Famille Olphe-Galliard
La famille Olphe-Galliard, olim Olphi dit Galhard, est une famille d'ancienne bourgeoisie française[1],[2]. Cette famille donne au milieu du XVe siècle une lignée de consuls, de procureurs et de notaires de la ville de Gap[3],[4]. Une branche mentionnée à Ancelle dès le XIVe siècle donne à partir du XVIIe siècle une lignée de marchands drapiers à La Bâtie-Neuve dans les Hautes-Alpes puis à Lyon au XIXe siècle. Cette branche compte aux XXe siècle et XXIe siècle des intellectuels, industriels, officiers, ecclésiastiques et avocats, installés à Lyon et à Hendaye.
Pour les articles homonymes, voir Galliard.
Famille Olphe-Galliard | |
Branches | Branche d'Ancelle Branche de Gap Branche de La Bâtie-Neuve Branche de Lyon (branche aînée subsistante) Sous-rameau d'Hendaye (branche cadette subsistante) |
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Période | 1385 - XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Dauphiné Gap |
Demeures | Château de la Guerrière Chartreuse de Bonpas |
Charges | Consul, procureur d'office, notaire, capitaine de Gap Écuyer, seigneur de Châteauvieux Châtelain de Montalquier |
Fonctions ecclésiastiques | Protonotaire apostolique Doyen du chapitre de Gap Chanoine de Gap Prieur de Jarjayes Aumônier des FFL Abbé de Paris |
Récompenses civiles | Membre de la Société d'études des Hautes-Alpes |
Plusieurs membres de la famille ont été enterrés, entre le XIVe siècle et le XVIe siècle, dans la chapelle saint-Antoine de l'ancienne cathédrale de Gap[5].
On trouve dans les Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes de 1902 à 1904 une monographie de cette famille[6] rédigée par un de ses membres, Gabriel Olphe-Galliard, sous la direction de l’archiviste du département des Hautes-Alpes, le chanoine Paul Guillaume[7].
Onomastique
Le nom primitif[8] de cette famille était Olphi[9]. Selon Gabriel Olphe-Galliard, auteur de la monographie sur sa famille, on peut supposer, bien que rien ne permette de l'affirmer, une même identité avec des porteurs du nom Rodulphi (décliné en Adulphi, Ayolphi, Eydulphi, Odulphi) et on peut inférer que Odulphi est un dérivé de Rodulphi. Il écrit « Si cette hypothèse venait à être confirmée, il en résulterait que l'origine de la famille Olphi devrait se rattacher à l'une des nombreuses familles Rodulphi qui existent à cette époque. Parmi ces dernières nous citerons seulement : Rodolphe, doyen de Gap (1251) »[10]. Le nom parait seul de 1297 à 1385[11]. L'auteur ajoute « le nom Olphe vient du radical Olph ou Ulph qui n’est autre que le mot gothique « ulf » qui signifie loup (la transformation de la terminaison ulfus en olphe, est admise comme normale par tous les linguistes)[12]. Les noms formés de ce radical sont fréquents dans les pays scandinaves, il n’y a pas lieu de s’étonner qu’un certain nombre d’entre eux, importé dans la région durant les invasions des barbares y aient été adoptés et y soient devenus des noms de saints d’abord, puis des noms de famille »[13].
Le nom Gaillard (Goliardi, Galhardi, Gaihardz), de racine gallo-romaine était très répandu dans la région et a pour étymologie gallus, qui veut dire coq. Selon Gabriel Olphe-Galliard « Il semble peu probable que ce nom ait été ajouté à titre de sobriquet ; il est plus vraisemblable que ces personnages ont pris, à la suite d’une alliance, le nom de leur épouse afin de se distinguer de ceux de leurs parents ».
Selon Georges de Manteyer, les Olphi portèrent tantôt ce nom seul, tantôt complété par « alias Gailliardi » ou « dit Gaillard », tantôt composé en « Olphe-Galliard ». Au XVIIe siècle, le nom Olphe disparaît même parfois pour ne laisser subsister que celui de Gaillard.
Généalogie simplifiée
XIVe siècle-XVe siècle: les notaires d'Ancelle
- Giraud Olphi dit Galhard[14], né vers 1330. Reconnaît être "homme lige et justiciable du Dauphin" en 1385.
- Pierre, mort avant 1446. Notaire.
- Pierre II, mort avant 1479. Notaire.
- Jean, né vers 1370. Notaire, épouse Agnète Barthelemy.
- Jean II. Notaire en 1447.
- Guillaume, né à la fin du XIVe siècle, propriétaire à Ancelle. Auteur de la branche de Gap.
- Jean, né vers 1458, cultivateur.
- Dom Antoine, clerc et chapelain d'Ancelle.
- André, né après 1480, cultivateur.
- André II, mort en 1606, cultivateur. Auteur de la branche de La Bâtie-Neuve.
- Jean, né vers 1458, cultivateur.
- Pierre, mort avant 1446. Notaire.
XIVe siècle-XVIe siècle : les consuls et notaires de Gap
L'histoire politique du Gapençais est une suite ininterrompue de dissensions, souvent sanglantes, entre les différentes autorités qui se disputaient le pays. Cette situation s'explique par le fait que le régime féodal n'existait pas dans ces régions méridionales. Malgré l'identité apparente des titres et des institutions, la ville de Gap avait la prétention constante à l'autonomie immémoriale dans la continuation de l'organisation municipale gallo-romaine sans passer par la phase féodale[15].
- Gabriel Olphi alias Galliard[16], fils de Guillaume (branche d'Ancelle), né avant 1416. Consul, notaire, et secrétaire de la cour temporelle en 1441[17]. En 1463 il fait partie des 31 personnages de Gap, d'Avignon ou de Grenoble à qui les habitants de Gap donnèrent procuration pour se rendre à Abbeville auprès de Louis XI, afin de défendre les intérêts de la cité épiscopale de Gap et faire casser une sentence arbitrale en faveur de l'évêque Gaucher de Forcalquier. Il possède une maison rue des Minsard (actuelle rue du Mazel[18]). Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap.
- Guillhelme Olphi, mariée à André Grégoire de Montmaur[19].
- Guillaume Olphi, alias Galhardi, mort avant 1525. Notaire.
- Jean Olphi dit Gaillard, né vers 1460. Consul, notaire, procureur d'office et bourgeois de Gap, il fut parmi les 186 habitants qui, le 24 août 1511, votèrent l'annexion de Gap au Dauphiné. Le 31 juillet 1513, il assistait comme conseiller, et le 22 août de la même année, comme procureur général de la ville, à un conseil secret des conseillers, le 24 septembre 1515, il assiste en qualité de procureur de la ville, à la prestation du serment de conserver les libertés municipales[22]. Il habite rue des Minsards (actuelle rue du Mazel) à Gap[18]. De par sa profession lucrative, il acquiert plusieurs maisons, domaines, forestages, vignes, près, jardins à Gap[23]. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap. De son mariage avec Jeanne (dont on ne connait pas le nom), il eut :
- Michel Olphe-Galhard[24], mort en 1551. Protonotaire apostolique[25], doyen du chapitre de Gap[26]. Il fut prieur de Saint-Martin de Jarjayes[11], curé de Laye et de Monêtier-Allemont, et bénéficier des chapelles Notre-Dame-d'Ancelle, Notre-Dame-de-Gap, Saint-Barthélémy-de-Veynes, Sainte Catherine d'Agnières, Saint-Paul-de-Gap, la Madeleine-de-Neffes, et du prieuré de Chaudane[27]. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap.
- Jean II[28], né vers 1496, bourgeois de Gap.
- André[29], mineur en 1521, chapelain de Notre-Dame de Gap et bénéficier, gardien des clés de la cité de Gap (porte Colombe).
- Gabriel Olphe-Galhard[30], mort en 1581. Consul, procureur d'office, exacteur des tailles, procureur fiscal et patrimonial de l'évêque Gabriel de Clermont, et vice-châtelain de Montalquier. Bourgeois de Gap, il est propriétaire de nombreux immeubles, domaines et forestages. Il épouse Jeanne de Piard avec qui il eut :
- Jacques[31],[32], curé de Le Glaizil et de Ribiers, bénéficier. Il fut emprisonné à Corps (Isère)[33], par le capitaine Furmeyer en 1563.
- Nicolas[34], curé de la chapelle Saint-Pierre de Curbans, bénéficier.
- Olivier[35], curé de Monêtier-Allemont, bénéficier.
- Jeanne[35], épouse Etienne Arnaud (1ère noce), puis Étienne Simon, bailli de Remollon.
- Béatrix[36], épouse Gaspar Bovat, notaire et greffier épiscopale.
- Antoine Olphi dit Galhiard[37], né en 1485. Consul, notaire, procureur d'office. Il fut également bailli de Tallard puis procureur fiscal et patrimonial de l'évêque Gabriel de Clermont. Il tenta en vain d'empêcher les prédications du réformateur Guillaume Farel, rentré à Gap sur la demande de ses coreligionnaires, mais céda, craignant les troubles pouvant résulter de ce conflit. Il est enfin rédacteur des cadastres de la cité. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap. Il avait épousé Jeanne Mazet avec qui il eut:
- Jeanne[38], morte en 1547. Mariée à Jacques de Patras[39], notaire, d'une ancienne famille du Dauphiné de laquelle était Abraham de Patras[40], Gouverneur générale des Indes, mort en 1735.
- Antoine II[41], mort en 1573. Procureur d'office et greffier des cours épiscopales, il fut aussi nommé receveur des droits épiscopaux. Il embrasse la religion réformée et épouse Catherine Farel[42], fille de Pierre et de Clairmonde de Cazeneuve, cousine du réformateur Guillaume Farel. Ensemble, ils quittent Gap avec les autres protestant de la ville. Il est enterré dans la chapelle Saint-Antoine de la cathédrale de Gap.
- Jean Olphi-Galhiard[43], mort en 1626. Conseiller de la cité de Gap. Epouse Françoise Chevallier du Pin.
- Gaspar Gailhard[44], né en 1573. Consul, procureur d'office, il fut également châtelain de Montalquier et greffier du Champsaur. Il épouse Hysabeau de Clot-Eyraud.
- Gaspar Galhard[45], décédé en 1586. Consul, docteur en droit, avocat et juge à Gap. Il fut également clerc, bénéficier des chapelles Bonafosse, Notre-Dame de Pitié, Notre-Dame de la consolation, Ste-Catherine, et de la Ste-Trinité. Il est mis en possession de quatre chapelles de la cathédrale de Gap.
- Jacques[46], décédé en 1571. Procureur d'office, capitaine de Gap. Il faisait partie des troupes catholiques envoyées à Tallard en 1563 dans le cadre de la Paix d'Amboise[46].
- Antoine[47], clerc, bénéficier, curé de la chapelle Saint-Pierre de Curbans, des chapelles Notre-Dame de Gap et de Notre-Dame d'Ancelle.
- Pierre Olphi dit Galhard[47], décédé en 1585. Chanoine du chapitre de Gap[48], il est écuyer[48] et seigneur de Châteauvieux[48], puis procureur d'office. Il est nommé séquestre général des revenus de l'évêché[49]. Il épouse Marie de Nicat, fille de François de Nicat, seigneur de Montmaurin[50],[51], avec qui il eut:
XVIIe siècle-XVIIIe siècle: les marchands drapiers protestants de La Bâtie-Neuve
Après avoir quitté Ancelle pour s'installer à La Bâtie-Neuve en 1617[57], puis à Lyon en 1748, cette branche protestante prospère en tant que marchands drapiers. En effet, la région produisait du chanvre, matière première de nombreux tissages auxquels le voisinage des cours d'eau procurait la force motrice, en même temps que le voisinage du Rhône constituait un moyen de communication et de transport vers Lyon. Cette émigration est considérée comme le cinquième exode des dauphinois vers la plaine.
Plusieurs membres de cette branche ont été enterrés, entre le XVIIe et le XIXe siècle, au cimetière saint-Pancrace, à la La Bâtie-Neuve[58].
- Pierre Olphi-Galhiard[57], fils d'André II (branche d'Ancelle), né en 1570. Il part d’Ancelle, éleveur-cultivateur, il achète le domaine des Brès à la Bâtie-Neuve.
- Dominique Olphi-Galhiard[59], né en 1599. Tisserand-cardeur, il hérite du domaine des Brès.
- Guillaume[60], né en 1645. Tisserand-cardeur, il épouse Marguerite Chaix.
- Marguerite[61], née en 1644, épouse Richard Aubin (1ère noce), puis André Borel.
- Marie[61], née en 1667, épouse Grégoire Aubin.
- Esprit Olphi-Galhiard[61], né en 1648. Consul, tisserand-cardeur, propriétaire du domaine des Brès. Il épouse Diane Chaix.
- Pierre[62], né en 1659. Consul, tisserand-cardeur. Il épouse Rose Isoard.
- Claire[63], épouse en 1702 Arnoux Aubin, consul aux Clots.
- Jean[64], né en 1676. Consul, tisserand-cardeur. Il épouse Marguerite Aubin (1ère noce), puis Marguerite Guiramuad.
- André[65], né en 1684. Fabriquant de draps et laines, il hérite du domaine des Brès. Il épouse Benoite Estachy.
- Jean[66], né en 1707. Consul, fabriquant de draps et laines. Il épouse Madeleine Borel (1ère noce) puis Marguerite Clément.
- Joseph[67], né en 1718. Marchand drapier. Il quitte La Bâtie-Neuve avec son frère Pancrace en 1736. Ensemble, ils fondent la maison de négoce Galliard frère à Montluel. Il est propriétaire de plusieurs immeubles, maisons, vignes et forestages et est considéré comme bourgeois de Montluel.
- Pancrace Galliard[68], né en 1720. Consul, marchand drapier, il émigre avec son frère Joseph, et fonde la maison de négoce Galliard Frère à Montluel. Il est nommé syndic des marchands drapier. Leur société fut prospère, et les frères Galliard étaient en affaire avec de nombreux commerçants lyonnais[69]. Il épouse Claudine André d'Arbelles, tante de Claude André, et de François André d'Arbelles. Ils eurent treize enfants dont :
- Louis-Esprit Galliard[70], né en 1755. Marchand drapier, il est connu pour avoir fait fortune dans le commerce Galliard-Pont et Cie[71], rue Mercière (n°2 - maison Baroud[72] ) à Lyon[73],[74], maison de négoce d'Indienne et de toile de Jouy, important commissionnaire de la manufacture Oberkampf[75]. Après avoir participé à la défense de Lyon, lors du siège de la ville par l'armée républicaine, en tant que capitaine de bataillon sous les ordres du général de Precy, il doit fuir avec sa famille à Hambourg dénoncé comme royaliste. Il revient le 9 Thermidor et relève son commerce. Il était propriétaire de plusieurs immeubles à Lyon. Enterré au cimetière de Loyasse[76]. Il épouse Marguerite Pont et est à l'origine des deux branches familiales représentées de nos jours, étant le père de:
- Joseph, auteur de la branche de Lyon qui suit.
- Joséphine[77], née en 1780. Épouse François Chastel, marchand drapier dans la maison Chastel-Galliard et Cie[73], rue Mercière (n°4), propriétaire du prieuré de Taluyers.
- Camille[77], né en 1782, marchand drapier dans la maison Galliard-Pont et Cie, épouse Delphine Michet, fille d'Antoine Michet.
- Victor[77], né en 1785, marchand drapier dans la maison Galliard-Pont et Cie, officier de la garde nationale.
- Alexandre, auteur du sous-rameau d'Hendaye qui suit.
- Dominique Galliard[78],[79], né en 1763. Marchand drapier dans la maison Galliard-Pont et Cie. Victime de la Terreur, il fut guillotiné Place Bellecour à Lyon par les sans-culottes le 28 octobre 1793 car contre-révolutionnaire. Son nom figure sur le mausolée élevé à la Chapelle Sainte-Croix de Lyon à la mémoire des victimes de la Révolution française.
- Jean-Étienne[78], né en 1764. Vicaire de Saint-Nizier à Lyon[80], il prête serment à la constitution civile mais se rétracte le dans une déclaration publique[81]. Il devient chanoine de Saint-Pierre à Lyon puis missionnaire[82]
- Louis-Esprit Galliard[70], né en 1755. Marchand drapier, il est connu pour avoir fait fortune dans le commerce Galliard-Pont et Cie[71], rue Mercière (n°2 - maison Baroud[72] ) à Lyon[73],[74], maison de négoce d'Indienne et de toile de Jouy, important commissionnaire de la manufacture Oberkampf[75]. Après avoir participé à la défense de Lyon, lors du siège de la ville par l'armée républicaine, en tant que capitaine de bataillon sous les ordres du général de Precy, il doit fuir avec sa famille à Hambourg dénoncé comme royaliste. Il revient le 9 Thermidor et relève son commerce. Il était propriétaire de plusieurs immeubles à Lyon. Enterré au cimetière de Loyasse[76]. Il épouse Marguerite Pont et est à l'origine des deux branches familiales représentées de nos jours, étant le père de:
- Dominique Olphi-Galhiard[59], né en 1599. Tisserand-cardeur, il hérite du domaine des Brès.
« Nous voyons que cette immigration progressive vers Lyon contribue inconsciemment à la formation traditionnelle de la population de cette ville, issue d'immigrants des régions avoisinante (Ain, Dauphiné, Gapençais, Beaujolais, Jura). Immigration composite, mais formé d'éléments énergiques et travailleurs, qu'est du le caractère lyonnais, à la fois progressif et traditionnel, économe et charitable, commerçant et intellectuel, pratique et artistique, cosmopolite et casanier, ploutocratique et démocratique, conservateur et épris par-dessus tout de liberté. »
XIXe siècle- XXe siècle : les marchands drapiers à Lyon
- Joseph[83], né à Lyon en 1778. Marchand drapier dans la maison Galliard-Pont et Cie[84]. Épouse Virginie Piron, petite-fille de François Piron, recteur de l'Hôtel-Dieu de Lyon[85].
- Jean-Gustave, né en 1812, épouse Palmyre Oger.
- Virginie, née en 1844, religieuse de l'Adoration réparatrice[86].
- Clotilde, née en 1852, épouse Jean Desages.
- Louis[87], né en 1810. Marchand drapier[88]. Rejoint la garde nationale sous les ordres de Ferdinand-Philippe d'Orléans et fut blessé à la Croix-Rousse lors de la révolte des canuts de 1831. Épouse Louise Dupin, petite fille de Louis Dupin, maire de La Voulte-sur-Rhône, président du conseil général de l'Ardèche[89].
- Laure[87], née en 1846. Épouse Aymé Frérejean, fils de Benoît Frèrejean[90],[91].
- Emmanuel[87], né en 1844.Marchand drapier[88], administrateur des Hospices civils de Lyon[92], membre du conseil central de l'Œuvre pontificale de la propagation de la foi[93], membre des Unions de la paix sociale[94], propriétaire du château de la Guerrière[95]. Épouse Marie Fayard de Mille[96],[97], fille d'Ennemond Fayard de Mille, magistrat, membre de l'académie de Lyon[98] et administrateur des Hospices civils de Lyon[99].
- Joseph Olphe-Galliard, né en 1877. Jésuite, officier aviateur, aumônier général des Forces françaises libres à Londres.
- Louise[100], née en 1878. Épouse Adrien Bizot, administrateur des mines de la Roche-la-Molière[101].
- Henry[102], né en 1880. Chevalier de la Légion d'Honneur, officier de cavalerie[103], épouse Monique Arthaud de La Ferrière, arrière-petite-fille du général Jean-Andoche Junot duc d'Abrantes[102],[104]. Propriétaire du château de la Guerrière[105].
- Josèphe, née en 1909. Épouse Bernard Jarrosson[106], docteur en droit, propriétaire du Logis du Pin[107], petit-fils d'Henry Hoppenot, administrateur de la Société anonyme de filature de la Schappe, neveu de Maurice Jarrosson[108].
- Emmanuel, né en 1910. Administrateur-directeur de la SCTT-Sud[109]. Épouse Monique Escudier[104], petite-nièce d'Arthur Fontaine, de Paul Escudier, d'Henry Lerolle et d'Ernest Chausson[110].
- Marie-Thérese[111], née en 1882. Épouse Joseph Gensoul, zoologue[112] , maire de Châteauneuf, propriétaire du château du Banchet et petit-fils de Joseph Gensoul[113] .
- Élisabeth, née en 1878. Épouse Jacques de Catheu[114], propriétaire du château de Julliac[115], fils de Théodore de Catheu, chef de cabinet du ministre de l'Intérieur[116].
- Laurence, née en 1885. Épouse (1ère noce) Ferdinand de La Rochette, sous-lieutenant au 217e régiment d'infanterie, mort pour la France, fils de Fernand de La Rochette, directeur de la compagnie des hauts-fourneaux et forges de Givors (Fonderie La Rochette, Prénat & Cie), administrateur des Houillères de Saint-Étienne, puis Pierre de La Fournière[117], propriétaire du château de Leychoisier[118].
- Pierre Olphe-Galliard[119], né en 1890. ESM Saint-Cyr[120], Officier de la Légion d'honneur[121], NC, CI et AéCF[122]. Officier de cavalerie puis pilote de chasse à l'Escadrille SPA 93[123]pendant la Première Guerre mondiale. PDG de la SCTT et administrateur de sociétés[124] (Chantiers de Penhoët, Compagnie internationale de navigation aérienne et Société transatlantique aérienne[125]). Propriétaire de la chartreuse de Bonpas[126]. Épouse Suzanne Dal Piaz[127], fille de John Dal Piaz, président de la Compagnie générale transatlantique et président des armateurs de France[128],[129].
- Jean, né en 1923. NC, CI. PDG de la SCTT[130], administrateur de sociétés (compagnie Dubonnet-Cinzano-Byrrh[131], champagne Salon[132]), maire de Caumont-sur-Durance, propriétaire de la chartreuse de Bonpas, propriétaire-récoltant (chapelle-chambertin, clos-de-vougeot et côte-du-rhône[133]). Épouse Martine Faye, fille de Robert Faye, PDG de la compagnie Dubonnet-Cinzano-Byrrh [134] et petite-fille de Jules-Félix Pernod, fondateur du groupe Pernod Ricard.
- Gemme, née en 1925. Épouse Jean-Marie Pastré, transitaire à la SCTT[135], propriétaire du château de Beauvoir, petit-fils de Joseph Pastré, maire d'Evry et propriétaire foncier[136],[137].
- Jean-Gustave, né en 1812, épouse Palmyre Oger.
Sous-rameau d'Hendaye
- Alexandre[138],[139], né à Lyon en 1786. Marchand drapier dans la maison Galliard-Pont et Cie[84]. Rejoint la garde nationale sous les ordres de Ferdinand-Philippe d'Orléans lors de la révolte des canuts de 1831. Membre de la Société d'Agriculture[140]. Propriétaire du manoir de Montcorin et Place Bellecour (n°35). Épouse Germaine Joyard, belle-sœur d'Antoine Duclaux et tante d'Henri Germain[141]. Enterré au cimetière de Loyasse.
- Léon Olphe-Galliard[142], né à Lyon en 1825. Ornithologue installé à Hendaye en 1880. Épouse Marguerite-Sophie Hedde, fille d'Isidore Hedde[143].
- Alexandre, né à Lyon en 1865. Chevalier de la Légion d'honneur, officier d'artillerie. Épouse (1ère noce) Marie-Louise Poute de Puybaudet, puis Catherine Sutter.
- Jean Olphe-Galliard[144],[145], né en 1893. Croix de guerre, Abbé de La Source[146].
- Antoine, né en 1895. Croix de guerre avec palme, officier au 144e régiment d'infanterie durant la première guerre mondiale. Épouse Cécile Hess.
- Marie-Madeleine, née en 1922, agrégée de grammaire [147].
- Jacqueline, née en 1923, épouse Jean-Louis Simmonet.
- Pierre, né en 1897[148]. Croix de guerre, sous-officier au 418e régiment d'infanterie durant la première guerre mondiale, mort pour la France le 12 août 1916 à l'âge de 19 ans lors de la Bataille de la Somme. Figure sur le monument aux morts d'Hendaye [149].
- Michel Olphe-Galliard[150], né en 1900. Docteur en théologie[151], jésuite, professeur en théologie ascétique et mystique.
- Marie-Radegonde, née en 1902. Religieuse bénédictine à l'abbaye Notre-Dame de Maylis.
- Maurice[152],[153], né en 1904. Avocat, bâtonnier de Bayonne, secrétaire de la Société des sciences, lettres et arts de Bayonne[154]. Palmes académiques, reçoit de l'Académie française le prix René-Bardet pour son ouvrage La lyre et la balance: Apologues judiciaires (1980)[155]. Participe à la création du Musée basque et de l'histoire de Bayonne[156]. Épouse Denyse du Buit, petite-fille d'Henry du Buit, et d'Arsène Henry.
- Charles né en 1867, artiste peintre.
- Gabriel Olphe-Galliard[157], né en 1870. Docteur en droit, lauréat de l'Institut[158], professeur au CLSS, conseiller municipal d'Hendaye. Épouse Louise Dubois.
- Jacques, né en 1904. Épouse Arlette de Chazelles (1ère noce), puis Yvette Bataille de Baget[159].
- Jean-Raoul[160], né en 1906. IEP de Paris[161], avocat, romancier[162], poète[163]. Secrétaire général de la caisse primaire d'assurance maladie de Bayonne et secrétaire général de l'Union Bayonnaise des arts (UBA). Il épouse Marie-Madeleine Lalanne, fille de Paul Lalanne, bâtonnier de Bayonne[164].
- André, né en 1909, ESSEC[165].
- Marie-Madeleine, née en 1914.
- Marc, né en 1915. ESSEC[165], RY. Agent général d'assurance et juge au tribunal de commerce de Bayonne, propriétaire de La Plane. Épouse Martine Poirier de Clisson[166].
- Pierre, né en 1919. ESSEC[165]. Épouse Thérèse Debroise.
- Alexandre, né à Lyon en 1865. Chevalier de la Légion d'honneur, officier d'artillerie. Épouse (1ère noce) Marie-Louise Poute de Puybaudet, puis Catherine Sutter.
- Léon Olphe-Galliard[142], né à Lyon en 1825. Ornithologue installé à Hendaye en 1880. Épouse Marguerite-Sophie Hedde, fille d'Isidore Hedde[143].
Galerie
- Louis-Esprit Olphe-Galliard, 1810, marchand drapier.
- Laure Olphe-Galliard, 1846, épouse Aymé Frérejean.
- Basilique d'Ars, glorification de Sainte Philomène, Paul Borel (1828-1913). Le modèle de Sainte Philomène est Mme Laure Frerejean, née Olphe-Galliard[167],[168].
- Léonard-Alexandre Olphe-Galliard, 1786, marchand drapier.
- Léon Olphe-Galliard, 1825, ornithologue.
- Gabriel Olphe-Galliard, 1870, sociologue.
- Joseph Olphe-Galliard, 1877, aumônier militaire.
- Chapelle-Chambertin, grand cru, 1985, Jean Olphe-Galliard.
Odonymie
- Rue Olphe-Galliard : discrète rue dans le centre de Gap, elle est dédiée à Léon Olphe-Galliard, qui a donné au Musée Muséum départemental des Hautes-Alpes une importante collection d'oiseaux empaillés ainsi que sa riche bibliothèque.
Bibliographie
- Revue du Dauphiné, publiée sous la direction de Jules Ollivier, Volume 2, 1837.
- La Généalogie, Pierre Durye, PUF, 1886.
- Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790, Volume 3, Archives départementales des Hautes-Alpes, 1895[169].
- Dictionnaire biographique des Hautes-Alpes, F. Allemand, 1911[170].
- Notes pour servir à l’histoire de la famille gapençaise Olphe-Galliard publié dans les Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes entre 1902 et 1904, Gabriel Olphe-Galliard.
- Les Anciennes Familles de France, André Guirard, 1930, tome Ier.
- Notes pour servir à l'histoire de la famille Olphe-Galliard, monographie familiale publiée par Gabriel Olphe-Galliard, 1933.
- Et voici les 200 familles, la féodalité financière maîtresse de la France, volume 4, Augustin Hamon, 1936.
- Les maîtres de la France, volume 1 à 3, Augustin Hamon,1938.
- Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, André Delavenne, 1954.
- Histoire de la ville de Gap, ouvrage publié sous les auspices de la Société d'études des Hautes-Alpes, 1966.
- Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, Centre National de la recherche scientifique, 1968-1985, 3 vol.
- Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, Paris, Perrin, 1997, 1027 p. (ISBN 2-262-01350-0).
- Armorial Haut-Alpin, Jean Grosdidier de Matons, MEMODOC, 2003.
- L'ancienne bourgeoisie en France, Xavier de Montclos, Éditions A&J Picard, 2013.
- Bottin mondain et Who's who in France.
Références
- La Généalogie, Pierre Dury, PUF, 1988
- Annales des Alpes : recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, 1898, page 292
- Périodiques français méridionaux; Annales du Midi, Année 1904, 16-61, p. 101-123
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Articles connexes
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