Emmanuelle Béart

Emmanuelle Béart, née le à Gassin (Var), est une actrice française.

Pour les articles homonymes, voir Béart.

Emmanuelle Béart
Emmanuelle Béart au festival de Cannes 2015.
Nom de naissance Emmanuelle Marie Hélène Béart
Surnom Emmanuelle Béart
Naissance
Gassin (Var), France
Nationalité Française
Profession Actrice
Films notables Manon des sources
La Belle Noiseuse
J'embrasse pas
Une femme française
Les Destinées sentimentales
voir filmographie.

Elle est révélée en 1986 par son jeu dans le drame Manon des sources, de Claude Berri, qui lui vaut le César de la meilleure actrice dans un second rôle.

La décennie suivante, elle s'impose comme une actrice française de premier plan en étant dirigée par Jacques Rivette (La Belle Noiseuse, 1991), André Téchiné (J'embrasse pas, 1991) et Claude Sautet (Un cœur en hiver, 1992 ; Nelly et Monsieur Arnaud, 1995) et Claude Chabrol (L'Enfer, 1994). Puis elle participe à des grosses productions : les mélodrames en costumes Une femme française de Régis Wargnier (1995) et Les Destinées sentimentales d'Olivier Assayas (2000), qui lui vaut sa septième et dernière nomination au César de la meilleure actrice. Par ailleurs, elle tient le premier rôle féminin du blockbuster hollywoodien Mission impossible de Brian De Palma (1996).

Durant les années 2000, elle privilégie un cinéma français populaire mais exigeant : elle fait ainsi partie des distributions de la comédie dramatique La Bûche de Danièle Thompson (1999), de la comédie musicale Huit Femmes de François Ozon (2001), de la satire À boire de Marion Vernoux (2004), de la comédie noire Le Héros de la famille de Thierry Klifa (2006) et de la comédie dramatique Mes stars et moi de Laetitia Colombani (2008).

Mais elle tient aussi les premiers rôles des thrillers psychologiques La Répétition (2001), de Catherine Corsini et de Nathalie... (2003), d'Anne Fontaine, ainsi que du film d'horreur Vinyan (2008), de Fabrice Du Welz. Elle retrouve également André Téchiné, pour les drames historiques Les Égarés (2003) et Les Témoins (2007). Quant à Jacques Rivette, il lui confie l'un des rôles-titre de la romance Histoire de Marie et Julien (2002).

De 1996 à 2006, elle est ambassadrice de bonne volonté de l'UNICEF et participe à de nombreuses activités humanitaires.

Engagée politiquement, elle s'implique notamment dans un soutien aux étrangers en situation irrégulière.

Biographie

Jeunesse et formation

Fille de l'auteur-compositeur-interprète Guy Béart, et de l'ex-mannequin et actrice Geneviève Galéa, Emmanuelle Béart naît dans la région de Saint-Tropez[1]. Son père quitte le foyer alors qu'elle est encore toute jeune[2].

Loin des tumultes du monde parisien, elle est élevée par sa mère à Cogolin et à Beauvallon, près de Sainte-Maxime, en compagnie de Sarah, Ivan et Mikis Cerieix, nés de l'union de sa mère avec Jean-Yves Cerieix, en compagnie également de Olivier Guespin, fruit de la relation amoureuse de sa mère avec le photographe et journaliste Jean-Jacques Guespin. Enfant du spectacle, elle a un tempérament rebelle. Les études ne l'intéressent guère. Elle rêve de devenir actrice et imite ses camarades d'école. Elle fait fréquemment l'école buissonnière[réf. nécessaire].

En 1971, à l'âge de 8 ans, elle fait de la figuration dans La Course du lièvre à travers les champs un film de René Clément, puis également en 1975, à l'âge de 12 ans, dans Demain les mômes, un film de Jean Pourtalé, avec tous les enfants de son village, dont son frère Olivier. Elle voue très jeune une admiration à Romy Schneider, son actrice fétiche[3].

En 1980, âgée de 17 ans, elle part 15 jours en séjour à Montréal (Canada) dans une famille amie de son père. C'est le coup de foudre pour ce pays qu'elle considère comme une deuxième patrie et décide d'y rester. Elle y poursuit ses études, apprend l'anglais et passe son Baccalauréat français au Collège international Marie-de-France. Elle y rencontre le réalisateur Robert Altman qui l'encourage à devenir actrice[4].

Débuts et révélation critique (années 1980)

Avec Michel Piccoli lors de la présentation de La Belle Noiseuse au festival de Cannes 1991.

En 1983, à 20 ans, de retour en France, elle suit brièvement les cours d'art dramatique de Jean-Laurent Cochet à Paris. Elle impressionne David Hamilton par sa beauté, lequel lui offre, au bout de trois mois, son premier rôle dans son film érotique Premiers Désirs. Elle enchaîne avec Un amour interdit, de Jean-Pierre Dougnac, en 1984, rôle qui lui vaut de concourir pour le César du meilleur espoir féminin en 1985. Sa carrière d'actrice de cinéma, de télévision et de théâtre est lancée[réf. nécessaire].

En 1986, la jeune actrice, aux côtés de Daniel Auteuil, obtient le succès au niveau international avec le film Manon des sources, de Claude Berri, d'après l’œuvre de Marcel Pagnol. Ils sont récompensés conjointement en 1987 du César de la meilleure actrice dans un second rôle et du César du meilleur acteur. Ils partagent la vedette avec Yves Montand et Hippolyte Girardot.

En 1991, elle obtient un vif succès dans son rôle de La Belle Noiseuse de Jacques Rivette, où elle joue une jeune femme qui pose nue pour l'artiste-peintre Édouard Frenhofer, interprété par Michel Piccoli. La même année, elle donne la réplique à Daniel Auteuil dans Un cœur en hiver de Claude Sautet, où elle joue le rôle de Camille Kessler, une jeune et talentueuse violoniste qui tombe sous le charme de Stéphane (Daniel Auteuil) qui n'éprouve aucun sentiment pour elle et la manipule jusqu'à ce qu'elle s'en aperçoive.

Confirmation (années 1990)

L'actrice au festival de Cannes 1998 pour la présentation de Voleur de vie, d'Yves Angelo.

En 1995, elle est sollicitée par le cinéma américain, avec Mission impossible de Brian De Palma, aux côtés de Tom Cruise et de Jean Reno. La même année, le magazine Empire la classe 32e dans la liste des « 100 Sexiest Stars in film history » ; en 1997, le magazine Femmes Fatales la classe 19e dans la liste du classement « Sci-Fi's Sexy 50 »[1]. Sorti durant l'été 1996, le blockbuster remporte un succès critique et commercial mondial, mais l'actrice n'apprécie pas l'esprit hollywoodien et revient vite en France, où elle joue des pièces et renoue avec le cinéma français d'auteur.

En 1997, elle tient ainsi le premier rôle féminin de l'adaptation Don Juan, de Jacques Weber, qui s'arroge aussi le rôle-titre. Puis elle partage l'affiche du drame Le Temps retrouvé, écrit et réalisé par Raoul Ruiz, avec Catherine Deneuve. En 1998, nouveau tandem féminin, qu'elle présente au festival de Cannes 1998 : elle donne la réplique à Sandrine Bonnaire pour Voleur de vie, d'Yves Angelo.

Elle conclut cette décennie avec un film populaire au large succès, la comédie dramatique La Bûche, de Danièle Thompson, aux côtés de Sabine Azéma et Charlotte Gainsbourg.

Tête d'affiche (années 2000)

L'actrice, membre du jury du festival de Cannes 2004.

En 2000, elle est la tête d'affiche du drame Les Destinées sentimentales, d'Olivier Assayas, présenté au Festival de Cannes 2000. Sa performance lui vaut sa cinquième et dernière nomination au César de la meilleure actrice. Puis l'année suivante, elle évolue aux côtés de Dieudonné et Anémone pour la comédie légère Voyance et Manigance, qui passe inaperçue.

Elle se concentre donc sur le cinéma d'auteur : elle présente au Festival de Cannes 2001 le drame La Répétition, de Catherine Corsini, mais connaît surtout un large succès critique et commercial grâce au film choral Huit Femmes, de François Ozon. Elle fait partie d'un casting quatre étoiles, composé de Danielle Darrieux, Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Fanny Ardant, Firmine Richard, Virginie Ledoyen et Ludivine Sagnier.

En 2002, elle retourne aux États-Unis pour À la recherche de Debra Winger, un documentaire réalisé par Rosanna Arquette, qui croise les regards de plusieurs actrices.

Elle présente au Festival de Cannes 2003 le drame historique Les Égarés, d'André Téchiné, dont elle est la tête d'affiche, secondée par un jeune Gaspard Ulliel. Puis elle tient le rôle féminin principal de l'un des derniers long-métrage de Jacques Rivette, la romance Histoire de Marie et Julien. Enfin, elle renoue avec les rôles de femme fatale pour le drame Nathalie..., d'Anne Fontaine. L'actrice y donne la réplique à Fanny Ardant et Gérard Depardieu. La même année, elle pose nue en couverture du magazine Elle[1].

L'année 2004 est marquée par la sortie du drame À boire, de Marion Vernoux. L'actrice y évolue aux côtés d'Édouard Baer et Atmen Kelif. En 2005, deux autres projets passent inaperçus : l'adaptation de la pièce éponyme de Feydeau par Michel Deville, Un fil à la patte, puis le drame L'Enfer, de Danis Tanović. L'actrice en partage l'affiche avec Karin Viard et Marie Gillain. Parallèlement, elle devient l'égérie de la marque de bijoux danoise Pilgrim[5]. et fait partie du jury du 57e Festival de Cannes.

En 2006, elle tient l'un des rôles principaux du thriller américain Un crime, de Manuel Pradal, porté par Norman Reedus. Puis elle est au casting du drame français Le Héros de la famille, aux côtés de Gérard Lanvin et Catherine Deneuve. L'année suivante, le drame choral Les Témoins, qui marque ses retrouvailles avec André Téchiné, est acclamé par la critique.

Les années 2000, sont aussi synonymes de changements pour l’actrice, qui, n’acceptant pas de vieillir, décide de passer à plusieurs reprises sous le bistouri. Elle est alors victime de lourds déboires chirurgicaux. La critique allant même jusqu'à lui reprocher de ne plus pouvoir jouer ; de par la crispation de certains des muscles de son visage et de sa bouche notamment.

Elle reste, aujourd'hui encore, l'emblème même de la chirurgie ratée et son visage apparaît régulièrement pour illustrer les ravages de la chirurgie moderne[6].

Diversification et théâtre (années 2010)

Pourtant, en 2008, elle surprend en défendant trois projets très différents : tout d'abord, elle s'aventure dans la comédie potache avec Disco, de Fabien Onteniente ; puis elle est la tête d'affiche du film d'horreur, Vinyan, une co-production internationale mise en scène par Fabrice Du Welz. Enfin, elle incarne l'une des trois « stars » de la comédie noire Mes stars et moi, de Lætitia Colombani, aux côtés de Catherine Deneuve et Mélanie Bernier.

En 2010, elle tient le premier rôle féminin de la comédie dramatique Nous trois, de Renaud Bertrand, puis de la romance indépendante Ça commence par la fin, première réalisation de l'acteur Michaël Cohen.

En 2011, elle est la tête d'affiche du drame Ma compagne de nuit, réalisé par Isabelle Brocard. Elle y est secondée par Hafsia Herzi. En 2012, elle défend deux projets très différents : tout d'abord, elle est la tête d'affiche de la comédie noire Bye Bye Blondie, de Virginie Despentes. Puis elle est au casting de la comédie historique Télé Gaucho, de Michel Leclerc, portée par Sara Forestier et Félix Moati.

Entre 2013 et 2014, elle alterne l'expérimental Par exemple, Électre, de Jeanne Balibar et Pierre Léon, et le populaire Les Yeux jaunes des crocodiles, de Cécile Telerman. Elle tient aussi le premier rôle du drame australien My Mistress, de Stephen Lance.

Elle se fait ensuite beaucoup plus rare au cinéma, préférant se concentrer sur le théâtre.

Déjà depuis 2010, elle affirme que le théâtre est pour elle une priorité, au détriment du cinéma[7]. Elle travaille notamment avec le metteur en scène Stanislas Nordey, qui la choisit comme artiste associée depuis sa prise de fonction en 2014 en tant que directeur du Théâtre national de Strasbourg[8].

En 2016, elle est membre du jury du Festival de Cabourg. Puis en 2017, elle joue dans le drame néo-zélandais Beyond the Known World, de Pan Nalin, puis en 2019 retrouve Jeanne Balibar pour la comédie dramatique Merveilles à Montfermeil.

Engagements

Grâce à sa mère, qui a fondé l'association « Réflexe Solidarité », Emmanuelle Béart baigne dans l’aventure humanitaire dès sa jeunesse[9].

En 1991, elle participe au film collectif Contre l'oubli, trente courts-métrages pour les trente ans d'Amnesty International avec comme réalisateur Michel Deville, elle témoigne pour le dissident Nguyễn Chí Thiện).

De 1996 à 2006, elle est ambassadrice du comité français pour l'UNICEF. Pendant ces dix années, elle réalise des missions à travers le monde en faveur de la cause des enfants maltraités[10] grâce à un passeport diplomatique international que lui délivre le siège de l'UNICEF à New York en 2002[11].

Elle profite de sa notoriété publique et médiatique pour mener des combats humanitaires, comme en 1996 lors de la défense des Étrangers en situation irrégulière de l'l'église Saint-Bernard de la Chapelle de Paris, qui lui vaut la résiliation de son contrat avec la Maison Dior[12].

Animée par le même idéal, en 2006 elle milite pour les sans-papiers dans l'affaire des « squatters » de Cachan[13].

En 2007, elle rejoint le comité de soutien à Ségolène Royal et participe au meeting de la candidate socialiste, le 1er mai au stade Charléty[14],[15].

En 2018, à la suite de la démission de Nicolas Hulot, elle signe avec Juliette Binoche la tribune contre le réchauffement climatique intitulée Le Plus Grand Défi de l'histoire de l'humanité, qui parait en une du journal Le Monde, avec pour titre L'appel de 200 personnalités pour sauver la planète[16].

Le , elle co-signe, parmi 1 400 personnalités du monde de la culture, la tribune « Nous ne sommes pas dupes ! », publiée dans le journal Libération, pour soutenir le mouvement des Gilets jaunes et affirmant que « Les gilets jaunes, c'est nous »[17].

En , aux élections présidentielles françaises, elle soutient la candidature de Jean-Luc Mélenchon[18].

Vie privée

L'actrice en juillet 2009, à un défilé haute-couture.

En 1984, Emmanuelle Béart rencontre Daniel Auteuil, sur le tournage du film L'Amour en douce. Ils partagent dix ans de vie commune. Par la suite, elle entretient une relation avec le compositeur de musique David François Moreau, demi-frère de Patrick Bruel. Elle accouche de Yohann en 1996. Le couple se sépare peu après[19].

En 2000, elle est séduite par le producteur Vincent Meyer, au cours du tournage du film La Répétition, de Catherine Corsini. Leur union se termine tragiquement par le suicide de Meyer, à Paris, alors que Béart présente, en compétition, Les Égarés d'André Téchiné au Festival de Cannes de 2003[20].

Elle a également vécu avec l'acteur français Michaël Cohen, qu'elle épouse civilement le , à Genappe, en Belgique. Ensemble, ils adoptent Surifel, un garçon éthiopien âgé de 8 mois. Ils divorcent en 2011[21].

Elle a trois enfants : Nelly, née en avril 1992, fille de Daniel Auteuil, et épouse du petit-fils de Simone Veil, Yohann, né en 1996 de sa relation avec David Moreau, et Surifel, né en 2009, adopté avec son mari Michael Cohen[22].

Au début des années 1990, elle a recours à une opération de chirurgie esthétique des lèvres dont le résultat est un désastre qu'elle assume non sans dignité : « J'ai fait refaire ma bouche à l'âge de 27 ans. Ce n'est un secret pour personne, c'est loupé[23]. » Se refusant à juger les personnes qui, comme elle, sont passées sous le scalpel, elle se dit en revanche devenue opposée à la chirurgie esthétique.

En , elle épouse son compagnon, le réalisateur, scénariste et directeur de la photographie Frédéric Chaudier[24].

Filmographie

Années 1970
Années 1980
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020

Courts métrages

Télévision

Clips

Théâtre

Distinctions

Récompenses

Nominations

Décorations

Jury de festival

Notes et références

  1. (en) « Emmanuelle Béart », IMDB (consulté le ).
  2. « Emmanuelle Béart : Ses bouleversantes révélations sur son père ! - France Dimanche », sur www.francedimanche.fr (consulté le ).
  3. Institut National de l’Audiovisuel- Ina.fr, « Emmanuelle Béart : son admiration pour Romy Schneider », sur Ina.fr (consulté le ).
  4. (en) « Emmanuelle Béart: 'Sometimes you feel more naked when you're totally », sur The Independent, (consulté le ).
  5. Madame Figaro, « Helena brille en Pilgrim », sur Madame Figaro, (consulté le ).
  6. 10 10 16 | par Proximus, « Emmanuelle Béart et la chirurgie esthétique: de la beauté naturelle au visage figé », sur www.proximus.be (consulté le ).
  7. « Emmanuelle Béart : "Le théâtre est une priorité" », Sceneweb, (lire en ligne).
  8. « Emmanuelle Béart », sur tns.fr (consulté le ).
  9. Prisma Média, « Emmanuelle Béart - La biographie de Emmanuelle Béart avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le ).
  10. « Les Ambassadeurs et Ambassadrices de l’UNICEF », Unicef.fr, 26 juin 2015.
  11. AlloCine, « Emmanuelle Béart représente l'UNICEF », sur AlloCiné (consulté le ).
  12. « DIOR SE SEPARE D'EMMANUELLE BEART », sur Le Soir (consulté le ).
  13. « 10 "people" engagés - Emmanuelle Béart et les sans-papiers », L'Internaute.com (consulté le 15 juin 2017).
  14. Philippe Martinat et Nathalie Segaunes, « Royal triomphe à Charléty », Aujourd'hui en France, , p. 4 (ISSN 1280-9144, lire en ligne).
  15. Firmine Richard, Ce qui t'est destiné, le courant ne l'emporte pas, Michel Lafon, (ISBN 978-2-7499-4337-4, lire en ligne).
  16. « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité : l’appel de 200 personnalités pour sauver la planète », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  17. Des personnalités du monde de la culture, « Gilets jaunes : nous ne sommes pas dupes  ! », Libération, (consulté le ) .
  18. Leandro Carvalho, « “Je vais voter pour vous” : quand Emmanuelle Béart a croisé son candidat favori à la présidentielle », gala.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  19. Telestar.fr, « Emmanuelle Béart, émue: son fils Yohann Moreau a 20 ans !... - Télé Star », sur www.telestar.fr, (consulté le ).
  20. Gérard Lefort, « Pour Emmanuelle. », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Malika Ménard en couple avec Michaël Cohen, l'ex-mari d'Emmanuelle Béart », sur Metronews.fr, (consulté le ).
  22. Closermag.fr, « Emmanuelle Béart mariée : qui sont ses trois enfants Nelly, Yohann et Surifel ? », Closermag.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Emmanuelle Béart : la chirurgie esthétique, "ça a été effroyable" », Le Monde.fr, 2 mars 2012.
  24. La rédaction, « Exclu – Vive la mariée : Emmanuelle Beart a épousé son compagnon, réalisateur, scénariste et directeur de la photographie Frédéric », Gala.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  25. « L'Étreinte », sur unifrance.org (consulté le ).
  26. « Les Arts et Lettres pour Emmanuelle Béart », sur Le Figaro.fr, .
  27. [PDF] « Ordre National de la légion d'honneur - Décret du 31 décembre 2015 portant promotion et nomination » (page 22), sur le site de la Présidence de la République Française (consulté le 17 juin 2017).
  28. « Emmanuelle Béart présidera le jury du 31e Dinard Film festival », sur France Info, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Olivier Guespin, Sous nos yeux : Missions d'Emmanuelle Béart, ambassadrice de l'Unicef dans le monde, Éditions Gallimard, 2004. (ISBN 2742412476 et 978-2742412471) [présentation en ligne]
  • Fabien Gaffez, Emmanuelle Béart, Nouveau Monde Éditions, 2005.
  • (en) Emmanuelle Béart et Sylvie Lancrenon, Cuba libre, Schirmer/Mosel Verlag GmbH, 2008.
  • Robert Belleret, Emmanuelle Béart, « Manu à la source » in Portraits sur le vif, Amazon, 2014.

Liens externes

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