Antakya
Antakya (en turc : [ˈɑntɑkjɑ]) ou Antioche en français[1] est une ville de Turquie, située au sud du pays dans la province extra-anatolienne du Hatay, dont elle est la capitale, à une vingtaine de kilomètres de la côte levantine du bassin méditerranéen, dans une vallée sur les rives de l'Oronte (appelé Asi en turc).
Antioche
Antakya ou Antioche | |
Administration | |
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Pays | Turquie |
Région | Région méditerranéenne |
Province | Hatay |
District | Antakya |
Maire | Lütfü Savaş (depuis 2009) AKP (2009 - 2014) CHP (2014) |
Préfet | Ercan Topaca (2014) |
Indicatif téléphonique international | +(90) |
Plaque minéralogique | 31 |
Démographie | |
Population | 213 296 hab. |
Densité | 38 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 36° 12′ nord, 36° 10′ est |
Superficie | 567 800 ha = 5 678 km2 |
Localisation | |
Districts de la province de Hatay | |
Liens | |
Site de la mairie | http://www.antakya.bel.tr |
Site de la province | http://www.hatay.gov.tr |
La ville occupe le site de l'antique Antioche-sur-l'Oronte (en grec ancien : Ἀντιόχεια ἡ ἐπὶ Ὀρόντου / Antiókheia hē epì Oróntou ; en latin : Antiochia ad Orontem), fondée au IVe siècle av. J.-C. par les Séleucides et promue capitale des provinces syrienne puis cœlé-syrienne sous les Romains avant de jouer « un rôle ecclésiastique de premier plan[2] » à partir du IVe siècle apr. J.-C. et la fondation de l'Empire byzantin, l'Église d'Antioche étant une des cinq premières Églises chrétiennes (avec celles de Rome, Constantinople, Alexandrie et Jérusalem).
Prise par le calife Omar au VIIe siècle, la ville médiévale (appelée en arabe أنطاكيّة / anṭākiyya, parfois transcrit « Antakiyé » en français) retrouva son nom grec ou la forme arabisée de celui-ci au gré des conquêtes ou des reconquêtes par les Byzantins (en 969), les Seldjoukides (en 1084[3]), les croisés (en 1098[4]), les Ayyoubides (en 1187) et les Mamelouks (en 1268[5]) qui s'y succédèrent jusqu'à l'arrivée des Ottomans en 1517[4], qui l'intégreraient au pachalik d'Alep puis au vilayet d'Alep (en 1867). Rattachée au sandjak d'Alexandrette puis en 1938 à l'État du Hatay sous le mandat français qui suivit la chute de l'Empire ottoman à la fin de la Première Guerre mondiale, Antioche rejoignit avec le reste de l'État du Hatay la République turque au terme d'un référendum qui s'est tenu en 1939 mais dont la légitimité demeure à ce jour contestée par la Syrie.
La ville moderne turque d'Antakya est peuplée d'environ 250 000 habitants, dont la majorité est turcophone, l'arabe continuant néanmoins d'être parlé par une partie de la population.
Géographie
La ville se trouve à une vingtaine de kilomètres de la Méditerranée.
Histoire
Époque hellénistique
Fondée vers par Séleucos Ier Nicator après sa victoire d'Ipsos sur Antigone le Borgne, il l'appelle Antiocheia (en grec Ἀντιόχεια) en souvenir de son père Antiochos. La ville connaît un essor démographique rapide car elle est créée par synœcisme (réunion de plusieurs villages pour fonder une polis) de plusieurs bourgs avoisinants, Lopolis, Jope, Meroe et Bottia, synœcisme amplifié par l'adjonction de 3 500 familles macédoniennes et grecques déplacées d'Antigonie, l'ancienne capitale de son rival située 9 km en amont sur l'Oronte. Bâtie initialement en retrait de la rive gauche du fleuve en raison des risques d'inondations, elle est conçue sur un plan hippodamien à l'image d'Alexandrie. Elle se veut en être la concurrente dans la région. Antioche devient l'une des grandes villes de l'époque. Les immigrants et en particulier, fait rare, les Juifs, y obtiennent les mêmes droits que les autres habitants.
On la connaît aussi sous le nom d’Antioche sur l'Oronte afin de la distinguer des quinze autres Antioche créées par le monarque et d’Antioche épi [près de] Daphnè, du nom d'un bois sacré voisin consacré à Apollon et dans lequel Séleucos éleva un temple au dieu tutélaire des Séleucides.
La première Antioche, dont Séleucos confia la construction à une commission de trois superviseurs, Attaios, Péritas et Anaxicratès, ne comprenait que deux quartiers : ce qui devait devenir le quartier royal, dans l’île, et le quartier sud. Elle fut entourée d’une enceinte (dont il ne reste rien) conçue par l’architecte Xénaïos.
Légende tardive ou souvenir d’un rite barbare, Jean Malalas[6] explique que la fondation d’Antioche est marquée par un sacrifice humain, celui d’une jeune fille nommée Aimathè. Elle est alors considérée comme une déesse, la Tyché (la Fortune), et son sanctuaire fondé par Séleucos devient l’un des plus importants de la cité. Le roi commande une statue au sculpteur Eutychidès de Sicyone, œuvre monumentale qui va devenir une des plus célèbres du monde grec : elle représentait la jeune fille voilée, couronnée de tours, tenant à la main des épis de blé, assise sur un rocher qui symbolise le mont Silpios ; à ses pieds apparaît à partir de la taille un jeune nageur étendant les bras, et représentant l’Oronte. Le roi fonde aussi d’autres sanctuaires pour la ville nouvelle : celui de Zeus Bottaios, un dieu macédonien, et dans les environs un temple d’Athéna avec une belle statue de bronze pour les colons athéniens venus d’Antigonéia, ainsi qu’un bois sacré de cyprès à proximité du Daphneion, le « sanctuaire du Laurier » consacré à Apollon, sur les hauteurs de Daphnè au sud-ouest.
Particulièrement bien située, à la charnière des voies conduisant vers l'Anatolie, la Mésopotamie et la Judée, et sur l'Oronte alors navigable, Antioche devient la capitale du royaume séleucide et l'un des principaux centres de diffusion de la culture hellénistique. La ville se pose très tôt en rivale d'Alexandrie.
La ville est dans la plaine fertile de l'Amuq, abritée par de petits massifs montagneux (le mont Staurin et le mont Silpion) qui défendent son approche et fournissent des piémonts aisés à fortifier. Elle est sans cesse agrandie, ce qui lui vaut la qualification de Tétrapole (cité quadruple) par le géographe Strabon[7]. Au milieu de l'Oronte, il y avait une île aménagée sous Antiochos III avec la construction du palais ou quartier royal, et au sud de cette île, la cité fondée par Séleucos avec ses rues parallèles au fleuve. Plus au sud encore le quartier d'Epiphaneia dont Antiochos IV Épiphane voulut faire le centre politique de la cité. Elle est peuplée de Grecs, de Syriens rapidement hellénisés et de Juifs. C’est une cité florissante et prospère (industrie textile, joaillerie, produits de luxe) mais qui ne peut rivaliser ni avec Alexandrie ni avec Pergame comme foyer littéraire et artistique.
La cité compte de 300 000 à 400 000 habitants à la fin de la période hellénistique. Son urbanisme (rues à angle droit) et ses institutions (boulè et archontes) sont ceux d’une polis (cité), qui peut se comporter à l’occasion comme un État souverain, surtout en cas d’affaiblissement du pouvoir royal. En , les Antiochiens n’hésitent pas à lâcher la dynastie séleucide et à demander la protection du roi d’Arménie Tigrane II.
Époque romaine
Après la conquête romaine en par Pompée, elle devient la capitale de la province de Syrie et, loin de s'affaiblir, conserve le surnom de « Couronne de l'Orient ». Sous le règne de Tibère, la ville est étendue vers le nord, reçoit une enceinte unique et son centre de gravité devient une avenue d'environ 30 mètres de largeur comportant 3 200 colonnes, presque parallèle à l'Oronte, séparant le quartier d'Épiphanie du reste de la cité, et offerte par Hérode le Grand. Ce type d'urbanisme est ensuite imité par presque toutes les cités d'Orient. Antioche, compte alors environ 500 000 habitants, et est la troisième ville de l'Empire, derrière Rome et Alexandrie.
Ce décor, déjà exceptionnel, eut à souffrir du séisme de 37. Les monuments sont restaurés, et l’empereur Caïus César « Caligula » fait construire à Daphné des thermes avec leur aqueduc. Titus ajoute un théâtre à proximité. Dans Antioche, Domitien fait construire des thermes et un temple d’Asclépios, Trajan un nouveau pont, un cirque et d'autres thermes. Survient le très grave séisme de 115 : Trajan en personne se trouve en ville et manque bien de recevoir le plafond sur la tête. Les destructions sont considérables ; Trajan puis Hadrien rebâtissent une ville plus somptueuse qu’avant. La grande colonnade, cœur commerçant de la cité, est entièrement refaite sur toute sa longueur par-dessus les gravats. La chaussée centrale avait alors une largeur de 9 m, les portiques latéraux une largeur presque équivalente, et les boutiques une profondeur de 4 m. C’est sous les portiques qu’on circulait, à l’abri du soleil et des intempéries ; la chaussée centrale était sans doute encombrée de marchandises et de petits stands démontables, dont au IVe siècle Libanios donna une évocation vivante. Hadrien fait construire deux temples, à Artémis et à Trajan divinisé. Entre 162 et 166, durant sa guerre contre les Parthes, Lucius Aurelius Verus séjourne surtout à Antioche, entouré d'une cour brillante. Son frère adoptif, Marc Aurèle fait restaurer des thermes, et construire le Nymphée, fontaine monumentale ornée comme un décor de théâtre. La ville avait pourtant soutenu l'usurpation d'Avidius Cassius. Marc Aurèle cependant ne prend pas de mesures de rétorsion autres que symboliques : il ne visite la ville qu'au retour de son voyage en Orient en 176. Son gendre Claudius Pompeianus était originaire de la cité. Commode fait construire de nouveaux thermes si monumentaux que l'empereur Caracalla s'en servit pour donner ses audiences, des temples à Zeus Olympien et à Athéna, et le Xystos qui était un stade couvert.
En 193-194, la cité prend parti pour son gouverneur Pescennius Niger au cours de la guerre civile qui l'oppose à Septime Sévère. Après la victoire de ce dernier, Antioche est punie, rétrogradée au rang de simple bourg du territoire de Laodicée (Lattaquié), mais recouvre rapidement son statut de cité et de capitale de la Syrie. Avec la multiplication des conflits entre l'Empire romain et l'Empire parthe, puis l'Empire sassanide, Antioche devient souvent résidence impériale et base arrière des campagnes romaines en Mésopotamie. Caracalla, Macrin, Héliogabale, Sévère Alexandre, Gordien III, Philippe l'Arabe, Valérien, Aurélien, Carus, Dioclétien, Galère et Maximin Daïa et Julien y séjournent.
Lors de l'invasion de la Syrie par les Perses sassanides de Shapur Ier en 252 la cité, dont un notable nommé Mariadès avait pris le contrôle, collabore un temps avec les Perses, qui se ravisent et la détruisent de fond en comble, déportant en Iran une grande partie de la population. Elle est reconstruite par Valérien, et peut-être reprise par les Perses en 260. Au IVe siècle, elle retrouve son importance, et est résidence impériale du César Constantius Gallus vers 350, qui fait régner dans la cité une atmosphère de terreur policière. Les Antiochiens étaient volontiers frondeurs, n'hésitant pas à critiquer les empereurs comme Julien qui y séjourne durant l'hiver 362/363. Les surnoms injurieux que lui infligent les Antiochiens l'irritent au point qu'il réplique par un discours pamphlet, le Misopogon[8]. En 387, un nouvel impôt déclenche la « révolte des statues », durant laquelle la population renverse les statues de la famille impériale.
La construction d'un complexe hôtelier a nécessité un programme préventif de recherches archéologiques qui a révélé une mosaïque qui s'étale sur 1 050 m². Elle est ornée de motifs géométriques. Il est probable qu'elle recouvrait une place publique. Elle a été datée du IVe siècle. Sa dimension est remarquable au point que le projet immobilier devrait être modifié pour l'intégrer dans le complexe et permettre au public de pouvoir l'admirer.[9]
Époque byzantine
Antioche — à ne pas confondre avec Antioche de Pisidie — avait été l'un des premiers appuis du christianisme naissant. Une communauté de fidèles du Christ s'y était développé dès les premières années du christianisme et, selon les Actes des Apôtres (11, 26), c'est dans ce lieu que les disciples de Jésus avaient reçu pour la première fois le nom de « chrétiens ».
Antioche avait été, très tôt, le siège d'un des patriarcats chrétiens d'Orient qui se réclame de l'apostolat de saint Pierre. La tradition en fait le premier évêque de la ville. Selon une tradition tardive, la Légende dorée, l'apôtre saint Pierre était devenu son premier évêque après avoir converti son prince. Au début du IIe siècle, l'Église d'Antioche avait été extrêmement organisée, avec saint Ignace pour évêque depuis l'an 69. Vers 270, les chrétiens d'Antioche s'étaient divisés, entre ceux soutenant leur évêque Paul de Samosate niant la divinité du Christ et professant qu'il s'était agi d'un homme envoyé par Dieu, et ceux qui font appel à l'arbitrage de l'empereur Aurélien pour le chasser de sa résidence épiscopale. Au IVe siècle, l'Église d'Antioche était considérée comme la plus importante de la chrétienté après Rome et Alexandrie. Elle était l'une des premières villes de l'Empire à construire une importante cathédrale (entre 327 et 341) avec coupole et mosaïques qui conservait les reliques de saint Julien d'Antioche.
L'importance religieuse d'Antioche diminue progressivement avec la montée de Constantinople et l'érection de Jérusalem en patriarcat. L'Église d'Antioche est affaiblie par les hérésies arienne (Concile d'Antioche de 324), puis nestorienne et monophysite.
Aux IVe et Ve siècles, une brillante école théologique participe aux controverses théologiques de l'époque en soutenant en particulier l'interprétation littérale des textes de la Bible. Ses principaux représentants sont Diodore de Tarse, Théodore de Mopsueste, Théodoret de Cyr et surtout Jean Chrysostome. Ils s'opposent principalement à l'école d'Alexandrie qui soutient l'interprétation allégorique de ces textes.
La cité est détruite en grande partie par un terrible tremblement de terre en 526, lequel aurait fait plus de 250 000 victimes, puis prise et pillée de nouveau par les Perses en 540 qui déportent une grande partie de sa population dans les environs d'Ecbatane. La ville est reconstruite par Justinien qui élève une nouvelle muraille, sur une superficie plus réduite, et la refonde sous le nom de Théoupolis (« Cité de Dieu »).
Conquise par les Perses sassanides en 614, reprise par Héraclius.
Époque arabe
La ville est prise par les Arabes en 638 durant le califat d'Omar.
Restauration byzantine
La ville redevient byzantine en 966 lors de la reconquête de Nicéphore Phocas. L'empereur byzantin Constantin Monomaque est originaire de la cité.
Époque seldjoukide
Presque un siècle plus tard, en 1084, les Turcs seldjoukides s'en emparent.
La principauté d'Antioche
La ville est conquise par les croisés le après un siège de 8 mois. Ils en font la capitale d'une principauté au profit de Bohémond Ier de Tarente, fils aîné de Robert Guiscard.
Époque ayyoubide
Après la victoire de Saladin à la bataille de Hattin (1187), cette principauté décline assez rapidement et se limite aux faubourgs de sa capitale.
Époque mamelouke
La ville est reprise par le sultan mamelouk Baybars en 1268. Sa chute annonce la fin de la présence chrétienne en Syrie.
Époque ottomane
Les Ottomans prennent la ville en 1489[réf. souhaitée] et y installent une garnison de janissaires. Antioche est devenue une bourgade, à l’écart des voies commerciales qui convergent vers Alep. Les vaisseaux venus d’Europe débarquent au XVIIe siècle à Alexandrette. Les marchandises prennent ensuite la route d’Alep où les puissances européennes, dont la France depuis François Ier, sont représentées par des consuls. Les affaires se font désormais ailleurs.
En 1832, Ibrahim Pacha s'en empare au nom de son père Méhémet Ali, vice-roi d'Égypte. La ville est restituée à la paix de Kütahya, le . La population d'Antioche est alors constituée de communautés très diverses. Les Syriens constituent le gros de la population, les colons turcs sont de plus en plus nombreux, et on trouve de fortes communautés chrétiennes, notamment des Grecs mais surtout des Arméniens.
Cette diversité ethnico-religieuse fut à l’origine des déchirements de la ville au début du XXe siècle. Choisissant de résister par les armes aux persécutions dont ils sont victimes à partir de 1915, les Arméniens se retranchent sur le Musa Dagh (« la montagne de Moïse »), entre la ville et la mer, et doivent être évacués in extremis par la marine française.
Le mandat français
En 1918, le sandjak d'Alexandrette dont Antioche fait partie, est occupé par l’armée française, comme la Cilicie et la Syrie. La Société des Nations pense intégrer la ville à la Syrie, placée sous mandat français, mais la présence d’une forte population turque impose l’organisation d’un référendum d’autodétermination. Pour ménager la Turquie dont il souhaitait la neutralité en cas de nouvelle guerre, le gouvernement d'Édouard Daladier laisse l’armée turque pénétrer dans le Sandjak en et organiser le recensement des électeurs. Le résultat donne 63 % de Turcs.
En 1939, Antioche et sa région sont intégrées à la Turquie sous le nom de province de Hatay. 14 000 Arméniens (sur les 23 000 recensés en 1933) choisissent d’émigrer, comme de nombreux Syriens arabes.
Population
Recensement français de 1935[10],[11] | |||||||
Groupes ethniques | Proportion dans la population | ||||||
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Turcs sunnites | 19 720 (58 %)[11] | ||||||
Alaouites | 8 670 (25,5 %)[11] | ||||||
Chrétiens levantins | 4 930 (14,5 %)[11] | ||||||
Autres | 680 (2 %) | ||||||
Total | 34 000 (100 %)[11] | ||||||
Monuments et autres lieux
- L'église Saint-Pierre est creusée dans la roche et est sans doute la première église chrétienne. Elle comporte un souterrain qui aurait permis aux premiers chrétiens de fuir en cas de persécutions.
- La grotte Beshikli abrite des tombeaux rupestres
- La colonne de Yunus
- Le musée de la Mosaïque
- La mosquée Habib-i Neccar
- Le bazar
- Le pont romain
- La citadelle qui domine la ville
Sport
Hatayspor est un club de football basé à Antakya.
Notes et références
- Conseil national de l'information géographique, « Le Trésor des noms de lieux étrangers », (consulté le )
- Frédéric Amsler, p. 29.
- .
- .
- .
- Jean Malalas, Chronographie, p. 199-204 (éd. Dindorf).
- Strabon, Géographie, Livre XVI, chap. 2, 4-5.
- Julien, Misopogon, traduction de Ch. Lacombrade, Les Belles Lettres, 2003 (ISBN 2-251-79970-2).
- Historia n°871-872 Juillet Août 2019 p.11
- (en) Michael Dumper, Cities of The Middle East and North Africa : a historical encyclopedia, Santa Barbara (Calif.), ABC-CLIO, , 439 p. (ISBN 978-1-57607-919-5, BNF 40204505), p. 40.
- (en) Julian Go, Decentering Social Theory, Emerald Group Publishing, , 300 p. (ISBN 978-1-78190-727-6, présentation en ligne), p. 31.
Bibliographie
- Frédéric Amsler, « Comment construit-on un hérétique ? », dans La Christologie entre dogmes, doutes et remises en question (lire en ligne).
Liens externes
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