Villeneuve-sur-Lot
Villeneuve-sur-Lot (prononcé [vil.ˈnœv syʁ ˈlɔt̪]) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Villeneuve.
Villeneuve-sur-Lot | |||||
Vue de la rive gauche du Lot. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne (sous-préfecture) |
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Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot (chef-lieu) |
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Intercommunalité | CA du Grand Villeneuvois | ||||
Maire Mandat |
Guillaume Lepers 2020-2026 |
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Code postal | 47300 | ||||
Code commune | 47323 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villeneuvois | ||||
Population municipale |
21 742 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 267 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
48 287 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 24′ 29″ nord, 0° 42′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 214 m |
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Superficie | 81,32 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Villeneuve-sur-Lot (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Villeneuve-sur-Lot (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Cantons de Villeneuve-sur-Lot-1 et Villeneuve-sur-Lot-2 (bureau centralisateur) |
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Législatives | 3e circonscription de Lot-et-Garonne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-villeneuve-sur-lot.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Villeneuvois.
Géographie
Localisation
Villeneuve-sur-Lot est une bastide située sur la route nationale 21, dans une plaine fertile entourée de coteaux couverts de vergers, en Agenais, à proximité du Périgord et du Quercy, à égale distance de Bordeaux et de Toulouse.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le Lot traverse la commune et la ville d'est en ouest. Ses affluents sont, d'amont en aval :
- le ruisseau de las Parets en limite de la commune de Saint-Sylvestre-sur-Lot,
- le ruisseau de Saint-Germain,
- le ruisseau de Roumas,
- le ruisseau de Cambes,
- le Caguerieux en limite de la commune de Bias.
La Lède traverse le nord de la commune d'est en ouest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sainte-Livrade-sur-Lot », sur la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 757,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 30 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Villeneuve-sur-Lot est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[18] et 48 287 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,4 %), terres arables (21,2 %), zones urbanisées (15,9 %), prairies (8 %), forêts (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), cultures permanentes (3,6 %), eaux continentales[Note 7] (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 13 174, alors qu'il était de 13 165 en 2014 et de 12 788 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 83,2 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 14,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 29,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villeneuve-sur-Lot en 2019 en comparaison avec celle de Lot-et-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) inférieure à celle du département (6,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 54,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (55,2 % en 2014), contre 64,5 % pour le Lot-et-Garonne et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Villeneuve-sur-Lot[I 1] | Lot-et-Garonne[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 83,2 | 82 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2 | 6,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 14,8 | 11,7 | 8,2 |
Voies de communication et transports
Une gare ferroviaire est située sur l'ancienne ligne de Penne-d'Agenais à Tonneins. Une réouverture a plusieurs fois été envisagée, puis abandonnée pour des raisons budgétaires[24]. En compensation, une ligne de car TER circule entre Agen et Villeneuve-sur-Lot avec une fréquence de 24 allers - retours quotidiens.
La commune est desservie par le réseau de transport en commun Élios, gratuit depuis avril 2018. Elle est également à l'origine de deux lignes de transport interurbain du département : Villeneuve-sur-Lot - Marmande et Villeneuve-sur-Lot - Fumel.
Les aéroports les plus proches sont ceux d' Agen-La Garenne sur la commune d'Estillac à 33 km, de Bergerac à 56 km, de Toulouse-Blagnac à 149 km et de Bordeaux-Mérignac à 150 km.
À Villeneuve un aérodrome est utilisé pour l'aviation légère.
La gare TER-TGV la plus proche est celle d'Agen à 28,7 km (ligne Toulouse-Matabiau - Bordeaux-Saint-Jean).
90 % des habitants ont au moins une voiture, 48,6 % en ont deux ou plus en 2022[25]. Les transports utilisés en 2018 pour se rendre au travail sont les suivants[25] :
pas de déplacement | 6,9 % |
marche, roller, patinette | 4,2 % |
vélo (y compris VAE) | 0 |
2 roues motorisées | 0 |
voiture | 88,9 % |
transport en commun | 0 |
Toponymie
En occitan la ville s'appelle Villanova[26].
Sous l'Ancien Régime et jusqu'en 1875, la commune s'appelle Villeneuve-d'Agen. Elle porte depuis le nom de Villeneuve-sur-Lot[27].
Histoire
Antiquité
Insérée entre les collines vertes et boisées qui dominent la basse vallée du Lot, Villeneuve a une longue histoire, dont les premiers chapitres sont écrits par les Romains sur le site antique de Excisum.
C'est en effet là, à un kilomètre de l'actuel centre-ville, au carrefour de deux grandes voies de communication, que fut érigé un premier noyau urbain comprenant camp de légionnaires, quartiers artisanaux, forum, curie, temples dont il nous reste quelques structures. En 2005, des fouilles effectuées sur le site de Ressigué ont permis de mettre au jour des structures fossoyées dans un puits daté du IIe siècle avant notre ère et dans un autre de la fin du Ier siècle de notre ère[28].
Moyen Âge
Au début du XIe siècle, une abbaye bénédictine dédiée à saint Gervais et saint Protais s'installe sur les lieux et groupe autour d'elle un petit village de potiers et de paysans autour de l'église paroissiale Saint-Sernin. À partir 1067 cette abbaye est soumise à l'autorité de l'abbaye de Moissac.
Ce n'est qu'entre 1254 et 1263 qu'une bastide est créée aux confins du Périgord et de la Guyenne, à l'initiative d'Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, pour servir de point d'appui aux places fortes échelonnées dans le Haut-Agenais, Villeneuve-sur-Lot compte alors parmi les plus vastes et les plus puissantes bastides du Sud-Ouest. Il obtient des moines d'Eysses la cession de terres nécessaires à la construction d'une ville nouvelle, nantie d'une charte de coutumes, ou privilèges, qui en 46 articles en définit sa vie sociale, économique et pénale.
Sa construction a suivi un plan bien défini adopté par toutes les bastides du sud-ouest de la France : un plan orthogonal organisé autour d'une place centrale, l'originalité de Villeneuve résidant dans sa position à cheval sur le Lot.
Après le traité d'Amiens, en 1279, l'Agenais devient une possession du roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine. Édouard Ier a alors accepté la construction d'un pont sur le Lot qui est entreprise entre 1282 et 1289, qui constituait l'un des rares points de passage sur la rivière.
La ville est fortifiée au XIVe siècle[29]. Cette situation va l'amener à jouer un rôle stratégique dès les premiers épisodes de la guerre de Cent Ans et au cours des guerres de religion. En 1585, la reine Margot, comtesse d'Agen, rejetée par sa famille et son époux, Henri de Navarre, s'est ralliée à la Ligue et a tenté de prendre le contrôle l'Agenais en forçant en vain le passage de Villeneuve (1585).
Jusqu'au milieu du XIXe siècle, la rivière fait la richesse de la ville : toutes les marchandises étaient alors transportées par bateaux. D'Auvergne descendaient bois et fromages ; du Rouergue, le cuivre et le papier ; du Quercy, le blé, le vin et les fruits. Toutes ces denrées transitaient par Villeneuve qui, seule avec Cahors possédait une amorce de port de commerce. Les bateaux repartaient ensuite vers Bordeaux, puis de là vers les comptoirs français dans les îles.
Temps modernes
Son rôle de place de guerre prend fin avec les événements de la Fronde. Lors de cette guerre civile qui déchire la France, Villeneuve prend le parti des Princes contre Mazarin. Le siège et la défaite qui s'ensuit (elle est l'une des dernières à capituler, 1653) lui coûte ses remparts, ses fossés. Aucun fait saillant ne vient plus troubler son histoire.[réf. nécessaire]
Révolution française et Empire
La Révolution de 1789 n'y provoque aucun mouvement important et la ville resta « sagement révolutionnaire ».[réf. nécessaire]
La commune, instituée par la Révolution française, absorbe avant 1806 celles de Bias, Coulougues, Courbiac, Montmarès, Sainte-Radegonde, Saint-Germain, Saint-Hilaire, Saint-Sernin, Saint-Sulpice-Rivelot et Soubiroux[27].
Époque contemporaine
Au XIXe siècle, Villeneuve était surtout connue pour ses produits maraîchers et son commerce de la prune d'Ente : petits pois, haricots verts, pruneaux partaient par trains entiers vers les grands marchés de Bordeaux et de Paris. C'est aussi un petit centre industriel diversifié.
La ville est reliée par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique à Monflanquin et Villeréal de 1911 à 1933. Ce réseau était exploité par les Tramways de Lot-et-Garonne puis les Voies ferrées départementales du Midi.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune est le chef-lieu de l'arrondissement de Villeneuve-sur-Lot du département de Lot-et-Garonne.
Elle était de 1793 à 1973 le chef-lieu du canton de Villeneuve-sur-Lot, année où celui-ci est scindé entre les cantons de Villeneuve-sur-Lot-Nord et de Villeneuve-sur-Lot-Sud[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur des cantons de Villeneuve-sur-Lot-1 et Villeneuve-sur-Lot-2
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Lot-et-Garonne.
Intercommunalité
Villeneuve-sur-Lot était le siège de la communauté de communes du Villeneuvois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Roquentin (sauf Sauvagnas), formant, en 2009 la communauté de communes du Villeneuvois (CCV), qui s'est transformée le en communauté d'agglomération sous le nom de Communauté d'agglomération du Grand Villeneuvois, dont Villeneuve est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Au second tour des élections municipales de 2014 en Lot-et-Garonne, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant — qui avait succédé à Jérôme Cahuzac après sa démission — obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 4 527 voix (42,92 %, 26 conseillers municipaux élus dont 14 communautaires), battant largement les listes menées respectivement par[30] :
- Étienne Bousquet-Cassagne (FN, 3 203 voix, 30,37 %, 5 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires) ;
- Paul Caubet (DVG, 2 816 voix, 26,70 %, 4 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires).
Lors de ce scrutin, 35,50 % des électeurs se sont abstenus.
Au second tour des élections municipales de 2020 en Lot-et-Garonne, la liste DVD menée par Guillaume Lepers obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 3 510 voix (49,80 %, 27 conseillers municipaux élus dont 18 communautaires), battant largement les listes menées respectivement par[31] :
- Thomas Bouyssonnie (DVG, 1 765 voix, 25,04 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Patrick Cassany, maire sortant (PS, 1 221 voix, 17,32 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Étienne Bousquet-Cassagne (RN, 552 voix, 7,83 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 56,53 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
Distinctions et labels
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[39].
Jumelages
- Ávila (Espagne) depuis 1984 ;
- Bouaké (Côte d'Ivoire) depuis 1957 ;
- Neustadt (Allemagne) ;
- San Donà di Piave (Italie) ;
- Troon (Écosse) depuis 1987, voir Troon.
Villeneuve-sur-Lot est la ville marraine de la frégate anti sous-marine « Georges Leygues ».
Équipements et services publics
Énergie
La ville contribue à la protection l’environnement. En effet, depuis le , la communauté du Grand Villeneuvois utilise de l'huile végétale pure pour faire fonctionner ses véhicules (10 poids lourds du service de collecte des ordures ménagères). C'est une première en France où le statut légal de l'huile végétale carburant est sujet à controverse. Sur ce point, la CCV s'est appuyée sur l'expertise d'un juriste pour justifier l'aspect légal des huiles végétales brutes utilisées comme carburant[40].
Enseignement
L'éducation est assurée dans la commune de Villeneuve-sur-Lot de la crèche, en passant par l'école maternelle, l'école élémentaire et le collège jusqu'au lycée : lycée polyvalent Leygues-Couffignal (fusion du lycée polyvalent Georges Leygues et du lycée technique Luis Couffignal), institution privée Sainte-Catherine, lycée technique privé l'Oustal, le tout étant complété par la bibliothèque municipale et un centre aéré.
Justice, sécurité, secours et défense
La ville a été, jusqu'en 2010, le siège d'un tribunal d'instance et d'un tribunal de commerce.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 8]
En 2019, la commune comptait 21 742 habitants[Note 9], en diminution de 7,33 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
selon la population municipale des années : | 1968[43] | 1975[43] | 1982[43] | 1990[43] | 1999[43] | 2006[44] | 2009[45] | 2013[46] |
Rang de la commune dans le département | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 | 2 |
Nombre de communes du département | 326 | 311 | 313 | 317 | 317 | 319 | 319 | 319 |
En 2011[47], la commune et l'agglomération comptent respectivement 23 232 et 50 265 habitants. L'aire urbaine de Villeneuve-sur-Lot est la seconde du département de Lot-et-Garonne avec 56 343 habitants[48].
Festival du rire
Le festival a été créé en 1992 par la deuxième génération de l'Association Saint-Roch Saint-Fiacre créé en 1959. Il se déroule fin juin-début juillet. La programmation humoristique est éclectique et de qualité. La bastide devient la capitale du rire et de la bonne humeur au début de l'été.
Le festival propose tous les ans un concours national de jeunes humoristes. Ainsi sont passés par ce concours Christophe Alévêque, Baptiste Lecaplain, Titoff... En deuxième partie sont programmés de jeunes humoristes, des artistes reconnus dans le one-man-show, par exemple François-Xavier Demaison. Certains artistes sont venus en tant que jeunes humoristes puis comme vedettes (Bruno Salomone, Titoff...).
Le festival de Jazz de 1973 à 2002
Villeneuve sur Lot, la plus grande des bastides du Sud-Ouest, était depuis longtemps une jolie ville d’Art et de Musique.
Déjà dans les années 1950-1960 de grands orchestres de variétés avaient su apporter les sons du Jazz avec les trompettes d’Aimé Barelli et Philippe Brun, les trombones de Benny Vasseur et André Paquinet, les saxos d’André Ekyan et Alix Combelle. Guy Lafitte faisait danser la jeunesse au dancing Lutetia.
Puis le pharmacien Jean-Claude Cayrel, qui jouait du cornet au Hot Club de Bordeaux, devient maire en 1974 pour deux ans et il lance le nouveau Stadium. Il permet désormais aux musiciens locaux de se réunir pour faire le bœuf chaque vendredi soir.
L'association « Jazz47 » organise à partir de 1973 un festival qui fera venir de grands noms du jazz et du blues : Raphaël Faÿs, Monty Alexander, Jimmy Smith, Buddy Guy, John Lee Hooker, Earl Hines , Benny Carter, Lionel Hampton...[49] Les concerts avaient lieu à « La Cave » sous l'ancienne poste et au théatre Georges Leygues. En 1989 est créée l'association « Jazz en villeneuvois » pour une manifestation plus importante qui accueillera Ray Charles, Hank Jones et Miles Davis à la salle des Fontanelles[50].
Quelques-uns des jazzmen de Villeneuve : Jacques Deroux, Jacques Billard, Jean Depoid, Jean-Claude Peyramond, Serge Dupouy, Roger Claverie, Michel Olieu, puis Thierry Bonnafoux, René Marmieysse, Maxence Marmieysse, Pierre Cornali, David Carrick, Michel Lebbe, André Laurent, Pierre Dacquin, Jean Guiral, Jacky Colombié, Pierre Rode…
Sports et loisirs
Le sport à Villeneuve-sur-Lot concerne plus de 60 associations[réf. nécessaire].
Rugby à XIII
Le Villeneuve XIII était le club semi-professionnel de rugby à XIII, évoluant en première division nationale depuis 1934. Il porte actuellement le pseudonyme de « Léopards d'Aquitaine ».
Le club a un palmarès prestigieux et a notamment gagné plusieurs coupes de France (en 1937, 1958, 1964, 1979, 1984, 1999, 2000, 2002 et 2003).
Le club a également remporté à neuf reprises le championnat de France de première division nationale (en 1935, 1959, 1964, 1980, 1996, 1999, 2001, 2002 et 2003).
Autres sports
- Tennis de table : le PPC Villeneuve-sur-Lot évolue dans le Championnat de France par Équipes de Pro A en 2016-2017. Il compte dans ses rangs 2 Champions de France Seniors : Adrien Mattenet (2015) et Stéphane Ouaiche (2014 et 2016).
- Escrime : l'AEV est un club de la ligue d'escrime d'Aquitaine, formateur d'épéistes de haut niveau et l'un des premiers clubs formés à Villeneuve-sur-Lot[51].
- Aviron : fondé en 1886, l'Aviron Villeneuvois est l'un des plus anciens clubs de Villeneuve.
- Basket-ball : en 1948 est créée une section basquet à l'Aviron Villeneuvois. Le Villeneuve Basket Club, club professionnel héritier de ce sport, évolue actuellement en Championnat de France de basket-ball de deuxième division (Pro B).
- Canoë-kayak : activité proposée par le Canoë-kayak club de Villeneuve-sur-Lot.
- Rugby à 15 : le Rugby Club villeneuvois[52], créé en 2003, est la renaissance du Club Athlétique villeneuvois (CAV), qui avait atteint la première division à la fin des années 1980. Il joue en division Honneur de la ligue régionale Nouvelle-Aquitaine. Son palmarès est le suivant :
- Champion du Périgord agenais de 3e série 2005-2006
- Champion du Périgord agenais de 2e série 2006-2007
- Champion du Périgord agenais de 1re série 2008-2009
- Champion du Périgord agenais de Promotion d’honneur 2009-2010
Installations sportives
Villeneuve-sur-Lot possède de nombreux équipements sportifs dont l'hippodrome de Sangruère avec son haras national, le stade de la Myre Mory pour les équipes de rugby (XIII et XV). Le terrain d'honneur porte le nom de « Stade Max-Rousié ».
La ville possède aussi des stade à Eysses (stade de football où s'entraine le FCVL, football club vallée du Lot), à Courbiac et à Choisy (derrière le collège Anatole France et près de l'institution Ste Catherine).
Elle possède aussi des tribunes donnant sur le plan d'eau que représente le Lot où se déroulent des compétitions d'aviron.
Villeneuve est ville étape de la course cycliste Route du Sud (voir son palmarès et statistiques).
Cultes
- Paroisse Saint-Joseph de l'église catholique en France.
- Église Protestante Réformée de France[53].
- Église Protestante Évangélique Les Peupliers[54].
- Église Évangélique Vie et Lumière.
- Église pentecôtiste Assemblée De Dieu.
- Mosquée.
Économie
La ville souffre de la déshérence commerciale de son centre[55], comme de nombreuses villes moyennes[56].
L'entreprise phare de Villeneuve-sur-Lot est Gifi, un groupe de distribution possédant plus de 551 magasins en 2017[57]. Ces magasins sont en majorité en France. Quelques enseignes sont présentes en Belgique, en Espagne (Catalogne) et au Maroc. L'entreprise GiFi a été fondée en 1981 par Philippe Ginestet.
Parmi les autres réussites économiques de la ville, on trouve aussi SYST'AM, fondée en 1988 par Gérard Cinquin, pharmacien. Elle est l'une des entreprises leader de l'équipement médical spécialisée notamment dans la conception et la fabrication de supports d'aide à la prévention de l'escarre.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Les vestiges de la ville romaine d'Excisum à Eysses, à côté de la prison.
- De ses anciens remparts, Villeneuve-sur-Lot a conservé la porte de Paris (anciennement porte de Monflanquin) et la porte de Pujols, toutes deux de la fin du XIVe siècle[59]. Ce sont les seuls vestiges des remparts qui défendaient la ville. Toutes les deux, bâties en pierre et en brique, sont couronnées de créneaux et de mâchicoulis.
- La place de Lafayette, appelée place des Cornières.
- L'hôpital Saint-Cyr[60].
- L’ancien hôtel de ville.
- La villa Gaston Rapin abritant l'école d'art André Malraux.
- Enjambant le Lot, le pont des Cieutats, ou pont Vieux, contemporain du pont Valentré de Cahors, était au XIIIe siècle surmonté de trois tours défensives. Si les deux arches méridionales datent du XIIIe siècle, la grande arche située du côté de la rive droite a été édifiée au XVIIe siècle, à la suite de dégradations jugées irréversibles des arches antérieures. Cette nouvelle arche a été conçue afin de faciliter l'écoulement du courant ; la principale faiblesse de cet ouvrage d'art, conçu par des ingénieurs anglais peu au fait du régime des eaux des rivières d'Aquitaine, résidait en effet dans sa massivité qui en faisait un obstacle que la pression des eaux a peu à peu dégradé. La légende rapporte que trois bateaux descendant le Lot furent arrêtés au pied du pont vieux par une force mystérieuse. L'un des marins ayant plongé pour voir ce qui les retenait, remonta portant une statuette de la Vierge. Il fut alors décidé de bâtir une chapelle surplombant le lieu de la découverte. Depuis lors, la statuette surveille la rivière depuis le toit de la chapelle.
- Le pont de la Libération.
- Le pont de Bastérou.
- Le château de la Sylvestrie des XIIe – XIIIe siècles[61].
- Le château de Lamothe[62].
- Le château de Rogé[63].
- Le château de Bonrepos[64].
- Le théâtre Georges-Leygues.
- L'ancienne viguerie du XVe siècle[65].
- Le musée municipal, appelé musée de Gajac, propose des collections de préhistoire locale, d'antiquités égyptiennes et gallo-romaines, d'art religieux, de dessins et sculptures contemporains. Il s'agit d'un ancien moulin fortifié.
- Le haras.
Porte de Pujols. Porte de Paris. Pont des Cieutats. Place des Cornières.
Édifices religieux
- L'abbaye Saint-Gervais et Saint-Protais était située à Eysses, rue Victor Michaud à l'emplacement du centre de détention[66].
- L'église Sainte-Catherine, rue Sainte-Catherine, est de style néoroman byzantin, et offre une orientation nord-sud inhabituelle. Elle fut érigée au début du XXe siècle en remplacement de l'ancienne église du XIIIe siècle, jugée trop vétuste. Elle abrite de remarquables vitraux des XIVe et XVe siècles (provenant de l'ancienne église).
- L'église Saint-Étienne, rue Saint-Étienne, fut construite à la naissance de la bastide au XIIIe siècle. Elle fut achevée au XVIe siècle. C'est un bel édifice gothique tardif de type méridional[67].
- L'église Saint-Sernin d'Eysses, rue Victor Michaud.
- L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Collongues.
- L'église Saint-Pie X à Courbiac.
- L'église Saint-Hilaire à La Grâce.
- L'église Sainte-Anne à Monmarès.
- L'église Saint-Gernain-l'Auxerrois à Saint-Germain.
- L'église Saint-Sulpice à Saint-Sulpice-Rive-Lot.
- L'église Sainte-Radegonde à Sainte-Radegonde.
- L'église Saint-Pierre à Soubirous.
- L'église Saint-Martin à Petit-Trémons.
- La chapelle du Bout du pont, rue Notre-Dame[68].
- La chapelle Saint-Jean-Baptiste des Pénitents blancs, rue de l'Écluse. La confrérie est fondée en 1657. La chapelle est bénie en 1667.
- La chapelle de l'ancien hôpital Saint-Cyr, boulevard Saint-Cyr de Coquard.
- La chapelle Notre-Dame du monastère de l'Annonciade, rue Crochepierre.
- La chapelle Notre-Dame-de-Divine-Miséricorde, rue Paul Claudel au cimetière Sainte-Catherine.
- la chapelle Saint-Jean-Marie-Vianney, avenue du Général De Gaulle.
- La chapelle du centre de détention, rue Victor Michaud.
- Le temple réformé, rue du Général Blaniac.
- L'église protestante évangélique, rue des Peupliers.
- L'église évangélique assemblée de Dieu, rue de l'Abbaye.
- L'église évangélique Vie et Lumière, rue Victor Delberge.
- La salle du royaume, rue Montplaisir.
Équipements culturels
Mentionné dès 1264 dans l’acte de fondation de la bastide de Villeneuve-sur-Lot, le moulin de Gajac, transformé en minoterie au XIXe siècle, possède une histoire qui se confond avec celle de la cité tout entière. Le musée de Gajac occupe le site majestueux d’un ancien moulin installé au bord de la rivière, en plein centre de Villeneuve-sur-Lot. Il abrite une importante collection de beaux-arts et organise de nombreuses expositions temporaires.
La bibliothèque municipale est créée en 1860 grâce au don d'un fonds par Lamartine. À partir de 1970, elle intègre des locaux au sein du centre culturel de la ville et en 1978, elle prend le nom de Bibliothèque municipale Paul-Guth. Elle ne quittera ses locaux que temporairement de juillet 2006 à avril 2007 pour des travaux de rénovation qui ont permis de réorganiser totalement les 547 m2 qu'occupe la bibliothèque. Le fonds de l'établissement rassemble actuellement plus de 50 000 documents. La bibliothèque participe activement à l'organisation du salon du Livre de la ville et au salon Keskili, le rendez-vous des bébés lecteurs.
Personnalités liées à la commune
Par thème et par ordre alphabétique.
- Jean-Antoine d'Anglerais dit Chicot, (v. 1540-1592), né à Villeneuve-sur-Lot, bouffon des rois Henri III et Henri IV.
- Chimène Badi (1982), chanteuse ; elle a vécu son enfance à Villeneuve-sur-Lot.
- Bambou (1959), née à Villeneuve-sur-Lot, mannequin et chanteuse, épouse de Serge Gainsbourg.
- Paul Bernard (1898-1958), né à Villeneuve-sur-Lot, acteur.
- Bigflo et Oli (1993 et 1996), nés à Villeneuve-sur-Lot ; rappeurs.
- Nicolas Cazalé (1977), acteur ; il a vécu son enfance à Villeneuve-sur-Lot.
- Martine Clémenceau (1949), vit à Villeneuve-sur-Lot, auteure-compositrice-interprète.
- Michel Conte (1932-2008), né à Villeneuve-sur-Lot, chorégraphe, auteur-compositeur-interprète, metteur en scène.
- Jeanne Juilla (1910- 1996), née à Villeneuve-sur-Lot, Miss Garonne 1930, Miss France 1931 et Miss Europe 1931.
- Gilles Marchal (1944-2013), chanteur, auteur-compositeur-interprète, écrivain, ancien élève du lycée Georges Leygues.
- Charles Picot (1944), poète (Je vous offre quelques vers ?, Jasmin d'argent 2009), conférencier ; il a tenu le rôle du proviseur dans Les Roseaux sauvages, d'André Téchiné, tourné à Villeneuve-sur-Lot.
- André Téchiné (1943), réalisateur et scénariste ; il a tourné son film Les Roseaux sauvages à Villeneuve-sur-Lot.
- Michel de Villers de Montaugé (1926-1992), né à Villeneuve-sur-Lot, musicien.
- Albéric de Blanche (1818-1854), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, journaliste et écrivain.
- Alain Bouissière (1946), né à Villeneuve-sur-Lot, écrivain[69].
- Jean-Luc Barré (1957), né à Villeneuve-sur-Lot, écrivain, historien et éditeur.
- Henry Coston (1910-2001), journaliste, écrivain, éditeur, essayiste et militant d'extrême droite ; il a vécu son enfance à Villeneuve-sur-Lot.
- Charles Derennes (1882-1930), né à Villeneuve-sur-Lot, écrivain, romancier et poète.
- Louis Dollot (1915-1997), mort à Villeneuve-sur-Lot, diplomate et un homme de lettres.
- Jasmin (Jacques Boé, dit) (1798-1864), coiffeur, poète et écrivain occitan.
- Paul Guth (1910-1997), écrivain, romancier et essayiste ; il a vécu son enfance à Villeneuve-sur-Lot.
- Laurent Mantese (1976), né à Villeneuve-sur-Lot, écrivain.
- Daniel de Montplaisir (1955), né à Villeneuve-sur-Lot, historien, conseiller de l'Assemblée nationale.
- William Oualid (1880-1942), mort à Villeneuve-sur-Lot, juriste.
- Bruno Ricard (1968), né à Villeneuve-sur-Lot, archiviste et historien, directeur des Archives nationales de France (depuis 2019).
- Pierre Sansot (1928-2005), écrivain, philosophe, sociologue ; il a vécu son enfance à Villeneuve-sur-Lot.
- Sabine Sicaud (1913-1928), née et morte à Villeneuve-sur-Lot, poétesse.
- Jean-Claude Brouillet (1925), né à Villeneuve-sur-Lot, aviateur, résistant, chef d'entreprises de transport aérien et écrivain.
- Philippe Etchebest (1966) a vécu durant 2 ans à Villeneuve-sur-lot avec ses parents de 1977 à 1979 ; chef étoilé.
- Mathieu Gallet (1977), né à Villeneuve-sur-Lot, président-directeur général de Radio-France.
- Philippe Ginestet (1954), créateur de Gifi.
- Louis Jouard de La Nauze (1696-1773), né à Villeneuve-sur-Lot, jésuite, historien de l'Antiquité, homme de lettres.
- Pierre Paganel (1745-1826), né à Villeneuve-sur-Lot, prêtre démissionnaire, député à la convention nationale, régicide.
- Bernard Podvin (1960), né à Villeneuve-sur-Lot, prêtre catholique.
- Joseph de Bourran de Marsac (1747-1821), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, député.
- Benoît Broutchoux (1879-1944), mort à Villeneuve-sur-Lot, anarcho-syndicaliste.
- Jérôme Cahuzac (1952), homme politique, maire de Villeneuve-sur-Lot, député socialiste de Lot-et-Garonne, ministre délégué chargé du Budget.
- Joseph Couderc (1852-1917), né à Villeneuve-sur-Lot, journaliste, homme politique.
- Louis-Martin Daubert (1739-?), né à Villeneuve-sur-Lot, député du tiers état aux États généraux de 1789.
- Hélène Laporte (1978), personnalité politique née à Villeneuve-sur-Lot.
- Jean-François Lafabrie de La Sylvestrie (1758-1835), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, député.
- Georges Leygues (1857-1933), né à Villeneuve-sur-Lot, homme politique, député de Lot-et-Garonne, ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, ministre de l'Intérieur, ministre des Colonies, ministre de la Marine, ministre des Affaires étrangères, président du Conseil, président de la Commission des Affaires étrangères, créateur du tombeau du Soldat inconnu à Paris.
- Abdallah Mahdi (1888-1973), mort à Villeneuve-sur-Lot, sénateur de Constantine sous la Quatrième République.
- Jean Nénon (1906-1976), mort à Villeneuve-sur-Lot, homme politique, député, attaché parlementaire, secrétaire d'État, Conseiller général du canton de Fumel.
- Pierre Paganel (1745-1826), né à Villeneuve-sur-Lot, prêtre et député.
- Jon Palais (1979),Pierre-Thomas Radoult de La Fossemilitant écologiste.
- Régine Povéda (1957), née à Villeneuve-sur-Lot, députée.
- Jacques Raphaël-Leygues (1913-1994), homme politique, député, maire de Villeneuve-sur-Lot, ambassadeur de France en Côte d'Ivoire.
- Joseph Rossé (1892-1951), mort à Villeneuve-sur-Lot, homme politique.
- Joseph Sanguedolce (1919-2010), résistant, homme politique et syndicaliste, maire PCF de Saint-Étienne ; il fut prisonnier de guerre à la prison centrale d’Eysses à Villeneuve-sur-Lot.
- Jean-Baptiste de Vassal de Montviel, homme politique, maire de Villeneuve-d'Agen et député de 1815 à 1827.
- Antoine Vidalot (1734-1808), mort à Villeneuve-sur-Lot, député.
- Bertrand Alibert (1775-1808), né à Villeneuve-sur-Lot, ingénieur.
- Alain Chenciner (1943), né à Villeneuve-sur-Lot, mathématicien.
- Maurice Lafargue (1958-2010), mort à Villeneuve-sur-Lot, créateur d'une école d'ingénieurs.
- Gaston Rapin (1874-1944), architecte et peintre.
- Guillaume Tronchet (1867-1959), né à Villeneuve-sur-Lot, architecte.
- Jacques de Boutier de La Cardonnie (1723-1791), né à Villeneuve-sur-Lot, officier de marine.
- Jean François Labarrière (1744-1810), né à Villeneuve-sur-Lot, officier de la Révolution et de l'Empire.
- Guillaume Joseph Nicolas de Lafon-Blaniac (1773-1833), né à Villeneuve-sur-Lot, militaire.
- Louis de Ménoire (1764-1820), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, officier de la Révolution et de l’Empire.
- Madeleine Pauliac (1912-1946), née à Villeneuve-sur-Lot, médecin et résistante.
- Pierre-Thomas Radoult de La Fosse (1783-1869), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, général de la Révolution et de l'Empire, député.
- Jean-Baptiste Alary (1811-1899), né à Villeneuve-sur-Lot, photographe.
- Christian Baboulène dit Babou (1946-2005), né à Villeneuve-sur-Lot, artiste-peintre.
- Gabriel Antoine Barlangue (1874-1956), né à Villeneuve-sur-Lot, dessinateur, graveur, illustrateur et peintre.
- Antoine Bourlange (1872-1951), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, sculpteur ; certaines de ses œuvres sont conservées au Musée de Gajac à Villeneuve-sur-Lot.
- André Crochepierre (1860-1937), artiste-peintre, portraitiste de la bourgeoisie villeneuvoise ; ses œuvres sont exposées au Musée de Gajac à Villeneuve-sur-Lot.
- Georges Dastor (1904-1990), mort à Villeneuve-sur-Lot, artiste-peintre et affichiste de cinéma.
- Ray Delvert, photographe.
- Paul Dufau (1898-1982), né à Villeneuve-sur-Lot, peintre.
- Pierre Eychart (1943-2013), né à Villeneuve-sur-Lot, peintre.
- Maurice Fabre (1921-1989), né et mort à Villeneuve-sur-Lot, artiste-peintre, sculpteur, graveur, photographe, garagiste.
- Eva Gonzalès (1847-1883), artiste-peintre impressionniste. Des ɶuvres sont présentées au musée de Gajac.
- Jeanne Hives-Bazin (1927-2019), née à Villeneuve-sur-Lot, dessinatrice.
- Chantal Lanvin (1929-2013), morte à Villeneuve-sur-Lot, artiste-peintre.
- François Peltier (1955) vit et travaille à Villeneuve-sur-lot depuis 1982, artiste-peintre.
- Émile Ratier (1894-1984) mort à Villeneuve-sur-lot, sculpteur.
- Maurice Réalier-Dumas (1860-1928), artiste-peintre.
- Aurore Valade (1981), née à Villeneuve-sur-Lot, photographe.
- Lilian Albert (1991), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII.
- Brahim Baffou (1984), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV.
- William Barthau (1990), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII et de rugby à XV.
- Marc Batard (1951), né à Villeneuve-sur-Lot, alpiniste.
- Mikaël Brageot (1987), né à Villeneuve-sur-Lot, pilote de vol acrobatique.
- Ernest Camo (1902-1978), mort à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV et à XIII.
- Laurent Carrasco (1976), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII.
- Hugues Delage (1961), né à Villeneuve-sur-Lot, pilote automobile.
- Ousmane Dieng (2003), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de basket-ball.
- Romain Edmond-Samuel (1986), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV.
- Laurent Frayssinous (1977), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur et entraîneur de rugby à XII.
- Freddy Hufnagel (1960), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de basket-ball.
- Christophe Juillet (1969), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV.
- Thomas Lasvenes (1996), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII.
- Mathieu Maillard (1980), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV.
- Camille Montade (1901-1949), mort à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV et à XIII.
- Julien Mazet (1981), né à Villeneuve-sur-Lot, coureur cycliste professionnel.
- Carl Naibo (1982), né à Villeneuve-sur-Lot, coureur cycliste professionnel.
- Philippe Pautrat (1884-1944), né à Villeneuve-sur-Lot, coureur cycliste.
- Julien Ricaud (1985), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de football.
- Julien Rinaldi (1979), né à Villeneuve sur Lot, joueur de rugby à XIII et capitaine de l'équipe de France.
- Anthony Rouault (2001), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de football.
- Grégory Tutard (1975), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XV et à XIII.
- Ludovic Sané (1987), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de football des Girondins de Bordeaux.
- Cyril Stacul (1984), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII.
- Romain Sort (1974), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII.
- Frédéric Vaccari (1987), né à Villeneuve-sur-Lot, joueur de rugby à XIII.
- Pascal Viléo (1967), né à Villeneuve-sur-Lot, arbitre de football.
Villeneuve-sur-Lot dans les arts et la culture
Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :
Héraldique
Blason | D'azur au pont de cinq arches d'argent, sommé de trois tours du même, celle du milieu plus élevée, celles de dextre et senestre surmontées d'une fleur de lys d'or, sur une rivière aussi d'argent. |
|
---|---|---|
Détails | Cette description a été faite pour la première fois en 1547 par le roi de France Henri II. Le blason représente à la fois le pont, symbole de la ville, dans son ancienne configuration (cinq arches, trois tours) et, par la fleur de lys, le pouvoir royal (la ville a été fondée par Alphonse de Poitiers, frère de saint Louis). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Delvert Georges Leygues, Grand serviteur de la République, Nérac, 2014, 282 p.
- Georges Tholin, Le temple gallo-romain d'Eysses (Villeneuve-sur-Lot), avec planche, p. 97-100, Revue de l'Agenais, 1896, tome 23 (lire en ligne)
- Abbé Bertrand, Antoine de Lantenay, L'abbaye d'Eysses en Agenois. Mémoire pour l'histoire de l'abbaye lès Villeneuve-d'Agenois. Appendices, p. 151-180, 221-254, 397-400, Revue de l'Agenais, 1892, tome 19 (lire en ligne)
- Auguste Cassany-Mazet, Annales de Villeneuve-sur-Lot et de son arrondissement, Imprimerie Prosper Noubel, Agen, 1846 (lire en ligne)
- Alexandre Ducourneau, La Guienne historique et monumentale, tome 1, première partie, p. 286-299, imprimerie P. Coudert, Bordeaux, 1842 (lire en ligne)
- Fernand de Mazet, La Fronde à Villeneuve d'Agenois (avec planche), p. 193-210, 332-354, Revue de l'Agenais, 1896, tome 23 (lire en ligne)
- Jean-Pierre Capdeville, Alain Turq, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Villeneuve-sur-Lot, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1999, (ISBN 2-7159-1878-X) (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Villeneuve-sur-Lot (47323) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Villeneuve-sur-Lot », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Villeneuve-sur-Lot » sur Géoportail.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Villeneuve-sur-Lot » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Villeneuve-sur-Lot - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Villeneuve-sur-Lot - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Lot-et-Garonne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sainte-Livrade-sur-Lot - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. Volume III, Publications romanes et françaises, (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Rapport d'activité 2006 de l’INRAP page 88
- « Agglomération de Villeneuve-sur-Lot », sur Base Mérimée
- Résultats officiels pour la commune Villeneuve-sur-Lot
- « Municipales 2020 : Guillaume Lepers élu maire de Villeneuve-sur-Lot : Le candidat DVD Guillaume Lepers a remporté la mairie de Villeneuve-sur-Lot ce dimanche avec 49,8 % des voix », France 3 Nouvelle-Aquitaine, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les maires de Villeneuve-sur-Lot », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Qui est Michel Gonelle, le "corbeau" de Jérôme Cahuzac ? : Ancien maire RPR de Villeneuve-sur-Lot, il a reconnu avoir détenu l'enregistrement sur lequel s'appuie Mediapart dans l'affaire Cahuzac », France Info, (lire en ligne, consulté le ).
- « Villeneuve-sur-Lot. La lettre de démission de Jérôme Cahuzac est partie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Thomas Mankowski, « Patrick Cassany, sans surprise, élu maire à Villeneuve : À 50 ans, il succède à Jérôme Cahuzac », Sud-Ouest, (lire en ligne, consulté le ) « Premier adjoint depuis l’arrivée de l’équipe socialiste aux commandes de la mairie en 2001, il est devenu ce jeudi le 41e maire de Villeneuve depuis la Révolution ».
- « Lot-et-Garonne : Patrick Cassany sort de son silence : Sévèrement battu en juin dernier, l'ancien maire de Villeneuve-sur-Lot a pris du recul durant l'été », Sud-Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Villeneuve-sur-Lot. Guillaume Lepers, maire et président du Grand Villeneuvois : "Donnons sa chance à 2021" », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 17 janvier 2021.
- Biocarburant
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- http://www.insee.fr/fr/themes/tableau_local.asp?ref_id=POP&millesime=2011&typgeo=UU2010&search=47401
- populations légales INSEE 2011
- « Jazz47 1972-2002 »
- « Jazz en villeneuvois 1989-2002 »
- Argueyrolles, Histoire du sport à Villeneuve-sur-Lot
- Site du Rugby Club villeneuvois.
- « Église Protestante Unie de France »
- « Église évangélique des peupliers Villeneuve-Sur-Lot »
- « Grand Format. "Le pire, c'est quand la dernère pâtisserie a fermé" : à Villeneuve-sur-Lot, autopsie d'un centre-ville en déshérence », sur franceinfo (consulté en )
- Élodie Charmann, « Dans les villes-moyennes, la santé révélatrice des commerces de centre-ville », Le Monde, (lire en ligne)
- Cécile Prudhomme, « Le repreneur de Tati, Philippe Ginestet, un patron atypique », Le Monde, (lire en ligne)
- « Le bel envol de l’abeille », sur SudOuest.fr (consulté le ).
- « Porte de ville dite porte de Paris », sur Base Mérimée
- « L’hôpital Saint-Cyr - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « Le château de la Sylvestrie - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « Le château de Lamothe - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « Le château de Rogé - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « Le château de Bonrepos - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « Ancienne viguerie - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « L’abbaye de Bénédictins Saint-Gervais-Saint-Protais - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « L'église Saint-Étienne - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « La chapelle Notre-Dame-du-Bout-du-Pont - Villeneuve-sur-Lot », sur Grand villeneuvois
- « Alain Bouissière », sur Auteurs contemporains
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