La Canourgue
La Canourgue (en occitan La Canorga) est une commune française, située dans l'ouest du département de la Lozère en région Occitanie.
Ne doit pas être confondu avec Place de la Canourgue.
La Canourgue | |
![]() L'Urugne. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Lozère |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn (siège) |
Maire Mandat |
Claude Malzac 2020-2026 |
Code postal | 48500 |
Code commune | 48034 |
Démographie | |
Gentilé | Canourgais |
Population municipale |
2 122 hab. (2019 ![]() |
Densité | 20 hab./km2 |
Population agglomération |
3 189 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 26′ 01″ nord, 3° 12′ 56″ est |
Altitude | Min. 521 m Max. 1 008 m |
Superficie | 104,29 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | La Canourgue (ville-centre) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de la Canourgue (bureau centralisateur) |
Législatives | Circonscription de la Lozère |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.la-canourgue.com |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Lot, l'Urugne, le ruisseau de Chardonnet, le ruisseau de la Felgeyre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « vallon de l'Urugne ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
La Canourgue est une commune rurale qui compte 2 122 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de La Canourgue. Ses habitants sont appelés les Canourguais ou Canourguaises.
La commune de La Canourgue est labellisée « Village étape » depuis 2006.
Géographie
Localisation
La commune est située dans le sud-ouest du département de la Lozère, dans le Gévaudan, sur l'Urugne (petit affluent du Lot) au pied du causse de Sauveterre que la commune occupe en grande partie.


Géologie
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Le sol est calcaire et un bloc échantillon est exposé dans le musée en plein air du géoscope de l'aire de la Lozere à la sortie 32 de l'autoroute A 75, la "méridienne" au niveau du village de Lagarde.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montagnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bertholene », sur la commune de Bertholène, mise en service en 1987[7]et qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 052,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,9 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « vallon de l'Urugne »[15], d'une superficie de 578 ha, l'un des principaux sites d'hivernage du grand Rhinolophe avec entre 40 et 75 individus. Seuls quatre sites principaux sont connus dans l'ex région Languedoc-Roussillon[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[17] : le « ruisseau de la Felgeyre » (24 ha), couvrant 2 communes du département[18], et le « ruisseau de Roumardiès » (11 ha), couvrant 2 communes du département[19] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[17] :
- le « contrefort sud de l'Aubrac » (14 299 ha), couvrant 10 communes du département[20] ;
- le « vallon de l'Urugne et corniches de Saint-Saturnin » (646 ha), couvrant 4 communes du département[21].
- Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à La Canourgue.
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
La Canourgue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Canourgue, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 3 189 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5],[I 6].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), prairies (15,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,3 %), terres arables (2,9 %), zones urbanisées (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par l'autoroute A75 ainsi que par la gare de Banassac - La Canourgue sur la ligne ferroviaire des Causses.
La commune se situe à la fois sur le parcours du sentier de grande randonnée 6 (GR6) et du GR 60 relevant à la fois du chemin de Saint-Guilhem et du sentier de grande randonnée de pays (GRP) "Tour du Causse de Sauveterre".
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme ecclesia Canonica en 1060[25] (une « église collégiale »). Le toponyme français est issu de l'occitan la canorga désignant une église de chanoines[25].
Histoire
Époque contemporaine
Le , les communes d'Auxillac, La Canourgue, La Capelle et Montjézieu fusionnent sous le régime de la fusion-association[I 7],[26].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Canourgue est membre de la communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn[I 8], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à La Canourgue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[27].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 8].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de La Canourgue pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 8], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[28].
Administration municipale
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2019, la commune comptait 2 122 habitants[Note 8], en diminution de 0,19 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (29,7 %) et le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,8 %) est comparable au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 1 048 hommes pour 1 098 femmes, soit un taux de 51,16 % de femmes, supérieur au taux départemental (50,04 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 845 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 867 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 890 €[I 10] (20 420 € dans le département[I 11]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 12] | 5,9 % | 8,5 % | 5,7 % |
Département[I 13] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 14] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 210 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 5,7 % de chômeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 10],[I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 15]. Elle compte 946 emplois en 2018, contre 1 015 en 2013 et 959 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 857, soit un indicateur de concentration d'emploi de 110,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,7 %[I 16].
Sur ces 857 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 409 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 76,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,2 % les transports en commun, 13,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments

- Le bourg est traversé par des canaux et a conservé un centre historique constitué de rues étroites et de bâtiments historiques.
- Château de Montjézieu, dans l'ancienne commune de Montjézieu.
- Dolmen de Chardonnet.
Édifices religieux
- La collégiale Saint-Martin de La Canourgue, du XIIe siècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1929. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[35].
- La chapelle Saint-Frézal, du XIIe siècle, abritant le tombeau (authentifié) de saint Frézal, un des premiers évêques de Lozère, mort assassiné en 828. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1984[36]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[36].
- L'église Saint-Martin de La Capelle. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1932[37].
- Chapelle de la Maison Sainte-Marie de La Canourgue.
- Chapelle Saint-Jean du Bedel de Montjézieu.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Montjézieu.
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul d'Auxillac.
Nées à La Canourgue
- Jean-Baptiste Charbonnier (1840 ou 1842-1888), père blanc, vicaire général du Tanganyika (actuelle Tanzanie) et évêque titulaire d'Utique.
- Céleste Albaret (1891-1984), domestique de Marcel Proust, née à Auxillac, commune aujourd'hui associée à La Canourgue.
- Joseph de Finance de Clairbois (1904-2000), prêtre jésuite et philosophe.
Liées à la commune
- Charles du Pont de Ligonnès (1845-1925), maire d'Auxillac, évêque de Rodez-Vabres.
- Jacques Blanc (né en 1939), homme politique, maire de La Canourgue, ancien sénateur de la Lozère, ancien secrétaire d'État, ancien président du conseil régional du Languedoc-Roussillon.
Gastronomie
La pouteille (à base de pieds de porc et de viande de bœuf) et les manouls (à base de tripes de mouton) sont deux spécialités culinaires de La Canourgue. Il existe même une Confrérie de la pouteille et du manouls.
Héraldique
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Le blasonnement de La Canourgue est : parti : au premier mi-parti d'azur aux deux fleurs de lys d'or, au second d'argent au lévrier de sable courant en bande, colleté d'or[38] Le lévrier de l'une des huit baronnies du Gévaudan, à savoir celle de Canilhac dont La Canourgue faisait partie[39].
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Voir aussi
Bibliographie
- Isabelle Darnas, Marie-Sylvie Grandjouan, Cantons de la Canourgue, Chanac, le Massegros, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, région Languedoc-Roussillon, coll. « Images du Patrimoine » no 142, 1995, (ISBN 2-907276-04-2)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de la Canourgue » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Commune de La Canourgue (48034). », sur Insee (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Canourgue » (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de La Canourgue (48034) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à la Canourgue » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à la Canourgue » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à la Canourgue » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bertholene - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Canourgue et Bertholène », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Canourgue », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101374 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1505.
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- D'après FranceGenWeb.org
- « Claude Malzac succède officiellement à Jacques Blanc », sur Midi Libre, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).
- « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Chapelle Saint-Frézal », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise de la Capelle », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « La Canourgue Lozère », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).
- Explications sur le site de la commune
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