Marie Laforêt
Maïtena Douménach, plus connue sous le nom de scène de Marie Laforêt, née le à Soulac-sur-Mer (Gironde) et morte le à Genolier (Suisse), est une chanteuse, compositrice et actrice française, naturalisée suisse.
Pour les articles homonymes, voir Laforêt (homonymie).
Naissance | |
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Décès |
(à 80 ans) Genolier (canton de Vaud, Suisse) |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Maïtena Marie Brigitte Douménach |
Surnom |
Fille aux yeux d'or |
Pseudonyme |
Françoise They |
Nationalités | |
Formation | |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Conjoint | |
Enfants |
Lisa Azuelos Debora Kahn-Sriber (d) |
Genres artistiques | |
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Discographie |
Marie Laforêt discography (d) |
Biographie
Origines familiales
Maïtena Douménach naît le à Soulac-sur-Mer (Gironde). Le prénom Maïtena, d'origine basque, ayant la signification d'« aimée », est donné parfois par des habitants du Languedoc, surtout des Pyrénées[1]. Le nom de famille de son père, Douménach, est une forme catalane de Dominique.
Enfance et adolescence
Marie Laforêt est la fille de Jean Eugène Douménach (1909-1983)[2], polytechnicien[3], mathématicien et chercheur au CNRS et de Marie Louise Saint Guily (1912-1993)[4], femme au foyer[5]. La famille de son père est originaire d'Olette, village des Pyrénées-Orientales[6] et celle de sa mère, de Bordeaux.
Ses grands-parents paternels se sont installés à Sainte-Terre, près de Libourne, au début du XXe siècle, dans une maison que son père habite longtemps où Marie Laforêt passe ses vacances d'enfance[7].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la famille Douménach trouve refuge à Cahors et dans la commune de leurs ancêtres, Lavelanet. Alors que son père est prisonnier de guerre en Allemagne, Marie, sa sœur Alexandra et leur mère connaissent beaucoup de privations et vivent difficilement[8].
En 1998, elle révèle qu'à l'âge de trois ans, elle a été violée à plusieurs reprises par un voisin, épisode traumatisant dont le souvenir est demeuré refoulé et occulté pendant près de quarante ans avant de refaire surface[9],[10].
Après le retour de son père de captivité en , la famille vit à Raismes où Jean Douménach dirige une usine de constructions ferroviaires, la Société Franco-Belge.
Maïtena fait sa scolarité au lycée de filles Watteau, jusqu'à la classe de cinquième. Ensuite, la famille Doumenach s'établit à Paris[11],[12].
Après s'être rapprochée de la religion et avoir envisagé d'entrer au couvent, elle suit à Paris des études au lycée Jean-de-La Fontaine où elle commence à éprouver un vif intérêt pour ses premières expériences du jeu dramatique qui ont pour elle un effet bénéfique[8].
Carrière
Sa carrière commence après qu'elle a remporté le concours « Naissance d'une étoile », organisé par Europe no 1 en 1959 en remplacement de sa sœur[13].
Elle décroche un rôle dans le film de Louis Malle, Liberté. Remarquée par Raymond Rouleau, elle fréquente alors les cours de théâtre de celui-ci. Le projet de film de Louis Malle est abandonné et c'est avec Alain Delon et Maurice Ronet dans le film Plein Soleil du metteur en scène René Clément que Marie Laforêt fait sa première apparition remarquée au cinéma.
Les rôles se suivent. Le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001), son mari d'alors, fait tourner Marie Laforêt dans deux films : La Fille aux yeux d'or d'après le roman d'Honoré de Balzac et Le Rat d'Amérique, d'après celui de Jacques Lanzmann avec un autre chanteur-comédien, Charles Aznavour.
Après la bande son originale (BO) du film de Marcel Moussy Saint-Tropez Blues en 1960 qu'elle enregistre avec son ami d'enfance Jacques Higelin, c'est en que sort son deuxième 45 tours, lequel va marquer sa carrière avec Les Vendanges de l'amour, écrites par Danyel Gérard. Déjà, elle aborde le répertoire latino-américain avec La Petenera (1960)[14] .
De 1963 à 1970, André Popp signe toutes les orchestrations de ses succès et compose pour elle dix-huit chansons dont Mon amour, mon ami, Manchester et Liverpool et Dans le lit de Lola[15].
Les succès s'enchaînent : Frantz (duo avec Guy Béart), Viens sur la montagne et La Tendresse en 1964, Katy cruelle et La Bague au doigt en 1965, Marie-douceur, Marie-colère, adaptation de Paint It Black, Manchester et Liverpool et La Voix du silence, version française de The Sound of Silence (1966). En 1967, Ivan, Boris et moi est un succès populaire ainsi que Mon amour, mon ami, puis Que calor la vida à la fin de 1968.
Elle souhaite orienter sa carrière vers des titres plus personnels et puisés dans les folklores américain et européen.
Dans cet état d'esprit, elle chante à Paris, à l'Olympia en 1969 (récital gravé sur disque), à Bobino l'année suivante et au Théâtre de la Ville en 1971-72. Le Vin de l'été, version française en 1969 de Summer Wine, de Lee Hazlewood en témoigne par exemple.
Cette période située entre 1968 et 1972 est riche et authentique sur un plan artistique, l'amenant sur les scènes du monde entier. C'est également à cette époque qu'elle signe ses textes sous le pseudonyme de Françoise They. Mais cela ne plaît pas à CBS, sa nouvelle maison de disques, qui attendait des tubes et des chansons légères.
Marie Laforêt, elle, avait envie de berceuses yougoslaves et de rythmes brésiliens (elle travaille notamment avec Egberto Gismonti et l'Argentin Jorge Milchberg), vénézuéliens et mexicains. Elle se fait alors accompagner par des formations typiques latino, vénézuéliennes, par exemple, avec contrebasse guitare et cuatro (ou même un charango andin) sur El Cabrestero en 1969, de Simon Diaz[16]. Marie Laforêt est accompagnée dans cette occasion par Jorge Milchberg (charango), Martín Torres (première guitare), Carlos Guerra (deuxième guitare), Roland Audy (flûtes), et Francis Dunglas (contrebasse). Ces musiciens participent à plusieurs spectacles. Milchberg est le directeur.
En 1972, Marie Laforêt enregistre avec le guitariste argentin Raúl Maldonado "Le Tengo rabia al Silencio" de Atahualpa Yupanqui[17].
La chanteuse signe chez Polydor et après un dernier album très personnel en 1972, elle renonce à ses goûts musicaux pour se laisser guider par ses producteurs et répondre aux attentes d'un public plus large.
Plusieurs grands succès populaires marquent cette période commerciale : Viens, viens, adaptation d'un tube allemand, Mais je t'aime, L'Amour comme à seize ans, Tant qu'il y aura des chevaux (paroles et musique de Nicolas Peyrac), en 1973, Cadeau, en 1974, adaptation du tube country No Charge, Maine-Montparnasse, en 1976, Il a neigé sur Yesterday, en 1977, chanson-hommage aux Beatles[18].
En , elle s'installe en Suisse et renonce aux enregistrements, afin d'échapper à la surmédiatisation et pouvoir écrire des livres dans l'anonymat[19].
En 1978, elle vit à Genève où elle tient jusqu'en 1981 une galerie d'art pour laquelle elle exerce aussi la profession de commissaire-priseur[6]. En 1979, elle revient au cinéma dans Flic ou Voyou aux côtés de Jean-Paul Belmondo et de Michel Galabru.
Après un détour par la littérature avec la publication de Contes et légendes de ma vie privée chez Stock, Marie Laforêt se concentre sur le cinéma en France et en Italie. Son rôle le plus marquant est dans le film argentin Tangos, l'exil de Gardel qui obtient le Grand prix du jury à la Mostra de Venise en 1985. Peu de disques sortent malgré quelques tentatives en 1982 par exemple avec Blanche nuit de satin (reprise de Nights in White Satin du groupe The Moody Blues).
En 1993, elle revient avec un album dont elle signe tous les textes, sans pseudonyme cette fois, Reconnaissances, dont sont issus deux singles : Genève… ou bien et Richard Toll.
En 1994, la chanteuse publie la compilation en quatre volumes Fragile de A à Z, parcourant ses trente ans de carrière discographique. Une compilation des meilleurs titres sort également sous le titre Éventail 1963-1993. La carrière de Marie Laforêt se poursuit pendant les années 1990 au cinéma avec Tykho Moon d'Enki Bilal.
En 1998, son album Voyages au long cours contient 17 titres inédits enregistrés sur scène lors d'une tournée mondiale (1969-1970). Elle chante en anglais (Barbara Allen), en espagnol (Cabrestero), en italien (Cicerenella), en russe, en roumain et en français (Marleau). Elle chante sur scène des chansons restées inédites comme Mon cœur se balance, composée sur une musique de Mendelssohn.
En 2001, elle publie Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune, un livre de recettes de beauté, puis en 2002, Panier de crabes : les vrais maîtres du monde, un livre engagé dans lequel elle dénonce les dérives du monde de la finance qu'elle a côtoyé lorsqu'elle était mariée à Éric de Lavandeyra.
Après avoir joué Maria Callas dans Master Class, rôle qui lui vaut d'excellentes critiques (nomination aux Molières en 2000 pour son interprétation), elle remplace Isabelle Mergault dans la pièce de Laurent Ruquier La presse est unanime en 2003.
Elle joue également durant un mois à l'Espace Cardin en 2004 dans Jésus la Caille, pièce adaptée du roman Jésus-la-Caille de Francis Carco. Elle participe chaque semaine sur l'antenne d'Europe 1 à l'émission de Laurent Ruquier On va s'gêner.
Marie Laforêt remonte sur scène du 14 au dans le cadre du festival Juste pour rire de Montréal en avant-première d'une série de spectacles qu'accueille le théâtre des Bouffes-Parisiens[20], à Paris, du 12 au , pour son premier tour de chant depuis 1972. Le public est au rendez-vous : le spectacle se joue à guichets fermés. Après deux ans d'attente, une série de concerts pour , et une tournée d'adieux sont annoncées, puis annulées à la suite de problèmes de santé .
Vie privée
En 1961, elle épouse le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001).
Entre 1965 et 1967, elle a pour compagnon Judas Azuelos, homme d'affaires d'origine juive marocaine dont elle a deux enfants : Lisa Azuelos née en 1965, réalisatrice de plusieurs films, et Jean Mehdi Abraham Azuelos né en 1967.
En 1971, elle épouse Alain Kahn-Sriber[21],[11],[22], homme d'affaires et collectionneur d'art[23] dont elle a un troisième enfant : Ève Marie Deborah née en 1974.
Un autre homme important dans sa vie, Pierre Cornette de Saint-Cyr, commissaire-priseur, écrivain et collectionneur d'art, l'initie, à la fin des années 1970, au marché de l'art.
En 1980, à Genève, elle épouse Pierre Meyer, chirurgien.
Le , elle épouse l'agent de change Éric de Lavandeyra dont elle se sépare quatre ans plus tard.
Dans l'émission télévisée Tout le monde en parle, diffusée le 9 février 2002, elle livre un témoignage à charge visant Éric de Lavandeyra. Elle se dit persécutée par « une organisation criminelle disposant d'un budget d'environ deux cent cinquante fois supérieur à celui de la France » et liée à l'ordre du Temple solaire[24].
Mort
Marie Laforêt meurt le , à Genolier (Suisse)[25],[26], d'un cancer des os s'étant généralisé[27]. Ses obsèques se déroulent à Paris en l'église Saint-Eustache le 7 novembre suivant[28] ; elles sont suivies de son inhumation dans l'intimité familiale au cimetière du Père-Lachaise (division 49)[29].
Discographie
Albums studio
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1965 : La Fleur sans nom (Disques Festival)
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1968 : Le Lit de Lola (Disques Festival)
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1968 : Que calor la vida (Disques Festival)
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1969 : Le Vin de l’été (Disques Festival)
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1970 : Portrait (Disques Festival)
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1974 : Noé (Polydor)
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Albums en public
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Albums en espagnol
1964 : Y Volvamos al Amor
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1965 : Entre Tú y Yo
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1968 : Qué Calor la Vida
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1969 : Mon amour, mon ami
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Album en italien
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Album en portugais
1967 : Sôbre a Montanha
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E.P.s édités en France
1963 : Volume I
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1963 : Blowin’ In the Wind (Volume II)
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1963 : Volume III
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1964 : Chante pour les Enfants (Volume IV)
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1964 : Chante en italien (Volume V)
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1964 : Volume VI
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1964 : Volume VII
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1965 : Volume VIII
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1965 : Volume IX
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1966 : Volume X
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1966 : Volume XII
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1967 : Volume XIII
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1967 : Volume XIV
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1968 : Volume XV
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1968 : Volume XVI
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1968 : Volume XVII
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1969 : Volume XVIII
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1969 : Autour du Monde (Volume XIX)
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1970 : Volume XX
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Singles hors album
1960 : Saint-Tropez Blues
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1969 : Mes bouquets d’asphodèles
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1969 : La Ballade de Clérambard
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1969 : L’Amandier
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1970 : Luciana
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1972 : Parle plus bas
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1973 : Tant qu’il y aura des chevaux
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1974 : Love
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1975 : Emporte-moi
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1980 : Parlez-moi d’amour
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1982 : Blanche nuit de satin
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1983 : Y’a pas de raison
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1988 : L’Aviva
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Singles en italien
1963 : Una Noia Senza Fine
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1963 : La Vendemmia dell'Amore
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1964 : La Nozze di Campagna
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1964 : E Se Qualcuno Si Innamorera di Me
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1965 : A Domani Amore
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1967 : Manchester e Liverpool
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1968 : Perchè Due Non Fa Tre |
1969 : Guarda Dove Vai
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1973 : Lei, Lei
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Singles en allemand
1963 : Mach' Mir Nichts Vor
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1967 : Manchester und Liverpool
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Intégrale Fragile de A à Z - 4 CD - 1994
Fragile de A à H (Une Musique)
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Fragile de I à L (Une Musique)
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Fragile de L à P (Une Musique)
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Fragile de P à Z (Une Musique)
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Intégrale Festival 1960/1970 - 7 CD - 1998
Volume 1 (Disques Festival)
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Volume 2 (Disques Festival)
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Volume 3 (Disques Festival)
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Volume 4 (Disques Festival)
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Volume 5 (Disques Festival)
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Volume 6 (Disques Festival)
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Volume 7 (Disques Festival)
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Intégrale 18 CD - 2020
CD 1 : 1961 - 1964
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CD 2 : 1964 - 1966
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CD 3 : 1966 - 1968
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CD 4 : 1968 - 1969
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CD 5 : 1969 - 1970
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CD 6 : 1971 - 1972
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CD 7 : 1973
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CD 8 : 1974
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CD 9 : 1975 - 1976
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CD 10 : 1977
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CD 11 : 1977 - 1988
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CD 12 : 1993 - 1994
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CD 13 : Live Olympia novembre 1969
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CD 14 : Voyages au long cours - Folklore des années de scène entre 1968 et 1971
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CD 15 : Concert aux Bouffes Parisiens septembre 2005 - Inédit
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CD 16 : Marie Laforêt chante en italien
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CD 17 : Les versions étrangères
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CD 18 : Documents et raretés
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Chansons
Chansons inédites ou face B de 45 tours
- Tumbleweed et Saint-Tropez blues, sur la B.O. du film Saint-Tropez Blues (1961)
- Johnny Guitar (Victor Young), sur la B.O. du film du même titre (1963)
- Banks of the Ohio (traditionnel) titre hors album extrait du E.P. Blowin' In the Wind (1963)
- Sur le chemin des Andes (Marie Laforêt ; Michel Jourdan ; traditionnel) titre hors album extrait du E.P. Volume XII et autre version de La Flûte magique (1966)
- L'Amour de Moy (traditionnel) chanté une fois à la TV dans Un portrait de Marie Laforêt (1967)
- Simone (traditionnel) chanté une fois à la TV dans Un portrait de Marie Laforêt (1967)
- Belle qui tiens ma vie (traditionnel) chanté lors des récitals de 1968
- Marie douce Marie (Franck Thomas ; Jean-Michel Rivat ; Philippe Monnet) face B de Choux, cailloux, genoux, époux (1970)
- Dis à Mathieu (Gérard Layani) Face B de Choux, cailloux, genoux, époux (1970)
- Esclave et reine (Marie Laforêt ; Egberto Gismonti) inédit ; la version studio a filtré sur internet en 2012 (1970)
- Il faut savoir pardonner (Marie Laforêt ; Egberto Gismonti) inédit chanté lors de récitals et une seule fois à la TV (1969-70)
- Mon cœur se balance (Marie Laforêt ; Mendelssohn) inédit chanté lors de récitals et dans quelques émissions TV (1971)
- L’automne rêve aux lilas (Marie Laforêt ; Bernard Wistraete) inédit édité en 2003 (1971)
- Aussi loin que l’amour (Denise Glaser ; Sébastien Marotto) inédit B.O. du film du même nom (1972)
- Daniel (Marie Laforêt ; Elton John ; Bernie Taupin) face B de Cadeau (1974)
- Un jour (Pierre Bachelet) face B de Roman d’amour (1979)
- Moi Marie (Gilbert Montagné) inédit d’un album jamais édité, chanté une seule fois à la TV dans La Grande Roue (1980)
- L'Homme de l'Espace (Pascal Arroyo - Pierre Grosz) inédit d’un album jamais édité chanté une seule fois le 23 décembre 1980 Grand Plateau TSR (1980)
- La Frontière (ou La Californie) (Gilbert Montagné) inédit d’un album jamais édité, chanté une seule fois à la TV dans Stars 80 (1980)
- Mon amour où es tu passé (Gilbert Montagné - Daniel Boublil) inédit d’un album jamais édité, chanté deux fois à la TV dans La Grande Roue et dans Stars 80 (1980)
- Quand les lilas refleuriront (Guy Béart) reprise inédite chantée une seule fois à la TV (1983)
Liste alphabétique
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Morceaux latinos américains :
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Reprises de ses chansons
- 1989 : Durant sa première tournée Tour 89, Mylène Farmer reprend Je voudrais tant que tu comprennes, chantée par Marie Laforêt en 1966.
- 2002 : Le réalisateur François Ozon fait reprendre le titre Mon amour, mon ami par la comédienne Virginie Ledoyen dans le film 8 femmes.
- 2005 : Sur son quatrième album Six pieds sous terre, RoBERT (auteur-compositeur de la scène alternative française) reprend la Prière pour aller au paradis, écrite par Marie Laforêt en 1973.
- 2009 en musique : Najoua Belyzel reprend, dans son deuxième album Au féminin, la chanson Viens, viens.
- 2018 : Mon amour, mon ami est repris dans le troisième album Summer Spleen, de Michaël Roy (auteur-compositeur de la scène alternative française).
- 2021 : Najoua Belyzel reprend 10 titres dans Eternelle - Hommage à Marie Laforêt.
Vidéographie
- 2021 : Marie Laforêt : Chansons en images. DVD. Rétrospective de 2h40 d’images de télévisions où Marie Laforêt chante ses titres incontournables et quelques raretés.
Filmographie
Cinéma
- 1960 : Plein Soleil, de René Clément : Marge Duval
- 1961 : Saint-Tropez Blues, de Marcel Moussy : Anne-Marie
- 1961 : La Fille aux yeux d'or, de Jean-Gabriel Albicocco : la fille
- 1961 : Les Amours célèbres, sketch Les comédiennes, de Michel Boisrond : Mlle George
- 1962 : Los cuatro golpes (les 4 coups) de François Truffaut (court-métrage) : une complice n° 2
- 1962 : Le Rat d'Amérique, de Jean-Gabriel Albicocco : Maria
- 1962 : Leviathan, de Léonard Keigel : Angèle
- 1963 : Cherchez l'idole, de Michel Boisrond
- 1963 : À cause, à cause d'une femme, de Michel Deville : Agathe
- 1964 : La Chasse à l'homme, d'Édouard Molinaro : Gisèle
- 1965 : Cent briques et des tuiles, de Pierre Grimblat : Ida
- 1965 : Des filles pour l'armée (Le Soldatesse), de Valerio Zurlini : Eftichia
- 1965 : Marie-Chantal contre Dr Kha, de Claude Chabrol : Marie-Chantal
- 1967 : Le Treizième Caprice, de Roger Boussinot : Fanny
- 1967 : Le Valet de carreau (Jack of Diamonds), de Don Taylor : Olga
- 1972 : Le Petit Poucet, de Michel Boisrond : la reine
- 1979 : Flic ou voyou, de Georges Lautner : Edmonde Puget-Rostand
- 1982 : Les Diplômés du dernier rang, de Christian Gion : Dominique
- 1982 : Que les gros salaires lèvent le doigt !, de Denys Granier-Deferre : Rose (non créditée au générique)
- 1984 : Les Morfalous, d'Henri Verneuil : Hélène Laroche-Fréon
- 1984 : Joyeuses Pâques, de Georges Lautner : Sophie Margelle
- 1985 : Le Pactole, de Jean-Pierre Mocky : Greta Rousselet
- 1985 : Tangos, l'exil de Gardel, de Fernando Solanas : Mariana
- 1987 : Sale Destin, de Sylvain Madigan : Marthe Marboni
- 1987 : Fucking Fernand, de Gérard Mordillat : Lotte
- 1987 : Il est génial papy !, de Michel Drach : Louise
- 1989 : La Folle journée ou Le mariage de Figaro, de Roger Coggio : la comtesse
- 1990 : L'Avare (L'avaro), de Tonino Cervi : comtesse Isabella Spinosi
- 1990 : Una fredda mattina di maggio, de Vittorio Sindoni : une journaliste politique
- 1990 : Présumé dangereux, de Georges Lautner : Théa
- 1992 : Tous les hommes de Sara (Tutti gli uomini di Sara), de Gianpolo Tescari : la mère de Sara
- 1995 : Ainsi soient-elles, de Patrick et Liza Alessandrin : la mère de Marie
- 1995 : Dis-moi oui, d'Alexandre Arcady : Mme Villiers
- 1996 : Tykho Moon, d'Enki Bilal : Éva
- 1997 : Héroïnes, de Gérard Krawczyk : Sylvie
- 1997 : C'est la tangente que je préfère, de Charlotte Silvera : Pétra, la vérité
- 2000 : Jeux pour mourir, de Bruno Romy
- 2008 : Les Bureaux de Dieu, de Claire Simon : Martine
Télévision
- 1961 : Le Rouge et le Noir, téléfilm de Pierre Cardinal : Mathile de La Mole
- 1965 : La Redevance du fantôme, téléfilm de Robert Enrico) : Miss Diamond
- 1972 : Kean: Un roi de théâtre, téléfilm de Marcel Moussy : la comtesse Elena de Kloefeld
- 1984 : Pauline ou l'Écume de la mer, épisode de Patrick Bureau (pour l'émission télévisée Emmenez-moi au théâtre) : Pauline
- 1987 : La Mafia - Saison 3 (La Piovra 3), série télévisée de Luigi Perelli : Anna Antinari
- 1988 : Le Loufiat, série télévisée de Michel Boisrond : la star
- 1989 : La bugiarda (Isabella la ladra), minisérie de Franco Giraldi : Elvira
- 1990 : L'Affaire Rodani (Quattro piccole donne), série télévisée de Gianfranco Albano : la mère des quatre filles
- 1992 : Un cane sciolto 3, téléfilm de Giorgio Capitani : Hélène
- 1994 : A che punto è la notte ?, téléfilm de Nanni Loy : Chantal Guidi
- 1995 : Adrien Le Sage: Ma fille est impossible, téléfilm de Jacques Monnet : la comtesse de Pontigny
- 1996 : Chienne de vie, épisode de Bernard Uzan (pour l'émission télévisée L'Histoire du samedi) : Françoise
- 1997 : Le Désert de feu (Desierte di fuoco), téléfilm d'Enzo G. Castellari : Rahma
- 1998 : Jeudi 12, série télévisée de Patrick Vidal : Françoise Gamelin
- 1998 : Villa Vanille, téléfilm de Jean Sagols : Pronia
Théâtre
- 1969 : La Hobereaute, de Jacques Audiberti, mise en scène Georges Vitaly, hôtel de Béthune-Sully
- 1973 : Le Partage de midi, de Paul Claudel, mise en scène de G.-H. Régnier, théâtre de Bourges, le rôle d'Isé
- 1992 : L'Écorce bleue, de Marguerite Yourcenar, lecture dans le cadre du Festival de Carpentras le à 22 h, théâtre de Plein Air.
- 1997 : Le Vietnam de Marguerite Duras, lecture accompagnée par l'ensemble Ca Tru Thai Ha de Hanoï, festival de Saint-Florent-le-Vieil, donné à l'abbatiale le
- 1997 : Master Class de Terrence McNally, mise en scène de Roman Polanski, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
- 1999 : Master Class, de Terrence McNally, mise en scène Didier Long, théâtre Antoine
- 2000 : Master Class, de Terrence McNally, reprise pour quelques représentations exceptionnelles du au à l'Opéra-Comique de la ville de Paris
- 2003 : La Presse est unanime, de Laurent Ruquier, mise en scène Agnès Boury, théâtre des Variétés
- 2004 : Jésus la Caille, adapté du roman Jésus-la-Caille de Francis Carco, mise en scène Jacques Darcy, espace Pierre-Cardin
- 2008 : Master Class de Terrence McNally, mise en scène Didier Long, théâtre de Paris
- 2009 : L'Hirondelle inattendue, opéra de Simon Laks, récitante, orchestre philharmonique de Marseille sous la direction de Lukasz Borowicz, festival des musiques interdites de Marseille
ORTF
Marie Laforêt en tant que chanteuse a tourné plusieurs dizaines d'émissions au sein de l'ORTF (télévision française) ; sélection de celles qui l'ont mise au premier plan :
- : Bienvenue , production : Guy Béart, réalisation : Raoul Sangla, invités : Le Mime Marceau, Marie Laforêt, Les Enfants Terribles, Avron & Evrard, Les Troubadours, Guy Béart
- : Show Marie Laforêt (portrait de Marie Laforêt), production : Michèle Arnaud, réalisation : Pierre Koralnik - En noir et blanc avec en filigrane une interview sans concession de Marie Laforêt par Jacques Lanzmann.
- : Ça, c'est la vie de Marie Laforet , réalisation : Raoul Sangla
- : Discorama 70, réalisation : Raoul Sangla, présentation : Denise Glaser, invités : Marie Laforêt, Serge Lama, Brigitte Fontaine et Jacques Higelin
- : Podium 70, production : Arlen Papazian, réalisation : Jean-Paul Carrère, présentation : Georges de Caunes
- : À bout portant Marie Laforêt
- : Le Grand Échiquier de Jacques Chancel, réalisation : André Flederick, Guy Béart et ses invités : Marie Laforêt, Juliette Gréco, Patachou, Isabelle Aubret, Ivan Rebroff, Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud
- : Top à... Marie Laforêt, production Maritie et Gilbert Carpentier, réalisation : Marion Sarrault
- : Les yeux dans les yeux, Marie Laforêt invitée de Michel Lancelot interprète : Emporte-moi, Mais les plaisirs d'amour, Mais je t'aime, Viens, viens, Cabrestero
- : Autopsie d'un spectacle - Récital Marie Laforêt, production : Liliane Bordoni et Patrice Bellot, réalisation : Marion Sarrault
- : Restez donc avec nous le lundi sur TF1, Marie Laforêt invitée de Jean Bertho interprète : Maine Montparnasse, La légende de Thomas, On ne peut danser plus haut que ses souliers, Star Story, Le bonheur, La naissance
Publications
- 1981 : Contes et légendes de ma vie privée (ISBN 978-2-234-01349-0)
- 2001 : Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune (ISBN 978-2-84098-648-5)
- 2002 : Panier de crabes : les vrais maîtres du monde (ISBN 978-2-84098-829-8)
- 2008 : Sous le pseudonyme d'Erna Huili-Collins (ouvrage collectif), Correspondances intempestives : à la folie... pas du tout, Triartis
- 2020 : Nous n'avons pas d'autre choix que de croire
Parcours à la radio
- 1959 : lauréate du concours Naissance d'une étoile organisé par Europe no 1.
- 1973 : animatrice durant l'été de l'émission Cause toujours, tu m'intéresses sur RTL.
- 1973 : actrice de radio dans Sheherazade, feuilleton de la RTB, elle incarne Shéhérazade.
- 2004 : participante chaque semaine à l'émission de Laurent Ruquier On va s'gêner sur Europe 1.
Distinctions
Récompenses
- 1964 : grand prix du Marathon de la chanson française pour Les Vendanges de l'amour
- 1964 : grand prix de la chanson de l'été pour Viens sur la montagne
- 1964 : grand prix du Juke-Box d'Or italien pour La Vendemmia dell'amore
- 2006 : trophée Femmes en or pour le récital Marie chante Laforêt
Nominations
- 1988 : César de la meilleure actrice dans un second rôle pour Fucking Fernand
- 2000 : Molière de la comédienne pour Master Class
- 2009 : Molière de la comédienne pour Master Class
Notes et références
- « Une statistique du prénom Maïtena », sur www.aufeminin.com..
- « Jean Eugène Denis Douménach », sur Base collaborative Pierfit.
- « Douménach, Jean Eugène Denis (X 1929 ; 1909-1983) », sur École polytechnique (promotion X 1929).
- « Marie Louise Saint Guily », sur Base collaborative Pierfit.
- « Marie Laforêt, la « Fille aux yeux d'or », est morte », sur lepoint.fr, .
- « Généalogie de M. Laforêt », sur genealogiemagazine.com.
- « Les vacances sainte-terroises de Marie Laforêt », Le Résistant, , p. 13 (ISSN 1260-8238).
- « Biographie de Marie Laforêt ».
- « Viol Marie Laforêt/Mémoire différée », sur ina.fr, Institut national de l'audiovisuel, (consulté le ).
- Hélène Lisle, « Marie Laforêt : la terrible phrase de sa mère lorsqu’elle lui a confié avoir été victime d’un viol à l’âge de 3 ans », sur femmeactuelle.fr, (consulté le ).
- interview dans l'émission Famille je vous aime
- interview dans VSD
- Julia Avellaneda, « Marie Laforêt, icône des années 60, est morte à l'âge de 80 ans », Gala, (lire en ligne).
- « Marie Laforêt - La Petenera (1960) Première interprétation inédit! » (consulté le ).
- « André Popp, 90 ans « Musicien par plaisir » Brillante carrière d’arrangeur, Chef d’orchestre et de Compositeur : Piccolo, Saxo et Compagnie ! », sur France Musique (consulté le ).
- « Marie Laforêt- El Cabrestero (live 1969) » (consulté le ).
- « Marie Laforêt - Raúl Maldonado "Le Tengo Rabia al Silencio" (A.Yupanqui) » (consulté le )
- « Décès de Marie Laforêt : réécoutez les tubes de la chanteuse », sur www.franceinter.fr, (consulté le ).
- Jacques Pessis (dir.), Chronique de la chanson française, Trélissac, Chronique/Dargaud, , 240 p. (ISBN 2-205-05521-6).
- AFP, « Décès à 80 ans en Suisse de la chanteuse et actrice Marie Laforêt », sur www.lepoint.fr, (consulté le ).
- (fr) « Marie Laforêt : "Je déteste m'entendre chanter" », sur femme.wanadoo.fr (consulté le ).
- « Influenceuse beauté avant l'heure, maîtresse supposée de Giscard, auteur d'un livre sur la finance... Cinq infos méconnues sur Marie Laforêt », sur www.cnews.fr, (consulté le ).
- Nouvelle dans le journal espagnol ABC.
- « Mort de Marie Laforêt : ces accusations délirantes lors de son passage dans une émission de Thierry Ardisson », sur telestar.fr, (consulté le ).
- « L’actrice et chanteuse Marie Laforêt est morte », sur lemonde.fr, .
- « Décès en Suisse de la chanteuse et actrice Marie Laforêt », sur letemps.ch, (consulté le ).
- Marc Arlin, « Marie Laforêt : les raisons exactes de son décès révélées », sur programme.tv, (consulté le ).
- 'La Rédaction, avec AFP', « A Paris, le dernier hommage à Marie Laforêt », Paris Match, (lire en ligne).
- « LAFORÊT Marie (Maïtena Douménach : 1939-2019) - Cimetières de France et d'ailleurs », sur www.landrucimetieres.fr (consulté le ).
- Musicalement, Marie douceur, Marie colère est une reprises de Paint It, Black des Rolling Stones.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Fageolle & Egon Kragel, Marie Laforêt , éd. ... Car rien n'a d'importance, 1994
- Alain Wodrascka, Marie Laforêt - La femme aux cent visages, éd. L'Étoile du Sud, 1999
- Alain Wodrascka, Marie Laforêt - Portrait d'une star libre, éd. Didier Carpentier, 2009 (ISBN 978-2-84167-612-5)
- Alain Wodrascka, Marie Laforêt - long courrier vers l'aurore, Mustang éditions, préface de Nilda Fernandez, 2014
Liens externes
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