Viols-le-Fort

Viols-le-Fort (en occitan Viòus lo Fòrt) est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Viol (homonymie) et Le Fort.

Viols-le-Fort

Porte du Fanabregol.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Anne Durand
2020-2026
Code postal 34380
Code commune 34343
Démographie
Gentilé Violiens
Population
municipale
1 228 hab. (2019 )
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 39″ nord, 3° 42′ 20″ est
Altitude 257 m
Min. 157 m
Max. 535 m
Superficie 16,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Viols-le-Fort
Géolocalisation sur la carte : France
Viols-le-Fort
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Viols-le-Fort
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Viols-le-Fort
Liens
Site web Annuaire service-public.fr : Viols-le-Fort

    Exposée à un climat méditerranéen, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « gorges de l'Hérault » et les « hautes garrigues du Montpelliérais ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Viols-le-Fort est une commune rurale qui compte 1 228 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les violiens ou violiennes.

    Géographie

    Carte du territoire communal.

    Viols-le-Fort se situe dans le Sud de la France au nord de la ville de Montpellier (Hérault, 34) dans la région Occitanie.

    Communes limitrophes et proches

    Communes limitrophes de Viols-le-Fort
    (Distances : à vol d'oiseau / par la route)[1]
    St-André-de-Buèges (12.16 / 28,93 km)
    Causse-de-la-Selle (8.31 / 19,27 km)
    Pégairolles-de-Buèges (11.77 / 28,48 km)
    Brissac
    (15.10 / 23,64 km)
    St-Bauzille-de-Putois (17.19 / 19,82 km)
    St-Martin-de-Londres (5.91 / 6,64 km)
    ND-de-Londres (10.99 / 13,49 km)
    Viols-en-Laval (1.98 / 2,40 km)
    Cazevieille (7.44 / 8,87 km)
    St-Privat
    (22.41 / 34,30 km)
    Le Triadou
    (11.92 / 15,85 km)
    St-Guilhem-le-Désert (12.54 / 19,23 km)
    Puéchabon (7.62 / 9,07 km)
    Aniane (10.86 / 14,93 km)
    Argelliers (5.40 / 7,86 km)
    Montarnaud
    (10.36 / 13,50 km)
    Les Matelles (8.59 / 12,04 km)
    St-Gély-du-Fesc (9.84 / 14,44 km)
    Combaillaux (9.70 / 17,38 km)
    Murles (6.86 / 9,24 km)
    Vailhauquès (7.96 / 10,38 km)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 016 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin de Londres », sur la commune de Saint-Martin-de-Londres, mise en service en 1947[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 075,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[16]

    et un au titre de la directive oiseaux[15] :

    • les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18] : les « bois dolomitiques des Matelettes » (243 ha), couvrant 2 communes du département[19] et les « mares de Cazarils et de Caunas » (415 ha), couvrant 3 communes du département[20] et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[18] :

    • les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » (16 219 ha), couvrant 17 communes du département[21] ;
    • le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[22] ;
    • les « Pic-Saint-Loup et Hortus » (11 816 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Viols-le-Fort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 1],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones urbanisées (5,3 %), cultures permanentes (4 %), forêts (3,9 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    L'origine du nom de « Viols-le-Fort » et de ses villageois reste un mystère[27].

    Les habitants de la commune sont parfois nommés les siffleurs. L’origine de ce surnom est lié à la façon de prononcer le nom du village par laquelle la lettre « s » de Viols est sonore. Le bulletin d'information de la municipalité s'appelle d'ailleurs « Lou Sifflaïre de Viols » en hommage à ce sobriquet qui a traversé les âges[27].

    Histoire

    Héraldique

    Les armoiries de Viols-le-Fort se blasonnent ainsi : « D’azur à un Saint Étienne de carnation, vêtu en diacre, l’aube d’argent et la dalmatique de gueules bordée d’or, tenant d’une main une palme aussi d'or et de l’autre trois cailloux d'argent ensanglantés aussi de gueules ».

    La version actuelle est plus colorée que celle attribuée d'office par d'Hozier en septembre 1700 : « D’azur à un Saint-Étienne de carnation, vêtu en diacre, tenant en sa dextre une palme et en sa senestre trois cailloux, le tout d’or ».


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Jean-Marie Chalier SE Éducation Nationale
    mars 2014 juin 2020 Pierre Louis SE Fonctionnaire
    juin 2020 en cours[28] Anne Durand   Conseillère immobilier[29]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2019, la commune comptait 1 228 habitants[Note 9], en augmentation de 3,72 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7225637909741 1021 047998943982
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    903838784766775725706727716
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    703686617611601580497338340
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3713584124936708521 0101 0541 184
    2018 2019 - - - - - - -
    1 2201 228-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Le Tambourin Club de Viols-le-Fort (TCVLF) porte les couleurs de la commune en balle au tambourin. L'équipe fanion masculine du TCV évolue en Nationale 1, la premiere division nationale de la discipline.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 500 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 198 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 400 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,3 %8,7 %5,8 %
    Département[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 807 personnes, parmi lesquelles on compte 75 % d'actifs (69,1 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 25 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 223 emplois en 2018, contre 206 en 2013 et 188 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 564, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5 %[I 10].

    Sur ces 564 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 115 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    152 établissements[Note 12] sont implantés à Viols-le-Fort au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble152100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    159,9 %(6,7 %)
    Construction2013,2 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2717,8 %(28 %)
    Information et communication95,9 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance21,3 %(3,2 %)
    Activités immobilières42,6 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2516,4 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3523 %(14,2 %)
    Autres activités de services159,9 %(8,1 %)

    Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23 % du nombre total d'établissements de la commune (35 sur les 152 entreprises implantées à Viols-le-Fort), contre 14,2 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[34] :

    • Nouvelles Carrieres Du Pic ST Loup, exploitation de gravières et sablières, extraction d'argiles et de kaolin (5 621 k€)
    • Batir, exploitation de gravières et sablières, extraction d'argiles et de kaolin (1 916 k€)
    • Transports Pic Saint Loup, transports routiers de fret de proximité (915 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations332554
    SAU[Note 14] (ha)1 02690119147

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (33 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 147 ha[37],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Viols-le-Fort » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Viols-le-Fort » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Viols-le-Fort » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Viols-le-Fort » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Distances vers : Brissac, Saint-Bauzille-de-Putois, Saint-Martin-de-Londres, Notre-Dame-de-Londres, Viols-en-Laval, Cazevieille, Le Triadou, Les Matelles, Saint-Gély-du-Fesc, Combaillaux, Murles, Vailhauquès, Montarnaud, Argelliers, Aniane, Puéchabon, Saint-Guilhem-le-Désert, Saint-Privat, Pégairolles-de-Buèges, Causse-de-la-Selle et Saint-André-de-Buèges, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Pierre Casado, « Origine et histoire des noms de lieux, abrégé méthodologique : un cas d'espèce, Viols-le-Fort », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 48, , p. 15-23
    • Bernard Combettes, Le Parler de Viols-Le-Fort (Hérault), S.l., s.n., , 481 p.
    • Jean-Claude Richard Ralite, « Une perspective du plan du lieu de Viols-le-Fort (Hérault) de 1625 », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 201-202-203, , p. 6-17
    • André Soutou, « Le mas médiéval des Gardioles (Viols-le-Fort, Hérault) : à la mémoire de Jacques Vallon », Archéologie en Languedoc, no 4, , p. 165-167
    • Viols-le-Fort : quelques aspects de la vie quotidienne d'un village de garrigues, coll. « Mémoire d'Oc » (no 34), , 100 p.

    Fonds d'archives

    Article connexe

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