Estirac

Estirac est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Basse, qui s’allonge dans la moyenne vallée de l’Adour, à l’endroit où le fleuve marque un coude pour s’orienter vers l’Aquitaine.

Estirac

Paysage dans les environs du village de Estirac

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Maryse Bordier
2020-2026
Code postal 65700
Code commune 65174
Démographie
Gentilé Estiracais
Population
municipale
105 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 51″ nord, 0° 01′ 57″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 169 m
Superficie 5,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubourguet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Estirac
Géolocalisation sur la carte : France
Estirac
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Estirac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Estirac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Adour, l'Estéous, l'Ayza et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de l'Adour ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Estirac est une commune rurale qui compte 105 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 212 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Maubourguet. .

    Ses habitants sont appelés les Estiracais.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Estirac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km de Maubourguet[2], bureau centralisateur du canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Maubourguet[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Caussade-Rivière (2,3 km), Sombrun (2,8 km), Villefranque (3,0 km), Maubourguet (3,2 km), Labatut-Rivière (3,4 km), Auriébat (4,5 km), Lascazères (4,8 km), Ladevèze-Ville (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Estirac fait partie du pays de Rivière-Basse, qui s’allonge dans la moyenne vallée de l’Adour, à l’endroit où le fleuve marque un coude pour s’orienter vers l’Aquitaine[4].

    Carte de la commune d'Estirac et des proches communes.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Adour, le Estéous, l'Ayza, le ruisseau du Vieil-Adour et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, se forme dans la vallée de Campan en Haute-Bigorre de la réunion de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne à Anglet, après avoir traversé 118 communes[8].

    Le Estéous, d'une longueur totale de 45,3 km, prend sa source dans la commune de Souyeaux et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Labatut-Rivière, après avoir traversé 29 communes[9].

    L'Ayza, d'une longueur totale de 27,5 km, prend sa source dans la commune de Montaner et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet à Hères, après avoir traversé 13 communes[10].

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'Océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Estirac.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[11].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de l'Adour »[13], d'une superficie de 2 694 ha, un espace où les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiée, avec la présence de la Loutre et de la Cistude d'Europe[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[15] : l'« ancienne gravière de Maubourguet » (11 ha), couvrant 2 communes du département[16] et « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-Pyrénées[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[15] : l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Estirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[I 2],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubourguet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Place du village.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,3 %), forêts (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 45[I 5].
    Parmi ces logements, 89.7  % sont des résidences principales, 6.2  % des résidences secondaires 4.1  % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D8, D59 et D259.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Estirac au nord de Maubourguet

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[22] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : du nom de personnage latin Asterius et suffixe -acum (propriété d’Asterius).
    Nom occitan : Estirac.

    Histoire

    Cadastre napoléonien d'Estirac

    Le plan cadastral napoléonien d'Estirac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[23].

    Politique et administration

    La mairie en 2016.
    Le foyer rural en 2016

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1795 Jean Peyrusse    
    1795 1797 Joseph Setze    
    1797 1807 Antoine Saint-Laurens    
    1807 1816 Joseph Coustère    
    1816 1832 Jean Ducos    
    1832 1849 Joseph Coustère    
    1849 1857 Jean Lartigue    
    1857 1867 Jacques Coustère    
    1867 1870 Pierre Latapie    
    1870 1871 Jean Lartigue    
    1871 1878 Pierre Latapie    
    1878 1883 Jean Lartigue    
    1883 1895 Honoré Lauga    
    1895 1911 Charles Lannussol    
    1911 1921 Ulysse Juston    
    1921 1922 Armand de Nabias    
    1922 1925 Anselme Dutrey    
    1925 1925 Gaston de Nabias    
    1925 1945 François Lagarde    
    1945 1965 Henri Setze    
    1965 1995 Armand de Nabias    
    mars 1995 mars 2014 Hélène Boisson    
    mars 2014 en cours Maryse Bordier    

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Lectoure, élection d'Armagnac, pays de Rivière-Basse, marquisat de Franclieu. Canton de Maubourguet (depuis 1790)[24].

    Intercommunalité

    Estirac appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en janvier 2017 et qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27]. En 2019, la commune comptait 105 habitants[Note 7], en augmentation de 3,96 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    150164168212201197199201194
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    189176176184179159148167165
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    168165128132135148145140113
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    87849494101104105101105
    2019 - - - - - - - -
    105--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[30].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8,6 %10,9 %11,3 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 62 personnes, parmi lesquelles on compte 75,8 % d'actifs (64,5 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 24,2 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Maubourguet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 10 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 41, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,6 %[I 10].

    Sur ces 41 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts municipal.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'une fleur de lys d'or et en pointe d'une grenouille du même, au chef cousu d'azur chargé d'un poisson d'argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Estirac » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Estirac et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Estirac et Maubourguet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Estirac », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman 1999, p. 362-363.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Estirac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « l'Adour »
    9. Sandre, « le Estéous »
    10. Sandre, « l'Ruisseau de Layza ou Ayza »
    11. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Estirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR7300889 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF l'« ancienne gravière de Maubourguet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    23. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d'Estirac en 1824
    24. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    25. « Liste des juridictions compétentes pour Estirac », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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