroupe 22 354 étudiants (en ) répartis dans 7 UFR et 2 instituts.
Elle dispose de[8] 1 708 agents:
- 971 personnels enseignants-chercheurs dont :
- 147 professeurs des universités
- 168 professeurs des universités - Praticien hospitalier (PU-PH)
- 252 maîtres de conférences
- 81 maîtres de conférence des universités - praticien hospitalier (MCU-PH)
- 186 chefs de clinique des universités-assistants des hôpitaux
- 137 autres enseignants (42 PRAG, 33 PRCE, 16 Professeurs d'EPS, 46 ATER.
- 741 personnels IATOSS, dont 121 contractuels
- 490 rattachés aux composantes (UFR & instituts)
- 251 rattachés aux services centraux et aux services communs et généraux
- 389 chercheurs rattachés aux grands organismes de recherche (CNRS, INSERM, INRA, CEA et IRD)
- 52 équipes de recherche labellisées par le ministère
- 214 960 m² de locaux dont 30 000 m² consacrés à la recherche et 163 000 m2 d’espaces verts
Direction de l'université
Équipe de direction
L'équipe de direction est, depuis , composée de la façon suivante[9] :
- Philippe Augé : président de l'université
- Pascal Beauregard : directeur général des services
- Laurent Perpere : agent comptable
- Florian Facon : vice-président étudiant de l'université (VPE)
- Jean Martinez : vice-président du conseil d'administration (CA)
- Jacques Mercier : vice-président de la Commission de la Recherche (ex CS)
- François Mirabel : vice-président de la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire (ex CEVU)
- Christian Lagarde : vice-président délégué aux affaires générales et statutaires
- Jean-Paul Fernandez : vice-président délégué aux relations internationales
- Alexandre Vernhet : vice-président délégué au contrôle interne de gestion
- Anne Marcellini : vice-Présidente délégué à la Diversité et à l'Équité
Bureau
Le bureau de l'université est composé de la façon suivante (équipe de direction +) :
- Sylvie Rapior, Marie-Christine Sordino, Eric de Mari : représentants des enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs
- Nicolas Perolat : représentant des étudiants
- Hélène Herrada, Sylvie Narejos : représentants du personnel IATOSS
« Gouvernement »
Le « gouvernement » de l'université se réunit environ une fois tous les deux mois. Il est composé de l'équipe de direction ainsi que de tous les directeurs d'UFR et d'instituts : Marie-Élisabeth André (Droit), Jacques Bringer (Médecine), Didier Delignières (STAPS), Étienne Douat (IPAG), François Mirabel (Sciences Economiques), Alexandre Vernhet (ISEM), Karim Messeghem (AES), Philippe Gibert (Odontologie), Laurence Vian (Pharmacie).
Services administratifs
Composantes de l'université Montpellier-I
L'université Montpellier-I était composée de 7 UFR (facultés) :
- médecine
- droit et science politique
- administration économique et sociale (AES),
- STAPS,
- économie,
- pharmacie
- odontologie.
et de 2 instituts :
- Institut des sciences de l'entreprise et du management (ISEM),
- Institut de préparation à l'administration générale (IPAG),
Elles sont réparties sur plusieurs site à Montpellier :
- centre-ville : médecine et droit,
- sud (Campus de Richter) : AES, économie, ISEM et IPAG,
- nord : pharmacie, STAPS, odontologie et médecine (UPM)
et possède deux antennes délocalisées :
- Nîmes : médecine,
- Albaret-Sainte-Marie : ISEM (Orfeuillette)
Quelques photographies
- La salle des actes de l'UFR Droit
- Le palais universitaire des Sports de Veyrassi (UFR STAPS)
- Le « Pégurier » qui abrite la DAF (Direction des Affaires Financières) (Services centraux), vue de la rue Auguste-Broussonnet
- La bibliothèque universitaire de Richter
Offre de formation de l'université Montpellier-I
L'université Montpellier 1 offre un panel de formation sur des disciplines diverses telles que la médecine, la pharmacie, le droit, l'éducation physique, les sciences économiques, l'odontologie et les sciences de gestion[10].
Recherche
L’université couvre des domaines de recherche très variés où 5 directions scientifiques sont représentées : Chimie et Sciences des matériaux, Biologie, Médecine et Santé, Sciences de l’Homme et des Humanités, Sciences de la Société.
L’excellence de la recherche est soulignée par la participation de l'université Montpellier-I à la labellisation du RTRA « Agronomie et développement durable » et du RTRS interrégional « Infectiopôle sud », sa participation à 5 Pôles de compétitivité (ORPHEME, Qu@liMed, Gestion des risques, TRIMATEC et DERBI) ainsi que son implication dans les filières industrielles régionales.
Les partenaires de l’UMI sont le CNRS, l’INSERM, l’INRA, l’IRD, le CEA ainsi que les CHU de Montpellier et Nîmes, pour les laboratoires de recherche clinique.
Les chiffres de la recherche
- Budget ministériel de la Recherche : 3,9 M€/an
- 52 unités de recherche sous contrat avec le ministère
- 1 laboratoire coopératif et 1 ERT
- 20 brevets (2003-2005) et 24 projets européens
- 20 jeunes pousses depuis 1999
- 6 plates-formes technologiques RIO (Réunion Inter-Organisme)
- Les écoles doctorales : l'université Montpellier 1 forme des docteurs dans 9 écoles doctorales couvrant un vaste champ disciplinaire en fédérant les unités de recherche de l’établissement et des autres universités du sud de la France. Deux sont domiciliés sur l'université Montpellier 1 :
- Droit et Sciences Politique (directrice : Solange Becque-Ickowicz)
- Économie et Gestion de Montpellier (EDEG) (directeur : Daniel Serra)
- Près de 800 doctorants par an
- Plus de 150 thèses par an
- 377 chercheurs travaillant dans les équipes de recherche de l'université Montpellier 1 habilitées, dont :
- 308 personnels IATOS et 98 personnels ITA
- 79 Post-docteurs
- Près de 30 000 m² de surface affectées à la recherche
Vie étudiante
Anciens vice-présidents étudiant de l'université Montpellier-I
Le poste de vice-président étudiant de l'université a été créé à l'initiative du président Alain Uziel. Le premier vice-président étudiant a été élu à la suite des élections étudiantes de novembre 1999.
Période | Nom | UFR de rattachement |
---|---|---|
novembre 1999- février 2001 | Frédéric Domenge | Sciences économiques |
février 2001- février 2003 | Stéphane Alliès | Droit |
février 2003- février 2005 | Julien Rafaillac | Sciences économiques |
février 2005- janvier 2007 | Benjamin Le Blévec | AES |
2007 (janvier à novembre) | Guillaume Dedet | Médecine |
novembre 2007- mars 2010 | Nicolas Giraudeau | Odontologie |
mars 2010- octobre 2011 | Laurent Marchand | Droit |
octobre 2011- mars 2014 | Guillaume Guidici | Pharmacie |
depuis mars 2014 | Florian Facon | Médecine |
Bureau de la vie étudiante
Depuis 1999, le Bureau de la vie étudiante fédère de nombreuses activités de la vie étudiante. Le BVE est dirigé par le vice-président étudiant de l'université et est composé d'élus étudiants des conseils centraux de différentes UFR. Depuis , le BVE est doté de statuts, de compétences définies et d'un budget propre. Ses principales missions sont :
- le secrétariat des élus étudiants et du vice-président étudiant
- un point d'accueil et d'écoute pour les étudiants en difficulté
- la coordination de l'action des 25 élus étudiants de l'université
- la préparation des conseils
- la diffusion d'informations auprès des associations étudiantes
- le soutien logistique et matériel aux associations étudiantes
- la gestion du parc audiovisuel mutualisé
- l'instruction des dossiers du FSDIE
- la réalisation de l'Agenda de l'étudiant
- la gestion de la Maison des Étudiants Aimé Schoenig
- le développement de la citoyenneté étudiante
- la formation des élus étudiants
- la gestion des panneaux d'affichage libre pour les étudiants
Le BVE dispose de locaux aux services centraux de l'université (Institut de biologie) ainsi qu'une annexe au sein de la Maison des étudiants Aimé Schoenig sur le campus de Richter.
Maison des étudiants Aimé Schoenig
Construite en 2005 sur le site de Richter et inauguré en décembre 2006, la Maison des Étudiants "Aimé Schoenig" est un lieu entièrement consacré à la vie étudiante. Elle offre à l’ensemble des étudiants de l’université un espace de vie convivial doté et équipé d’infrastructures nécessaires à la réalisation de nombreux projets pour les étudiants. Le bâtiment comprend notamment :
- un vaste hall doté d'une mezzanine, équipés en Wi-Fi
- un théâtre tout équipé de 250 places
- un club de musique avec salle équipée
- une salle de réunion
- des locaux pour l'association des étudiants ERASMUS et l'association culturelle Art&Fac
- deux salles de sports équipés (salle de danse et salle de musculation)
- une antenne du Service Universitaire de Médecine Préventive (SUMPPS)
La gestion de la Maison des étudiants Aimé Schoenig a été confiée au Bureau de la vie étudiante qui gère à la fois les créneaux d’utilisation des salles mais aussi du matériel mit à disposition pour les étudiants. Le SUMPPS et le SUAPS, quant à eux, gèrent leurs propres locaux.
Vie associative
La vie des différents sites de l'université est marquée par la présence de nombreuses associations étudiantes qui disposent, pour la plupart, de locaux au sein de chaque composante ainsi que des associations culturelles au sein de la Maison des Étudiants Aimé Schoenig.
Évolution du nombre d'étudiants inscrits
Évolution du nombre d'étudiants inscrits (inscriptions physiques administratives)
Personnalités liées à l'université
Enseignants
- Georges Frêche, professeur de droit (maire honoraire de Montpellier, président de région)
- Jacques Domergue, professeur de médecine (député de l'hérault)
- Henri Joyeux, professeur de médecine
- Jacques Percebois, professeur d'économie, directeur honoraire de l'UFR Sciences Economiques
- Paul-Henri Antonmattei, professeur de droit, directeur de l'UFR Droit
- Jacques Touchon, professeur de médecine, directeur honoraire de l'UFR Médecine, adjoint au maire de Montpellier
- Jacques Demaille, professeur de médecine, président honoraire de l'université
- Paul Alliès, professeur de sciences politiques
- Michel Miaille, professeur de sciences politiques, directeur honoraire de l'UFR AES
- Étienne Douat, professeur de droit public, directeur de l'IPAG
- Dominique Rousseau, professeur de droit
- Henri Pujol, professeur de médecine, ancien président de La Ligue nationale contre le cancer[23]
- Pascal Pujol, professeur de médecine, oncogénéticien, ancien vice doyen de la faculté de médecine de Montpellier
- François-Bernard Michel, professeur de médecine
- Edwy Plenel, professeur associé en science politique, journaliste
- Jean-Jacques Eledjam, professeur de médecine, président de la Croix-Rouge française
- Le chevalier Germain Dupré ( - « Argelès-de-Bigorre[24] » ✝ - Montpellier), médecin, professeur de clinique médicale, homme politique français du XIXe siècle.
Étudiants
- Bernard Mariette, CEO de Coalision et PDG de Quiksilver USA de 1994 à 2008 ;
- Jean-Louis Billon, grand patron et homme politique ivoirien ;
- Achille Peretti, diplômé de la faculté de droit ;
- Valdiodio N'diaye, diplômé de la faculté de droit ;
- Hélène Mandroux, maire de Montpellier, diplômée de la faculté de médecine ;
- Gilles d'Ettore, maire d'Agde, diplômé de la faculté de droit ;
- Sébastien Denaja, député de l'Hérault, diplômé de la faculté de droit ;
- Christian Assaf, député de l'Hérault, diplômé de la faculté d'économie ;
- Jacques Bompard, député-maire d'Orange, diplômé de la faculté d'odontologie ;
- François Trinh-Duc, rugbyman international, diplômé de l'UFR STAPS ;
- Eugène Ébodé, écrivain ;
- Jean-Louis Levet, économiste ;
- Moussa Ag Assarid, homme politique, écrivain, comédien, journaliste et conteur ;
- Dacian Cioloș, Premier ministre de Roumanie depuis 2015.
- Coralie Dubost, députée LREM 2017-2022.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Actes du 61e Congrès de la Fédération historique du Languedoc Méditerranéen et du Roussillon (colloque historique tenu à la Faculté de Médecine de Montpellier, les 23 et 24 octobre 1989), L'Université de Montpellier, ses maîtres et ses étudiants depuis sept siècles : 1289-1989, , 376 p. (lire en ligne)
Fonds d'archives
- Fonds : Université Montpellier I (1800-2000) [86,5 ml]. Cote : 8 ETP. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Lien externe
- (fr) Site officiel
Notes et références
- la fusion est en marche
- J. Broch, « L’École centrale de l’Hérault et l’enseignement de la législation, de l’An V à l’An XII », Revue d’Histoire des Facultés de Droit et de la culture juridique du monde des juristes et du livre juridique, no 34, , p. 155-205
- « Ancien couvent de visitandines actuellement faculté de droit », sur http://www.actuacity.com (consulté le )
- Plan du campus de Veyrassi, sur le site du STAPS (consulté le 2 juin 2017)
- La médecine au temps jadis vue par le droguier, publié par Michelle Rivière le 18 février 2012, sur le site du midi-libre (consulté le 2 juin 2017)
- Collections d'histoire de l'ordre des pharmaciens, sur le site de la Sauvegarde du Patrimoine Pharmaceutique (consulté le 2 juin 2017)
- « Bibliothèque Universitaire de Médecine Centre Ville » (consulté le 2 juin 2017)
- service DRH de l'université Montpellier 1
- Université Montpellier-I, « L'équipe de direction », sur http://www.univ-montp1.fr (consulté le )
- Catalogue des formations à l'université Montpellier 1
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur education.gouv.fr le 17 septembre 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur education.gouv.fr le 2 septembre 2011
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur education.gouv.fr le 30 août 2012
- Henri Pujol, célèbre cancérologue de Montpellier, rédacteur en chef d'un jour « Copie archivée » (version du 7 février 2009 sur l'Internet Archive)
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