Lacaze (Tarn)

Lacaze [la.'kazə] (La Casa en occitan [la 'kaz]) est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Lacazois (los Casòls en occitan). Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lacaunais, un ensemble de plateaux où l'élevage de brebis laitières est prépondérant.

Pour les articles homonymes, voir Lacaze.

Lacaze

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux
Maire
Mandat
Alain Ricard
2020-2026
Code postal 81330
Code commune 81125
Démographie
Gentilé Lacazois
Population
municipale
310 hab. (2019 )
Densité 6,7 hab./km2
Population
agglomération
318 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 21″ nord, 2° 31′ 15″ est
Altitude 450 m
Min. 392 m
Max. 805 m
Superficie 46,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Hautes Terres d'Oc
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lacaze
Géolocalisation sur la carte : France
Lacaze
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Lacaze
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Lacaze
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Dadou, le Gijou, le Bertou, le Limes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Lacaze est une commune rurale qui compte 310 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 2 586 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Lacazois ou Lacazoises.

    En 2015, Lacaze a obtenu le 1er prix national des "Rubans du Patrimoine" pour son exceptionnelle restauration et réhabilitation du château des Bourbon-Malause et, depuis 2018, le village a reçu l'homologation "Petite Cité de Caractère".

    Géographie

    Localisation

    Commune du Massif central située dans les monts de Lacaune sur le Gijou.

    Cette petite cité de caractère s'est construite dans un méandre de la rivière Gijou, à l'intérieur d'un cirque montagneux et sur une langue rocheuse centrale surélevée, comportant son église et son château rénové, devenu le pôle culturel de la communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux.

    Communes limitrophes

    Au nord-ouest, au nord de Rayssac, la commune de Paulinet n'est qu'à 200 mètres du territoire communal[1].

    Voies de communication et transports

    La ligne 766 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Castres et à Lacaune.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Dadou, le Gijou, le Bertou, le Limes, le Favel, le ravin de la Quintaine, le ruisseau de Boudène, le ruisseau de Font Frège, le ruisseau de Font Grésal, le ruisseau de Gréziès, le ruisseau de la Griffoulière, le ruisseau de Magnès, le ruisseau de Peyre, le ruisseau de Réveillargues, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 55 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    Le Dadou, d'une longueur totale de 115,8 km, prend sa source dans la commune de Saint-Salvi-de-Carcavès et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Ambres, après avoir traversé 23 communes[4].

    Le Gijou, d'une longueur totale de 50 km, prend sa source dans la commune de Lacaune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Vabre, après avoir traversé 6 communes[5].

    Le Bertou, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune de Gijounet et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Gijou à Vabre, après avoir traversé 6 communes[6].

    Le Limes, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Viane, aux abords du hameau du Boulayre, et s'écoule vers le sud-ouest. Il se jette dans le Girou à Lacaze[7].

    Réseaux hydrographique et routier de Lacaze.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 154 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacaune », sur la commune de Lacaune, mise en service en 1949[13] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 408,9 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 39 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[17] à 13,8 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].

    La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[21]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[22],

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[24], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[25].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[26] : la « rivière Gijou amont » (274 ha), couvrant 5 communes du département[27], et la « vallée du Gijou de Lacaze à Bézergues et vallée de l'Agoût de Bézergues à la Vergne » (6 257 ha), couvrant 7 communes du département[28] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : la « vallée de l'Agoût de Brassac à Burlats et vallée du Gijou » (15 868 ha), couvrant 17 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Lacaze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[I 1],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,6 %), zones agricoles hétérogènes (27,4 %), prairies (9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Château.

    Histoire

    Village homologué "Petites cités de caractère" Inauguration en 2018
    Chateau et expositions réceptions colloques etc

    La communauté de Lacaze de Sénégas faisait partie de la sénéchaussée de Carcassonne et du diocèse de Castres. Les anciennes paroisses étaient : Notre-Dame de Lacaze, Saint-Jean del Frech, Saint-Michel de Léon, Saint-Pierre de Combejac, Saint-Sever de Lacaze.

    • En 1790, la commune de Lacaze est rattachée au canton de Viane et au district de Lacaune.
    • En l'an X, la commune passe dans le canton de Vabre et ne subsistent que trois paroisses : Notre-Dame de Lacaze, Saint-Jean del Frech, Saint-Pierre de Combejac. La paroisse de Saint-Michel de Léon sera rétablie le .
    • 1818 : le hameau du Pujol passe de Viane à Lacaze. La limite est fixée au Gijou.
    • 1963 : le hameau de Fraissinel faisant partie de la paroisse de Saint-Paul de Massuguiès est cédé à la commune du Masnau-Massuguiès[33].

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'or au pal bretessé de sable.


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 juin 1995 Louis De Villeneuve    
    juin 1995 mars 2001 Jacques Bonafé    
    mars 2001 mars 2008 Louis De Villeneuve    
    mars 2008 mars 2014 Michel Madern    
    mars 2014 mai 2020 Guy Sablayrolles    
    mai 2020 En cours Alain Ricard[34]    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38]. En 2019, la commune comptait 310 habitants[Note 8], en augmentation de 4,03 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0741 6231 9042 3012 3652 4522 5202 5862 427
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3042 3312 3102 0022 0782 0952 1562 1431 974
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8811 8801 8761 5241 2841 1451 125967772
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    587484428432360342337322312
    2014 2019 - - - - - - -
    296310-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 153 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 302 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 740 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6,2 %7,1 %11,2 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 158 personnes, parmi lesquelles on compte 68,9 % d'actifs (57,8 % ayant un emploi et 11,2 % de chômeurs) et 31,1 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 62 emplois en 2018, contre 85 en 2013 et 86 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 92, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 40,6 %[I 10].

    Sur ces 92 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 43 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 71,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 18,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    15 établissements[Note 11] sont implantés à Lacaze au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 53,3 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 15 entreprises implantées à Lacaze), contre 13 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole située dans le sud-est du département du Tarn. Entre bocages et forêt, cette zone est dédiée à l’élevage de ruminants de races à viande ou laitières. Sur les plus hauts plateaux, de nombreux élevages de brebis laitières produisent le lait destiné à la fabrication du roquefort[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations55452520
    SAU[Note 13] (ha)1 9781 8161 346866

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 55 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 45 en 2000 puis à 25 en 2010[43] et enfin à 20 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[44],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1978 ha en 1988 à 866 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 43 ha[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame et mairie.
    Chaussée au cœur du village, au pied du château
    Stèle commémorative de l'attaque par l'armée allemande, le 8 août 1944, du terrain de parachutage des Maquis de Vabre

    Mentionné depuis 1420, le château de Lacaze (avec la fontaine placée au devant) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1927[45]. Il est lauréat des rubans du patrimoine en 2015. Le village est homologué "petite cité de caractère" en 2018

    Culture

    La direction de publication et certaines assemblées générales de la revue Espéranto-info, dont le but est d’élever le niveau de connaissance du grand public francophone aux différents aspects de l’Espérantie, est à Lacaze.

    Isolée dans ses vallées inaccessibles, la région devient naturellement bastion des protestants lors des guerres de religion puis des résistants lors de la seconde guerre mondiale.

    Guerres de religion - Les Assemblées du désert : Lors de l'attaque de Saint Jean Del Frech en 1689, une centaine de protestants furent tués alors qu'ils assistaient à une assemblée du désert. Ces Assemblées clandestines permettaient aux protestants de pratiquer leur culte après la révocation de l'édit de Nantes en 1685.

    Guerres mondiales - Le maquis : Symbole de l’œcuménisme qui prévalut dans les Maquis de Vabre, sur la stèle de Laroque, 7 noms. Les noms des 7 maquisards tués lors de l’attaque allemande du , de 3 religions différentes. Lors du 55ème anniversaire, en 1999, un représentant de chacune de ces 3 religions a lu un texte devant la stèle.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Lacaze » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lacaze » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lacaze » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lacaze » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lacaze » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Lacaze », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « le Dadou »
    5. Sandre, « le Gijou »
    6. Sandre, « le Bertou »
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    Bibliographie

    • Conseil Général du Tarn, Archives Départementales, Communes du Tarn, dictionnaire de géographie administrative, paroisses, étymologie, blasons, bibliographie, Archives et Patrimoine, 1990
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