Université Panthéon-Sorbonne
L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (parfois notée Panthéon-Sorbonne)[1], est un établissement multidisciplinaire de l'enseignement supérieur français, spécialisé dans les domaines des sciences économiques et de la gestion, des arts et des sciences humaines, du droit et de la science politique[2].
Ne doit pas être confondu avec Sorbonne Université, Université Panthéon-Assas, Sorbonne Nouvelle, Université Paris-Sorbonne ou Université Sorbonne-Paris-Nord.
Pour les articles homonymes, voir Panthéon (homonymie), Sorbonne (homonymie) et Université Panteion.
Fondation | |
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Dates-clés |
Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Fondateur | |
Directeur |
Christine Neau-Leduc (d) |
Devise |
« Omnibus sapientia, unicuique excellentia » (« Le savoir pour tous, l'excellence pour chacun ») |
Membre de |
Europaeum United Nations Academic Impact Sorbonne Alliance European University Foundation UNA Europa Association des universités européennes Union des universités de la Méditerranée Chancellerie des universités de Paris Consortium universitaire de publications numériques Réseau national de télécommunications pour la technologie, l'enseignement et la recherche |
Site web |
Étudiants |
45 200 |
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Enseignants |
1 450 |
Budget |
223 000 000 d’euros () |
Pays | |
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Localisation |
Ses centres administratifs et ses principaux locaux d’enseignement sont situés à la Sorbonne et sur la place du Panthéon, au cœur du Quartier latin de Paris, dans l’ouest du cinquième arrondissement. Elle possède également plus d'une vingtaine d'antennes dans quatre autres arrondissements parisiens (quatrième, sixième, treizième et quinzième arrondissements) ainsi qu'en Égypte[3] et en Roumanie[4].
Étant l'une des héritières de l'ancienne université de Paris, l'université Paris 1 accueille aujourd'hui environ 45 200 étudiants répartis en dix unités de formation et de recherche (UFR) et quatre instituts. Elle offre des formations de la licence au doctorat et dans la préparation des concours, notamment juridiques et d'enseignement. Elle ne fait partie d'aucune COMUE, mais elle collabore avec l'université Sorbonne-Nouvelle et ESCP Business School au sein de Sorbonne Alliance. Elle est aussi membre fondateur du projet d'université européenne UNA Europa depuis 2019[5].
Histoire
Origines de l'université
En 1945, à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, l'université de Paris retrouvait les problèmes qui lui étaient propres et qui s'étaient aggravés avec la guerre et l'occupation étrangère. Les étudiants s'entassaient dans des salles et dans des amphithéâtres surpeuplés, et le corps enseignant, insuffisant en nombre, n'avait pas les moyens de les suivre et de les encadrer correctement.
La déconcentration des centres universitaires dans la capitale et à la périphérie sera principalement l'œuvre de la Ve République dans les premières années de son existence. Cette politique atteignit ses objectifs en répondant notamment aux problèmes posés par le nombre des étudiants. Le pouvoir crut également pouvoir contrôler l'accès de ces derniers à l'université, en organisant une sélection sévère à l'entrée des facultés et en créant des Instituts universitaires de technologie.
Cette réforme n’ayant pas été négociée avec tous les partenaires intéressés, elle fut rejetée par les étudiants dans un climat politique et social défavorable, et elle provoqua une véritable insurrection dans les facultés à Paris et en province.
La faculté des lettres de Nanterre - créée en 1964 au sein de l'université de Paris - étant devenue le théâtre d'une agitation permanente contre les projets de réforme, le recteur de l'académie, président du conseil de l'université de Paris, décidait sur proposition du doyen de cette faculté de fermer cette dernière le 2 mai 1968. Le lendemain, trois à quatre cents étudiants se réunirent dans la cour de la Sorbonne pour dénoncer la fermeture de la faculté de Nanterre et demander au recteur d'annuler la décision administrative qui permettait de traduire plusieurs de leurs camarades devant le conseil de l'université de Paris. En fin de soirée, ce dernier fit appel à la police pour qu'ils évacuent la cour de la Sorbonne. Des échauffourées violentes opposèrent les étudiants aux forces de l'ordre dans la rue, suivies de nombreuses arrestations et des centaines de blessés dans les deux camps. Cet incident majeur entraîna plusieurs semaines de troubles à Paris et une grève générale illimitée en France, qui faillirent emporter la Ve République.
Le général de Gaulle, président de la République, réussissant à rétablir l'ordre à la fin de mai, la nouvelle Assemblée nationale élue en juin, après la dissolution de la précédente, eut pour principale mission de réformer la législation universitaire de la IIIe République, en donnant une large autonomie de gestion aux établissements d'enseignement supérieur et en permettant ainsi d'établir plusieurs universités dans une même circonscription académique.
C'est ainsi qu'à Paris, où l'université était devenue très difficile à gérer par le nombre de ses professeurs et de ses étudiants, la législation nouvelle - loi du 12 novembre 1968, remplacée par la loi du 26 janvier 1984 - permit de créer dès 1969 treize universités au sein de l'ancienne université de Paris.
Création de l'université
À l'instigation notamment des professeurs François Luchaire (droit public), Henri Bartoli (économie) et Hélène Ahrweiler (sciences humaines), l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est née en 1971 du regroupement d'une partie de la faculté de droit et sciences économiques (Panthéon) et d'une partie de la faculté des lettres et sciences humaines (Sorbonne). Si la plus grande partie des économistes de la faculté de droit (35 sur 41) ont choisi Paris 1, la plupart des juristes (88 sur 108)[6], dont la plupart des privatistes et des historiens du droit et une partie importante des publicistes avaient choisi de perpétuer une université spécialisée - Paris 2 - alors que leurs collègues faisaient le pari d’une université pluridisciplinaire en ralliant l’université Paris 1[7].
Dans les négociations sur le partage des locaux historiques avec les autres universités proches, l'université Paris 1 peut utiliser des salles dans la partie sud de la Sorbonne, précédemment utilisée par la faculté des sciences[8]. De même, les universités Paris 1 et Paris 2 s'entendent pour installer toutes les deux leur présidence dans les locaux historiques de la faculté de droit place du Panthéon et se partager le site. Les nouveaux locaux de la rue d'Assas sont également partagés pendant les deux premières années en attendant l'ouverture du futur centre Pierre-Mendès-France, effective en 1973[8].
Développement
Depuis sa création, Paris 1 a vu ses effectifs d'étudiants augmenter de 50 % et la proportion d'étudiants de troisième cycle s'accroître constamment. Cette croissance, accompagnée de l'apparition de nouvelles disciplines (administration économique et sociale, mathématiques appliquées et sciences sociales), a nécessité l'attribution de nouveaux locaux qui ont augmenté la capacité d'accueil et la dispersion de l'université : centre Saint-Charles[9] pour les arts plastiques (1973), centre Tolbiac[8] (aujourd'hui centre Pierre-Mendès-France) (1973), centre de recherches historiques et juridiques de la rue Malher (1972), centre Port-Royal René-Cassin pour le premier cycle de droit (1990), Maison des sciences économiques[10] (1998) pour la recherche dans ces disciplines et centre Broca où s'installe l'Institut d'administration des entreprises en 2001, centre Port-Royal Lourcine (2019)[11].
Rapprochements institutionnels des années 2000
À la suite de la mise en place en France de Pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) en 2006, l'université s'est successivement impliquée dans plusieurs projets d'association d'établissements d'enseignement supérieur, ainsi que dans un projet élaboré dans le cadre du Plan campus à partir de janvier 2008.
L'université commence à travailler autour du projet du PRES Paris Centre Universités à partir de janvier 2006 qui inclut d'autres universités parisiennes dont Paris V et Paris VII[12]. Le projet n'aboutit pas, ces deux dernières universités se rapprochant finalement du projet Sorbonne Paris Cité et l'université commence au début de l'année 2010 à se rapprocher d'autres établissements autour du projet Hautes Études-Sorbonne-Arts et Métiers[13]. L'établissement quitte cependant ce groupement le [14].
L'université travaille au même moment avec d'autres partenaires autour du projet du campus Condorcet dans le but d'ouvrir un nouveau campus au nord de Paris. Le projet est retenu en 2008 dans le cadre du plan campus[15].
Présidence de l'université
Présidents | Dates de mandat |
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François Luchaire | 1970 – 1976, président de l'assemblée constitutive de 1970-1971 |
Hélène Ahrweiler | 1976 – 1981 |
Pierre Bauchet | 1981 – 1982 |
Jacques Soppelsa | 1982 – 1989 |
Georges Haddad | 1989 – 1994 |
Yves Jégouzo | 1994 – 1999 |
Michel Kaplan | 1999 – 2004 |
Pierre-Yves Hénin | 2004 – 2009 |
Jean-Claude Colliard | 2009 – 2012 |
Philippe Boutry | 2012 – 2016 |
Georges Haddad (2e mandat) | 2016 – 2020 |
Christine Neau-Leduc | depuis 2021 |
Composantes
Départements
Il y a dix départements, formés en unités de formation et de recherche (UFR), à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne répartis en trois domaines d'études[16] :
- Sciences économiques et de gestion :
- UFR02 - École d'économie de la Sorbonne (EES)
- UFR06 - École de management de la Sorbonne (EMS) (gestion et économie d'entreprise)
- UFR27 - UFR de mathématiques et informatique
- Sciences humaines :
- UFR03 - École d'histoire de l'art et d'archéologie de la Sorbonne (EHAAS)
- UFR04 - École des arts de la Sorbonne (EAS) (arts plastiques et sciences de l'art)
- UFR08 - UFR de géographie (Institut de géographie)
- UFR09 - École d'histoire de la Sorbonne (EHS)
- UFR10 - UFR de philosophie
- Sciences juridiques et politiques :
- UFR01 - École de droit de la Sorbonne (EDS)
- UFR11 - École de science politique de la Sorbonne. Créée en 1969, elle constitue en France la seule institution universitaire exclusivement vouée à la promotion de cette discipline aussi bien par l’enseignement que par la recherche, les enseignements de science politique dans les autres universités françaises dépendant des UFR juridiques. L'UFR est dirigée actuellement par Julien Frétel.
Instituts et établissement associé
Il y a également 10 instituts d'études et de recherches :
- Institut de démographie de l'université Paris 1 (IDUP)
- Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
- Institut des sciences sociales du travail (ISST)
- Institut de recherche et d'études supérieures du tourisme (IREST)
- Institut d'administration économique et sociale (IAES)
- Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
- Institut d'études judiciaires Jean-Domat (IEJ)
- Institut des assurances de Paris (IAP)
- Institut français de la communication (IFC)
- Institut des études sur la guerre et la paix (IEGP)
Enfin, il y a également un établissement public associé :
Maison des sciences économiques
La Maison des sciences économiques (MSE) abrite les équipes de recherche de Paris 1 travaillant dans le domaine de l'économie et des mathématiques appliquées depuis 1997[17]. L'ensemble de ces quelque 300 chercheurs, des neuf unités de recherche et d'une unité de services, la plupart affiliées au CNRS, la diversité des thèmes abordés et des méthodes utilisées, donnent à cette Maison un caractère unique en France. S'y déroulent également les enseignements de masters, destinés à environ 300 étudiants.
Localisation
Le siège social et la présidence de l'université sont situés au 12, place du Panthéon, 75005 Paris[18]. Il s'agit du site principal de l'université :
- Centre Panthéon, il abrite aussi une partie de l'École de droit de la Sorbonne (licence 3, master 1 et master 2).
Les autres sites sont appelés annexes dans les statuts[18] :
- Centre Sorbonne (place de la Sorbonne, 5e arrondissement de Paris)
- Centre Pierre-Mendès-France (souvent appelé « Tolbiac », à ne pas confondre avec les locaux officiellement appelés « centre Tolbiac ») (13e arrondissement de Paris)
- Centre Tolbiac (17 rue de Tolbiac, 13e arrondissement de Paris) (à ne pas confondre avec le centre Pierre-Mendès-France, qui est lui aussi parfois appelé « Tolbiac »)
- Centre Saint-Charles (15e arrondissement de Paris), site de l'École des arts de la Sorbonne (UFR04)
- Centre Michelet (Institut d'art et d'archéologie de Paris) (6e arrondissement de Paris)
- Centre Institut de géographie de Paris (5e arrondissement de Paris)
- Centre Institut océanographique de Paris (5e arrondissement de Paris)
- Campus Condorcet, porte de la Chapelle et à Aubervilliers
- Campus Port-Royal (13e arrondissement de Paris), lui-même constitué de deux bâtiments :
- Centre René-Cassin (rue Saint-Hippolyte), site de l'École de droit de la Sorbonne (Licence 1, Licence 2)
- Centre Lourcine, situé dans l’ancienne caserne Lourcine (1, rue de la Glacière), depuis la rentrée universitaire 2019
- Centre Broca (5e arrondissement de Paris), site de la formation continue
- Centre Malher (rue Malher, 4e arrondissement de Paris)
- Centre Bourg-la-Reine (Institut des sciences sociales du travail)
- Centre René-Ginouvès (Nanterre)
- Centre du Jardin tropical de Paris (bois de Vincennes, 12e arrondissement de Paris), dédié à l'Institut d'études du développement de la Sorbonne
- Centre Vivienne (2e arrondissement de Paris)
- Centre du Four (6e arrondissement de Paris)
- Centre Ulm (5e arrondissement de Paris)
- La Maison des sciences économiques (13e arrondissement de Paris)
- Collège Sainte-Barbe (Institut de recherche juridique de la Sorbonne) (5e arrondissement de Paris).
Centre Pierre-Mendès-France
Le centre Pierre-Mendès-France (parfois appelé « Tolbiac », à ne pas confondre avec les locaux officiellement appelés « centre Tolbiac ») est une annexe située au no 90 de la rue de Tolbiac dans le 13e arrondissement. Il accueille environ 6 000 étudiants de première et de deuxième année de licence en sciences humaines, en sciences économiques, en gestion et dans quelques disciplines juridiques, notamment la première année de capacité en droit.
Il s'agit d'un ensemble de trois tours d’inégales hauteurs constituées autour d'un noyau central en béton armé : la tour A est haute de neuf étages, la tour B de seize, et la tour C de vingt-deux. L'ensemble a été construit par les architectes Andrault et Parat dans le cadre de l'opération d'urbanisme Italie 13.
Les architectes avaient à faire face à de nombreuses contraintes de superficie. En outre, ceux-ci devaient créer un centre pouvant contenir près de 13 000 étudiants sur un terrain triangulaire de 4 500 m2.
Enseignement et recherche
Formation
L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne propose 22 licences[19] et 418 parcours master dont 211 masters 2[20] (dont 93 M2 recherche, 113 M2 professionnels, et 5 M2 indifférenciés[21]), et 10 doctorats[22], ainsi que 17 doubles licences, parfois suivies de doubles masters 1.
Il existe en outre 3 licences professionnelles[23], 71 diplômes universitaires[24], 5 magistères[25] et 84 masters 1[26].
L'université propose 90 parcours en apprentissage[27].
Un Collège de droit a été ouvert, à la rentrée 2017[28].
Relations internationales
L'université Paris 1 dispose de plus de 700[29] conventions d'échanges d'étudiants avec des établissements européens et internationaux, des doubles cursus et en particulier pour le droit, cinq doubles licences et doubles maîtrises en droit français-droit étranger :
- droit français-droit allemand[30] en partenariat avec l'université de Cologne
- droit français-droit américain[31] en partenariat avec les universités de Columbia et de Cornell à New York
- droit français-droit anglais[32] en partenariat avec Queen Mary University of London
- droit français-droit espagnol[33] en partenariat avec l'université de Madrid-Complutense
- droit français-droit italien[34] en partenariat avec l'université de Florence
En outre, l'université dispose de 215 accords Erasmus+ et 388 partenaires internationaux. L'université délocalise 20 diplômes et propose 55 diplômes avec mobilité[35].
Dans le cadre d'Una Europa (alliance universitaire créée en 2019), l'université Paris 1 ambitionne de faire partie d'un réseau d'universités européennes[36].
Recherche
Depuis sa constitution en 1971, Paris 1 a exprimé son attachement à un modèle combinant ouverture et recherche de l'excellence. S'articulant en faveur de l'insertion dans le cadre d'un dispositif global constitué en direction « Partenariats Entreprises et Insertion Professionnelle »[37], l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne se positionne comme l'une des premières institutions de recherche dans ses domaines.
Les orientations stratégiques propres à Paris visent à conforter le rôle d'acteur majeur de Paris 1 dans la recherche et l'enseignement en sciences humaines et sociales. Pour cela cette université entend structurer et dynamiser sa recherche, renforcer l'attractivité de ses diplômes et la réussite de ses étudiants et s'affirmer comme acteur international de la recherche[38].
Collège des écoles doctorales
Le Collège des écoles doctorales a été créé par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour rassembler les dix écoles Doctorales de l'université dans un but d'élaboration et de mise en œuvre de la politique de l'université en matière de formation doctorale. Il a également pour vocation de coordonner les compétences et les pratiques de ces Écoles doctorales et de leurs directeurs, dans le respect des spécificités interdisciplinaires. Il assure dans le respect des spécificités interdisciplinaires, la coordination des compétences des Écoles doctorales et de leurs directeurs, et en mettant en commun certains de leurs moyens.[39]
Les dix écoles doctorales
Le Collège des écoles doctorales a été créé par l'université pour rassembler ses dix écoles doctorales[40] :
- École doctorale d'économie (ED 465)
- École doctorale de management (ED 559)
- École doctorale de droit de la Sorbonne (ED 565)
- École doctorale de science politique (ED119)
- École doctorale de philosophie (ED 280)
- École doctorale de géographie (ED 434)
- École doctorale d'archéologie (ED 112)
- École doctorale d'arts plastiques, esthétique & sciences de l'art (ED 279)
- École doctorale d'histoire (ED 113)
- École doctorale d'histoire de l'art (ED 441)
Les écoles doctorales sont composées de plusieurs laboratoires de recherche comme : Pôle de recherches interdisciplinaires en sciences du management (EA 4101), Institut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne (EA 4536)[41], etc.
24 laboratoires de recherches sont articulés en unité mixte de recherche (UMR), par exemple[42] :
- Développement et société (UMR 201)[43] : Recherche interdisciplinaire sur le développement dans les pays du sud
- Le centre d'économie de la Sorbonne (UMR 8174)[44]
- Le centre européen de sociologie et de science politique de l'Université (UMR 8209)[42]
- L'institut des Sciences Juridique et Philosophique de la Sorbonne (UMR 8103)[42]
Direction de la recherche et de la valorisation
La direction de la recherche et de la valorisation développe son activité autour de cinq axes principaux :
- La commission recherche du Conseil académique : organisation des réunions des différentes formations et suivi des décisions ;
- La préparation de la négociation et la mise en place du volet recherche du contrat quadriennal, en relation avec le ministère et le CNRS ;
- L'appui à la gestion financière des centres de recherches, des écoles doctorales et des programmes pluriformation en collaboration avec les services de l'agence comptable : suivi des crédits, des conventions de recherche, etc.
- La diffusion d'information concernant d'une part les appels d'offres relatifs à des programmes de recherche français et internationaux adressés à l'université et d'autre part l'aide financière destinée aux doctorants (allocations de recherche, conventions CIFRE…) ;
- Le suivi des subventions allouées le conseil scientifique, notamment pour la publication de thèses.
Valorisation de l'entrepreneuriat
- Sorbonne Junior Conseil est la junior entreprise de la Sorbonne, fondée par Luc Chatel, ancien ministre et ancien DRH de L'Oréal, lorsqu'il était étudiant et relancée par Kevin Lognoné[45] en 2012, qui a lancé un hub national d'innovation[46] des junior entreprises universitaires [47], mis en place un programme Sorbonne Junior Conseil au féminin[48], développé des relations avec les Français de l'étranger[49] et un partenariat avec les JO de Londres[50], remis un livre blanc Du plan école au business plan[51] à l'Institut des libertés et enfin proposé une Youth Bank au Conseil de Paris, en présence de Bertrand Delanoë[52].
Classements
QS World University Ranking[53]
En 2020, par discipline et matière :
- Arts et Sciences Humaines : 32e (1er en France)
- Archéologie : 16e (1er en France)
- Histoire : 34e (1er en France)
- Histoire Classique et Ancienne: 13e (2e en France)
- Geographie : 33e (1er en France)
- Philosophie : 28e (2e en France)
- Art & Design : 101e-150e (4e en France)
- Architecture : 151e-200e (1er en France)
- Langues Modernes : 51e-100e (3e en France)
- Sciences Sociales & Management : 54e (3e en France)
- Droit : 20e (1er en France)
- Études de Développement : 28e (1er en France)
- Économie & Économétrie : 51e-100e (3e en France)
- Anthropologie : 51e-100e (2e en France)
- Sciences Politiques : 51e-100e (2e en France)
- Comptabilité & Finance : 101e-150e (6e en France)
- Business & Management : : 101e-150e (8e en France)
Times Higher Éducation[54]
Dans le palmarès de mai 2016 du Times Higher Education, l’université est parvenue à se maintenir dans ce classement international, en occupant le 91e-100e rang, à égalité avec l’Insead et l’École polytechnique. Devancée par l’École normale supérieure (ENS) et l’université Pierre et Marie Curie (UPMC), Paris 1 Panthéon-Sorbonne se hisse au troisième rang français[55].
Le Times Higher Education, classait l'établissement dans le top 100 mondial en 2011[56], puis parmi les 60 universités les plus réputées du monde en 2014[57].
Classement Le Point - Le Figaro
L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est classée à différents rangs dans des classements effectués par la presse française. Selon Le Point, elle arrive, dans les universités de « droit, économie, et gestion », avec plus de 94 % de taux d'insertion à l'obtention du diplôme[58]. D'après Le Figaro, elle arrive au 10e rang national concernant ses taux d'insertion professionnelles et de salaire[59]. Selon les filières, certaines formations (Masters 2 Conseil, Masters 2 Transports internationaux et logistique, Masters 2 Comptabilité Contrôle Audit, etc.) ont des statistiques d'insertion à 100 % avant l'obtention du diplôme avec une moyenne salariale de 40 000 € bruts annuel.
Vie étudiante
Vie associative
Plus d'une centaine d'associations sont affiliées à l'université[60], certaines sont thématiques, d'autres sont dédiées à l'animation des filières ou sont des associations de diplômés. La quasi-totalité des cursus sélectifs (doubles cursus, magistères, masters 2) ont également leur association de filière ou leurs associations de diplômés qui accompagnent la coordination et l'organisation des formations et des démarches des étudiants.
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Patrimoine
L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, comptant parmi les principales héritières de l'université de Paris, fut dotée à sa création, en 1971, d'un riche patrimoine culturel, composé de diverses collections et d'un parc immobilier remarquable.
Patrimoine immobilier
Située historiquement au cœur du 5e arrondissement de Paris, l'université Panthéon-Sorbonne jouit d'un riche patrimoine architectural, tel la Sorbonne d'Henri-Paul Nénot, propriété de la ville de Paris, porteuse d'une riche histoire et décorée de nombreuses fresques réalisées au XIXe siècle par des artistes tels que Léon-François Comerre ou Marcel Baschet. L'université bénéficie également des locaux de l'ancienne faculté de droit de l'université de Paris, conçue par Jacques-Germain Soufflot, dont la cour d'honneur et les façades du bâtiment originel furent inscrites au titre des monuments historiques en 1926[75]. Certains autres bâtiments occupés par l'université sont également classés au titre des monuments historiques, tels que l'Institut d'art et d'archéologie, conçu par Paul Bigot et classé depuis 1996[76], ou le collège Sainte-Barbe de l'architecte Louis-Ernest Lheureux classé en 1999[77]. Dispersée dans Paris, l'université compte de nombreux bâtiments remarquables et continue son expansion.
- Amphithéâtre Richelieu, centre Sorbonne.
- Salle Jacqueline de Romilly de la Bibliothèque de la Sorbonne.
- Peinture de Marcel Baschet dans la Bibliothèque de la Sorbonne.
- Fresque de Georges-Antoine Rochegrosse dans l'escalier d'honneur de la Bibliothèque de la Sorbonne.
- Grand hall de la Sorbonne.
- Cadran solaire de la cour d'honneur de la Sorbonne.
- Tour de l'observatoire de la Sorbonne.
- Galerie Soufflot du Centre Panthéon.
- Galerie Colbert, en partie occupée par le département d’histoire de l’art de l'université.
- Façade du Collège Sainte Barbe, hébergeant l'Institut de Recherche Juridique de la Sorbonne.
- Institut des sciences sociales du travail, situé à Bourg-la-Reine.
- Détail mural de l'Institut d'art et d'archéologie
Collections
L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, héritière des collections scientifiques et pédagogiques constituées à partir du XIXe siècle au sein de l'université de Paris, compte un riche patrimoine divers et ancien d'oeuvres antiques, de peintures, de photographies et de moulages[78]. L'université a également enrichie ses collections, depuis sa fondation, en se dotant notamment d'oeuvres contemporaines et en constituant une cinémathèque comptant aujourd'hui plus de 7000 titres[79].
Personnalités liées
Enseignants
- Robert Badinter, professeur émérite de droit, ancien président du Conseil constitutionnel et Garde des sceaux, ministre de la Justice.
- Mireille Delmas-Marty, professeure de droit et académicienne, ancienne professeure au Collège de France.
- Jean-Francois Lyotard, professeur émérite de philosophie, fondateur du Collège international de philosophie.
- Pascal Ory, professeur d'histoire, membre de l'Académie française.
- Catherine Larrère, professeure émérite de philosophie, figure de la philosophie de l'environnement.
Enseignants en droit et en science politique
- François Luchaire : ancien rédacteur de la Constitution du 4 octobre 1958, ancien membre du Conseil constitutionnel, résistant.
- Robert Badinter : professeur de droit (1974-1994), puis nommé professeur émérite. Sénateur (1995-2011), président du Conseil constitutionnel (1986-1995) et Garde des sceaux, ministre de la Justice (1981-1986), écrivain.
- Mireille Delmas-Marty : professeur de droit pénal, professeur au Collège de France.
- Jean-Claude Colliard : ancien membre du Conseil constitutionnel.
- Jean-Pierre Cot : professeur émérite de droit public, ministre délégué chargé de la coopération et du développement (1981–1982), président du groupe socialiste au Parlement européen (1989–1994) ; vice-président du Parlement européen (1997–1999). Depuis 2002, juge au Tribunal international du droit de la mer.
- Dominique Rousseau : professeur de droit constitutionnel et ancien membre du conseil supérieur de la magistrature entre 2002 et 2006.
- Bertrand Mathieu : professeur de droit public, conseiller d’État en service extraordinaire, ancien membre du comité « Balladur ».
- Jean Gicquel : professeur de droit public (droit constitutionnel), ancien membre du Conseil supérieur de la magistrature.
- Marie-Anne Cohendet : professeure de droit public, enseigne le droit constitutionnel et le droit de l'environnement.
- Anne Levade : professeur de droit public, ancien membre du comité « Balladur », membre du collège de la HATVP.
- Michèle Alliot-Marie : maître de conférences en droit public, ancienne directrice de l'UFR de science politique, ancienne ministre (Défense, Intérieur, Justice et Affaires étrangères) et ancienne députée UMP à l'Assemblée nationale.
- Jeannette Bougrab : maître de conférences en droit public, ancienne secrétaire d’État à la Jeunesse.
- Louis Gautier (haut fonctionnaire) : enseigne la politique de défense de la France en science politique.
- Gilles Dorronsoro : Professeur en science politique, enseigne la sociologie des guerres civiles.
Enseignants en économie et gestion
- Patrick Artus: professeur associé d'économie, directeur des études économiques de Natixis, membre du CAE, du Cercle des économistes et membre de la Commission économique de la Nation
- Daniel Cohen : professeur d'économie, éditorialiste au journal Le Monde
- Christian de Boissieu : Professeur d'économie, spécialiste de questions monétaires et bancaires, président du CAE, membre du Cercle des économistes et membre du Collège de l'AMF.
- Agnès Benassy-Quéré : Professeur d'économie, membre du Cercle des économistes1 et présidente-déléguée au CAE. Couronnée par le Prix du meilleur jeune économiste de France en 2000.
- Bruno Amable : Professeur d'économie qui s'est principalement consacré à l'étude du néo-libéralisme, et notamment de ses relations avec l'innovation, et à l'analyse des diverses formes du capitalisme dans les pays développés. Son nom est associé à une typologie des « cinq capitalismes ».
- Gunther Cappelle-Blancard : Professeur d'économie, il préside la Commission « Système financier et financement de l'économie » du Conseil national de l'information statistique (Cnis). Il est également membre du Conseil scientifique de l'Autorité des marchés financiers.
Enseignants en sciences humaines et sociales
- Maurice Benayoun : enseigne de 1984 à 2010 les arts plastiques et les sciences de l'art, puis professeur Creative Media (CityU Hong Kong)
- Jean-Baptiste Brenet : professeur d'histoire de la philosophie, spécialiste d'Averroès.
- Luc Ferry : ancien chargé de cours de philosophie, ancien ministre de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
- Claude Gauvard, professeur émérite, spécialiste du Moyen Âge.
- Dominique Kalifa (1957-2020), professeur d'histoire contemporaine.
- Olga Kisseleva : MCF HDR à l'École des arts de la Sorbonne, artiste internationale, prix Art&Science du CNRS 2012.
- Olivier Mattéoni, professeur d'histoire médiévale.
- Daniel Roche, professeur d'histoire moderne, spécialiste du XVIIIe siècle, ensuite professeur au Collège de France.
- Jacques Soppelsa : professeur de géopolitique, président de la Fédération mondiale de rugby à XIII.
- Michel Serres, professeur d'histoire des sciences, philosophe, membre de l'Académie française.
- Arnaud Teyssier, inspecteur général de l'administration et historien.
Docteur honoris causa
Depuis sa création, l'université Panthéon-Sorbonne décerne le titre de docteur honoris causa à des personnalités en reconnaissance de leur rôle et de leur engagement dans la promotion des valeurs et des principes inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
- Robert Solow (1974), professeur au Massachussetts Institute of Technology, prix Nobel d'économie 1987[80]
- Amartya Sen (2007), prix Nobel d'économie 1998[80]
Médaille Richelieu
En mémoire du Cardinal de Richelieu, qui étudia à la Sorbonne et œuvra de manière remarquable à son développement, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a créé la médaille Richelieu, une décoration décernée depuis 2010 à des personnalités « qui par leur position, leurs déclarations et/ou leurs actes, contribuent activement au respect et à la défense des valeurs de l'Université, tout en favorisant la diffusion d'un savoir universitaire d'excellence »[83]
Anciens étudiants
- Esther Duflo, professeure d'économie, prix « Nobel » d'économie 2019.
- Bertrand Badie, professeur émérite des universités, spécialiste des relations internationales.
- Rima Abdul-Malak, femme politique française, ministre de la Culture.
- Manuel Valls, homme politique français, ancien Premier ministre.
- Suella Braverman, femme politique britannique, procureur général pour l'Angleterre et le pays de Galles, Avocat général pour l'Irlande du Nord.
- Sérgio Vieira de Mello, fonctionnaire international brésilien des Nations unies, ancien Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme.
- Ali Bongo, homme d'État gabonais, président de la République gabonaise.
Hommes et femmes d'affaires et chefs d'entreprise
- Jean-Michel Darrois : Avocat d'affaires et fondateur du cabinet Darrois Villey Maillot Brochier.
- Jacques Aigrain : ancien PDG de Swiss Re
- Samir Assaf : directeur général de HSBC Global Markets & Banking
- Thierry Derez : PDG de Covéa
- Michel-Édouard Leclerc : Président du groupement des commerçants indépendants E.Leclerc
- Dominique Senequier : Directeur Général de Ardian (ex-Axa Private Equity)
- Philippe Wahl : Directeur Général de La Banque postale
- Gérald-Brice Viret : Directeur Général des Antennes du groupe Canal+ et directeur de Canal+
- Gérald Karsenti : PDG d’Hewlett-Packard France
- Paul Duan : CEO de Bayes Impact
Médias
- Mathieu Gallet : ancien PDG de Radio France
- Eric Revel : ancien Directeur France Bleu
- Laurence Ferrari : Journaliste et animatrice de télévision
- Olivia Fox Cabane : oratrice et conférencière
- Ophélie Véron : Blogueuse féministe végane
- Charles Consigny : juriste et chroniqueur télévisé
Personnalités politiques françaises
- Pierre Laurent : sénateur de Paris et Secrétaire national du Parti communiste français
- Pouria Amirshahi : député de 2012 à 2017
- Michèle Alliot-Marie : ministre de 2002 à 2011 (Défense, Intérieur, Justice et Affaires étrangères)
- Jean-Louis Borloo : ministre de 2002 à 2010
- Luc Chatel : ministre de l'Éducation nationale (2009-2012)
- Frédéric Cuvillier : ministre délégué puis secrétaire d’État aux Transports, à la Mer et à la Pêche dans le gouvernement (2012-2014)
- Myriam El Khomri : ministre du Travail (2015-2017)
- Hervé Gaymard : ministre de l'agriculture (2002-2004) puis de l'Économie et des Finances (2004-2005)
- Brigitte Girardin : ministre de l'Outre-mer (2002-2005), puis de la Coopération, au Développement et à la Francophonie (2005-2007)*
- Charlotte Girard : juriste
- Chantal Jouanno : sportive de haut niveau (karaté), ministre des Sports (2010-2011)
- Arnaud Montebourg : ministre de l'Industrie puis de l'Économie (2012-2014).
- Vincent Peillon : ministre de l'Éducation nationale (2012-2014).
- Manuel Valls : Premier ministre (2014-2016).
- Laurent Wauquiez : ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (2011-2012).
- Jean-Jacques Urvoas : ministre de la Justice (2016-2017).
Personnalités politiques étrangères
- Atsutsè Kokouvi Agbobli : homme politique, ancien ministre togolais.
- Ali Bongo : président de la République gabonaise
- Leila Chikhaoui : ministre tunisienne
- Hazem el-Beblawi : ancien Premier ministre égyptien
- Jorge Castañeda : ancien ministre des Affaires étrangères du Mexique.
- Alpha Condé : président de la République de Guinée.
- Taïeb Fassi-Fihri : ancien ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération.
- Irakli Garibachvili : ancien Premier ministre géorgien
- Ibrahim Hassane Mayaki : homme politique, ancien Premier ministre du Niger
- Théodore Holo : ancien président de la Cour constitutionnelle du Bénin et ancien ministre
- Geórgios Katroúgalos : ancien ministre grec des Affaires étrangères
- Cecilia Malmström : ancien commissaire européenne et ancienne ministre suédoise des affaires européennes
- Yōichi Masuzoe : ancien ministre japonais
- André Mba Obame : ancien ministre de l'intérieur au Gabon
- Abdoul Mbaye : ancien Premier ministre du Sénégal
- Salem Miladi : ancien ministre tunisien
- Daniel Ona Ondo : ancien Premier ministre du Gabon
- Théodoros Pángalos : ancien vice-président du gouvernement grec
- Fethi Sellaouti : ministre tunisien
- Alexander Stubb : ancien Premier ministre finlandais
- Nasser Yeganeh : ancien président de la Cour suprême de l'Iran
- Angèle Aguigah (1955-) : archéologue et femme politique togolaise.
Artistes, écrivains, autres
- Delphine Aboulker : architecte
- Maurice Benayoun : artiste, Villa Médicis hors les murs 1993, Golden Nica, Ars Electronica 1998
- Deen Burbigo : rappeur
- Régis Debray : prix Fémina 1977
- Jérôme Ferrari : prix Goncourt 2012
- Emmanuel Guillaud : artiste
- Caroline Hamon : Médaille de bronze du CNRS 2017
- Olga Kisseleva : artiste, prix Art&Science du CNRS 2012
- Jean-Pierre Thiollet : écrivain
- Marie-Ann Yemsi : commissaire d'exposition
- Fanny Gonella : commissaire d'exposition
Domaine académique et relations internationales
- Sylvie Faucheux : présidente de l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
- Thomas Gomart : directeur de l'Institut français des relations internationales (IFRI)
- Dimitri Kitsikis : géopolitologue, président honoraire de la Fondation publique « Dimitri Kitsikis » (Grèce), membre de la Société royale du Canada
- Jean-Pierre Mohen : archéologue, ancien directeur du musée d'Archéologie nationale, ancien directeur du Centre de recherche et de restauration des musées de France
- Bernard Ramanantsoa : directeur général du groupe HEC
- Ségolène Vandevelde : archéologue française
Notes et références
- « Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- L'université en chiffres, Université Paris 1 (lire en ligne [PDF])
- « Institut de Droit des Affaires Internationales »
- « Collège juridique franco-roumain d’études européennes »
- « UNA Europa », sur www.una-europa.eu (consulté le )
- « Les programmes de I à VII », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- Gérard Conac, « La fondation de l'université Paris-I : François Luchaire, pilote d'une transition institutionnelle » dans Jeannette Bougrab et Didier Maus (dir), François Luchaire, un républicain au service de la République, Publications de la Sorbonne, 2005, p. 178.
- Gérard Conac, « 1968 : la Faculté de droit de Paris dans la tourmente » dans Pascal Gonot, Anne Rousselet-Pimont et Loïc Cadiet (dir.), L’École de droit de la Sorbonne dans la Cité, Paris, IRJS éditions, 2012 (ISBN 978-2-919211-11-1), p. 79-85.
- « Présentation du centre St Charles | UFR - Arts », sur arts.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- « Maison des Sciences Économiques, Université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne) | EDIRC/RePEc », sur edirc.repec.org (consulté le )
- « Campus Port-Royal | Patrimoine », sur patrimoine.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- « Paris Centre Universités », Journal de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, juin 2006, p. 5, sur univ-paris1.fr le consulté 10 juillet 2010
- Émilie Naourie, « Le PRES Hésam élargi à douze membres », Le fil de Par1s, juin 2010, p. 8, sur univ-paris1.fr consulté le 10 juillet 2010
- Camille Stromboni, « L’université Panthéon-Sorbonne claque la porte de son regroupement », dans Le Monde, le 21 novembre 2016, consulté sur www.lemonde.fr le 21 novembre 2016
- Luc Cédelle, « Le plan Campus privilégie dix pôles universitaires », Le Monde, (lire en ligne)
- Satuts de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
- « Maison des sciences économiques | Patrimoine », sur patrimoine.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- Statuts de l'université Panthéon-Sorbonne, art. 7.
- Liste des licences proposées par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- Liste des masters 2 proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- L'université Paris 1 en chiffres - novembre 2015
- Liste des mentions de doctorats proposées par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- Liste des licences professionnelles proposées par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- Liste des diplômes d'université proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- Liste des magistères proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- Liste des masters 1 proposés par l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
- « L’apprentissage à Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - Marc-Olivier Lagadic, « EDS: Collège de Droit de la Sorbonne », sur www.univ-paris1.fr (consulté le )
- Plaquette de présentation sur le site de l'université, chiffres de 2011.
- fiche du diplôme droit français-droit allemand
- fiche du diplôme droit français-droit américain
- fiche du diplôme droit français-droit anglais
- fiche du diplôme droit français-droit espagnol
- fiche du diplôme droit français-droit italien
- « Stratégie et partenariats internationaux de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne »
- « RAPPORT ANNUEL INTERNATIONAL 2020-2021 »
- « Insertion professionnelle | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- « Recherche | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
- « Collège des écoles doctorales | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
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- « IREDIES | IREDIES », sur iredies.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
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- « Le Centre – CES » (consulté le )
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- https://www.capcampus.com/entreprise-etudiante-1294/hub-d-innovation-partage-et-rencontre-entre-junior-entrepreneurs-a23372.htm
- https://www.lepetiteconomiste.com/La-Junior-Entreprise-de-l-IAE-de-4071
- https://www.slideshare.net/EmilienCunat/press-book-jeic
- https://vl-media.fr/legislatives-des-francais-de-letranger-quels-enjeux-pour-la-jeunesse/
- https://vl-media.fr/sorbonne-junior-conseil-aux-jo-de-londres/
- https://institutdeslibertes.org/wp-content/uploads/2014/02/Du-plan-%c3%a9cole-au-business-plan-La-D%c3%a9fense.pdf
- https://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/sur-le-modele-anglais-paris-lance-sa-youth-bank-3396/
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- Cyriel Martin, « EXCLUSIF. Nos meilleures universités », (consulté le )
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- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), sur education.gouv.fr consulté le 2 septembre 2011
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur http://www.education.gouv.fr le 30 août 2012
- Université Panthéon-Sorbonne consulté le 4 juin 2022
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- « Les Docteurs Honoris Causa de l’Université | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », sur www.panthéonsorbonne.fr (consulté le )
- « Top 10 des présidents honorés par l’université », sur www.panthéonsorbonne.fr
- « Le Président colombien Juan Manuel Santos fait Docteur Honoris Causa en Sorbonne - La Chancellerie des Universités de Paris | La Chancellerie des Universités de Paris », sur www.sorbonne.fr (consulté le )
- « Médaille Richelieu », sur www.panthéonsorbonne.fr
Voir aussi
Bibliographie
- Comité national d'évaluation, L'Université Panthéon Sorbonne - Paris I, rapport d'évaluation, Paris, , 258 p.
- Statuts de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Paris, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, , 37 p. (lire en ligne) [PDF].
- Christophe Charle, Philippe Boutry et Marie-Caroline Luce, L'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Cinquante ans entre utopie et réalités (1971-2021), éditions de la Sorbonne, Paris, 2021.
- Éric Pesme, Une vocation universaliste. L’action internationale de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, éditions de la Sorbonne, 2021.
- Jean da Silva, Une part de risque. L'École des Arts de la Sorbonne, éditions de la Sorbonne, Paris, 2020.
- Nicole Maggi-Germain (dir.), À la croisée du monde du travail et de l’université. L'Institut des sciences sociales du travail, éditions de la Sorbonne, Paris, 2021.
Articles connexes
- La Sorbonne
- L'ancienne université de Paris
- Le futur campus Condorcet à Aubervilliers et Paris
- Universités de Paris
Liens externes
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