Le Houga

Le Houga est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie. Son nom vient du gascon heugar puis folgar qui signifie « fougeraie ». Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Bas-Armagnac, ou Armagnac noir, un pays s'inscrivant entre les vallées de l'Auzoue, la Gélise, la Douze et du Midou.

Pour les articles homonymes, voir Houga (homonymie).

Le Houga

Église Saint-Aubin

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes du Bas-Armagnac
Maire
Mandat
Patricia Feuillet Galabert
2020-2026
Code postal 32460
Code commune 32155
Démographie
Gentilé Folgariens
Population
municipale
1 161 hab. (2019 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 34″ nord, 0° 10′ 46″ ouest
Altitude 148 m
Min. 87 m
Max. 153 m
Superficie 31,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Grand-Bas-Armagnac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Houga
Géolocalisation sur la carte : France
Le Houga
Géolocalisation sur la carte : Gers
Le Houga
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Le Houga

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Ludon, le Gioulé, la Madone, le ruisseau de baillié, le ruisseau de la Saule et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « réseau hydrographique du Midou et du Ludon ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Le Houga est une commune rurale qui compte 1 161 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Folgariens ou Folgariennes.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Aubin, inscrite en 1983.

    Géographie

    Localisation

    Le Houga est une commune de Gascogne située dans l'Armagnac. Elle est limitrophe avec le département des Landes.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 3 151 ha. Son altitude varie de 87 à 153 m[2].

    Le Houga se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le Ludon, le Gioulé, la Madone, le ruisseau de baillié, le ruisseau de la Saule et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[5],[Carte 1].

    Le Ludon, d'une longueur totale de 26 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Midouze à Bougue, après avoir traversé 6 communes[6].

    Le Gioulé, d'une longueur totale de 17 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bordères-et-Lamensans, après avoir traversé 5 communes[7].

    Réseaux hydrographique et routier duHouga.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 993 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aire Mestade », sur la commune d'Aire-sur-l'Adour, mise en service en 1991[13] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 915,2 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, dans le département des Landes, mise en service en 1945 et à 29 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,5 °C pour 1981-2010[18], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[19].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « réseau hydrographique du Midou et du Ludon »[21], d'une superficie de 6 542 ha, un site présentant une diversité d’habitats relativement importante, malgré une faible représentativité des habitats d’intérêt communautaire[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23] : l'« étang et bocage du Houga » (126 ha)[24], et les « étangs et bois de Lauriéton » (29 ha)[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] : le « réseau hydrographique du Midou et milieux annexes » (6 344 ha), couvrant 43 communes dont 37 dans le Gers et six dans les Landes[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Houga est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,2 %), zones agricoles hétérogènes (28,6 %), forêts (7,1 %), zones urbanisées (2,8 %), prairies (2,5 %), eaux continentales[Note 8] (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le latin filicaria désignant un ensemble de fougères a donné le languedocien falguièra et le gascon heuguèra ou hoguèra, à l'origine du Houga[30].

    Histoire

    Ancienne juridiction du Bas-Armagnac fondée vers 1060 dont le ressort s'étendait aussi sur les paroisses de Perchède et Mormès, Le Houga relevait juridiquement de la sénéchaussée de Lectoure, puis de celle d'Auch et donc du Parlement de Toulouse. Pour l'administratif et la fiscalité elle relevait de la généralité de Montauban à la création de celle-ci, et pour le religieux de l'archevêché d'Auch, quoique l'évêché d'Aire sur l'Adour se trouvât seulement à 12 km.

    Entourée à l'origine de remparts et d'un fossé, la ville vit ses défenses détruites dans les années 1620. Jusqu'en 1685 des familles notables qui avaient embrassé la Réforme avaient transformé l'église en temple et le culte catholique était déplacé à l'église de Rivière-Mau à un kilomètre. Certaines de ces familles réformées émigrèrent ou se convertirent après avoir subi le logement de dragons.

    Sous le Directoire, Le Houga fut érigé en canton regroupant 16 communes sous l'autorité d'un commissaire du Directoire.

    Le Houga absorbe en 1829 les communes de Saint-Aubin et Laterrade-Saint-Aubin[2]. Les anciennes paroisses de Toujun et de Rivière-Mau (Sainte Marie de Mau) lui étaient aussi rattachées. Elles sont maintenant fondues dans la même entité communale.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1795 Joseph Garbaÿ    
    1795 1796 Jean Dirat    
    1796 1798 Jean Lahille    
    1798 1800 Joseph Lasies    
    1800 1804 Antoine Laurentie    
    1804 1830 Jean Jacques Destalenx    
    1830 1846 Bertrand Dubosc-Taret    
    1846 1848 Christophe-Austinde Lacome    
    1848 1848 Prosper Dubosc-Taret    
    1848 1879 Alfred Clarens (de)    
    1879 1880 Albert Ducuron    
    1880 1880 Firmin Labadie    
    1880 1881 Adrien Salles    
    1881 1884 Pierre Destephens    
    1884 1890 Adrien Salles    
    1890 1892 Laurent Lagarosse    
    1892 1902 Edmond Garens    
    1902 1904 Clément Anglade (d')    
    1904 1910 Edmond Garens    
    1910 1912 René de Pratferré de Mau    
    1912 1919 Romain Guichanné    
    1919 1925 Edmond Garens    
    1925 1929 Alphonse Saint-Loubert Bié    
    1929 1935 Gérard Dartigalongue    
    1935 1943 Michel Ernest Beyrie    
    1943 1944 Joseph Dubosc de Pesquidoux    
    1944 1947 Michel Ernest Beyrie    
    1947 1989 Louis Jean Marie Tissé    
    mars 1989 1995 René Massenez    
    mars 1995 2001 Philippe Labiste    
    mars 2001 2014 Pierre Guichanné    
    mars 2014 En cours Patricia Feuillet-Galabert PS Cadre

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2019, la commune comptait 1 161 habitants[Note 9], en diminution de 2,68 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 0258939081 0861 5931 5961 6171 6701 732
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 7581 7961 7091 7271 6301 6741 5091 5421 513
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 3471 2741 0651 1101 0401 0761 0121 0051 164
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    1 1821 1241 1731 1661 1011 1261 1291 1851 170
    2019 - - - - - - - -
    1 161--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[35] 1975[35] 1982[35] 1990[35] 1999[35] 2006[36] 2009[37] 2013[38]
    Rang de la commune dans le département 20 21 20 23 24 25 27 24
    Nombre de communes du département 466 462 462 462 463 463 463 463

    Note : À partir de 1831, le recensement inclut les populations de Saint-Aubin et Laterrade-Saint-Aubin[2].

    Enseignement

    Le Houga dispose d'une école élémentaire publique (53 élèves en 2013)[39] et d'une école maternelle publique (47 élèves en 2013)[40].

    Il y a aussi un I.M.E (Institut Médico-Educatif) : I.M.E du Bas Armagnac qui comprend deux sections un IMP (Institut Médico-Pédagogique) et un IMPRO (Institut Médico-Professionnel). Il y a 2 formations qualifiantes : service en restauration et aussi assistant de vie aux familles (niveau V).

    Manifestations culturelles et festivités

    Fêtes Patronales : Le weekend le plus proche de la Saint Jean-Baptiste ( 24 Juin )

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 512 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 097 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 740 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,4 %7,5 %5,9 %
    Département[I 7]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 637 personnes, parmi lesquelles on compte 75,3 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 5,9 % de chômeurs) et 24,7 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 543 emplois en 2018, contre 550 en 2013 et 480 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 453, soit un indicateur de concentration d'emploi de 120 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,1 %[I 10].

    Sur ces 453 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 210 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,2 % les transports en commun, 11,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    84 établissements[Note 12] sont implantés au Houga au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble84
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    67,1 %(12,3 %)
    Construction1315,5 %(14,6 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3035,7 %(27,7 %)
    Activités financières et d'assurance11,2 %(3,5 %)
    Activités immobilières67,1 %(5,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    89,5 %(14,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1113,1 %(12,3 %)
    Autres activités de services910,7 %(8,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,7 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 84 entreprises implantées au Le Houga), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le Bas-Armagnac, une petite région agricole occupant une partie ouest du département du Gers[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations70614231
    SAU[Note 15] (ha)2 4752 1821 8671 643

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 70 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 61 en 2000 puis à 42 en 2010[43] et enfin à 31 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[44],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 475 ha en 1988 à 1 643 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 53 ha[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église du quartier Saint-Aubin

    Église Saint-Aubin du Houga

    Elle est située au quartier de Saint-Aubin (ancienne paroisse).

    L'Église et le porche d'entrée, restauré, sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques depuis 1983[45].

    Sont classés au titre des monuments historiques :

    Autres monuments

    Personnalités liées à la commune

    (Liste non exhaustive classée par années croissantes)

    Paul Lacôme d'Estalenx, né et mort dans la commune.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur aux deux clefs renversées d'or passées en sautoir.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)
    • Jean-François Lacôme d'Estalenx, La République du Houga, 224 pages, Le Livre d'Histoire 2003 (1re édition 1941)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique du Houga » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
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