Marc (évangéliste)
Marc (en grec ancien : Μᾶρκος / Mârkos) est un Juif du Ier siècle, mentionné dans les Actes des Apôtres et différentes épîtres où il est désigné comme « Jean surnommé Marc » ou « Jean-Marc » et présenté comme proche des apôtres Pierre et Paul.
Pour les articles homonymes, voir saint Marc.
Saint Marc Saint chrétien | |
Église d'Orsanmichele de Florence : statue de saint Marc par Donatello (1411). | |
évangéliste, martyr | |
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Naissance | v. 5 à Cyrène ou en Galilée |
Décès | v. 68 (à peu près 63 ans) Alexandrie |
Vénéré par | Église catholique, Église orthodoxe, Église copte orthodoxe |
Fête | ( pour l'Église copte) |
Attributs | Livre (évangile), lion |
Saint patron | Venise ; secrétaires, notaires, écrivains, greffiers, vitriers, opticiens[1] |
La tradition chrétienne lui attribue la rédaction de l'Évangile synoptique qui porte son nom dans le Nouveau Testament et a ajouté plusieurs récits concernant sa vie. Marc est devenu le symbole de la ville de Venise après son passage dans la lagune où un ange lui aurait dit la phrase qui deviendra la devise de la ville « Pax Tibi Marce Evangelista Meus ». Plus tard, deux marchands vénitiens ramenèrent en contrebande les reliques du saint se trouvant alors à Alexandrie, en Égypte. Il est fêté le .
« Marc » et « selon Marc »
L'attribution de l'évangile à Marc n'est attestée que depuis Irénée de Lyon à la fin du IIe siècle et la suscription « selon Marc » [grec katà Márkon] ne s'appuie sur aucun élément du texte dont l'auteur ne s'exprime jamais en termes de « je » pas plus qu'il n'exprime d'intention particulière[2]. L'attribution traditionnelle de ce récit repose sur le témoignage de Papias, évêque de Hiérapolis dans la première moitié du IIe siècle, rapporté par Eusèbe de Césarée[3]. Dans une visée apologétique qui tend à rattacher le texte directement à un apôtre du Christ, Papias fait de ce Marc un « interprète de Pierre » (hermêneutês) — sans qu'on sache s'il s'agit d'un traducteur, d'un commentateur, … — qui fait œuvre de mémoire des actes et paroles de Jésus de Nazareth — ce qui laisse penser que la tradition n'était plus directement accessible[4].
La tradition ecclésiastique a associé l'auteur de l'évangile à « Jean surnommé Marc » dont on sait très peu de choses et dont le prénom — en grec Markos, en latin Marcus[5] — n'est pas rare à l'époque, ce qui complique les identifications[6]. Néanmoins, en combinant différents éléments néotestamentaires et des révélations mystiques, il est possible d'en établir une image composite[7] : fils d'une certaine Marie, disciple judéo-chrétienne de Pierre, appartenant à la communauté hierosolymitaine, et fils de Jonas. Ses parents habitaient près de Jérusalem la maison du Gethsémani qui appartenait à Lazare. Marc apparaît dans les Actes des apôtres (12:12)[8]. Il serait cousin de Barnabé[9] accompagnant celui-ci et Paul de Tarse jusqu'à la rupture des deux hommes[10]. Il est encore mentionné comme collaborateur de Paul dans les épîtres à Timothée[11] et à Philémon[12]. C'est la Première épître de Pierre[13] qui voit Pierre, saluer Marc comme « [son fils] » depuis Rome, appelée métaphoriquement Babylone dans le texte, Rome étant considérée chez les Juifs messianistes comme une ville de perdition équivalente à la Babylone biblique. On n'en sait guère davantage[4].
L'attribution de l'évangile à Marc a régulièrement été contestée par l'exégèse au profit d'un auteur judéo-chrétien anonyme, notamment à cause de nombreuses imprécisions sur la géographie et la topographie galiléennes[14]. Toutefois, suivant Camille Focant, « il n'existe pas de raison décisive de rejeter l'attribution traditionnelle à [Jean-]Marc de Jérusalem, dont il est question dans les Actes des Apôtres (12-13 et 15), même si elle ne peut être prouvée »[2].
Éléments biographiques traditionnels
Sur ces éléments ténus et parfois obscurs, différentes traditions chrétiennes ont tramé des biographies plus ou moins édifiantes du personnage.
Traditions catholiques et orthodoxes
Selon la tradition copte orthodoxe, Marc serait né dans la province romaine de Cyrénaïque probablement dans la ville de Cyrène[15], dans la Libye actuelle, trois ans après la naissance de Jésus[15]. Son nom juif est Jean, Marc n'étant que son nom ou surnom romain, aussi la tradition l'identifie au Jean-Marc des Actes des Apôtres dont la mère est appelée Marie de Jérusalem[16] et au Marc de l'Épître aux Colossiens[17] mais les chercheurs actuels jugent cette identification spéculative[18]. Selon la tradition orthodoxe, ses parents auraient immigré en Palestine peu de temps après sa naissance, en raison d'attaques berbères sur leur ville et sur leur propriété[15].
Ils se seraient installés à Cana en Galilée[15] où Jésus effectuera le miracle de la transformation de l'eau en vin, selon l'Évangile selon Jean, réputé être le premier miracle de Jésus[15]. Marc aurait été un des intendants qui servaient au cours de cette fête[15]. Quelques années après leur installation à Cana, le père de Marc meurt et Pierre qui était marié à une parente du père de Marc prend soin de lui, le considérant comme son fils[15]. Lorsque Pierre s'évade de la prison où l'avait jeté Hérode Agrippa, il habite avec sa mère, figure déjà reconnue de l'Église de Jérusalem, leur maison[19] servant de lieu de réunion pour les premiers adeptes de Jésus (13 Actes 12, 13)[20].
La Première épître de Pierre raconte comment Marc accompagne Pierre à « Babylone ». La ville de Babylone mentionnée dans le passage de cette épître est considérée par les spécialistes comme un cryptogramme pour désigner Rome, mesure de sécurité au cas où les espions impériaux de Néron intercepteraient la lettre, cette interprétation étant reprise par la tradition transmise par les Pères de l'Église comme Clément d'Alexandrie et Irénée de Lyon[21]. Toutefois, certaines églises orientales estiment que Pierre et Marc étaient effectivement à Babylone[15] dans l'Empire parthe (ville de l'Irak actuel).
Sa parenté avec Barnabé, lévite, permet d'expliquer que dans la préface de son Évangile dans les manuscrits de la Vulgate, Marc est présenté comme ayant été un prêtre juif[20]. Ils appartiennent à une famille sacerdotale, tout comme Jean le Baptiste, Jésus, Jacques le Juste et leurs autres frères et parents directs. Jean-Marc suit Barnabé et Paul (cf. Actes 13, 5) lors du premier voyage missionnaire de Paul. Au départ, la mission semble conduite par Barnabé : c'est lui qui est nommé en premier lors du départ (cf. Actes 13,4). Ils vont d'abord « enseigner », ou « annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus Messie » (ce que l'on appellera plus tard « évangéliser ») sur l'île de Chypre.
Barnabé est en effet d'origine chypriote. À Paphos, alors capitale de l'île, ils convertissent le proconsul romain Sergius Paulus. Saul-Paul paraît alors devenir le chef de la mission à la place de Barnabé : les Actes ne parlent plus de Barnabé mais de Paul et ses compagnons (cf. Actes 13,13). Ils décident de quitter Chypre pour la ville de Pergé en Asie Mineure. Ils s'embarquent à Paphos (cf. Actes 13, 13). À Pergé, Marc quitte le groupe et repart pour Jérusalem (cf. Actes 13,13). Il retrouve par la suite Paul et Barnabé à Antioche. À Barnabé qui voudrait reprendre part à la mission, Paul oppose un refus : cette fois Marc et Barnabé le quittent pour aller « instruire le peuple » à Chypre, tandis que Paul repart pour l'Asie Mineure avec Silas vers 49-50 (37 Actes 15, 37).
Ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard que Marc retrouve probablement Paul alors prisonnier à « Babylone »–Rome (13 1 P 5, 13). Marc est devenu le disciple, le secrétaire et le compagnon inséparable de l'apôtre Pierre avec qui il a annoncé la Bonne Nouvelle auprès des Juifs de Judée (5 Actes 13, 5), sans qu'on sache précisément identifier sa fonction aux côtés de l'apôtre[20]. Il dirige alors des communautés juives de Rome. Il compte ensuite parmi les « collaborateurs » de Paul qui l'appelle à ses côtés à Rome à la fin de sa vie[22].
Selon la tradition chrétienne, il quitte l'Italie pour retourner « enseigner » dans la Pentapole de Libye, en Cyrénaïque, et en Égypte où il fonde l'Église d'Alexandrie. Étrangement Clément d'Alexandrie et Origène ne le mentionnent pas, la tradition faisant de Marc le fondateur de l'Église d'Égypte étant rapportée par Eusèbe de Césarée au IVe siècle[23]. Il en devient le premier évêque[24] et, d'après Eusèbe, y demeure jusqu'en 62[25]. Ses successeurs les plus célèbres sont saint Athanase l'Apostolique ou saint Cyrille le Grand. Les différentes traditions appuyant la fondation de l'Église d'Alexandrie par Marc sont débattues par les spécialistes modernes[26],[27].
Claude Tresmontant considère comme probable l'unicité du rédacteur des Évangiles attribués à Jean et à Marc et de l'Apocalypse[28]. Cette théorie est totalement abandonnée par le consensus des spécialistes.
Martyr
Toujours selon une tradition qui n'apparaît qu'au IVe siècle[20], il est capturé et martyrisé par les idolâtres irrités de ses nombreuses conversions et serait mort en martyr de la chrétienté un [29] vers 68-75. Il est traîné le sur ordre des autorités une corde au cou par les païens criant qu'il fallait « mener ce bœuf » dans les rues de Bucoles, port de pêche proche d'Alexandrie (le bœuf, symbole du sacrifice du martyr, est probablement un jeu de mot avec la localité de Bucoles, du latin bucolus, garde-bœuf ou lieu servant à faire paître les bœufs)[30], et jeté le soir même en prison puis subit le lendemain le même supplice, ses membres étant finalement broyés contre des rochers.
Une autre tradition rapporte que son corps est brûlé après sa mort, mais un orage aurait éteint les flammes[31]. Après avoir été embaumées, ses reliques auraient été conservées dans une chapelle du petit port de pêche de Bucoles proche d'Alexandrie où il a été exécuté. C'est dans ce lieu saint que les patriarches venaient se faire ordonner.
Le lion de saint Marc
Traditionnellement, les quatre évangélistes sont représentés sous formes allégoriques du tétramorphe : l'ange pour saint Matthieu, l'aigle pour saint Jean, le taureau pour saint Luc et le lion pour saint Marc. Cette représentation est inspirée par une vision du prophète de l'Ancien Testament Ezéchiel (Ez 1, 1-14) et par la description des Quatre Vivants de l'Apocalypse selon saint Jean.
Saint Marc est ainsi symbolisé par un lion d'après l'un des premiers versets de son évangile qui évoque le désert d'où retentissent les rugissements du lion, l’un des quatre animaux symboliques de la vision d’Ézéchiel : « Une voix crie dans le désert[32]… » Néanmoins, l'aigle semble avoir été également le symbole de Marc dans un premier temps des traditions chrétiennes, si on en croit Irénée de Lyon pour lequel Marc « montre ainsi une image ailée de l’Évangile »[33].
Le lion symbolisant saint Marc est lui-même généralement ailé et parfois surmonté d'une auréole, ce qui le distingue du lion de saint Jérôme, les ailes symbolisant l'élévation spirituelle et le halo symbolisant la sainteté[34].
Saint Marc et Venise
En 826, la ville de Venise, qui a alors comme patron saint Théodore Tiron, se cherche un nouveau puissant protecteur céleste pouvant rivaliser avec Rome et son saint patron l'apôtre Pierre. Deux marchands vénitiens, Bon da Malamocco (it) et Rustico da Torcello[35], sont payés par Giustiniano Participazio, onzième doge de Venise, pour aller voler ses reliques dans la petite chapelle de Bucoles en Égypte où elles se trouvent depuis sa mort[36]. Une mosaïque de la basilique Saint-Marc rappelle la tradition rocambolesque de la translatio de saint Marc, issue d'un genre littéraire caractéristique de la littérature hagiographique, le récit de translation : les navigateurs vénitiens échangent dans le tombeau le corps de l'évangéliste avec celui de saint Claude[37] et cachent aux autorités portuaires musulmanes les reliques dans un panier au milieu de couches de feuilles de chou et de viande de porc (viande taboue pour les musulmans). Le , les deux marchands remettent les reliques au doge, qui les installe dans une chapelle ducale attenante au palais des Doges, la future basilique[38].
Giustiniano Participazio, le doge, fait alors construire la basilique Saint-Marc afin d'abriter ces reliques. Marc devient ainsi le saint patron de la ville avec son lion comme symbole. Lors de la reconstruction de la basilique commencée en 1063, les reliques sont perdues mais selon la tradition sont miraculeusement retrouvées en 1094 après trois jours de jeûne, un des piliers du bras droit du transept s'effritant et révélant la présence d'un bras du saint lui-même qui indique la présence des reliques. Les reliques sont alors placées dans un sarcophage dans la crypte de la nouvelle basilique puis sous le maître-autel au XIXe siècle[39].
Le vol de ces reliques par les Vénitiens empoisonne durant des siècles les relations entre l'Église latine et l'Église copte orthodoxe. En , le pape Paul VI décide finalement de restituer la ou les reliques aux coptes. Selon les autorités religieuses vénitiennes, il s'agit d'une « relique de contact », c'est-à-dire d'une étoffe qui a été mise en contact avec la tombe du saint, donnée au Vatican par le patriarche de Venise Giovanni Urbani, et non de toutes les reliques de la basilique Saint-Marc qui sont restées sur place[40]. Elle repose aujourd'hui sous l'autel de la cathédrale Saint-Marc du Caire[41].
Chaque année, à Venise, le , saint Marc est honoré par des cérémonies réunissant la population et les autorités civiles et religieuses.
- Basilique Saint-Marc à Venise. Art lombard et roman byzantin (hypothèse de reconstruction de la façade en brique).
Célébration
Marc est vénéré comme saint et est célébré d’après le Martyrologe romain le [42] et par l'Église orthodoxe de Grèce le [20].
Saint Patron
Saint Marc est le saint patron de la ville de Venise, des secrétaires, des notaires, des écrivains, des greffiers, des vitriers, et des opticiens[43].
Représentation dans les arts
Par les peintres
- Andrea Mantegna : Saint Marc
- Le Tintoret
- Domenico Beccafumi
- Angelo Bronzino
- Fra Angelico
- Albrecht Dürer
- Giovanni di Niccolò dit Dosso Dossi
- Gentile Bellini
Notes et références
- En référence à la tradition apostolique qui identifie saint Marc au secrétaire de saint Pierre
- Camille Focant, « Évangile selon Marc », dans Camille Focant et Daniel Marguerat (dirs.), Le Nouveau Testament commenté, Bayard/Labor et Fides, , p. 154
- Histoire ecclésiastique, III,39,15
- Corina Combet-Galland, « L'Évangile selon Marc », dans Daniel Marguerat (dir.), Introduction au Nouveau Testament, Labor et Fides, , p. 67-68
- Chez Paul de Tarse, on le trouve désigné par le prénom latin ainsi que le voulait la mode au sein de l'élite orientale romanisée ; cf. Marie-Françoise Baslez, Saint Paul, Arthème Fayard/Pluriel, , p. 410
- Raymond E. Brown, Que sait-on du Nouveau Testament ?, Bayard, , p. 200
- Raymond E. Brown, Que sait-on du Nouveau Testament ?, Bayard, , p. 201
- Ac 12. 12
- Col 4. 10
- Ac 13. 3, Ac 15. 37-39
- 2 Tm 4. 11
- Phm 24
- 1 P 5. 13
- Raymond E. Brown, Que sait-on du Nouveau Testament ?, Bayard, , p. 201, sp. note 85, Corina Combet-Galland, « L'Évangile selon Marc », dans Daniel Marguerat (dir.), Introduction au Nouveau Testament, Labor et Fides, , p. 68
- « St. Mark The Apostle, Evangelist » sur copticchurch.net
- Ac 12,12
- Col 4,10
- (en) Richard Bauckham, Jesus and the Eyewitnesses : The Gospels as Eyewitness Testimony, Wm. B. Eerdmans Publishing, , p. 206
- Il est mentionné une femme esclave (paidiske) faisant office de portière.
- (en) St. Mark, Catholic Encyclopedia
- (en) Donald Guthrie, Introduction to the New Testament, Apollos, , p. 794
- 2 Tm 4. 11 cité par Marie-Françoise Baslez, Saint Paul, Arthème Fayard/Pluriel, , p. 410
- Mahmoud Zibawi, Images de l'Égypte chrétienne : iconologie copte, Jaca Book, , p. 15
- Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 16, 1
- Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 24, 1 cité par Marie-Françoise Baslez, Saint Paul, Arthème Fayard/Pluriel, , p. 410
- Voir par exemple Lietzmann, Hans., A History of the Early Church,, , Volume 1, Part 2. Cambridge: James Clarke & Co., p. 543
- Voir par exemple l'article de L. W. Barnard, “St Mark and Alexandria“, Harvard Theological Review, 57 no 2 Ap 1964, p. 145-150. (retour)
- Jean (trad. Claude Tresmontant), Apocalypse, Paris, F.-X. de Guibert, (ISBN 2-86839-306-3, BNF 37461339), p. 7
- « St. Mark Evangelist Life », sur basilicasanmarco (consulté le )
- (en) Alban Butler, The Lives of the Fathers, Martyrs, and Other Principal Saints, Coyne, , p. 507
- Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Maison Alfred Mame et Fils, , 384 p.
- Mc 1,3
- Contre les hérésies, III,2
- Gaston Duchet-Suchaux, Michel Pastoureau, La Bible et les saints, Guide iconographique, Flammarion, Paris, 1990.
- Rustico da Torcello et son église oubliée.
- Dr Charles Flandin, Études et souvenirs de voyages en Italie et en Suisse, Productions de la Presse, , p. 334
- Honoré de Sainte Marie, Reflexions sur les règles et sur l'usage de la critique, André Molin, , p. 390
- (en) Section dedicated to the theft of St. Mark's body from Alexandria
- Guide Vert, Venise, Michelin Editions des Voyages, , p. 143
- discours de Paul VI du 22/6/1968
- « L'origine de l'Église Copte », sur Orient chrétien (consulté le )
- « Saint Marc », sur nominis.cef.fr (consulté le )
- « Saint Marc, évangéliste - Infos sur le saint du jour - Vatican News », sur www.vaticannews.va (consulté le )
Bibliographie
- Camille Focant, L'Évangile selon Marc (Commentaire biblique : Nouveau Testament, 2), Paris, éditions du Cerf , 2004.
- Camille Focant, Marc, un évangile étonnant. Recueil d'essais (BETL, 194), Leuven, Peeters – University Press, 2006.
- Benoît Standaert, osb, L'Évangile selon Marc, Cerf, 1997.
- Étienne Trocmé, L'Évangile selon saint Marc, Labor et Fides, Genève, 2000 (ISBN 2-8309-0972-0)
- Collectif, La basilique Saint-Marc de Venise, Citadelle & Mazenod, (ISBN 978-2-85088-177-0)
- Béatrice Agénin, Jean Davy et Simon Eine, L'Évangile selon Saint Marc : Dans la version de la Bible de Jérusalem, Editions JADE, coll. « Livre audio (110 min) », (ASIN B01CUXFWOI)
- Joseph Doré, Natalino Bonazza et Antonio Meneguolo, Venise : L'Art et la Foi : Le Nouveau Testament dans la Basilique Saint-Marc, Mengès, coll. « Livres d'art », (ISBN 978-2-85620-494-8)
BD
- Fabrice Weiss et Monique Plassard, Marc l'évangéliste, Strasbourg, Editions du Signe, coll. « Vies de Lumières », , 32 p. (ISBN 978-2-7468-3528-3)
Annexes
Articles connexes
Liens Externes
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