Saint-Jory
Saint-Jory est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Cet article possède un paronyme, voir Saint-Jorioz.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Jory (homonymie).
Saint-Jory | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Toulouse Métropole | ||||
Maire Mandat |
Thierry Fourcassier 2020-2026 |
||||
Code postal | 31790 | ||||
Code commune | 31490 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Joryen, Saint-Joryenne | ||||
Population municipale |
6 383 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 334 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 44′ 35″ nord, 1° 22′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 105 m Max. 125 m |
||||
Superficie | 19,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Castelginest | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
| |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, la Garonne, le Girou, l'Hers-Mort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), deux espaces protégés (le « cours inférieur de la Garonne » et le « Ramier de Bigorre ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Jory est une commune rurale qui compte 6 383 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Joryens ou Saint-Joryennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1927.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Jory se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 7 km de Castelginest[2], bureau centralisateur du canton de Castelginest dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-Sauveur (2,6 km), Bruguières (3,9 km), Lespinasse (4,0 km), Castelnau-d'Estrétefonds (4,6 km), Gagnac-sur-Garonne (4,8 km), Cépet (5,0 km), Bouloc (5,1 km), Seilh (5,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Jory fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Saint-Jory est limitrophe de sept autres communes.
La Garonne sépare la commune de celle de Merville, en rive gauche ; l'Hers sépare la commune de celle de Saint-Sauveur, en rive droite, et Le Girou puis l'Hers séparent la commune de celle de Castelnau-d'Estrétefonds, en rive droite.
Géologie et relief
La commune de Saint-Jory est établie sur la première terrasse de la Garonne, dans la plaine toulousaine de la Garonne.
La superficie de la commune est de 1 910 hectares ; son altitude varie de 105 à 125 mètres[6].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Garonne, le Girou, l'Hers Mort, le ruisseau de nauze geaune et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].
Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens (81) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans l'Hers-Mort sur le territoire communal, après avoir traversé 31 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[16] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,8 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
- le « cours inférieur de la Garonne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 452,7 ha[23] ;
- le « Ramier de Bigorre », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 119,5 ha[24].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[26] :
- « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[27]
et un au titre de la directive oiseaux[26] :
- la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac », d'une superficie de 4 493 ha, hébergeant une avifaune bien représentée en diversité, mais en effectifs limités (en particulier, baisse des populations de plusieurs espèces de hérons). Sept espèces de hérons y nichent, dont le héron pourpré, ainsi que le Milan noir (avec des effectifs importants), l'Aigle botté, le Petit gravelot, la Mouette mélanocéphale, la Sterne pierregarin et le Martin-pêcheur[28].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[29] : les « gravières de Saint-Caprais et de la Gravette » (233 ha), couvrant 3 communes du département[30] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[29] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[32].
Urbanisme
Typologie
Saint-Jory est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[I 2],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), zones urbanisées (20,1 %), terres arables (15,1 %), eaux continentales[Note 10] (7,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Voies de communication
Accès par l'autoroute A62, sortie 11 Saint-Jory-Grenade.
Transports
- La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Saint-Jory, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Montauban-Ville-Bourbon, Cahors et Brive-la-Gaillarde.
- La ligne TAD 105 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station La Vache du métro de Toulouse, la ligne 372 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Larra, la ligne 377 relie la commune à la gare routière de Toulouse également depuis Grisolles, et la ligne 848 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et au centre-ville de Montauban.
- La commune est traversée par le canal latéral à la Garonne avec une écluse (Ecluse N° 6).
Voir aussi Triage de Saint-Jory.
Histoire
Saint-Jory fut sous la domination de très puissantes familles. Pas un personnage de la cour ne venait en Languedoc sans s'arrêter dans son magnifique château[Lequel ?]. En 1603, Henri IV érigea la châtellenie en baronnie[Laquelle ?].
Avant 1222, Saint-Jory se trouvait sous la domination des comtes de Toulouse. Mais leurs vassaux, pillèrent l'église.
Au XIIIe siècle, Hugues, sénéchal de l'Agenais, prit position pour les Albigeois : il défendit Toulouse et Penne-d'Agenais, sous la conduite du comte de Lancastre, et dévasta Saint-Jory en se rendant à Toulouse.
Le XVe siècle vit le début d'une série de luttes et de procès entre le village et la famille des Garrigia de Villeneuve. Les villageois se révoltèrent contre Jean de Garrigia, et ce n'est qu'au XIXe siècle que cessèrent les procès.
Sous la domination des Du Faur, un magnifique château[Lequel ?] Renaissance fut construit. En 1569, les guerres de religion le ruinèrent, lui et l'église.
Ensuite vint la Révolution, et avec le XIXe siècle ses transformations, ses plans d'aménagements.
Territoire communal
Le territoire de l'ancienne commune de Novital-Viguerie, supprimée en 1846, est partagé entre Saint-Jory et Lespinasse[36]. Le lieu-dit « la Viguerie » est rattaché à Lespinasse tandis que « Novital » et son château se rattachent à Saint-Jory.
Héraldique
|
Les armes de Saint-Jory se blasonnent ainsi : « D'or au croissant de sinople ».
|
---|
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[37],[38].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du canton de Castelginest (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Jory faisait partie de l'ex-canton de Fronton).
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40]. En 2019, la commune comptait 6 383 habitants[Note 11], en augmentation de 13,23 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[43] | 1975[43] | 1982[43] | 1990[43] | 1999[43] | 2006[44] | 2009[45] | 2013[46] |
Rang de la commune dans le département | 28 | 35 | 40 | 43 | 38 | 37 | 40 | 39 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 469 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 6 078 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 370 €[I 8] (23 140 € dans le département[I 9]). 53 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (55,3 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 4,6 % | 7,6 % | 8,4 % |
Département[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 962 personnes, parmi lesquelles on compte 80,5 % d'actifs (72,1 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 19,5 % d'inactifs[Note 14],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 13]. Elle compte 2 185 emplois en 2018, contre 1 897 en 2013 et 1 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 874, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 68,1 %[I 14].
Sur ces 2 874 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 525 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Secteurs d'activités
552 établissements[Note 15] sont implantés à Saint-Jory au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 552 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 33 | 6 % | (5,7 %) |
Construction | 84 | 15,2 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 170 | 30,8 % | (25,9 %) |
Information et communication | 11 | 2 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 25 | 4,5 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 17 | 3,1 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 94 | 17 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 70 | 12,7 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 48 | 8,7 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (170 sur les 552 entreprises implantées à Saint-Jory), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :
- Jardel Services, location de camions avec chauffeur (142 090 k€)
- Bessac - CSM Bessac, construction et entretien de tunnels (64 227 k€)
- Transports Pech, transports routiers de fret interurbains (27 940 k€)
- DDS, affrètement et organisation des transports (22 677 k€)
- M D Transports, transports routiers de fret interurbains (21 811 k€)
- Le triage de Saint-Jory : la gare de triage de Saint-Jory est la principale gare de triage SNCF de Toulouse et l'une des trois plus grandes d'Europe. La zone dite du triage de Saint-Jory se situe en réalité à 3 km plus au sud, sur la commune de Lespinasse.
Agriculture
La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 154 | 89 | 54 | 39 |
SAU[Note 18] (ha) | 956 | 673 | 859 | 1 010 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 154 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 89 en 2000 puis à 54 en 2010[50] et enfin à 39 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 75 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[51],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 956 ha en 1988 à 1 010 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 26 ha[50].
Vie locale
Enseignement
Saint-Jory fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par les écoles maternelles du Lac, et du Canal des deux mers, par les écoles élémentaires Georges Brassens et Jean de la fontaine, par un collège public, ainsi que par l’établissement privé Sainte-Geneviève.
Histoire du club de football
Le premier club de football de la commune fut créé en 1923 par Charles Sire, ce qui en fait une des plus anciennes formations de la Ligue de Midi-Pyrénées de football. Dans les années cinquante, apparaissent deux clubs de football, le Sporting et L’Étoile. Ils s’affrontèrent des années durant pour être chacun à leur tour les meilleurs, avant de fusionner en 1968 et donner naissance à l’Entente Sporting Étoile de Saint-Jory. Le club devint une pépinière de jeunes footballeurs qui évolueront au niveau régional en glanant plusieurs titres : champion des Pyrénées en 1953, champion junior en 1970, champion d'Excellence en 1982-1983 (et montée en Ligue régionale).
Saison 2008-2009
À titre indicatif, les effectifs lors de la saison 2008/2009 sont : 192 licenciés, 43 seniors et 24 vétérans, 20 joueurs 18 ans, 15 joueurs 15 ans et 15 joueurs 13 ans (dont une féminine), 19 benjamins, 21 poussins (dont 1 féminine) et 14 débutants (dont 1 féminine). Le club est animé par 7 dirigeantes, 12 dirigeants, 5 éducateurs fédéraux et 3 éducateurs en cours de formation. L'équipe première évolue en promotion première division et la réserve en troisième division. Les trois équipes de jeunes, qui sont de création récente, évoluent en championnat brassage. Les benjamins défendent leurs couleurs en promotion honneur. Les poussins alignent depuis deux ans une équipe en niveau A et une deuxième en championnat de première année. Les débutants, quant à eux, comptent une équipe en niveau B et une deuxième en niveau C.
Judo
Le Judo club de Saint-Jory a formé plus d'une dizaine de ceintures noires depuis sa création, Le club représente la ville de Saint-Jory au niveau national avec des participations aux championnats de France de judo. Ce club formateur, propose multitudes d'activités, comme le ju jitsu, le renforcement musculaire, taiso, arbitrage et culture judo[52].
Tennis
le tennis club saint-jory dispose de 2 terrains couverts et 2 terrains extérieurs. l'effectif du club est de 192 licenciés sur l'année 2019/2020.
Rugby à XIII fauteuil
La ville possède un club de rugby à XIII fauteuil : le club dispute le championnat de première division de la discipline. Surnommés « les Toros », ils font le doublé coupe de France- championnat en 2017[53] La commune est parfois le lieu de matchs exhibitions de l'équipe de France : elle accueille ainsi un match au gymnase municipal au mois de [54].
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[55].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Saint-Jory construit par Nicolas Bachelier inscrit en 1927 aux monuments historiques.
- L'église Saint-Georges, de style gothique, construite au XVIe siècle (de 1527 à 1596) dont l'extérieur a été restauré en 2013[56],[57].
- Le monument aux morts
- Buste de Pie VII[58].
- Chapelle Notre-Dame de Beldou.
- L'église Saint-Georges.
- La façade.
- Le clocher mur.
- Le monument aux morts.
- Chapelle Notre-Dame de Beldou
- Château de Saint-Jory construit à partir de 1545 par Nicolas Bachelier pour le juge-mage de Toulouse Michel du Faur.[59]
Personnalités liées à la commune
- Raymond VI de Toulouse
- Henri Célié
- Marie-Louise de Losse, baronne de Saint-Jory, mère de Jean-Baptiste Cyrus de Timbrune de Thiembronne.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Jory » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Saint-Jory » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jory et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jory et Castelginest », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Jory », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Jory », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Garonne »
- Sandre, « le Girou »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Toulouse-Blagnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Jory et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Jory », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7312014 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Jory », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gravières de Saint-Caprais et de la Gravette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Novital-Viguerie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020 (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Entreprises à Saint-Jory », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Jory - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Judo club Saint Jory », sur judosaintjory.sportsregions.fr (consulté le ).
- « Rugby à XIII fauteuil : doublé coupe-championnat pour le TO-Saint-Jory », sur ladepeche.fr, La dépêche du Midi, (consulté le ).
- Ch.H., « Saint-Jory. Quand le rugby à XIII transcende le handicap », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- http://www.mairie-brax31.fr/fr/le-village-pratique/collecte-des-dechets.html
- « Horaires », sur Eglise info (consulté le ).
- Eglise Saint-Georges - Eglises et patrimoine religieux de France
- « Accueil - Ville de Saint-Jory », sur Ville de Saint-Jory (consulté le ).
- « Fiche Mérimée PA00094463 », sur Ministère de la Culture (consulté le ).
Annexes
Bibliographie
- Guilhamot, Saint-Jory, monographie communale par Guilhamot, , 78 p. (lire en ligne).