Ispagnac

Ispagnac est une commune française située dans le sud du département de la Lozère en région Occitanie.

Ispagnac

Le centre-ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes Gorges Causses Cévennes
Maire
Mandat
Gérard Pédrini
2020-2026
Code postal 48320
Code commune 48075
Démographie
Gentilé Ispagnacois
Population
municipale
897 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 17″ nord, 3° 32′ 11″ est
Altitude Min. 499 m
Max. 1 233 m
Superficie 53,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mende
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Florac Trois Rivières
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Ispagnac
Géolocalisation sur la carte : France
Ispagnac
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Ispagnac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Ispagnac
Liens
Site web www.ispagnac.fr

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Tarn, le ruisseau du Bramont et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (la « combe des Cades », les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente » et les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Ispagnac est une commune rurale qui compte 897 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 937 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Mende. Ses habitants sont appelés les Ispagnacois ou Ispagnacoises.

    Géographie

    Ispagnac.

    Localisation

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur-Camprieu », sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu, mise en service en 1998[7]et qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 428,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,9 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 310 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5 j

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[16].

    Les Cévennes sont également un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[17],[18].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[20] :

    • la « combe des Cades », d'une superficie de 304 ha, un habitat très rare pour la région Languedoc-Roussillon et pour les Cévennes en particulier. Le marais calcaire très riche au niveau floristique est installé sur un replat dans la zone de contact granite-grès-calcaire[21] ;
    • les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », d'une superficie de 10 493 ha, des habitats pour deux mammifères : la Loutre (Lutra lutra) et le castor[22] ;

    et un au titre de la directive oiseaux[20] :

    • les « gorges du Tarn et de la Jonte », d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de réintroduction de cette espèce[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    • les « Monts Chabrio et Chabrié » (833 ha), couvrant 3 communes du département[25] ;
    • les « rochers d'Ispagnac et de la Table » (280 ha)[26] ;
    • le « ruisseau du Bramont, de Nozières au moulin de Pradines » (34 ha)[27] ;
    • la « vallée du Tarn entre Florac et Saint-Chély » (312 ha), couvrant 6 communes du département[28] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :

    • le « causse de Sauveterre » (19 759 ha), couvrant 11 communes du département[29] ;
    • les « gorges du Tarn » (14 434 ha), couvrant 19 communes du département[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Ispagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[I 1],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mende, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,9 %), forêts (39,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5 %), terres arables (4,3 %), prairies (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (0,6 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune serait issu de celui d'un colon romain surnommé « Ispanus » (« L'Espagnol »), lequel aurait fondé une villa, puis le village, vers 50 av. J-C[34]. La terminaison du nom du village en « ac » semblerait confirmer cela : ce suffixe serait issu du gaulois « acos », latinisé en « acum », et désignerait des villas romaines autour desquelles les activités agricoles étaient pratiquées[35].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Ispagnac est membre de la communauté de communes Gorges Causses Cévennes[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Florac Trois Rivières. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Florac, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Florac Trois Rivières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[37].

    Liste des maires

    Liste des maires d'Ispagnac[38]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791   Louis-Alexandre Jourdan    
    1813   Jérome Lacombe[39]    
    1824 1848 Jean Louis Jaffard    
    1824 1848 Pierre Auguste Jaffard    
    1848 1856 Jules Jaffard    
    1856 1860 Antoine Saint-Pierre    
    1860 1870 Louis Amat    
    1870 1888 Louis Grégoire    
    1888 1892 Xavier Peyre    
    1892 1896 Louis Jourdan (homme politique)    
    1896 1904 Jules Laget    
    1904 1912 Xavier Grégoire    
    1912 1949 Jules Laget    
    1949 1964 Robert Barbot    
    1964 1971 Louis Atger    
    1971 2001 François Brager RPR Conseiller général de la Lozère (canton de Mende-Sud) de 1982 à 2001
    Président du conseil général de la Lozère de 1994 à 1998
    2001 mai 2018 (décès) Michel Vieilledent LR  
    juin 2018 En cours Guylène Pantel PS Conseillère départementale du canton de Florac (2015-)
    Sénatrice de la Lozère (2020-)

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

    En 2019, la commune comptait 897 habitants[Note 9], en augmentation de 2,99 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4051 7651 7691 8681 8851 8001 7671 9181 937
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8801 7951 7671 7111 7691 8621 8991 8151 688
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6211 6761 6701 5461 5111 5201 5111 016755
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    690600545598630759831834856
    2015 2019 - - - - - - -
    889897-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,7 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (35,2 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).

    En 2018, la commune comptait 413 hommes pour 480 femmes, soit un taux de 53,75 % de femmes, supérieur au taux départemental (50,04 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,2 
    90 ou +
    6,7 
    9,0 
    75-89 ans
    13,5 
    20,4 
    60-74 ans
    17,9 
    24,4 
    45-59 ans
    20,3 
    17,7 
    30-44 ans
    14,4 
    9,3 
    15-29 ans
    10,7 
    17,0 
    0-14 ans
    16,4 
    Pyramide des âges du département de la Lozère en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,6 
    9 
    75-89 ans
    11,8 
    20,4 
    60-74 ans
    20 
    22 
    45-59 ans
    20,6 
    16,6 
    30-44 ans
    16,4 
    15,1 
    15-29 ans
    13,6 
    15,9 
    0-14 ans
    15 

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 386 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 773 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 550 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 8]8,2 %9 %12,1 %
    Département[I 9]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 489 personnes, parmi lesquelles on compte 79,6 % d'actifs (67,5 % ayant un emploi et 12,1 % de chômeurs) et 20,4 % d'inactifs[Note 11],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Mende, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 228 emplois en 2018, contre 278 en 2013 et 271 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 336, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,3 %[I 12].

    Sur ces 336 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 124 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 81,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3 % les transports en commun, 15 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Culture locale et patrimoine

    Bâtiments et lieux publics remarquables

    • le vieux bourg (sentier d'interprétation et visite guidée sur demande à l'office du tourisme) ;
    • le château de Rocheblave près du hameau de Molines.

    Bâtiments religieux

    L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Autres

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Son blasonnement est : d'argent à un château de trois tours de gueules ouvert, ajouré et maçonné de sable.


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Ispagnac » (consulté le ).
    5. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ispagnac (48075) », (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Ispagnac » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Ispagnac » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Ispagnac » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ispagnac et Saint-Sauveur-Camprieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Ispagnac et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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