Rocroi
Rocroi est une commune française située dans le département des Ardennes, en région Grand Est.
Pour le fromage, voir Rocroi (fromage).
Rocroi | |
Vue de Rocroi. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Ardennes |
Arrondissement | Charleville-Mézières |
Intercommunalité | Communauté de communes Vallées et Plateau d'Ardenne (siège) |
Maire Mandat |
Denis Binet 2020-2026 |
Code postal | 08230 |
Code commune | 08367 |
Démographie | |
Gentilé | Rocroyens [1] |
Population municipale |
2 283 hab. (2019 ) |
Densité | 45 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 55′ 34″ nord, 4° 31′ 20″ est |
Altitude | Min. 120 m Max. 391 m |
Superficie | 50,41 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Rocroi (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.rocroi.fr/ |
Décidée par le roi François Ier, la construction des fortifications de Rocroy a vu le jour sous Henri II à partir de 1555. Rocroy est l'exemple d'une première fortification rasante. Né de l'imagination des ingénieurs militaires Italiens, son urbanisme étoilé (radioconcentrique) est unique en France. Vauban interviendra un siècle et demi plus tard pour n'apporter que quelques améliorations et intégrer Rocroy dans son célèbre « pré carré ». Elle a marqué l'histoire notamment lors de la bataille de Rocroi le , opposant Français et Espagnols lors de la guerre de Trente Ans.
Elle porta le nom de Roc-Libre (ou Roclibre) durant la Révolution française.
Les habitants sont les Rocroyens et les Rocroyennes.
La commune est labellisée Village étape depuis 2012.
En février 2021, Rocroi remporte le Tournoi des Villages Français organisé par la page Facebook "La Garde du Patrimoine"[2].
Géographie
Localisation
La commune est limitrophe de la Belgique dont la frontière est à 2,5 kilomètres au nord de la ville. Rocroi est à 28 kilomètres au nord-ouest du chef-lieu du département, Charleville-Mézières, et à 60 kilomètres au sud de la ville belge de Charleroi.
Le territoire communal s'étend sur une superficie de 5 041 hectares et le point culminant de la commune s'élève à 391 mètres.
Communes limitrophes
Gué-d'Hossus | Couvin ( Belgique) |
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Taillette | N | Fumay | ||
O Rocroi E | ||||
S | ||||
Sévigny-la-Forêt | Bourg-Fidèle | Les Mazures |
Les communes limitrophes sont :
- Taillette (à l'ouest)
- Gué-d'Hossus (au nord)
- Brûly (Belgique, au nord)
- Fumay (à l'est)
- Revin (à l'est)
- Les Mazures (au sud-est)
- Bourg-Fidèle (au sud)
- Le Châtelet-sur-Sormonne (pointe sud)
- Sévigny-la-Forêt (au sud)
- Petite-Chapelle (au nord)
Géologie
Rocroi est située sur un plateau, appelé, de façon éponyme, plateau ou "Massif" de Rocroi. Il s'agit en fait d'une structure paléozoïque, à dominante cambrienne, composée de roches dures. Cette structure, large d'une vingtaine de kilomètres en direction nord-sud et longue d'une cinquantaine de kilomètres en direction est-ouest, est recoupée par la frontière belge.
Urbanisme
Typologie
Rocroi est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rocroi, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 2 856 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,4 %), prairies (27,5 %), zones urbanisées (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %), terres arables (0,5 %), eaux continentales[Note 2] (0,5 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Le nom de Rocroi signifie la croisée (le carrefour) de Raoul, un ancien seigneur du lieu au XIIIe siècle. Au XVIIe siècle, quand Louis XIII acheta la quasi-totalité de la seigneurie de Rocroi en 1614, on inventa une étymologie plus conforme au nouveau statut de la ville, pour en faire la Roche du Roy, Roc-Roy, si bien que sous la Révolution française, elle fut renommée Roc-Libre[réf. nécessaire][style à revoir].
Histoire
Jusqu’au XVIIe siècle
En 1545, François Ier demande à Girolamo Marini, commissaire-général des fortifications de Champagne, de fortifier la frontière de Champagne. Il construit un petit fort près du village de Roulcroix.
Charles Quint décide de construire le fort de Charlemont, à Givet en 1552, Henri II répond en faisant édifier l'enceinte de Rocroi la même année. Elle est terminée en 1556. La ville a été construite en étoile avec cinq bastions avec orillons. Rabutin décrit la place comme « un pentagone à cinq fronts, couverte et défendue de quatre gros boulevards garni de leurs flancs, cassemattes et platte-formes, et vieil fort qui fait le cinquième ». Le vieux fort est probablement le fortin construit par Marini, transformé en bastion appelé bastion du Petit-Fort ou bastion du Roy. La construction a été confiée à un maître maçon de Senlis, Loys Lenthe, par le maréchal de Bourdillon. À l'origine, l'enceinte n'était pas maçonnée. La ville est assiégée par les Espagnols en 1556 et 1559, sans succès. Le gouverneur de Champagne, François de Clèves avait fait renforcer les défenses en urgence. La place est prise par les protestants de Sedan le . Ils la vendent au duc de Guise. Le roi Louis XIII la rachète en 1614. Le plan initial a été conservé mais les bastions ont été modifiés quand des demi-lunes ont été ajoutées. Le bastion du Roi est retranché de la ville par un fossé pour devenir une citadelle. Les escarpes sont alors revêtues de maçonnerie[13].
En 1597, Philibert Le Danois, seigneur de Geoffreville (hameau de l'actuelle commune de Novion-Porcien), devint gouverneur de Rocroi puis la famille Le Danois de Joffreville conserva cette charge[14].
C'est au cours du siège de Rocroi par les Espagnols, commandés par Francisco de Melo, qu'eut lieu la fameuse bataille de Rocroi, le , qui vit la victoire des Français sur les Espagnols. Le chef de l'armée royale française, le duc d'Enghien, plus tard appelé le Grand Condé, révéla ici tout son génie militaire, alors qu'il était seulement âgé de 22 ans. Cette victoire fut décisive dans la guerre de Trente Ans (1618-1648) : elle marqua le retour de la France sur la scène internationale après un siècle de défaites et de guerres civiles.
Dix ans plus tard, le même Condé, qui commandait alors les Espagnols, prit cette ville pour eux, en 1653, mais elle fut rendue à la France en 1659, par la paix des Pyrénées.
Vauban remanie la place à partir d'. Les remparts sont maçonnés extérieurement. Un arsenal est bâti en 1692. Rocroi fait alors partie de la deuxième ligne du Pré carré[15].
Du XVIIIe siècle à nos jours
Du début de 1793 au sont annexés au département des Ardennes 36 villages « belges » de l’Entre-Sambre-et-Meuse (en fait de la principauté de Liège, pour la plupart — Philippeville et Mariembourg étant déjà deux villes françaises) des cantons de Couvin, Philippeville et Givet (ici, deux municipalités seulement) et qui dépendront de l'arrondissement de Rocroi. Après le traité de Paris (1814) , on y ajoute les cantons de Chimay et de Walcourt[16].
Ces communes qui seront françaises 22 ans sont Aublain, Boussu-en-Fagne, Cerfontaine, Couvin, Dailly, Doische, Dourbes, Fagnolle, Frasnes-lez-Couvin, Gimnée, Gonrieux, Jamagne, Jamiolle, Le Mesnil, Mariembourg, Matagne-la-Grande, Matagne-la-Petite, Mazée, Merlemont, Neuville, Nismes, Niverlée, Oignies, Olloy-sur-Viroin, Pesche, Petigny, Philippeville, Roly, Romerée, Samart, Sart-en-Fagne, Sautour, Senzeilles, Treignes, Vaucelles, Vierves, Villers-Deux-Églises, Villers-en-Fagne[17].
En 1815, à la fin de l'épopée napoléonienne, la ville est assiégée par les troupes prussiennes, défendue à 400 contre 10 000, et en grande partie par les miliciens. Elle se rend par manque de vivres ayant obtenu les honneurs de la guerre.
Durant la guerre franco-allemande de 1870, la ville de Rocroi est une place forte. Elle est investie le [18].
Des travaux sont encore faits sur l'enceinte de Rocroi entre 1879 et 1886. La place est déclassée définitivement en 1888 lors de la « crise de l'obus-torpille ».
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se était de 1801 à 1926 le chef-lieu de l'arrondissement de Rocroi du département des Ardennes, année où cet arrondissement a été supprimé et la ville rattachée à l'arrondissement de Charleville-Mézières. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la deuxième circonscription des Ardennes.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Rocroi[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 14 à 33. communes.
Intercommunalité
La ville était le siège de la petite communauté de communes Val et Plateau d'Ardenne, créée fin 2003, et qui fusionna avec sa voisine pour créer, le , la communauté de communes Portes de France.
Celle-ci n'atteignant pas le seuil de 15 000 habitants prescrit par la Loi NOTRe du fusionner avec la communauté de communes Meuse et Semoy pour former, le , la communauté de communes Vallées et Plateau d'Ardenne dont Rocroy est désormais le siège.
Liste des maires
Environnement
Rocroi a adhéré à la charte du parc naturel régional des Ardennes, à sa création en [28].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2019, la commune comptait 2 283 habitants[Note 3], en diminution de 4,6 % par rapport à 2013 (Ardennes : −3,68 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Équipements culturels
- L'Harmonie municipale de Rocroi. Des salles pour les associations dans le bastion du Dauphin.
Sports
Rocroi dispose :
- d'une piscine intercommunale, le Centre aquatique du Nord-Ouest Ardennais
- d'un Tennis Club
- d'un club de football, l'Association sportive Bourg Rocroi (ASBR)
- d'une section tennis de table au sein de l'US Rocroi
- d'un centre de tir 10 m, 25 m, 50 m. Une formation pour les jeunes est assurée.
- d'une salle de musculation et fitness
- d'un club sportif de marche, VTT, vélo route, course à pied : Rocroy sports nature. Organisation d'une course d'orientation, 3 h de VTT, d'un trail, d'une corrida et d'un bike et run.
Économie
Grâce à son riche patrimoine historique, la commune accueille chaque année près de 40 000 visiteurs[32].
Histoire agricole
Pays de terres pauvres, le type d'agriculture pratiquée jusqu'à la première moitié du XXe siècle était le sart. Archétype étudié en géographie rurale, il s'agit d'une rotation agro-sylvo-pastorale d'environ 20 ans, on pratiquait ainsi :
- Écorçage du bois arrivé à maturité et vente de l'écorce aux tanneries ;
- Coupe rase et vente du bois de taillis ;
- On brûle les reliquats de végétation à "l'étouffé", vers la fin du printemps. Cette pratique est à l'origine des fameux « brouillards puants » ou « brouillards de Rocroi ».
- Semis de seigle dans les jours qui suivent, avec respect des souches qui doivent rejeter et former des cépées.
- Récolte du seigle l'année suivante.
- On laisse les genêts proliférer 4-5 ans (plantes légumineuses, apportant de l'azote). Les taillis sont mis en défens, pour éviter que les animaux ne détruisent les rejets de souche.
- Les genêts sont coupés et donne du fourrage, de la litière.
- Après un certain temps, la pâture est autorisée dans les taillis.
- Au bout de 20 ans, le taillis est prêt pour une nouvelle coupe[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le musée de la bataille de Rocroi, situé dans un ancien corps de garde ;
- Les fortifications classées au titre de monument historique[34] ;
- L’église Saint-Nicolas, construite en 1844, où se trouve une peinture Le Christ au tombeau de Victor Mottez (1809-1897), offerte par Napoléon III[35].
- Célébration du bicentenaire du siège de la ville.
- La mairie.
- et un cavalier espagnol.
- Fortifications.
- Halle.
- Place du Luxembourg.
Personnalités liées à la commune
- Fiacre Bouillon (1765-1795), pâtre devenu poète, est né et mort dans la commune.
- Marie-Catherine Monge, née Huart (1747-1846), comtesse de Péluse, épouse de Gaspard Monge, y est née.
- Jean-Baptiste Tholmé (1753-1805), général des armées de la République y est né.
- Jean René Moreaux (1758-1795), général de la Révolution, est né dans la commune.
- Anne Pierre Nicolas de Lapisse (1773-1850), officier du génie, y est né.
- Les trois frères Moreaux, artistes peintres nés tous trois à Rocroi : René (1807-1860) qui fut élève d'Antoine-Jean Gros, Charles Florent Léon (1815-1891) et Auguste (1817-1877). René et Auguste ont émigré au Brésil et sont morts à Rio de Janeiro. Le musée de Versailles conserve deux tableaux de Charles dont : Portrait de Jean René Moreaux, général en chef de l'armée de Moselle[36].
- Auguste Warnier (1810-1875), médecin, préfet puis député d'Alger, y est né.
- Théophile Armand Neveux (1824-1893), parlementaire français sous la IIIe République, président du conseil général des Ardennes et maire de Rocroi.
- Colonel Canard (1824-1894), gouverneur du Sénégal, est né dans la commune.
- Eugène Alfred Jacquemart (1836-1894), homme politique français et officier de l'instruction publique
- Arthur Chuquet (1853-1925), historien français
- Jean Charles Eugène Bordereaux (1869-1942), général de brigade, gouverneur militaire de Verdun.
- Chéri Hérouard (1881-1961), illustrateur et dessinateur de presse
- Andrée Vienot (1901-1976), femme politique, secrétaire d'État, maire de Rocroi.
- Paul Royaux (1908-1944), garçon coiffeur, né à Rocroi, fusillé par condamnation le au fort de Bondues[37].
Héraldique
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Les armes de Rocroi se blasonnent ainsi : Le blason de la commune est celui des anciens seigneurs de Rocroi. L'écu est timbré d'une couronne murale.
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Voir aussi
Bibliographie
- Franck Lechenet, Plein Ciel sur Vauban, Éditions Cadré Plein ciel, (ISBN 978-2-9528570-1-7), pages 190 à 191.
- Alain Sartelet, Xavier de Massary - La place forte de Rocroi - Éditions Dominique Guéniot ("Parcours du patrimoine" no 327) - Langres - 2008 - (ISBN 978-2-87825-407-5)
- André Lépine, Les notables communaux de l’arrondissement de Rocroi en l’an IX, Cahier du Musée de Cerfontaine (Belgique) n° 247, 36 pages A4, 2001.
- André Lépine, Le rattachement à la France du district de Couvin en 1793, cahier du Musée de Cerfontaine n° 246, 31 pages A4, 2002.
Articles connexes
Liens externes
- Rocroi sur le site de l'Institut géographique national
- Office de tourisme de Rocroi
- « Dossier complet : Commune de Rocroi (08367) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- https://www.habitants.fr/ardennes-08
- Marie-Line Fournier, « Ardennes : Rocroi triomphe d’un tournoi sur les réseaux sociaux, entre les plus beaux villages de France », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rocroi », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du patrimoine Champagne Ardenne, p. 314-315, Hachette. Paris, 1995 (ISBN 978-2-010209871)
- Laurent Bourquin, Noblesse seconde et pouvoir en Champagne aux XVIe et XVIIe siècles, Paris, Éditions de la Sorbonne, coll. « Histoire moderne » (no 27), , 333 p. (ISBN 978-2-85944-845-5, lire en ligne)
- Les fortifications de Vauban : Rocroi
- André Lépine,, Le rattachement à la France du district de Couvin en 1793, cahier du Musée de Cerfontaine (Belgique) n° 246, , 31 p.
- André Lépine, Les notables communaux de l’arrondissement de Rocroi en l’an IX, Cahier du Musée de Cerfontaine (Belgique) n° 247, , 36 p.
- François Roth, La guerre de 70, Fayard, , 404 p. (ISBN 978-2-213-02321-2)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les élections législatives, les résultats complets » dans Le XIXe siècle du 24 septembre 1889
- « Nécrologie » dans Le XIXe siècle du 9 mars 1904
- "Les élections municipales" dans Le Gaulois du 5 mai 1925
- Il est démissionnaire en 1914 ("Démission du maire de Rocroi dans La Croix du 14 février 1914) et 1923 ("Démission du maire de Rocroi" dans Le Petit Parisien du 27 juin 1923). Son conseil municipal démissionne en 1920 ("En quelques mots" dans Le XIXe siècle du 8 décembre 1920).
- Almanach Matot-Braine de 1928, troisième partie p93
- Bulletin de la Société française de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer d'avril 1933
- « Michel Sobanska a été nommé maire honoraire », La Semaine des Ardennes, no 240, , p. 18
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926593/21598912
- Création du PNR des Ardennes
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- L'Ardennais no 21133, Cahier central.
- GALOCHET Marc (dir), La forêt, ressource et patrimoine, Paris, Ellipses, Coll. Carrefour, 2006, 272 p.
- « ensemble fortifié », notice no PA00078491, base Mérimée, ministère français de la Culture
- "Rocroi / Dans l'église Saint-Nicolas Un tableau offert par l'Empereur", L'Union-L'Ardennais, 11 août 2013
- Yveline Cantarel-Besson, Claire Constans et Bruno Foucart, Napoléon. Images et histoire. Peintures du chateau de Versailles, Réunion des musées nationaux, , p. 327
- http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article167693, notice ROYAUX Paul, Ernest [Pseudonymes dans la Résistance : Ernest DUVAL, Max] par Frédéric Stévenot, Julien Lucchini, Laurent Thiery, Philippe Lecler, version mise en ligne le 17 novembre 2014, dernière modification le 20 avril 2017.
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