Chaumont-en-Vexin

Chaumont-en-Vexin est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Chaumont.

Chaumont-en-Vexin

La mairie
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC Vexin-Thelle
(siège)
Maire
Mandat
Emmanuelle Lamarque
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60143
Démographie
Gentilé Chaumontois
Population
municipale
3 340 hab. (2019 )
Densité 180 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 06″ nord, 1° 53′ 23″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 57 m
Superficie 18,54 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Chaumont-en-Vexin
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
(bureau centralisateur)
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chaumont-en-Vexin
Géolocalisation sur la carte : France
Chaumont-en-Vexin
Géolocalisation sur la carte : Oise
Chaumont-en-Vexin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Chaumont-en-Vexin
Liens
Site web http://mairie-chaumont-en-vexin.fr/

    Ses habitants sont appelés les Chaumontois.

    Géographie

    Description

    La commune de Chaumont est située dans le Vexin français, au sud-ouest du département de l'Oise, à km de Gisors, 17 km de Magny-en-Vexin, 18 km d'Auneuil, 20 km de Méru et 28 km de Beauvais.

    Construite autour d'une butte circulaire centrale s'élevant à environ 125 mètres, recouverte de bois et de prés, entourée au sud par le bois de la Brosse. Elle est construite au bord d'un marécage dû aux nombreuses sources d'eaux qui ont toujours coulé dans la vallée où elle se trouve. La commune se situe à environ 64 mètres d'altitude. La butte centrale n'est pas habitée, mais c'est autour et sur ses flancs que les habitations ont été construites.

    La commune est desservie par une gare située sur la ligne Paris-Saint-Lazare - Gisors-Embranchement et desservie par les trains du Transilien J.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Troesne au château de Bertichères .

    La commune est traversée par plusieurs cours d'eau :

    • La Troësne (ou Troesne), rivière naturelle prenant sa source sur le territoire de la commune d'Hénonville.
    • Le canal de Marquemont prenant sa source au hameau du même nom, rejoignant la Troësne à l'est de la commune.
    • Le ru du Bras d'Or.
    • Le ru du Moulinet prenant sa source dans la propriété du château du Rebetz.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 705 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Le platanne de la place de la Foulerie.

    Divers spécimens de coquillages essentiellement du lutétien ont été découverts dans des carrières sablonneuses près de la commune par l'archéologue Raymond Pillon, dont certains spécimens uniques.

    Le platane de la place de la Foulerie a reçu le label "Arbre Remarquable de France" le , décerné par l'association A.R.B.R.E.S.[14],[15]. Il aurait été planté vers 1800 par le jardinier de Rebetz à partir de graines rapportées de Syrie[réf. nécessaire].

    Urbanisme

    Typologie

    Chaumont-en-Vexin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chaumont-en-Vexin, une unité urbaine monocommunale[19] de 3 269 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61 %), forêts (13,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,4 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Il y a plusieurs hameaux et écarts : Laillerie (ancienne commune), aujourd'hui presque totalement intégrée, Bertichères, Rebetz, le Petit Rebetz et Saint-Brice (autre ancienne commune). La commune est entourée de nombreux lieux-dits témoignant d'une très importante implantation paysanne qui a façonné la commune.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 457, alors qu'il était de 1 353 en 2013 et de 1 235 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 67,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 29,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chaumont-en-Vexin en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 55,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (55,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Chaumont-en-Vexin en 2018.
    Typologie Chaumont-en-Vexin[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 90,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 7,5 7,1 8,2

    Toponymie

    Attestée sous la forme latinisée Castrum Calvi Montis en 1112.

    Archétype toponymique fréquent en France sous les formes Chaumont, Caumont ou Calmont et qui représente le composé roman chals / caux (issues du latin calvus) ancienne formes masculines de « chauve » (jadis féminin) et mont « colline, éminence, mont », soit « mont chauve »[26],[27].

    Le , Chaumont prend le nom de Chaumont-en-Vexin.

    Histoire

    Dans la région autour de la ville, dans le bois de Bertichères sur la commune de Trie-Château, il reste plusieurs traces du néolithique : un dolmen dit de la Pierre trouée et un menhir.

    La butte centrale du village était originairement plus petite mais elle a été rehaussée par les premiers constructeurs d'une motte castrale au début du Moyen Âge[réf. nécessaire].

    Chaumont était la capitale du comté qui porta son nom, et qui existait déjà sous le règne de Philippe Ier. Ce comté comprenait-une étendue de pays évaluée à environ quatre-vingt lieues carrées : les premiers comtes étaient bénéficiaient de charges importantes à la cour[28].

    Chaumont, placé à la limite du duché de Normandie, a joué un rôle important dans les guerres que les normands et les rois d'Angleterre mènent contre la France jusques vers 1260. La place est situé sur un mamelon au nord du coteau vers Gisors, isolée et forte naturellement, est équipée d'un château par les rois de France afin de répondre à celui de Gisors, des Normands[28].

    Carte du district de Chaumont, en 1805, par Reilly.

    Louis Graves indiquait que « Le château était bâti sur un plan elliptique, et composé de dix tours séparées par des intervalles égaux ; il renfermait dans son enceinte le prieuré de Saint-Pierre, et le donjon nommé Tour-au-bègue[28] ».

    Après l'incendie de 1167, la ville ne fut plus rebâtie sur le coteau, mais elle s'étendit insensiblement sur les bords de la rivière au couchant, et fut fermée par trois portes dont une existait encore[28] » au début du XIXe siècle.

    En 1182, Philippe Auguste donne des institutions communales à la ville, en échange de la prise en charge par les bourgeois des travaux de fortifications de la ville et d’un service d’ost[29].

    La ville est chef-lieu du district de Chaumont de 1790 à 1795[30]..

    Les communes instituées par la Révolution française de Laillerie et Saint-Brice sont rattachées à Chaumont entre 1790 et 1794[30].

    En 1827, la commune est propriétaire de l'ancien couvent des Récollets, dont elle fera ultérieurement sa mairie, du presbytère, d'une école pour les filles qui lui a été donnée par Mme Pichelin, une place pour le marché, une pour le jeu de tamis qui sert aussi de champ de foire, et une place. de danse et de promenade. Une tannerie, une mégisserie, trois moulins à eau, et deux fours à chaux étaient exploités à Chaumont. « Une partie de la population féminine travaille pour les manufactures de blondes de Chantilly[C'est-à-dire ?]. Une autre partie de la population détournée des travaux agricoles par des habitudes urbaines, demeure inoccupée[28] ». En 1859; l'école des filles devenues insuffisante, n'était plus utilisée, et la ville disposait d'un service d'incendie, animé par une compagnie de garde nationale. Un marché aux grains et aux comestibles était organisé le jeudi, et chaque année deux foires s'y tenaient, les et . La ville était dotée d'un bureau de poste, qui desservait 28 communes, et un relais de poste aux chevaux[31]

    La création de la Ligne de Saint-Denis à Dieppe avec la gare de Chaumont-en-Vexin par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest en 1868[32] permet de faciliter les déplacements des habitants et le transport des marchandises.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle était le chef-lieu depuis 1793 du canton de Chaumont-en-Vexin[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Chaumont-en-Vexin est le siège de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections municipales de 2014 dans l'Oise[33], la liste DVD menée par le maire sortant est la seule candidate et obtient donc la totalité des 906 suffrages exprimés, entrainant l'élection de la totalité des 23 membres de la liste, dont 5 élus au conseil communautaire.

    Lors de ce scrutin, 46,28 % des électeurs se sont abstenus et 16,34 % d'entre eux ont voté blanc ou nul[34].

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans l'Oise[35], la liste menée par Emmanuelle Lamarque[36]  soutenue par le maire sortant qui ne se représentait pas  obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 518 voix (51,69 %, 18 conseillers municipaux élus dont 6 conseillers communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[37] :
    - René Gaillet (SE, 271 voix, 27,04 %, 3 conseillers municipaux dont 1 communautaire) ;
    - Philippe Virolle (ancien candidat La France insoumise[38], 213 voix, 21,25 %, 2 conseillesr municipaux élus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 50,29 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[39]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 mai 1826 Simon Lelarge   Docteur en médecine
    mai 1826 août 1830 Pierre Commecy   Ancien Juge de paix
    août 1830 septembre 1858 Jean-Baptiste Wattebled   Propriétaire
    septembre 1858 mai 1868 Théodore Renard   Propriétaire
    mai 1868 mai 1871 Jean-Baptiste Frion   Propriétaire
    mai 1871 janvier 1877 Théodore Renard   Propriétaire
    janvier 1877 1878 François Morin   Propriétaire
    1878 avril 1882 Félix Baley   Épicier
    avril 1882 avril 1885 François Morin   Propriétaire
    avril 1885 mars 1894 Joseph Streiff    
    mars 1894 novembre 1897 Gustave Gatine   Notaire honoraire
    novembre 1897 mai 1900 Félix Baley   Épicier
    mai 1900 août 1900 Fernand Leleu    
    août 1900 mai 1904 Marie Lebaillis    
    mai 1904 mai 1908 Pierre Cozette    
    mai 1908 mai 1935 Émile Deschamps Rad. Huissier honoraire
    Conseiller général de Chaumont-en-Vexin (1913 → 1940)
    mai 1935 octobre 1944 Lucien Vergelde   Commerçant
    octobre 1944 mai 1945 Georges Martinet   Docteur en médecine
    mai 1945 juillet 1962 Roger Blondeau DVD Agent d'assurance
    Conseiller général de Chaumont-en-Vexin (1949 → 1962)
    Décédé en fonction
    juillet 1962 mars 1971 Jean Lefèvre   Agent d'assurance
    mars 1971 mars 1983 Jacques Blondeau DVD puis RPR Agent d'assurance
    Conseiller général de Chaumont-en-Vexin (1962 → 1983)
    mars 1983 mars 1992 Georges Costa   Professeur de collège
    mars 1992 mai 2020[35] Pierre Rambour DVD Artisan chauffagiste
    mai 2020[40] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Emmanuelle Lamarque DVD Mère au foyer
    Conseillère régionale des Hauts-de-France (2021 → )
    Vice-présidente de la CC du Vexin-Thelle (2020 → )

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les écoles et collèges de Chaumont-en-Vexin appartiennent à l’académie d'Amiens, située en zone B.

    La commune gère les écoles publiques Roger Blondeau, situées place de la Foulerie : une maternelle et une primaire.

    Chaumont accueille deux collèges publics : le collège Saint-Exupéry, au sud, et le collège Guy-de-Maupassant, au nord, qui a faisait office d'annexe du premier lorsqu'il est construit. Ils scolarisent les élèves des alentours.

    La création d'un lycée est décidée par la Région Hauts-de-France en accord avec les autorités académiques. Il devrait ouvrir en 2026, et ce sera alors la première création d'un lycée depuis trente ans dans l'Oise[41].

    Santé

    Le Centre hospitalier Bertinot Juel, créé en 1924, s'est spécialisé dans les soins gériatriques et les consultation de spécialistes[42],[43].

    L’EHPAD de « La Compassion » accueille des personnes âgées dépendantes à Chaumont-en-Vexin.

    Équipements sportifs

    La Plaine des sports communautaire de Chaumont-en-Vexin s'étend sur 8 hectares[44].

    L'intercommunalité administre la piscine l'Aquavexin[45]

    Vie sociale

    Le Centre social rural du Vexin-Thelle (CSRVT) de Chaumont-en-Vexin rayonne sur le territoire de l'intercommunalité et propose diverses animatuions, comme des activités pour les jeunes proposées les mercredis, ou feds services périscolaires qui aident les écoliers à faire leurs devoirs[46].

    Justice, sécurité, secours et défense

    Le centre de secours de Chaumont-en-Vexin assure la protection des habitants contre l'incendue et les accidents[47].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

    En 2019, la commune comptait 3 340 habitants[Note 8], en augmentation de 6,4 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0721 0811 0691 0541 1261 1131 1361 2011 265
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1461 1951 3041 2691 3251 3731 4121 4311 443
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4961 5131 5381 5571 5091 5461 7631 7281 763
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 8181 8892 0272 6972 9653 0783 0813 0852 980
    2014 2019 - - - - - - -
    3 1663 340-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 506 hommes pour 1 799 femmes, soit un taux de 54,43 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,5 
    90 ou +
    4,6 
    7,7 
    75-89 ans
    12,8 
    16,6 
    60-74 ans
    17,5 
    19,9 
    45-59 ans
    17,6 
    16,9 
    30-44 ans
    17,7 
    18,0 
    15-29 ans
    13,0 
    19,4 
    0-14 ans
    16,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[52]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Sports

    En 2019, le Club sportif chaumontois (CSC) accueille 419 licenciés. Une convention signée avec le collège Guy-de-Maupassant permet à une quarantaine d'élèves de s'entrainer au foot avec le club. Le club envisage d'étendre ses activités pour devenir un club omnisport sur le territoire de l'intercommunalité[53].

    Le Chaumont Vexin Thelle Athlétisme est un club d'athlétisme[54].

    L'association Les Aigles du Vauroux a organisé à la Plaine des sports les championnats de France d’aéromodélisme de 2020[55].

    Manifestations culturelles et festivités

    Un salon du livre est organisé tous les ans vers la mi-mai.[réf. nécessaire]

    La troisième édition du Royal jump s'est tenue au domaine de Bertichères de Chaumont-en-Vexin début [56],[57].

    La première édition de la Royale Run, présentée comme une « course à obstacles médiévale fantastique », s'est tenue en , sur un circuit pédestre de huit kilomètres sur un domaine naturel de plus de 70 hectares situé dans le bois de Gomerfontaine[58].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jean-Baptiste de nuit.

    Chaumont-en-Vexin compte deux monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Jean-Baptiste (classée monument historique[59]), bâtie un peu à l'écart du centre du bourg sur le flanc oriental de la butte du vieux château, et l'on peut uniquement y accéder par des escaliers.
    L'église Saint Jean-Baptiste représente le principal édifice religieux du Vexin français qui date entièrement du XVIe siècle. C'est un édifice très homogène de style gothique flamboyant, construit sous une seule campagne entre 1530 environ et 1554. Seules les clés de voûte, certains éléments du décor du portail du croisillon nord et le clocher affichent le style de la Renaissance ; cependant, le clocher est resté inachevé, et le second clocher et la première travée de la nef avec la façade occidentale n'ont jamais été construits.
    À l'extérieur, le portail du croisillon nord avec son élégant décor flamboyant constitue l'élément le plus remarquable. L'intérieur est vaste et lumineux, et la modénature s'avère complexe et original. Malgré la période avancée, l'on identifie toujours de nombreuses références à l'architecture des XVe et XIVe siècles, dont le transept nettement débordant, la forme des piliers dérivé des piliers fasciculés gothiques, et surtout les chapiteaux de feuillages. Mais contrairement à l'usage à l'apogée de la période gothique, il n'y a pas de triforium, et les élévations du vaisseau central ne comptent que deux niveaux. Quant au plan à déambulatoire sans chapelles rayonnantes, il est propre à un petit nombre d'églises d'Île-de-France, et dérive de la première cathédrale Notre-Dame de Paris. Sinon, c'est de la collégiale de Gisors que vient l'inspiration, et le maître-maçon qui fournit le plan est un proche collaborateur de Jean Grappin.
    Parmi le mobilier, les stalles du XVIe siècle méritent surtout l'attention ; elles proviennent par ailleurs de la collégiale de Gisors. Certains vitraux subsistent d'origine et sont également intéressants ; il s'agit de fragments répartis sur plusieurs verrières et six verrières du transept et du déambulatoire qui comportent encore en majeure partie des éléments de la Renaissance[60],[61].


    • Château de Bertichères, des XVIe et XVIIe siècles[62].

    On peut également signaler :

    • La place centrale de la commune est nommée place de la Foulerie ; c'est ici qu'était foulé le lin provenant des champs des alentours.
    • La mairie, installée au début du XXe siècle dans l'ancien couvent des Récollets.
      Ceux-ci « s'étaient d'abord établis à Sainte-Marguerite, près Trie-Château ; ils obtinrent ensuite du duc de Longueville seigneur de Chaumont, et des habitants, leur agrément pour se transporter dans cette ville. Ils s'installèrent dans la chapelle du château, jusqu'à ce que le couvent qu'ils faisaient construire au faubourg de Liancourt fut en état de les recevoir; la prise de possession de leur nouveau local eut lieu en 1637 (...) Le couvent des recollets servit de siège au district de Chaument. Il a été acquis en 1819 par l'administration municipaie qui y la placé la caserne de la gendarmerie, la mairie, la justice de paix , le dépôt de mendicité, une école avec logement de l'instituteur[28]. ».
    • Le musée Raymond-Pillon (labellisé musée de France) présente les pièces paléontologiques et archéologiques récoltées par R. Pillon, cordonnier, membre de la Société préhistorique de France et officier d'Académie.
    • Le site dit Darcy, légué à la commune, est en cours d'aménagement pour y présenter la Grande Carrière ainsi qu'une plage lutétienne à beach-rock. L'ensemble du domaine sera consacré à la biodiversité actuelle et celle, marine, du lutétien en relation avec le musée R.-Pillon.
    • La commune possédait quatre portes semblables à celle visible à Trie-Château et qui marquaient les limites de la ville médiévale au XVIe siècle. Elles restèrent en place jusqu'au début du XIXe siècle. Les portes de Liancourt, de Gisors (dit d'Enfer), de Beauvais et Linot.
    • L'ancienne chapelle dédiée à Saint-Jean-L’Évangéliste est édifiée en 1633 au centre du bourg, confisquée puis vendue comme bien national après la Révolution Française. Elle est aujourd'hui une propriété privée.
    • Chapelle Saint-Europe, dans le parc du château de Bertichères, qui est le chœur d’un édifice dont la nef a disparu, et qui est datable des années 1170/1180. C'était le lieu pèlerinage autrefois très fréquenté[63]
    • Le dolmen dit de la Pierre trouée et le menhir
    • Les deux golfs à Chaumont-en-Vexin : le golf de Rebetz situé à l'est, celui de Bertichères à l'ouest[64]. Les deux ont été construits dans la propriété de châteaux locaux de style Renaissance tardive.


    Personnalités liées à la commune

    Chaumont-en-Vexin dans les arts et la culture

    • Le roman Poste restante de Michel Boscse déroule en partie à Chaumont-en-Vexin[66].

    Héraldique

    Blason
    D’argent à la montagne de sinople surmontée d’un soleil d’argent rayonnant de gueules[67]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Baptiste Frion, « Description, historique et statistique de la ville de Chaumont-en-Vexin », D. Pere Beauvais, 1867. Livre ancien. (ISBN 9782877600262)
    • Louis Régnier, « Monographie de l'église de Chaumont-en-Vexin », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, t. XIV, , p. 71-100 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    • Jacques Germand et Michel Morel, « Chaumont-en-Vexin », Revue archéologique de Picardie, vol. 16, , p. 153-156 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1999.2057, lire en ligne, consulté le ), sur Persée

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Chaumont-en-Vexin », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Chaumont-en-Vexin et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Chaumont-en-Vexin et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Flore Chaumont Vexin Thelle », sur http://flore-chaumont-vexin-thelle.fr (consulté le ).
    15. « Association A.R.B.R.E.S. », sur https://www.arbres.org/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Chaumont-en-Vexin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 133.
    27. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard, 1981, p. 85.
    28. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Achille Desjardins, (Achille Desjardins), p. 279-286, sur Google Books.
    29. André Chédeville, « Le mouvement communal en France aux XIe et XIIe siècles, ses éléments constitutifs et ses relations avec le pouvoir royal » in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe – XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. (ISBN 2-9519441-0-1), p. 22.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Beauvais, Achille Desjardins, , 2018 p. (lire en ligne), p. 116-130.
    32. Ludovic Claudel, Atlas historique des chemins de fer français, t. 2 : Bretagne - Centre-Val de Loire - Hauts-de-france - Ile-de-France - Normandie - Pays de la Loire, Paris, Les Éditions La Vie du rail, , 400 p. (ISBN 2370620927), p. 151.
    33. « Municipales : à Chaumont-en-Vexin , le DVD Pierre Rambour seul en lice », Le Parisien; édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Pierre Rambour (DVD), maire sortant, brigue son cinquième mandat. Comme en 2008, il ne devrait y avoir qu'une seule liste en lice ».
    34. Ministère de l'Intérieur
    35. Clémence Bauduin, « Municipales à Chaumont-en-Vexin : l’après-Rambour s’organise : Après 28 années comme maire de la ville, Pierre Rambour apporte son soutien à son héritière politique, Emmanuelle Lamarque », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « 28 ans comme premier magistrat, 43 ans comme élu… Pierre Rambour (SE) l'avait annoncé : cette fois, ce sera sans lui ».
    36. Matthieu Le Tirant, « Emmanuelle Lamarque entre continuité et nouveauté à Chaumont-en-Vexin (Oise) : Élue dans la majorité sous l'ère du maire Pierre Rambour, Emmanuelle Lamarque entend porter l'héritage de l’équipe sortante tout en proposant "un nouveau souffle" », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Elle est élue au conseil municipal depuis 12 ans et adjointe au maire depuis 2014, notamment en charge de la communication, la culture, le tourisme, les fêtes et les cérémonies ».
    37. « Chaumont-en-Vexin », sur interieur.gouv.fr (consulté le )
    38. Matthieu Le Tirant, « Philippe Virolle veut réveiller Chaumont-en-Vexin (Oise) pour les municipales : L'ancien candidat France insoumise aux dernières élections législatives de 2017 se présentera comme tête de la liste "Bien vivre à Chaumont" », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    39. Liste des maires sur le site officiel, consulté le 13 octobre 2010
    40. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    41. Matthieu Le Tirant, « Le futur lycée de Chaumont-en-Vexin en bonne voie : Les premiers travaux préparatoires vont démarrer. Cette fois, et après de longs mois d'incertitude, le projet de lycée est bien lancé à Chaumont-en-Vexin (Oise) », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    42. « Un bref historique », sur Chaumont-en-Vexin. (consulté le ).
    43. Matthieu Le Tirant, « L'hôpital Bertinot Juel de Chaumont-en-Vexin affiche sa bonne santé et s'agrandit : Situé à seulement quelques kilomètres de celui de Gisors, l'hôpital de Chaumont a néanmoins trouvé sa place dans l'offre de santé sur le secteur. Il ne cesse de s'étendre », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    44. Matthieu Le Tirant, « La plaine des sports en fête à Chaumont-en-Vexin : La structure accueillait les sportifs mais aussi les musiciens et les simples curieux autour d'un événement festif, attendu par tous après de longs mois de crise sanitaire », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    45. Julie Marchetti, « Une pétition contre l’agrandissement de la piscine de Chaumont-en-Vexin : Elle a été lancée pour faire barrage à l’extension du complexe aquatique l’Aquavexin, prévue pour l’automne 2021. Près de 350 personnes l’ont déjà signée », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    46. Matthieu Le Tirant, « Un label pour le centre social rural de Chaumont-en-Vexin : Avec le "Plan mercredi", ce sont les plus jeunes qui sont chouchoutés à Chaumont-en-Vexin. Le centre a même été labellisé », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    47. « Portes ouvertes samedi chez les sapeurs-pompiers à Chaumont-en-Vexin, dans l'Oise : Samedi 29 juin 2019, le centre de secours de Chaumont-en-Vexin, dans l'Oise organise ses portes ouvertes. L'occasion de rencontrer les pompiers et de découvrir le matériel », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    51. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chaumont-en-Vexin (60143) », (consulté le ).
    52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    53. Matthieu Le Tirant, « Des projets plein les crampons pour les footeux de Chaumont-en-Vexin : Entre stages et projets éducatifs d'envergure, le Club sportif chaumontois (CSC) affiche de larges ambitions dans un contexte sanitaire pourtant contraint », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    54. Jean-Paul Gosselin, « Licencié au Chaumont Vexin Thelle Athlétisme, Léo Chwalowska, champion de France en lancer de poids : Depuis l'âge de six ans, ce jeune athlète se donne corps et âme à sa discipline. Aujourd'hui en cadet, il s'impose plus que jamais comme la valeur sûre du club chaumontois », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    55. Matthieu Le Tirant, « Aéromodélisme : les Aigles du Vauroux organiseront les championnats de France à Chaumont-en-Vexin (Oise) : La compétition aura lieu les 27 et 28 mars 2020 et représente à la fois une consécration et un véritable défi pour la structure isarienne », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    56. Matthieu Le Tirant, « Samedi et dimanche, le 2e Royal jump accueille public et "people" à Chaumont-en-Vexin dans l'Oise : Il avait attiré 28 000 spectateurs l'an dernier et attend cette année la venue de Michaël Youn et des Gypsy. Le Royal jump ouvre ses portes dans un cadre prestigieux », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    57. Matthieu Le Tirant, « La troisième édition du Royal jump bat son plein à Chaumont-en-Vexin (Oise) : Avec une météo exceptionnelle, le domaine de Bertichères vibre ce week-end avec les cavaliers et s'animera ce soir autour de la guitare gitane de Kendji Girac », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    58. Jean-Paul Gosselin, « Samedi 7 juillet à Chaumont-en-Vexin, une course complètement dingue au Château de Bertichères : Un mois après le 2e Royal Jump, le site s'apprête à accueillir une autre compétition d'exception. Place à la Royale Run, une course à obstacles, à pied celle-là ! », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    59. « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00114586, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 164-169.
    61. Dominique Vermand, « Chaumont-en-Vexin, église Saint-Jean-Baptiste : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    62. « Château de Bertichères », notice no PA60000034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    63. Dominique Vermand, « Chaumont-en-Vexin / Bertichères, chapelle Saint-Europe : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    64. Jean-Paul Gosselin, « Pièces jaunes : les golfeurs de Chaumont-en-Vexin, dans l'Oise, se mobilisent aussi : Les joueurs des deux golfs de Chaumont-en-Vexin se sont mobilisés pour l'opération "pièces jaunes" chère à Bernadette Chirac », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    65. La Seigneurie de Chaumont–en–Vexin
    66. Michel Bosc, Poste restante : 1940 - voyage obligé, Paris, L'Harmattan, coll. « Écritures », (ISBN 978-2-343-22769-6).
    67. http://mairie-chaumont-en-vexin.com/index.php?client_name=197340_60143
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