Châteauroux

Châteauroux (prononcé : /ʃa.to.ʁu/ ) est une commune française, préfecture du département de l'Indre en région Centre-Val de Loire.

Cet article possède un paronyme, voir Chapeauroux.

« Chateauroux » redirige ici. Pour les autres significations, voir Châteauroux (homonymie).

Ne doit pas être confondu avec Châteauroux-les-Alpes.

Châteauroux

Hôtel de Ville de Châteauroux - Photo : Benjamin Steimes - Châteauroux Raphaël

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
(préfecture)
Arrondissement Châteauroux
(chef-lieu)
Intercommunalité Châteauroux Métropole
(siège)
Maire
Mandat
Gil Avérous (LR)
2020-2026
Code postal 36000
Code commune 36044
Démographie
Gentilé Castelroussins
Population
municipale
43 122 hab. (2019 )
Densité 2 265 hab./km2
Population
agglomération
60 747 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 37″ nord, 1° 41′ 28″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 164 m
Superficie 19,04 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Châteauroux
(ville-centre)
Aire d'attraction Châteauroux
(commune-centre)
Élections
Départementales Cantons de Châteauroux-1, Châteauroux-2 et Châteauroux-3
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Châteauroux
Géolocalisation sur la carte : France
Châteauroux
Géolocalisation sur la carte : Indre
Châteauroux
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Châteauroux
Liens
Site web www.chateauroux-metropole.fr

    Au recensement de 2015, la commune comptait 43 732 habitants[1]. En 2015, la communauté d'agglomération de Châteauroux devenue Châteauroux Métropole au 1er janvier 2015, compte 70 445 habitants et l'aire urbaine de Châteauroux compte quant à elle 93 202 habitants ce qui fait d'elle la 85e de France. C'est la plus petite aire urbaine pour une préfecture d'un département de la région Centre-Val de Loire. Il s'agit de la première ville du département de l'Indre, et la cinquième de la région Centre, derrière Tours, la capitale régionale Orléans, Bourges et Blois mais devant Chartres.

    La ville est notamment connue pour son club de football, La Berrichonne de Châteauroux.

    Géographie

    Localisation

    Châteauroux est située dans le centre[2] du département de l'Indre.

    Les communes limitrophes[2] sont : Déols (km), Saint-Maur (km), Le Poinçonnet (km) et Étrechet (km).

    Les sous-préfectures[2] sont situées à Issoudun (27 km), La Châtre (34 km) et Le Blanc (52 km).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Quartiers

    La ville est constituée de différents quartiers[3] tels que : Saint-Denis, le Fontchoir, Bitray, l'Omelon, les Nations, la Belle Étoile, les Fadeaux, le Buxerioux, Saint-Jean-le-Lac, Touvent, les Grands-Champs, Cré, la Loge, les Méraudes, Beaulieu, la Pointerie, la Bourie, Notz, Saint-Jacques, le Grand Poirier, la Brauderie, les Chevaliers, Saint-Christophe, les Rocheforts, Vaugirard, Belle Isle, Centre-Ville et les Marins.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 19,04 km2 et son altitude varie de 154 à 164 mètres.

    Châteauroux se situe sur des calcaires et marnes datant du Jurassique, bien que le cours de l'Indre et ses rives soient composés d'argiles et de sables datant du plio-Pléistocène[4].

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par les rivières Indre[5] et Ringoire[6]. Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune.

    Climat

    La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1963 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records CHATEAUROUX (36) - alt : 161 m 46° 47′ 12″ N, 1° 41′ 42″ E
    Statistiques établies sur la période 1987-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1987 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,6 3,5 5,3 9 12,2 14,1 14 10,7 8,4 4,2 2 7,2
    Température moyenne (°C) 4,4 5,4 8,2 10,5 14,6 17,9 20,1 20,1 16,4 12,9 7,6 4,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 7,4 9,2 12,9 15,8 20,2 23,6 26 26,3 22,1 17,4 11 7,6 16,7
    Record de froid (°C)
    date du record
    −17,5
    17.01.1987
    −16,5
    09.02.12
    −12
    01.03.05
    −5
    27.04.16
    −0,5
    06.05.19
    4,5
    01.06.11
    5,7
    11.07.1990
    4,5
    29.08.1998
    2
    20.09.12
    −6,5
    30.10.1997
    −9,5
    22.11.1993
    −12,5
    19.12.09
    −17,5
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,1
    05.01.1999
    24
    27.02.19
    25,5
    31.03.21
    29,5
    30.04.05
    33
    28.05.17
    40
    29.06.19
    41,5
    25.07.19
    41
    05.08.03
    36,5
    14.09.20
    30
    12.10.01
    24,5
    08.11.15
    20,1
    16.12.1989
    41,5
    2019
    Précipitations (mm) 73,1 59,6 60,9 72,1 76,4 56,8 61,1 56,7 68,3 85,7 76,8 81,9 829,4
    Source : « Fiche 36044001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Paysages

    Elle est située dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauroux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châteauroux, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 60 747 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Zonages d'études

    La commune se situe dans l'unité urbaine de Châteauroux, dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Châteauroux[16].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[1] de la commune :

    Date du relevé 2013 2015
    Nombre total de logements 26 148 26 140
    Résidences principales 85,5 % 83,8 %
    Résidences secondaires 1,8 % 1,6 %
    Logements vacants 12.7 % 14,6 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 46,4 % 47,2 %

    Voies de communication

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 40, 81, 101, 151, 920, 925, 943, 956 et 990[17].

    Transports

    Les lignes des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon et de Joué-lès-Tours à Châteauroux passent par le territoire communal, une gare[17] dessert la commune.

    Châteauroux est desservie par toutes les lignes du réseau de bus Horizon[18] ; par les lignes A, B, D, F, I, N, Q, S et V du Réseau de mobilité interurbaine[19] et par les lignes 1.3, 2.4, 4.2 et 4.3 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[20].

    L'une des singularités de l'agglomération de Châteauroux est de proposer un accès gratuit à son réseau de bus urbain, depuis le . Elle est une ville pionnière en France en matière de gratuité des transports en commun.

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[17], à km. Celui-ci est consacré au fret aérien, à la maintenance aéronautique, à l'entrainement des pilotes ainsi qu'à la formation des pompiers d'aéroports. Cependant, l'aéroport propose une ligne saisonnière régulière de fin mai à fin septembre chaque année vers Ajaccio en Corse mais également de nombreux vols « charters » durant les saisons printemps-été notamment vers l'Albanie, l'Autriche, la Bulgarie, la Crète, l'Égypte, la Jordanie, la Laponie, l'île de Madère, Faro/Lisbonne et Porto (Portugal) (programme février-octobre 2020).

    Énergie

    La commune possède deux postes sources[21] sur son territoire : « Madron » dans le quartier de Beaulieu et « Mousseau » dans le quartier de Buxerioux. Ils sont principalement approvisionnés par des lignes 90 et 225 kV, venant du barrage d'Éguzon.

    Risques naturels et technologiques

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[22].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Châteauroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Ringoire et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001 et 2014 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2016[25],[23].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Chäteauroux, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Châteauroux.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 12 856 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 12856 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2002, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[30].

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

    Toponymie

    Châteauroux doit son nom à son fondateur, Raoul le Large, fils d'Ebbes le Noble, prince de Déols, qui, au XIe siècle, quitta le bourg héréditaire, berceau de sa famille et capitale de ses domaines, pour un château qu'il fit construire à environ deux kilomètres, sur un monticule abrupt plongeant dans les eaux de l'Indre. Autour, vinrent se grouper des habitations qui, plus tard, formèrent la ville[32].

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement les noms d’Indrelibre ou d'Indreville.

    Ses habitants sont appelés les Castelroussins[33].

    Vue sur le Château Raoul depuis la prairie Saint-Gildas - Photo : Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole

    Histoire

    Moyen Âge

    Châteauroux a été précédée dans l’histoire par Déols. La présence gallo-romaine y est attestée par des pierres sculptées, des monnaies, des céramiques, des urnes funéraires. Vers 920, les moines de l'abbaye Saint-Gildas de Rhuys près de Vannes, trouvent refuge auprès d'Ebbes le Noble prince de Déols, pour protéger les reliques de saint Gildas de l'occupation du Sud de la Bretagne par les Normands entre 919 et 939 et fondent une abbaye sous le même vocable dans l'actuel quartier Saint-Christophe. Leur abbaye bretonne sera relevée en 1008 par les moines de l'abbaye de Fleury de Saint-Benoît-sur-Loire.

    Vers 937, deux ans après la mort au combat de son père Ebbes le Noble à Orléans, lors d'un nouveau raid hongrois qui avait traversé Champagne et Bourgogne[Note 3], le seigneur Raoul le Large, premier baron de Châteauroux, délaissa son palais de Déols, en raison de l’insécurité, ou encore pour doter l’abbaye Notre-Dame de Déols, également fondée par son père en 917, et il fit bâtir une forteresse en face de l'abbaye Saint-Gildas, sur un coteau de la rive gauche de l’Indre. À partir de 1112, ce château fut nommé « château Raoul », en raison du prénom fréquent chez les seigneurs de Déols, ce qui donna le nom de Châteauroux. La période féodale vit naître à l’abri de cet emplacement fortifié une bourgade d’artisans et de commerçants[34]. Les seigneurs de Châteauroux étaient puissants : leur « principauté » couvrait les deux tiers de l’actuel département de l’Indre[35] ; au XIe siècle, ils avaient leur propre monnayage[36].

    Le château et le bourg furent pris par Philippe Auguste en 1188[37]. À cette époque, la ville connaissait déjà une activité drapière importante, avec un moulin à foulon depuis quelques décennies[38]. Toute l’activité textile se concentrait le long de l’Indre, qui apportait sa force motrice, et une baronnie régie par ses propres coutumes se créa (actuelle rue de l’Indre)[39]. Cette production fut réglementée contre les fraudes externes (les drapiers de l’extérieur de Châteauroux vendant leurs pièces de tissu comme fabriquées à Châteauroux) et internes (les drapiers castelroussins étirant parfois leurs rouleaux de tissu pour vendre une plus grande longueur), et vendue lors de la grande foire annuelle[40].

    De la fin du XIXe siècle à nos jours

    Le [41], un train de marchandise a heurté un bœuf, entre la gare de Châteauroux et le « pont de Bryas », ce qui le fera dérailler. Malheureusement, le train rapide (voyageurs) no 67, circulant à proximité, entra en collision avec le train de marchandise. Cet accident aura fait 19 morts. Un jeune stagiaire de 25 ans, qui faisait fonction de sous-chef de gare, est inculpé pour « blessures et homicides par imprudence ».

    Témoignage[41] d'un journaliste de l'époque à La Dépêche du Centre :

    « Quel horrible spectacle ! On ne sait quels mots employer pour décrire les scènes qui se déroulent sous nos yeux. La paroi gauche du wagon de 3e classe a été arrachée sur toute sa longueur et rejetée sur le ballast et sous les roues du wagon métallique. On ne distingue plus que couvertures, bras, jambes, enchevêtrés parmi les ressorts et le crin des banquettes ». Il y a aussi des miraculés, comme cette femme, blessée. « La malheureuse, qui avait conservé toute sa présence d'esprit, était étendue parmi trois ou quatre cadavres, dont celui de son mari. Elle marque une défaillance, car voilà déjà plus d'une heure qu'elle est dans cette position. On lui fait absorber une nouvelle rasade de rhum. »

    Malgré la distance de la frontière espagnole, Châteauroux se retrouve concernée par la guerre d'Espagne. Dès 1936, des réfugiés arrivent. Ils sont installés dans les taudis de la cité Bitray[42]. Entre le 29 janvier et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans l’Indre. Contrairement aux départements voisins qui font appel aux communes, l’Indre réussit à les regrouper dans seulement sept centres (dont Châteauroux), ce qui permet un meilleur contrôle de cette population considérée comme dangereuse[43]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[44].

    De 1940 à 1942, les unités de l’armée d'armistice cantonnées à Châteauroux sont[45] :

    Politique et administration

    Découpage territorial

    Châteauroux[16] est membre :

    De 1973 à 2015, la commune fut rattachée et fractionnée en quatre cantons : Châteauroux-Centre, Châteauroux-Est, Châteauroux-Ouest et Châteauroux-Sud.

    Tendances politiques et résultats

    Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
    Année Élu Battu Participation
    2002 85.36 % Jacques Chirac RPR 14.63 % Jean-Marie Le Pen FN 78.61 % [46]
    2007 46.78 % Nicolas Sarkozy UMP 53.22 % Ségolène Royal PS 82.51 % [47]
    2012 59.38 % François Hollande PS 40.62 % Nicolas Sarkozy UMP 77.08 % [48]
    2017 71.05 % Emmanuel Macron EM 28.95 % Marine Le Pen FN 70.36 % [49]
    2022  % Emmanuel Macron LREM  % Marine Le Pen RN  % [50]
    Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élu Battu Participation
    Châteauroux est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    Avant 2010, Châteauroux est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    2002 51,09 % Jean-Yves Hugon UMP 48,91 % Jean-Yves Gateaud PS 62.46 % [51]
    2007 52.06 % Michel Sapin PS 47.94 % Jean-Yves Hugon UMP 60.81 % [52]
    Après 2010, Châteauroux est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
    2012 60.55 % Jean-Paul Chanteguet PS 39.45 % François Jolivet UMP 53.92 % [53]
    2017 75.08 % François Jolivet EM 24.92 % Mylène Wunsch FN 40.20 % [54]
    2022  %  %  % [55]
    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 38.03 % Catherine Guy-Quint PS 16.81 % Brice Hortefeux UMP 41.08 % [56]
    2009 30.33 % Jean-Pierre Audy UMP 19.25 % Henri Weber PS 37.72 % [57]
    2014 22.48 % Bernard Monot FN 21.78 % Brice Hortefeux UMP 38.18 % [58]
    2019 22.81 % Jordan Bardella FN 22.60 % Nathalie Loiseau LREM 46.75 % [59]
    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 57.36 % Michel Sapin PS 29.86 % Serge Vinçon UMP 61.88 % [60]
    2010 57.01 % François Bonneau PS 31.62 % Hervé Novelli UMP 48.90 % [61]
    2015 41.75 % François Bonneau PS 34.72 % Philippe Vigier UDI 54.23 % [62]
    2021 42.65 % François Bonneau PS 29.46 % Nicolas Forissier LR 29.53 % [63]
    Élections cantonales
    Année Élu Battu Participation
    Châteauroux est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de Châteauroux-Centre, Châteauroux-Est, Châteauroux-Ouest et Châteauroux-Sud.
    2001  %  %  % [64]
    2004  %  %  % [65]
    2008  %  %  % [66]
    2011  %  %  % [67]
    Élections départementales
    Année Élus Battus Participation
    Châteauroux est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de Châteauroux-1, Châteauroux-2 et Châteauroux-3.
    2015  %  %  % [68]
    2021  %  %  % [69]
    Référendums.
    Année Oui (national) Non (national) Participation
    1992 50.39 % (51,04 %) 49.61 % (48,96 %) 69,80 % [70]
    2000 74.88 % (73,21 %) 25.12 % (26,79 %) 29.65 % [71]
    2005 41.41 % (45,33 %) 58.59 % (54,67 %) 67.81 % [72]

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 mai 1945 Pierre Chaumeil  ?  ?
    mai 1945 octobre 1947 Pierre Gautier PCF  ?
    octobre 1947 mars 1959 Édouard Ramonet Radical  ?
    mars 1959 1967 Louis Deschizeaux DVG  ?
    1967 mars 1971 Gaston Petit SFIO  ?
    mars 1971 mars 1989 Daniel Bernardet UDF Député de l'Indre
    mars 1989 mars 2001 Jean-Yves Gateaud PS Député de l’Indre
    mars 2001 mars 2014 Jean-François Mayet UMP Sénateur de l’Indre
    mars 2014 En cours Gil Avérous LR Attaché territorial
    Ancien directeur de cabinet de Jean-François Mayet
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La commune[73] est jumelée avec :

    Équipements et services publics

    Eau et déchets

    Châteauroux s'est engagée dans une démarche de développement durable avec l'élaboration de son Agenda 21 qui a débuté en avril 2007. Celui-ci s'articule autour de quatre axes regroupant 39 actions[75] :

    • axe I : développer l'attractivité de la ville ;
    • axe II : préserver et valoriser la qualité environnementale et patrimoniale ;
    • axe III : renforcer la sensibilisation de tous et les comportements écoresponsables ;
    • axe IV : organiser les partenariats et renforcer les solidarités.

    National

    • Agence nationale de l'habitat[76]

    Régional

    Départemental

    Communal

    Enseignement

    Postes et télécommunications

    Châteauroux compte six bureaux de poste et un centre de tri postal[100].

    Santé

    La commune possède un centre hospitalier[101] (Samu 36 et Smur 36), ainsi que plusieurs maisons médicales, maisons de retraites et pharmacies.

    Institut de Formation en Soins Infirmiers - Photo : Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole

    Justice, sécurité, secours et défense

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[115],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 43 122 habitants[Note 5], en diminution de 4,62 % par rapport à 2013 (Indre : −3,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7 5038 0498 51210 42911 58713 84713 55114 51715 931
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    18 23716 17017 16118 67019 44221 17922 86023 92423 863
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    24 95725 43726 09526 56625 80626 70728 57834 61136 420
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    45 06349 13853 42951 94250 96949 63247 55945 52144 088
    2019 - - - - - - - -
    43 122--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[116] puis Insee à partir de 2006[117].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le recensement de 2015 indique un vieillissement de la population et un solde naturel négatif : 438 naissances pour 499 décès.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Biennale internationale de céramique de Châteauroux, organisée par les musées de la ville de Châteauroux et Châteauroux métropole
    • Envolée des Livres
    • Festival de la Voix
    • Festival Darc
    • Festival de musique romantique Lisztomanias
    • Festival Berry Lait
    • Nuit Polar Black Berry
    • Blizzard Festival (2016 à 2019)[118]

    Sports

    Châteauroux est traversé par le sentier de grande randonnée 46[119].

    Élue 3e ville la plus sportive de France lors du « Challenge l'Équipe » en 1997, Châteauroux offre la possibilité aux 12 500 licenciés des 137 associations sportives et sections omnisports de pratiquer 52 disciplines dans plus de 70 équipements[120] sportifs mis à leur disposition :

    • vingt trois stades dont Gaston-Petit ;
    • dix gymnases omnisports ;
    • vingt cinq courts de tennis ;
    • deux piscines ;
    • un complexe de motocross et d'autocross ;
    • une salle de skate, de roller qui contient aussi un mur d'escalade ;
    • un hippodrome ;
    • boulodrome ;
    • des pistes de voitures téléguidées ;
    • des pistes d’aéromodélisme
    • un golf 18 trous ;
    • un plan d'eau de 8 hectares ;
    • un stand national de tir est réalisé en 2016 sur l'ancienne zone militaire de « La Martinerie ». Il sera la propriété de la Fédération française de tir. Ce stand, sans équivalent en Europe, permet de pratiquer près de 60 disciplines différentes ;
    • deux skate-park ;
    • lac de Belle-Isle (site de baignade surveillé[121]).
    Tour de France de cyclisme

    Le , la commune a accueilli le départ de la 1re étape de la course de cyclisme Paris-Nice 1996. Elle a également accueilli quatre étapes du Tour de France, le (5e étape) ; le (à nouveau la 5e étape) ; le , la 7e étape et le (6ème étape).

    Mark Cavendish remporte trois étapes (2008, 2011, 2021) à l'arrivée de l'avenue de la Châtre à coté du stade Gaston Petit.

    Arrivée du Tour de France 2021. Photo : Benjamin Steimes - Châteauroux Métropole

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry, RCF en Berry et Radio balistiq.

    L'émission de France 3 Midi en France[122], présentée par Laurent Boyer a tourné cinq émissions les 19 et .

    Plusieurs films ont aussi été tournés :

    Catholique

    La commune de Châteauroux dépend de l'archidiocèse de Bourges et de sa subdivision le doyenné de Châteauroux[123].

    Elle est divisée en 3 paroisses : Saints-Apôtres - Châteauroux, La Résurrection - Châteauroux et Saint Gildas - Châteauroux.

    Les lieux de culte sont les églises : Saint-Martial, Saint-André, Notre-Dame, Saint-Christophe, Saint-Joseph, Sainte-Thérèse et Saint-Jean, ainsi que la chapelle Saint-Jacques située dans le quartier du même nom.

    Islamique

    La commune compte trois mosquées : Al Mouhssinine, Ibn abaas et la mosquée des Turc, toutes dans le quartier Saint-Jean.

    Évangélique

    • Église évangélique, rue de la Concorde.
    • Église protestante évangélique, allée des Lucioles.
    • Église néo-apostolique, rue Charles-Perrault.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal et le pourcentage de foyers fiscaux imposables sont présentés dans les tableaux ci-dessous[124],[1] :

    Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal
    2009 2015
    Châteauroux ? 18 609 
    Indre 19 310  19 175 
    Centre-Val de Loire 22 400  20 494 
    France 23 433  20 566 
    Pourcentage de foyers fiscaux imposables
    2009 2015
    Châteauroux ?% 49.2 %
    Indre 47.9 % 48.7 %
    Centre-Val de Loire 55.1 % 55.5 %
    France 54.3 % 55.4 %

    Emploi

    Lancé en 2007, la zone d'Ozans de l'agglomération de Châteauroux est appelée à devenir un parc d'activités économiques. Des investisseurs chinois devraient s'y installer. D'une taille de 508 hectares et à vocation internationale, cette zone d'aménagement concerté (ZAC) se situe en quasi-totalité sur la commune d'Étrechet. Ce projet est réalisé suivant une démarche volontaire ancrée dans le développement durable par la certification HQE (haute qualité environnementale).

    Ce projet devait ouvrir en 2012, afin de relancer la croissance économique et l'emploi dans la région, toutefois des questions demeurent quant aux avantages qu'en tirerait la ville[125].

    Entreprises et commerces

    Le Châteauroux Business District[125] devait ouvrir en 2012, afin de relancer la croissance économique et l'emploi dans la région. Des investisseurs chinois devaient s'y installer. Toutefois des questions demeurent quant aux avantages qu'en tirerait la ville. L'usine de Pyrex France y est installée.

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[126].

    Tourisme et hébergement

    Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping Le Rochat Belle-Isle qui dispose de 142 emplacements[127].

    Culture locale et patrimoine

    Ville et Pays d'art et d'histoire

    Châteauroux a obtenu au concours des villes et villages fleuris :

    Château Raoul

    Le château Raoul (Xe siècle) domine les bords de l'Indre, il appartenait aux seigneurs de Déols. Il fut reconstruit au XVe siècle, et restauré au XIXe siècle.

    Château du Parc

    Le château fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [133]. Il est situé dans le parc Balsan, entre l'IUT de Châteauroux et le centre universitaire supérieur de Châteauroux.

    Château du Touvent

    La chapelle du château du Touvent a été construite en 1855. Elle dispose de dimensions modestes et orientée. La chapelle a un vaisseau unique de cinq travées, flanqué de bas-côtés très étroits, et terminé par une abside en hémicycle.

    Couvent des Cordeliers

    C'est un ancien couvent franciscain du XIIIe siècle, place Sainte-Hélène, il héberge aujourd'hui une partie de l'École des beaux-arts et des expositions d'art contemporain (par exemple la biennale internationale de céramique de Châteauroux). Situé dans la partie historique de la ville et dominant la vallée de l'Indre, c'est un lieu de promenade agréable.

    Centre paroissial Saint-Jacques

    Il a été construit en deux temps entre le milieu des années 1970 (logement de fonction + première chapelle, actuelle salle de réunion) et le début des années 1980 (chapelle actuelle), rue Stéphane-Mallarmé, le centre paroissial Saint-Jacques est implanté au cœur du quartier du même nom (Saint-Jacques - le Grand Poirier). Son architecture est représentative des centres paroissiaux construits à cette époque dans les nouveaux quartiers en périphérie des villes. Dépend de la paroisse des Saints-Apôtres.

    Églises et chapelles

    • Église Saint-Martial, rue Grande.
    • Église Saint-Christophe, place Saint-Christophe.
    • Église Saint-André, place Voltaire.
    • Église Notre-Dame, rue Porte-Neuve.
    • Église Saint-Joseph, avenue John-Kennedy (moderne).
    • Église Sainte-Thérèse, rue de Bourgogne (moderne).
    • Église Saint-Jean, allée Gustave-Flaubert (moderne).
    • Chapelle de la Rédemptoristes, rue Paul-Louis-Courier.
    • Chapelle Sainte-Solange, rue de la Gare.
    • Chapelle de la maison de retraite George Sand, rue du 3e-Régiment-d'Aviation-de-Chasse.
    • Chapelle du château de Tout Vent, route de Velles.
    • Temple protestant de Châteauroux, rue Thabaud-Boislareine, construit en 1877.

    Chapelle Saint-Martin

    La chapelle Saint-Martin, place Roger-Brac, existait déjà au début du Xe siècle, comme l'atteste la charte lors de la fondation de l'abbaye de Déols en 917 qui la désigne comme étant à côté du château de Déols.

    Autres

    • Monument aux morts de la guerre de 1870

    Musée du compagnonnage

    Le musée du compagnonnage[134]

    Musée Bertrand

    Le musée Bertrand[135] (XVIIIe siècle) : dans un ancien hôtel du XVIIIe siècle ayant appartenu au général Bertrand se trouvent des collections napoléoniennes, des souvenirs du général Desaix, de bons spécimens de peinture flamande du XVIIe siècle et des écoles régionales de peinture et de sculpture XIXe et XXe siècles, dont le sculpteur Ernest Nivet.

    Maison des arts et traditions populaires du Berry

    La Maison des arts et traditions populaires du Berry est située au cœur du parc Balsan. Ce musée regroupe des collections basées sur le thème de la culture berrichonne, ainsi que sur la vie rurale en Berry. Photographies, gravures, coiffes, objets en tout genre font renaître la vie des paysans d'antan, au cœur de cette province de France[136].

    Équinoxe

    Quoiqu'étant des bâtiments voisins, il convient de bien distinguer la médiathèque Équinoxe de la Scène Nationale Équinoxe.

    L'Équinoxe Scène Nationale propose une programmation à la fois riche et variée (théâtre, danse contemporaine, mais aussi jazz, chanson, lectures) résultant de l'importante politique culturelle dédiée à la seule grande scène de la ville. Équinoxe accueille également en janvier le festival du clown « La barrière de dégel ».

    Autres

    Personnalités liées à la commune

    Dans la culture populaire

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    D'azur au château flanqué de deux tours d'argent, maçonné, ajouré et ouvert de sable, essoré de gueules et girouetté d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Le logo de Châteauroux Métropole :

    Depuis 2015, le logo de Châteauroux représente l'initiale de la ville sur lequel est apposé sept barres représentant les directions de principales villes de l'agglomération. Il s'agit du logo mutualisé entre la ville et la communauté d'agglomération.
    Ancien logo de la commune de Châteauroux :

    L'ancien logo de Châteauroux est blanc avec les armoiries de la commune au centre et « Ville de Châteauroux » en lettres bleues en dessous.
    Drapeau de Châteauroux :

    Le drapeau est formé de trois bandes verticales verte, jaune et rouge. Le vert représente les prairies, le jaune les moissons et le rouge la vigne. À l’origine ce drapeau est celui du Berry. Il a été repris par la commune de Châteauroux[réf. nécessaire].
    Drapeau de Châteauroux :

    Le drapeau de Châteauroux est formé de deux bandes verticales bleue et rouge. Les couleurs proviennent des armoiries[139].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Simon Ostermann, « La clandestinité des Juifs dans les villes de province sous Vichy. L'exemple de Châteauroux (1940-1944) », dans Sylvie Aprile (dir.), Emmanuelle Retaillaud-Bajac (dir.), Clandestinités urbaines : Les citadins et les territoires du secret (XVIe-XXe), Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753531307, lire en ligne), Troisième : Topographies et géographies de la clandestinité urbaine, p. 255-275.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. De 911 à 917, les premiers raids hongrois avaient atteint la Bourgogne, la Champagne, voire le Berry.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

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    40. Christine Méry-Barnabé, op. cit., p. 19.
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