Cosne-Cours-sur-Loire

Cosne-sur-Loire [kon syʁ lwaʁ] (nom courant) ou Cosne-Cours-sur-Loire [kon kuʁ syʁ lwaʁ] (nom officiel) est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Cosne.

Cosne-Cours-sur-Loire

Pont suspendu franchissant la Loire
et vol de grues.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
(sous-préfecture)
Arrondissement Cosne-Cours-sur-Loire
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Loire
(siège)
Maire
Mandat
Daniel Gillonnier
2020-2026
Code postal 58200
Code commune 58086
Démographie
Gentilé Cosnois
Population
municipale
9 589 hab. (2019 )
Densité 180 hab./km2
Population
agglomération
10 971 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 44″ nord, 2° 55′ 39″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 252 m
Superficie 53,3 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Cosne-Cours-sur-Loire
(ville isolée)
Aire d'attraction Cosne-Cours-sur-Loire
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Cosne-Cours-sur-Loire
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cosne-Cours-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Cosne-Cours-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Cosne-Cours-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Cosne-Cours-sur-Loire
Liens
Site web mairie-cosnesurloire.fr

    Elle résulte de la fusion au des communes de Cosne-sur-Loire et de Cours.

    Géographie

    Cosne-Cours-sur-Loire se situe au sud-est de Montargis (80 km) et de Paris (190 km) et au nord-ouest de la préfecture départementale, Nevers (55 km) ; elle est de plus à 59 km au nord-est de Bourges, et respectivement à 115 km et 215 km au nord de Moulins et de Clermont-Ferrand.

    Cosne-Cours-sur-Loire est la deuxième ville de la Nièvre en nombre d'habitants. Elle est située au nord-ouest du département, au confluent de la Loire et du Nohain.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Cosne-Cours-sur-Loire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cosne-Cours-sur-Loire, une unité urbaine monocommunale[4] de 9 874 habitants en 2017, constituant une ville isolée[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,8 %), forêts (18,6 %), zones urbanisées (13,7 %), prairies (10 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 3] (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Condate au IIe siècle (Ptolémée) et au IVe siècle (Itinéraire d'Antonin)[11].

    Cosne est issu directement de Condate[11], mot celtique (gaulois) signifiant « confluent, confluence (réunion) »[12]. La forme Cosne, au lieu du plus commun Condé (langue d'oïl) attendu, s'explique par un déplacement de l'accent tonique. Cosne est effectivement situé à la confluence du Nohain et de la Loire dans laquelle il se jette à cet endroit.

    Cours est attesté sous la forme de Curte en 1147[11]. Il s'agit du gallo-roman CORTE « cour → ferme » issu du latin vulgaire cōrtem[11] ou curtis. La graphie actuelle cours est fantaisiste, tout comme l'orthographe du français cour que l'on a cru être issu du latin curia, alors qu'il procède de cōrtem / curtis, d'où courtois (ancien français corteis), les toponymes en -court et l'anglais court emprunté au français.

    Histoire

    L'abside de l'église Saint-Aignan, d'après Viollet-le-Duc.

    Le territoire de la commune est peuplé depuis la Préhistoire.

    En 596, le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut Cosne (Cône) dans les trente principales paroisses du diocèse[13].

    Puis le site de Cosne voit plusieurs affrontements à travers l'Histoire, tels que la guerre de Cent Ans et les guerres de religion. Henri V de Lancastre, malade, tente de rejoindre la garnison bourguignonne de Cosne, mais meurt de la dysenterie à Vincennes en 1422.

    Vers le XVIIe siècle, la ville commence à se développer grâce à l'industrie métallurgique et à la navigation sur la Loire où sont acheminés les différents objets de cette industrie prospère à l'époque.

    Pierre Babaud de La Chaussade (1706-1792) fonde en 1735 les forges de la Chaussade qui deviennent les forges royales de la Chaussade où sont fabriqués des ancres, des canons et d'autres accessoires pour la Marine royale. La production est acheminée par la Loire, fleuve navigable à cette époque. À partir de 1860, les forges commencent à péricliter avec l'arrivée du chemin de fer qui remplace peu à peu les voies navigables. Les forges ferment définitivement en 1872.

    Aujourd'hui, il ne reste que la « grille d'entrée des anciennes forges royales de la Chaussade (fin du XVIIe siècle) »[Note 4], avec une plaque citant un extrait d'une lettre de Madame de Sévigné qui visite les lieux le [14].

    En 1833, est construit le premier pont sur la Loire, qui est détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.

    L'activité industrielle métallurgique a connu une grande importance pour le développement de Cosne jusqu'à aujourd'hui. Les années 1990 et le début de la décennie 2000 ont connu une large crise dans ce secteur qui fut l'activité principale de la ville pendant plusieurs siècles.

    Transports

    La ville est reliée à Paris en voiture par l'« autoroute de l'Arbre » A77 et la RN 7 et en train par la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache qui assure des liaisons entre Clermont-Ferrand et Paris-Bercy.

    Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, la ville était reliée à Saint-Amand-en-Puisaye par un train en voie métrique appelé le Tacot (locomotive de type Corpet-Louvet) qui servait notamment à acheminer les poteries de Saint-Amand-en-Puisaye et serpentait à travers la campagne via Cours, Villeprevoir (première halte sise de nos jours sur un sentier de randonnée : « le chemin du Tacot » ; la gare est visible et restaurée intacte par ses propriétaires) puis Saint-Loup, Alligny-Cosne et Saint-Vérain (où la gare est aussi visible). La faible rentabilité du transport voyageurs et les 55 passages à niveau non protégés ont conduit au démontage intégral de cette ligne.

    Le viaduc de Port-Aubry[Note 5], construit en 1890-1893 sous la direction d'Armand Moisant, se dresse au-dessus de la Loire en amont de la ville. Long de 828 mètres, il relie Port-Aubry (lieu-dit situé au sud de Cosne) à Bannay (Cher). Cet ouvrage de la ligne de Saint-Germain-du-Puy à Cosne-Cours-sur-Loire a été construit par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, d'où le nom qui lui est donné localement de « pont du P.-O. ».

    Héraldique

    Blasonnement :
    « D'azur à trois merlettes d'argent. »[Note 6]

    Politique et administration

    Mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1953 mars 1971 Jacques Gadoin GD Banquier
    Sénateur de la Nièvre (1946-1965)
    Conseiller général (1945-1970)
    mars 1971 mars 1977 Robert Nabéris SE Chef d'entreprise
    mars 1977 mars 1989 Jacques Huyghues des Étages PS Médecin
    Député de la 2e circonscription de la Nièvre (1973-1986 puis 1988-1993)
    Conseiller général (1970-1982)
    mars 1989 mars 2008 Didier Béguin UDF puis NC Préparateur en pharmacie
    Député de la 2e circonscription de la Nièvre (1993-1997)
    Conseiller général (1985-1994)
    mars 2008 mars 2014 Alain Dherbier PS Cadre BTP retraité
    Président de la CC Loire et Nohain (jusqu'en 2017)
    mars 2014 juin 2020 Michel Veneau UMP-LR Retraité de la viticulture
    Conseiller général (2001-2015)
    Conseiller départemental (depuis 2015)
    juin 2020 En cours Daniel Gillonnier SE Chef d'entreprise à la retraite

    Politique de développement durable

    Centre-ville : pont fleuri sur le Nohain, près du cinéma Éden.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 7]

    En 2019, la commune comptait 9 589 habitants[Note 8], en diminution de 9,78 % par rapport à 2013 (Nièvre : −5 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 7034 7095 3215 8235 9876 2126 3086 5986 326
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6 1476 3406 5756 2106 8517 4017 7908 6728 610
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8 5828 4378 7347 1587 0357 2897 8407 9137 827
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8 8029 60112 08812 46312 12311 39911 18510 48410 102
    2019 - - - - - - - -
    9 589--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20]. |recens-.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Jumelages

    Économie

    Une antenne de la chambre de commerce et d'industrie de la Nièvre est située dans la ville.

    La ville est, notamment, le siège de :

    • Paragon Transaction (ex-RR Donnelley), imprimerie en continu qui en 2017 emploie 345 salariés[21] ;
    • Altifort Smfi, qui fabrique des tubes et tuyaux en acier. En 2017, cette entreprise emploie 336 salariés. Le , elle est placée en redressement judiciaire[22].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Civils
    • Le château des comtes et ducs de Nevers.
    • La gare de Cosne-sur-Loire a été inaugurée par Napoléon III en 1861.
    • Plaque commémorative, posée au cimetière Saint-Agnan le , en l'honneur de Roger Bricoux. Il était l'un des musiciens de l'orchestre du Titanic et décéda dans le naufrage. Il est né à Cosne en 1891[23].
    • Les deux lycées, l'un général et l'autre professionnel, ont été réunis en un seul ensemble scolaire et portent le nom commun de Pierre-Gilles-de-Gennes depuis le . Ils portaient auparavant les noms respectifs de George-Sand (native de la région) et Pierre-Chevenard.
    • Monument édifié en l'honneur du député républicain Alphonse Baudin (1811-mort sur les barricades le ). Ce monument, comme d'autres en France, est le résultat de la « souscription Baudin » qui touche le pays en 1868.
    • Le portail « Sévigné », un vestige des forges royales de la Chaussade, ainsi qu'une ancre de marine de 2 580 kg fabriquée dans ces forges en 1861, exposée sur le quai de Loire réaménagé début 2011, près du jardin Sévigné.
    • La rue des Mulets, la plus ancienne de la ville.
    • Plusieurs bâtiments du centre historique, rue alphonse baudin, démolis en 2019[24],[25].
    • L'ancien palais de justice.
    • Le musée de la Loire (qui est depuis la fin des années 1980 établi dans l'ancien couvent des Augustins et corps de garde).
    • La médiathèque (ouverte en 2009) appartient au réseau des médiathèques de la communauté de communes Cœur de Loire, comme celles de Donzy et de Neuvy-sur-Loire.
    • L'ancienne salle des fêtes de la Chaussade, devenue restaurant bistronomique (le M) depuis 2019, est l'un des bâtiments conservés des anciennes forges de la Chaussade donnant sur la Loire et le Nohain.
    • L'« île de Cosne », sur la commune de Bannay (Cher), est une île en rive gauche de la Loire où se situent le camping et un boulodrome.
    Religieux

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Texte mentionné sur une des deux plaques près de la grille.
    5. Ménétréol-sous-Sancerre, commune proche au sud de Cosne, compte deux anciens viaducs ferroviaires.
    6. Les armes sont identiques à celles de Péronne-en-Mélantois.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Ouvert tous les jours de 9 h à 19 h dans la première partie de l'église ; pour la nef et le chœur, sur demande au presbytère ou à l'office de tourisme.
    10. Ouvert samedi et dimanche de 14 h à 18 h : visite guidée ou libre.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Cosne-Cours-sur-Loire », sur insee.fr (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Corine Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 141a - 218a.
    12. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éditions Errance, 2003, 440 p. (ISBN 2-87772-237-6).
    13. Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre…, vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 117.
    14. « Cosne-Cours-sur-Loire », sur ot-cosnesurloire.com, office de tourisme de Cosne-sur-Loire et sa région (consulté le ).
    15. « Cosne-Cours-sur-Loire », Agenda 21 de Territoires (consulté le ).
    16. « Détail de l'Agenda 21 local sur Cosne Magazine no 70, p. 7-9, de la ville de Cosne-Cours-sur-Loire », mairie de Cosne-Cours-sur-Loire (consulté le ).
    17. « Les villes et villages fleuris », sur cnvvf.fr.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    21. « Identité de l'entreprise », sur verif.com (consulté le ).
    22. « Identité et redressement judiciaire », sur verif.com (consulté le ).
    23. « Figures cosnoises d'hier », mairie de Cosne-Cours-sur-Loire.
    24. Centre France, « Patrimoine - Dans les coulisses du chantier des remparts de Cosne-sur-Loire », sur www.lejdc.fr, (consulté le )
    25. Centre France, « Circulation - Les travaux rue Alphonse-Baudin à Cosne-sur-Loire modifient la circulation, à partir du 26 juin », sur www.lejdc.fr, (consulté le )
    26. Lebeuf 1743, p. 237, vol. 1.
    27. Dépliant touristique du diocèse de Nevers, Visitez les églises de la Nièvre, Pastorale Tourisme et Loisirs 2013.
    28. René Giblin, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 13, p. 29, 160 p.
    29. René Giblin, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 23, p. 39, 160 p.
    30. Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français comprenant tous les membres des assemblées françaises et tous les ministres français : depuis le jusqu'au , vol. 1, Paris, Bourloton, , 622 p. (lire en ligne), p. 117.
    31. « François, Marie, Auguste Augère », base Léonore, ministère français de la Culture.
    32. Annuaire National des Beaux-Arts, Paris, 1972-1973, p. 111.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé Jean Lebeuf, Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre…, vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne).
    • A. Faivre, Cosne à travers les âges. Essai historique et archéologique, 1895 (réimpression : éditions Horvath, 1986)
    • Paul Detroy, Flâneries dans le passé. Cosne au gré des jours… et des siècles…, Cosne, imprimerie Pontaut, 1934
    • Marcel Van Nieuwenberg, Cosne autrefois à travers les cartes postales et vers l'an 2000, Office municipal de la culture, Cosne-sur-Loire, 1994

    Articles connexes

    Liens externes

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