Cazevieille

Cazevieille [ka.zə.vjɛ.jə] (nom officiel, en occitan Casavièlha [ka.z.'βiɛ.ʎ]), ou localement Cazevieille-Pic-Saint-Loup, est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault en région Occitanie.

Cazevieille

De la garrigue au pic Saint-Loup, le territoire communal.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Jean Vallon
2020-2026
Code postal 34270
Code commune 34066
Démographie
Population
municipale
215 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 15″ nord, 3° 47′ 22″ est
Altitude Min. 160[1] m
Max. 658[2] m
Superficie 16,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gély-du-Fesc
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cazevieille
Géolocalisation sur la carte : France
Cazevieille
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Cazevieille
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Cazevieille

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Déridière, le ruisseau de Yorgues et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pic Saint-Loup » et les « hautes garrigues du Montpelliérais ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Cazevieille est une commune rurale qui compte 215 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Cazevieillains ou Cazevieillaines.

    Géographie

    Cazevieille est située au nord ouest de Montpellier non loin des communes de Saint-Mathieu-de-Treviers et Saint-Jean-de-Cuculles. Le pic Saint-Loup est situé dans le territoire de la commune de Cazevieille.

    Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1832).
    Carte

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 047 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin de Londres », sur la commune de Saint-Martin-de-Londres, mise en service en 1947[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 075,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 15,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[14].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[16] :

    • le « pic Saint-Loup », d'une superficie de 4 430 ha, comprenant de grandes étendues de pelouses et de matorrals à genévrier oxycèdre, en particulier, caractéristiques d'une pratique séculaire du pastoralisme. Les falaises du Pic-Saint-Loup et de l'Hortus recèlent trois espèces végétales endémiques (Erodium foetidum, Saxifraga cebennensis, Hieracium stelligerum)[17]

    et un au titre de la directive oiseaux[16] :

    • les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19] : le « pic Saint-Loup » (818 ha), couvrant 5 communes du département[20] et la « plaine de Notre-Dame-de-Londres et du Mas-de-Londres » (3 483 ha), couvrant 6 communes du département[21] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[19] :

    • les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » (16 219 ha), couvrant 17 communes du département[22] ;
    • les « Pic-Saint-Loup et Hortus » (11 816 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Cazevieille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 1],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (78,4 %), forêts (16,3 %), zones urbanisées (3,6 %), cultures permanentes (1,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    • De nombreux tumulus du chalcolithique (âge du cuivre) sont présents à Cazevieille, ce qui atteste une présence humaine dès la préhistoire.
    • Aucune trace de la période gallo-romaine ou wisigothique, mais il y avait probablement un habitat non construit en pierre.
    • En 1185 environ le château de Montferrand est construit et est occupé par une garnison de cinq ou six hommes. À la même époque, le mas de la Tourrière se construit et son exploitation commence. Le territoire appartient alors au comte de Melgueil.
    • En 1250 le territoire passe sous l'autorité de l'évêque de Maguelonne. Les mas de La Figarède et Roubiac se construisent.
    • Rien ne change par la suite jusqu'à la Révolution.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 En cours Jean Vallon SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    La démographie a peu évolué jusqu'à la dernière guerre avec une moyenne de 70 habitants au cours des siècles (à peu près feux par masse)


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2019, la commune comptait 215 habitants[Note 9], en augmentation de 12,57 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7477100737269556063
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    707767586670695454
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    515144365561643038
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    31262458105118166166184
    2015 2019 - - - - - - -
    181215-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 76 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 201 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 32 990 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6,1 %7,1 %8,1 %
    Département[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 117 personnes, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (65,9 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 27 emplois en 2018, contre 27 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 80, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,9 %[I 10].

    Sur ces 80 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    44 établissements[Note 12] sont implantés à Cazevieille au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble44
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    24,5 %(6,7 %)
    Construction715,9 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    613,6 %(28 %)
    Activités financières et d'assurance818,2 %(3,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1125 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    511,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services511,4 %(8,1 %)

    Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 44 entreprises implantées à Cazevieille), contre 17,1 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations1214
    SAU[Note 14] (ha)770826

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (un en 1988). La superficie agricole utilisée est de 26 ha[33],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Avec Saint-Mathieu-de-Tréviers, Cazevieille est le point de départ des randonnées pédestres menant au sommet du pic Saint-Loup (658 mètres d'altitude), situé à la limite des deux communes. La plus grande partie du sentier suit celui de grande randonnée no 60[34].

    Les mas

    • Tourrière : c'est le mas le plus ancien, au XVIIe siècle un bâtiment lui est accolé.
    • La Figarède.
    • Roubiac : il a été créé par Guillaume de Robiac.
    • Sueilles : ce mas a été construit en 1590 par Jehan de la Figarède pour y installer ses deux filles. Son nom vient probablement de siolhe qui signifie amas de pierres car le mas a été construit sur une ancienne verrerie détruite.
    • Le Causse : il a été construit en 1600 environ.
    • Courtès et Peyre-Brune : Ils ont été construits également en 1600 en appoint de la Figarède et de Sueilles.
    • Hubac : c'est le mas le plus récent, il a été construit au XVIIIe ou XIXe siècle dans la vallée de Fombétou.

    Héraldique

    Les armoiries de Cazevieille se blasonnent ainsi :

    d'argent à l'aigle de sable, accompagnée en chef de trois étoiles d'azur.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Arnal et Daniel Peyrolle, « La Sépulture mégalithique de Sauzet II (Hérault) », Société d'Histoire et d'Archéologie de Nîmes et du Gard, no 3, 1934-1935, p. 57-60
    • Jean-Frédéric Brun, Inventaire spéléologique du Causse de Viols-le-Fort Cazevieille (Hérault), Montpellier, Groupe d'études et de recherches spéléologiques et archéologiques de Montpellier, , 112 p.
    • Maurice Louis, « La Nécropole hallstatienne de Cazevieille (Hérault) », Cahiers d'histoire et d'archéologie, nos 2-5, 1946-1947
    • Angély Pézières, « La Sépulture mégalithique de Sauzet (commune de Cazevieille-Hérault) », Société d'Histoire et d'Archéologie de Nîmes et du Gard, no 1, 1933-1934, p. 60-63
    • André Signoles, « Camp romain du Gardiol au pic de Saint-Loup, commune de Cazevieille (Hérault) », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, t. XXX, , p. 5-6
    • André Signoles, « Du Moyen-Age à nos jours : tours de Cazevieille, ( XII e et XIII e siècles) », Cazevieille : notes d'histoire, [s.d.], p. 7-10
    • Jacques Vallon, « Eglise Saint-Étienne de la Figarède », Cazevieille : notes d'histoire, [s.d.], p. 11-18
    • Jacques Vallon, « De l'Age du cuivre à l'époque gallo-romaine », Cazevieille : notes d'histoire, [s.d.], p. 3-6
    • André Signoles, Mairie de Cazevieille, Cazevieille : notes d'histoire, , 20 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cazevieille » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cazevieille » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cazevieille » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cazevieille » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Au sud de la commune, 160 mètres est l'altitude au bord du ruisseau de la Déridière quand il franchit la limite avec Les Matelles, point d'altitude indiqué sur la carte topographique n°2742ET, titrée Ganges, au 1/25 000e, Institut géographique national, 3e édition, 2008.
    2. Au nord-est de la commune, à la limite avec Saint-Mathieu-de-Tréviers, le point d'altitude 658 mètres est indiqué comme sommet du pic Saint-Loup sur la carte topographique n°2742ET, titrée Ganges, au 1/25 000e, Institut géographique national, 3e édition, 2008.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Martin de Londres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Cazevieille et Saint-Martin-de-Londres », sur fr.distance.to (consulté le ).
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