Villefranche-sur-Mer
Villefranche-sur-Mer (Vilafranca de Mar en provençal, Villafranca en nissart, Villafranca en italien) est une commune française, limitrophe de Nice, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Villefranchois, comme dans la plupart des communes portant le nom de Villefranche, et lu Vilafranquié en niçois. Par dérision, ils avaient aussi reçu le sobriquet de Suça-carouba[1].
Pour les articles homonymes, voir Villefranche.
Villefranche-sur-Mer | |||||
Vue de Villefranche-sur-Mer. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Christophe Trojani 2020-2026 |
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Code postal | 06230 | ||||
Code commune | 06159 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villefranchois | ||||
Population municipale |
5 033 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 1 031 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 42′ 18″ nord, 7° 18′ 45″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 575 m |
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Superficie | 4,88 km2 | ||||
Unité urbaine | Nice (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nice (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beausoleil | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | villefranche-sur-mer.fr | ||||
Géographie
Localisation
Villefranche-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur, entre Nice et Monaco, au bord de la mer Méditerranée.
Séparée de Nice dont elle est limitrophe par le mont Boron, le mont Alban et le mont Vinaigrier et distante d’environ 10 km de Monaco, la ville s’étale en gradin sur les flancs de la rade de Villefranche, un des mouillages naturels les plus profonds de la Méditerranée occidentale.
Intercommunalité
Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune, située sur l'aire du Parc de la Grande Corniche, est de 488 hectares ; son altitude varie entre 0 et 575 mètres[2].
La rade de Villefranche offre un mouillage sûr à l’abri des vents d’est et accueille de nombreux navires de croisière. Avec une profondeur moyenne de 17 m, elle atteint 95 m à son entrée et se prolonge au large à environ un mille par le canyon de Villefranche, un abysse de plus de 500 m au large de la baie des Anges.
Les limites de la commune s’étendent aux collines avoisinantes passant du niveau de la mer à 577 mètres au mont Leuze, son point culminant, le relief terrestre reflétant ainsi les fonds sous-marins.
Hydrographie et les eaux souterraines
Villefranche-sur-Mer dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[3].
Climat
Villefranche-sur-Mer, nichée au fond de sa rade, jouit d'un climat très doux : De hautes falaises l'abritent des vents d'est, d'ouest et de nord. Le sud, ouvert au large est malgré tout protégé par l'étroitesse de la rade, sauf durant de rares mais spectaculaires coups de vent d'hiver.
Voies de communication et transports
Voies routières
Villefranche-sur-Mer est traversée par les trois Corniches, trois routes principales menant de Nice à Monaco et Menton vers la frontière italienne, offrant des panoramas sur le littoral.
Voies ferroviaires
La commune est traversée par la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille et est desservie par une gare[4].
Ports
- Port de la Santé : Port de pêche, gare maritime pour les paquebots en rade de Villefranche
- Port de la Darse : Ancien arsenal militaire, actuellement port de plaisance
Transports en commun
Des liaisons par autocar avec les principales villes de la Route du bord de mer de la Côte d'Azur, (Nice en particulier) sont effectuées régulièrement dans le cadre des transports du Département.
Urbanisme
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[5].
La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le [6].
Typologie
Villefranche-sur-Mer est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[10] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (26,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (57,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,9 %), forêts (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), eaux maritimes (0,9 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Morphologie urbaine
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 5 150, alors qu'il était de 5 123 en 1999[Insee 1].
Parmi ces logements, 53,8 % étaient des résidences principales, 39,7 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 25,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,5 % des appartements[Insee 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 59,5 %, en hausse sensible par rapport à 1999 (53,7 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 3,1 % contre 3,6 % en 1999, leur nombre ayant nettement diminué de 115 à 86[Insee 3].
Toponymie
Origine du nom
Par décret du , Journal officiel du avec effet au , Villefranche devient Villefranche-sur-Mer.
Histoire
La rade de Villefranche est fréquentée dès l'Antiquité par les marins grecs et romains. Ceux-ci s'en servent comme mouillage et lui donnent le nom d'Olivula Portus. Le site est cependant victime d'attaques barbares répétées. Au IXe siècle, les pirates sarrasins tenaient à l'emplacement de Villefranche-sur-Mer une forteresse[25]. Les habitants délaissent le bord de mer et se réfugient sur les hauteurs ; ils y fondent un autre village, Montolivo.
Fondation de Villefranche
En 1295, Charles II d'Anjou, comte de Provence, comprend l'importance stratégique de ce site, situé aux frontières de son territoire. Afin d'encourager les habitants à revenir peupler le bord de mer, il leur octroie une franchise de taxes. Le village est ainsi baptisé Villa Franca.
Le Moyen Âge
Daniel Marquesani fut un familier du roi Robert ; il connut une ascension rapide puisque de simple notaire immigré à Nice à la fin du XIIIe siècle[26], il devint coseigneur de La Turbie (1329-1331) puis seigneur de Coaraze et Castellan à vie de Villefranche[27]. Raymond Marquesani succéda à son père comme castellan de Villefranche et son frère, Louis, hérita de la seigneurie de Coaraze. Le , il acheta tout ce que le damoiseau Boniface Chabaudi, seigneur de Roquebrune possédait dans les territoires de Roquebrune, Palayson et Villepey[28].
Le port de la maison de Savoie
Lors de la dédition du Comté de Nice au Duc de Savoie, en 1388, Villefranche est dédiée au duché de Savoie. La ville devient ainsi la seule porte maritime des États de Savoie jusqu'à la construction du port de Nice au XVIIIe siècle et tire ses revenus de tous les navires marchands accostant au port (droit de Villefranche).
À la suite de l'occupation, en 1543, de la rade de Villefranche par la flotte franco-turque commandée par Khayr ad-Din Barberousse, le duc Emmanuel-Philibert de Savoie (1528-1580) ordonne sa fortification.
Le duc Emmanuel-Philibert ne possédait plus que Verceil et le comté de Nice au début de son règne, en 1553. Il s'est engagé au côté de l'Espagne de Philippe II. Il a gagné la bataille de Saint-Quentin, le . Il a retrouvé son duché de Savoie en 1559, à la signature du second traité de Cateau-Cambrésis. Il décide de s'engager dans la lutte opposant le monde chrétien et l'Empire ottoman en Méditerranée. Les conflits annuels peuvent opposer des flottes de deux cents à trois cents galères. Pour participer à ce conflit, il décide de faire de Villefranche un port bien protégé permettant de construire et d'entretenir des galères. Le fort du mont Alban, le fort de Saint-Hospice et la citadelle Saint-Elme sont ainsi construits. Cette dernière sera achevée en 1557. Une première flotte de guerre est construite dans le port de la Darse[29].
Les Français occupent le comté de Nice plusieurs fois entre 1710 et 1722 et à nouveau en 1744, pendant la guerre de Succession d'Autriche, quand le prince de Conti prend d'assaut le mont Alban avec ses troupes franco-espagnoles, chassant les Savoisiens de Charles-Emmanuel III. Au cours du XVIIIe siècle, la ville perd de son importance maritime et portuaire avec la construction du port Lympia de Nice.
En 1793, les troupes françaises révolutionnaires envahissent à nouveau le comté de Nice et Villefranche en Piémont passe sous administration française jusqu'en 1814 qui verra le retour à son statut particulier sous dédition et protection du duc de Savoie.
En 1856, le duc de Savoie donne à bail le lazaret de Villefranche à la marine impériale russe qui fera du port une base navale de premier plan pour ses navires en Méditerranée, notamment l'année suivante, avec le ravitaillement en charbon des bateaux. Cette arrivée provoquera la construction d'infrastructures importantes par Victor Emmanuel II, notamment la route de la rade.
Seigneurie de Villefranche
Au XVIIIe siècle, la seigneurie de Villefranche fut attribuée aux Germano, avec érection en comté (1700), aux Auda (1743), puis aux Dani (1743).
En 1705, la ville est prise par les troupes françaises du maréchal de La Feuillade qui assiège également Nice[30]
Révolution, Consulat et Empire
À la suite de l'entrée en guerre de la France contre l'Autriche et la Prusse, en avril 1792, Villefranche-en-Piémont est prise, le , par le général D'Anselme, après la reddition sans combat du gouverneur François Daviet de Foncenex, lui permettant d'être entièrement maître du comté de Nice.
La présence russe à Villefranche-sur-Mer
Elle remonte à la fin du XVIIIe siècle et a fait preuve depuis d'une originale constance. L'intérêt stratégique de la rade de Villefranche n'avait pas échappé aux autorités maritimes russes de l'époque qui y mouillaient à chaque conflit avec la Turquie. Elle leur devient essentielle quand, au lendemain de la guerre de Crimée en 1856, la Marine impériale russe est privée d'accès à la Méditerranée par le Bosphore : le duc de Savoie, roi de Chypre, de Jérusalem et de Sardaigne qui est aussi vicaire impérial pour toute l'Europe méditerranéenne accepte alors de céder à la Russie le lazaret et la Darse de Villefranche qui lui servent de dépôt à vivres et à combustibles. La rade de Villefranche devient alors le port d'attache de la noblesse impériale en villégiature dans les états de Savoie, ce qui durera encore un peu après malgré l'annexion du comté de Nice par les autorités françaises en 1860. En 1893, une équipe de scientifiques russes de Kiev remplace les militaires pour pratiquer des recherches océanographiques en profitant de la présence d'un courant ascendant de la rade. Ces études, malgré les aléas politiques entre les deux nations, se poursuivent jusqu'aux années 1930.
Annexion à la France
En 1860 le Comté de Nice est à nouveau annexé à la France à la suite du Traité de Turin et du plébiscite (contesté par les nationalistes niçois en raison de preuves avérées comme, entre autres, la présence du seul bulletin oui, le bourrage des urnes, l'interdiction de vote pour certains Niçois, la surveillance du vote par les militaires français).
Jusqu’en 1891, Beaulieu, et jusqu’en 1904, Saint-Jean, font partie de Villefranche dont elles se détachent pour prendre leur autonomie municipale.
Lieu de villégiature prisé dès 1816 par les aristocraties russe et anglaise, la rade de Villefranche abrite la sixième flotte des États-Unis à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre de l’Organisation du traité de l'Atlantique nord entre 1945 et 1966.
Villefranche-sur-Mer n'est plus aujourd’hui le premier port de croisière de France, dépassé par Marseille depuis 2008.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[31].
Liste des maires
Politique environnementale
- L'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer constitue un des principaux campus français en sciences de la mer[33].
- Plages[34] :
- de Grasseuil,
- l’Ange Gardien,
- Les Marinières,
- Plage de la Darse.
La commune relève, pour partie, de la loi relative à l'aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral, dite loi littoral[35].
Jumelages
Au , Villefranche-sur-Mer est jumelée avec[36] :
- Bordighera (Italie) ;
- Nieuport (Belgique) ;
- Reiskirchen (Allemagne) ;
- Villafranca d'Asti (Italie) ;
- Plan-les-Ouates (Suisse).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 5 033 habitants[Note 3], en diminution de 5,5 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[41] :
- Écoles maternelles et primaires[42],
- Collèges à Beaulieu-sur-Mer, Nice,
- Lycées à Nice.
Manifestations culturelles et festivités
- En fin février, le Combat naval fleuri rassemble au port de la Santé les pointus de Villefranche et la yole décorés de fleurs qui lancent des bouquets à la foule massée sur les quais. La manifestation se déroule chaque année depuis 1902.
- Depuis 2009, la ville de Villefranche-sur-Mer organise avec l'association NICEXPO le salon Franchement Art dans la Citadelle de Villefranche-sur-Mer.
- Depuis quelques années, le Trophée Pasqui[43], rassemblement des plus beaux yachts de tradition, est organisé à Villefranche-sur-Mer : manifestation phare, mettant en valeur les métiers de l'artisanat maritime et plus particulièrement le chantier naval Gilbert Pasqui, formant de grands charpentiers de marine.
- La rade de Villefranche est le site de compétitions d'apnée. Le premier « championnat du monde d'apnée par équipe » s'y est déroulé en 1996. Elle fut le lieu d'évolution préféré de Loïc Leferme qui y a battu plusieurs reprises le record du monde d'apnée no limit. En 2010, Aurore Asso y a battu le record de France féminin d'apnée en poids constant à -70 mètres. Le huitième championnat du monde d'apnée a eu lieu à Villefranche-sur-Mer en septembre 2012.
Santé
Professionnels et établissements de santé[44] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Hôpitaux à Nice.
- L’Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD)[45].
Sports et activités nautiques
De nombreuses activités sportives sont pratiquées à Villefranche sous l’égide de l’Union Sportive de Villefranche (U.S.V.), association multisports.
La pratique de la voile ou de l’aviron s’effectuent au sein du Club de la Voile ou du Club d’aviron, tous deux implantés dans le port de la Darse.
En 2014 une épreuve nautique alliant la nage, le paddle et l'aviron a été créée en rade de Villefranche : le "Triathlon des Mers"[46]
Depuis , la Darse de Villefranche-sur-Mer est le port d'attache de la réplique historique d'une embarcation de 1796 : la yole de Bantry Laïssa Ana. Gérée par une association locale et naviguant toute l’année, la Yole accueille volontiers de nouveaux équipiers pour des initiations.
De nombreux pointus traditionnels sont regroupés dans la Darse par l’Association des Bateliers – Plaisanciers de Villefranche (ABPV)[47] qui organise chaque automne une série de régates, la « Resquilhada ».
La liste détaillée des associations sportives locales se trouve sur le site de la Ville[48].
L'aéroceanaute Stephane Rousson installé depuis 2010 au port de la Darse, effectue régulièrement les essais de ses véhicules dans la rade que ce soit avec ses sous-marins Scubster[49], ou ses ballons à propulsion humaine comme le Zeppy en [50], et la restauration de la pilotine Trait-d'union de 1948[51].
La Villefranche Paddle race fait partie du circuit Fédéral de la Coupe de France de Stand up Paddle 14'[52].
- Scubster Nemo
- Pilotine Trait d'Union 1948 en restauration au port de la Darse
- Yole de Villefranche sur Mer
- Zeppy de Stephane Belgrand Rousson le
Médias
Cultes
- Villefranche-sur-Mer dispose de deux lieux de culte catholique : L'Église Saint-Michel dans la vieille ville et la chapelle Notre-Dame-de-France au col de Villefranche. Toutes deux font partie de la paroisse "Notre Dame de l'Espérance".
Économie
Pendant le XIXe siècle, la culture du caroubier par une grande partie de la population a fourni le bois dont la belle couleur rouge était appréciée dans la marqueterie locale. La chanson traditionnelle et les dictons populaires en portent encore témoignage[55].
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[56] :
- total des produits de fonctionnement : 10 880 000 €, soit 2 114 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 10 434 000 €, soit 2 028 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 3 326 000 €, soit 648 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 4 521 000 €, soit 879 € par habitant ;
- endettement : 7 869 000 €, soit 1 529 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 16,03 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,97 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 9,04 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 908 €, ce qui plaçait Villefranche-sur-Mer au 12 464e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[57].
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 300 €[58].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3 374 personnes, parmi lesquelles on comptait 68,9 % d'actifs dont 62,0 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs[Insee 4].
On comptait 1 878 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 711 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 161, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 86,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi par habitant actif[Insee 5].
Entreprises-services et commerces
- Au , Villefranche-sur-Mer comptait 847 établissements : 10 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 28 dans l'industrie, 76 dans la construction, 634 dans le commerce-transports-services divers et 99 étaient relatifs au secteur administratif[Insee 6].
- En 2011, 69 entreprises ont été créées à Villefranche-sur-Mer[Insee 7], dont 43 par des autoentrepreneurs[Insee 8].
- Halle dite Cité marchande de Villefranche[59].
- Établissement de bains[60].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte sept monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[73] et 160 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[74].
Elle compte par ailleurs 66 objets répertoriés sur l'inventaire des monuments historiques[75] et 95 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[76].
Édifices religieux
- Église Saint-Michel, rue de l'église, au cœur de la vieille ville, fut érigée dans le premier quart du XIVe siècle puis fut transformée à la fin du XVIIIe siècle. Cette église a pris les traits de style baroque savoyard. Elle héberge plusieurs pièces d’art, dont une toile représentant saint Michel, un Christ sculpté du XVIIIe siècle (dit Christ du galérien) et une statue polychrome en bois de saint Roch et son chien. Cet édifice est classé au titre des monuments historiques le [77].
- Chapelle Saint-Pierre (XVIe siècle)[91], située sur le port de pêche, place Amélie Pollonais. En 1957, Jean Cocteau[92], avec l'aide du peintre Jean-Paul Brusset[93], la décore de fresques murales évoquant la Méditerranée et des périodes de la vie de saint Pierre. La chapelle appartient à la prud’homie des pêcheurs de Villefranche. Elle est classée au titre des monuments historiques le . Près la chapelle Saint-Pierre, buste en bronze représentant Jean Cocteau, œuvre du sculpteur Cyril de La Patellière (1989), inauguré en présence de Jean Marais et d'Edouard Dermit. Le socle est une pierre monolithique provenant de la citadelle.
- Son orgue de tribune[94].
- Chapelle Sainte-Élisabeth[95], rue du Vallons 1595[96].
- Chapelle de L'Ange-Gardien, avenue de l'Ange Gardien 1716.
- Chapelle sous le vocable de Notre-Dame des Neiges, appelée la Madone noire, boulevard de Suède XVIIe siècle[97].
- Chapelle Saint-Grat, avenue Olivula 1817.
- Chapelle Saint-Elme, à la citadelle XVIe siècle.
- Chapelle de l'ancien hospice, avenue Clemenceau XVIIIe siècle.
Bâtiments et lieux publics
- La Citadelle Saint-Elme classée monument historique[98],[99], elle abrite aujourd'hui l'hôtel de ville ainsi que les musées Volti, Goetz-Boumesteer, la salle souvenir du 24e BCA et la collection Roux.
- Le port de la Darse est l'ancien port militaire[100]. Il abrite de nombreuses activités (port de plaisance, chantier naval, etc.). Il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Nice-Côte d'Azur. L'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer[101] y est situé. Dépendant de l'université Pierre-et-Marie-Curie (université de Paris VI) et placé également sous la tutelle du CNRS, il est le siège d'activités de recherche avec trois laboratoires (océanologie, géosciences marines et biologie cellulaire). Environ 150 personnes y travaillent. Les bâtiments et les éléments d’infrastructure sont inscrits aux monuments historiques le .
- Le port de la Santé, port de pêche de Villefranche, au pied de la vieille ville, abrite la gare maritime pour les paquebots ancrés en rade de Villefranche. Il est le site du Combat naval fleuri chaque année en février.
- la Rue Obscure, au cœur de la vieille ville, est une rue couverte de 130 mètres datant de 1260, située le long du premier rempart. Elle a été inscrite aux monuments historiques le [102].
- Le musée Goetz-Boumeester, situé dans la Citadelle, qui contient une centaine d'œuvres du peintre-graveur Henri Goetz (1909-1989) et de son épouse Christine Boumeester (1904-1971) qui donnèrent leur collection à la ville.
- Le Musée dit Musée des Ruines, puis maison de villégiature dite Villa [103].
- La Villa Léopolda[104],[105], qui semble être la demeure la plus chère du monde.
- Maison de villégiature dite Villa Sémiramis[106].
- La tour dite Torre Vecchia et remparts (restes)[107].
- Remparts (vestige dit Le Bastionnet)[108].
- Le jardin public dit Jardins François-Binon[109].
- Monuments commémoratifs :
Héraldique
Blason | D’argent à l’arbre terrassé au naturel accosté des lettres capitales V et F de sable, au chef parti au 1er d’azur à trois fleurs de lis d’or rangées en fasce et surmontées d’un lambel de gueules et au 2e de gueules à la croix d’argent[117]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Artisanat
Le port de la Darse est réputé au niveau international pour la restauration de navires du patrimoine où sont présents de nombreux charpentiers spécialisés. Le chantier naval Pasqui est renommé dans la restauration des vieux gréements et la fabrication des grands mâts en bois[118].
- Pilotine Trait d'union en restauration à Villefranche-sur-Mer.
Personnalités liées à la commune
Dans le passé, Villefranche a hébergé de nombreuses personnalités de l'art ou du show business, parmi lesquelles :
Honoré Boniface Papachin, ou Honorato Bonifazio Papacino en italien, corsaire puis amiral de la flotte espagnole au service du roi Charles II, mort en 1692. Il combattit l'amiral de Tourville en 1688 près d'Alicante durant la guerre de la ligue d'Augsbourg. Son nom a été donné au quai Papacino du port Lympia de Nice.
- François Daviet de Foncenex, mathématicien, gouverneur de Villefranche en ;
- Le peintre Eugène Boudin, s'installe à Villefranche en 1892
- Emmanuel Régent, artiste dessinateur, peintre, sculpteur ;
- Henri-Eugène Le Sidaner, peintre ;
- Charlotte Salomon, peintre ;
- Raymonde Heudebert, peintre ;
- Jean-Marie Missud, compositeur, chef d'orchestre, clarinettiste franco-américain né à Villefranche-sur-Mer le , décédé le à Marblehead, comté d'Essex, Massachusetts, États-Unis ;
- Katherine Mansfield ;
- Jean Cocteau : il y a écrit Orphée (1925). Son buste par Cyril de La Patellière près la chapelle Saint-Pierre ;
- Aldous Huxley ;
- Christine Boumeester et Henri Goetz ;
- Volti, sculpteur peintre auquel la ville a consacré un musée ;
- Keith Richards, guitariste des Rolling Stones, avec sa compagne Anita Pallenberg en 1971 à la villa Nellcôte où les Rolling Stones enregistrèrent l'album Exile on Main Street ;
- Tina Turner ;
- Bono du groupe de rock U2 ;
- Elton John y possède une résidence ;
- Nicole Coste, la mère d'Alexandre (fils du prince de Monaco), y réside avec ses trois enfants ;
- Lily Safra y possède la Villa Leopolda ;
- Paul Legentilhomme, général français, y est mort ;
- Jean Gaston Mantel, peintre français, né à Amiens en 1914 - 1995 ;
- Michel Ocelot, réalisateur français, né à Villefranche-sur-Mer en 1943 ;
- Dado Pršo, ancien footballeur, international croate né en 1974, y réside ;
- La dépouille mortelle de Niccolò Paganini, en mal de sépulture en raison de sa réputation sulfureuse (il était suspecté de pacte avec le diable), fut conservée quelques mois dans la darse du port, avant de trouver une terre de repos définitive en Italie ;
- Honoré d'Urfé est mort à Villefranche-sur-Mer le .
- Auguste Maïcon, né à Villefranche-sur-Mer le et mort le à Fréjus, pionnier de l'aviation.
- Pierre Ponchardier, 1909-1961, résistant et contre-amiral français, y est inhumé.
Films tournés à Villefranche-sur-Mer
(Voir : Catégorie:Film tourné à Villefranche-sur-Mer)
Cinéma
La liste est très loin d'être exhaustive, plus d'une centaine de films répertoriés : la proximité des studios de la Victorine, à Nice, facilitant les choses... Notamment, on ne compte plus les tournages publicitaires.
- 1899 : Harbor of Villefranche[119] de William K.L. Dickson
- 1930 : À propos de Nice, de Jean Vigo.
- 1942 : Macao, l'enfer du jeu, de Jean Delannoy avec Eric von Stroheim et Mireille Balin.
- 1947 : Les Maudits de René Clément avec Henri Vidal, Michel Auclair et Dalio.
- 1951 : Capitaine sans peur (Captain Horatio Hornblower), de Raoul Walsh avec Gregory Peck et Virginia Mayo.
- 1953 : Un acte d'amour, d'Anatole Litvak avec Kirk Douglas
- 1955 : La Main au collet, d'Alfred Hitchcock, avec Cary Grant, Grace Kelly et Charles Vanel.
- 1957 : Elle et lui, de Leo McCarey, avec Cary Grant et Deborah Kerr.
- 1959 : Les Régates de San Francisco, de Claude Autant-Lara avec Danièle Gaubert et Laurent Terzieff.
- 1959 : Le Testament d'Orphée, de Jean Cocteau.
- 1961 : Le Comte de Monte-Cristo, de Claude Autant-Lara avec Louis Jourdan et Yvonne Furneaux
- 1965 : Ne nous fâchons pas, de Georges Lautner avec Lino Ventura, Jean Lefebvre, Michel Constantin et Mireille Darc.
- 1971 : Il était une fois un flic, de Georges Lautner avec Michel Constantin et Mireille Darc.
- 1980 : Les Fourberies de Scapin, de Roger Coggio, avec Michel Galabru, Jean-Pierre Darras.
- 1983 : Jamais plus jamais, avec Sean Connery et Kim Basinger.
- 1983 : Les Compères, de Francis Veber avec Pierre Richard et Gérard Depardieu
- 1986 : Le Diamant du Nil, de Lewis Teague, avec Michael Douglas.
- 1993 : Le Fils de la Panthère rose, de Blake Edwards, Roberto Benigni, Herbert Lom et Claudia Cardinale.
- 1998 : Ronin, de John Frankenheimer, avec Robert De Niro et Jean Reno.
- 2006 : Brice de Nice, de James Huth, avec Jean Dujardin et Clovis Cornillac, Élodie Bouchez et Bruno Salomone.
- 2009 : Kiss and Kill, de Robert Luketic, avec Ashton Kutcher, Katherine Heigl et Tom Selleck.
- 2010 : Stones in Exile, de Stephen Kijak, avec Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts, Bill Wyman et Mick Taylor.
- 2010 : W.E., de Madonna, avec Andrea Riseborough, James d'Arcy et Abbie Cornish[120].
Télévision
- 2006 : Laura, saga estivale télévisée de M6 avec Delphine Chanéac, Yannick Soulier, Christophe Malavoy, Sophie Duez...
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Références
- Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
- Autres références
- Jean-Gabriel Maurandi, Calant de Vilafranca, note 1. Page créée le 19 avril 2001, consulté le 10 janvier 2016.
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- Description de la station NICE-HALIOTIS
- « gare de Villefranche-sur-Mer », notice no IA06001494, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le Plan Local d’Urbanisme de la commune a été approuvée par délibération du Conseil Métropolitain le 29 mars 2013
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- Relais Thalasso
- Grand Nice, Conservatoire du littoral
- Décret n°2003-1169 du 2 décembre 2003 portant approbation de la directive territoriale d'aménagement des Alpes-Maritimes
- Centre de thalassothérapie
- L'éco-quartier de l'Octroi
- Philippe Sénac, Musulmans et Sarrasins dans le sud de la Gaule: VIIIe – XIe siècle, pp. 51-57. Sycomore, 1980.
- Venturini, Evolution, p. 132
- Idem
- B1149, couverture intérieure
- Michel Bottin, La gestion des galères de Savoie. 1560-1637. Aspects administratifs et comptables, dans Comptabilité(S), 2012, no 3 (lire en ligne)
- 1705, le dernier siège de Nice
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Résultats officiels pour la commune Villefranche-sur-Mer
- L'Observatoire Océanologique
- Villefranche-sur-Mer sur le site "Provence 7"
- Loi littorale
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Établissements d'enseignements
- École élémentaire
- « Trophée Pasqui - Régates de Nice - Villefranche sur Mer », sur Trophée Pasqui (consulté le )
- Professionnels et établissements de santé
- L’Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes
- Site du "Triathlon des Mers"
- Site de l'Association des Bateliers – Plaisanciers de Villefranche
- Site Internet de la Ville de Villefranche-sur-Mer
- (en-US) Pierre Thebault, « French engineers test pedal-boat submarine », U.S., (lire en ligne, consulté le )
- (en) Charles Bremner, « Stéphane Rousson and his pedal-powered dirigible », The Times, (lire en ligne, consulté le )
- « Chantier à Villefranche sur mer Bateau Ecolo », Direct Matin Côte d'azur no 896, , p. 8
- « Villefranche Paddle Race 2017 », sur Villefranche-sur-Mer, (consulté le )
- Projet développé au Laboratoire de Biologie du développement (LBDV UMR7009) à l’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer (OOV)
- édias - AARV - Association Les Amis de la Rade de Villefranche-sur-Mer
- Jean-Gabriel Maurandi, Calant de Vilafranca, note 1. Page créée le 19 avril 2001, consultée le 10 janvier 2016.
- Les comptes de la commune
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « halle dite Cité marchande de Villefranche », notice no IA06001533, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « établissement de bains », notice no IA06001525, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit La Maison Dorée », notice no IA06001441, base Mérimée, ministère français de la Culture recensement du patrimoine balnéaire
- « Dolmen de la Gastée », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel des Pyramides », notice no IA06001557, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel de l'Univers, puis Hôtel Welcome », notice no IA06001538, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel La Régence, puis Café du Centenaire, actuellement Chez Betty », notice no IA06001469, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit La Réserve, puis immeuble dit La Réserve », notice no IA06001539, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel Provençal », notice no IA06001521, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Le Petit Hôtel de la Rade », notice no IA06001496, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Château de Madrid », notice no IA06001548, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Casino de la Corne d'Or, actuellement immeuble », notice no IA06001558, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Casino de la Corne d'Or, actuellement immeuble
- Résidence de la Corne d'Or
- « Liste des monuments historiques de la commune de Villefranche-sur-Mer », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Villefranche-sur-Mer à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Villefranche-sur-Mer », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Villefranche-sur-Mer à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Michel », notice no PA00080921, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PM06002757, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune de l'église Saint-Michel
- Notice no PM06001247, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
- Notice no PM06002758, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue
- Notice no IM06000358, base Palissy, ministère français de la Culture buffet d'orgue, partie instrumentale de l'orgue
- Notice no IM06000357, base Palissy, ministère français de la Culture tribune d'orgue
- Inventaire de l'orgue de Villefranche-sur-mer, église Saint Michel
- Notice no PM06002759, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue église Saint-Marcel
- Notice no PM04000154, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune église Saint-Marcel
- Notice no PM06001269, base Palissy, ministère français de la Culture Église paroissiale Saint-Michel : cloche : Saint Michel archange
- Notice no PM06001268, base Palissy, ministère français de la Culture cloche dite Maria Mater Pietà
- Notice no IM06000435, base Palissy, ministère français de la Culture cloche dite Maria mater
- Notice no PM06001267, base Palissy, ministère français de la Culture cloche : San Pietro d'Arena
- Notice no IM06000436, base Palissy, ministère français de la Culture cloche dite Pietro d'Arena
- « Chapelle Saint-Pierre », notice no PA00135615, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « chapelle Saint-Pierre dite chapelle Cocteau », notice no IA06001032, base Mérimée, ministère français de la Culture
- DRAC PACA - Label Patrimoine du XXe siècle : Chapelle Saint-Pierre
- Notice no PM04000154, base Palissy, ministère français de la Culture cloche
- « chapelle du Saint-Esprit puis Sainte-Elisabeth », notice no IA06001033, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
- h Le culte mariale dans les Alpes-Maritimes
- « Citadelle (ancienne) », notice no PA00080920, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « citadelle de Villefranche, de la place de Nice », notice no IA06000019, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Port de la Darse (bâtiments et éléments d'infrastructure) », notice no PA00080960, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Site de l'observatoire océanologique
- « arcade rue Obscure », notice no PA00080922, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « musée dit Musée des Ruines, puis maison de villégiature dite Villa Olivula », notice no IA06001556, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « maison de villégiature dite Villa La Léopolda (N°1) », notice no IA06001559, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « maison de villégiature dite Villa La Léopolda (N°2) », notice no IA06001561, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA06001482, base Mérimée, ministère français de la Culture Maison de villégiature dite Villa Sémiramis
- « Tour dite Torre Vecchia et remparts (restes) », notice no PA00080924, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Remparts (vestige dit Le Bastionnet) », notice no PA00080923, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « jardin public dit Jardins François-Binon », notice no IA06001555, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Monument aux morts : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
- Monument aux morts Villefranche-sur-Mer
- Le monument aux morts sur la base Patrimages
- Notice no IM06000935, base Palissy, ministère français de la Culture monument à Jean Cocteau
- Notice no IM06000359, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire de frère Jérôme Cacherano de Osasco
- Notice no PM06001245, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire de Jérôme Cacherano d'Basco
- Notice no IM06000360, base Palissy, ministère français de la Culture cénotaphe d'Octave-Emmanuel Scarampo de Cairo
- Nice Côte d'Azur 3 : Villefranche-sur-Mer, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- « Zoom sur la success story du chantier naval Pasqui à Villefranche-sur-Mer », sur Nice-Matin, (consulté le )
- film documentaire tourné au moyen du Kinétographe, la première caméra de cinéma inventée au début des années 1890 par l'Américain Thomas Edison
- W.E. 2012 britannique Réalisé par Madonna, avec Abbie Cornish, Andrea Riseborough, James d'Arcy : Drame
Voir aussi
Bibliographie
- Michel Bottin, Le Droit de Villefranche, thèse de doctorat en Droit, Université de Nice, 1974
- Jacques Biangini, Calant de Villafranca...Dictionnaire nostalgique de Villefranche et de ses rues Serre éditeur 2003
- Jacques Biangini, Jean Cocteau... de Villefranche-sur-Mer Serre éditeur 2007
- Jacques Biangini, La Chapelle Saint Pierre à Villefranche-sur-Mer (édition bilingue français-anglais) Serre éditeur 2009
- Jacques Biangini (ouvrage collectif), Vive la France, regards croisés sur l'union du Comté de Nice à la France 1860-1947 [pages 83 à 122] Serre éditeur 2010
- André Cane, Histoire de Villefranche, troisième édition, 1987
- Armanac Nissart,Villefranche-sur-Mer, Nice, 1942
- Jean H. Prat, Villefranche-sur-Mer, éditions du Tigre, Paris, 1952. Préface de Jean Médecin, maire de Nice.
- Jean-Claude Poteur, Villefranche-sur-Mer, le port d'Olive et l'ensemble portuaire, Paris, Société française d'archéologie, , 285 p. (ISBN 978-2-901837-42-8)p. 239-254, dans Congrès archéologique de France. 168e session. Monuments de Nice et des Alpes-Maritimes
- Marie Rose Rabaté et André Goldenberg, Villefranche-sur-Mer hier et aujourd'hui, Vifa Serre 2002
- Madeleine Servera-Boutefoy, Villefranche-sur-Mer Reflets d'histoire, Serre éditeur, 2000
- Madeleine Servera-Boutefoy et Mara de Candido, De Villefranche à Turin, histoire de la fortification, Serre éditeur, 2006
- Villefranche, un destin maritime : numéro spécial de Nice Historique, no 1-2 102e année), Academia Nissarda, ISSN 1141-1791
- La Navigation du Savoir, étude de sept arsenaux historiques de la Méditerranée, édition de l’Université de Malte, 2006 [pages 35 à 57 pour la Darse de Villefranche] : Synthèse des travaux d’un Projet pilote administré par la Division du patrimoine culturel de l'UNESCO ; conduit par l'Université de Malte, il faisait partie de l'Euromed Heritage II, Union Européenne
- Sauver la darse de Villefranche, Chasse-Marée no 115,
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- Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 1, p. 125-130, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
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- Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 4, p. 229-234, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
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- Émile Buffon, Du rôle de Villefranche dans l'histoire - Suite 9, p. 376-385, Nice-Historique, 1910, no 143 Lire en ligne
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- André Cane, Aspects de la vie quotidienne d’un noble villefranchois pendant la Révolution. Les comptes domestiques et ruraux d’Ignace de May, 1793-1797, p. 152-161, Nice-Historique, 1992, no 73 Lire en ligne
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- Mara de Candido, La défense du littoral niçois dans la première moitié du XVIe siècle, p. 2-11, Nice-Historique, 1999, no 69 Lire en ligne
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- Mara de Candido, Villefranche, port de la Maison de Savoie. Le bassin de construction des galères : “La Forma delle galere”, p. 36-, Nice-Historique, 1999, no 71 Lire en ligne
- Jacques Paviot, Dominique Tailliez, Une escale bourguignonne à Villefranche en 1442, p. 44-5, Nice-Historique, 1999, no 234 Lire en ligne
- Olivier Vernier, Villefranche et la marine à l’époque contemporaine : du port de guerre à l’escale mondaine 1814-1939, p. 56-71, Nice-Historique, 1999, no 295 Lire en ligne
- André Cane, Les comptes de Benoît de May de Villefranche. 1650-1687. Prêteur sur gages et troqueur, p. 72-83, Nice-Historique, 1999, no 78 Lire en ligne
- Dominique Tailliez, Mémoire d’un passé maritime (Villefranche), p. 84-85, Nice-Historique, 1999, no 264 Lire en ligne
- Éric Dulière, Les routes de la Méditerranée retracées : trésors d'épaves à Villefranche-sur-Mer (06), Institut de Préhistoire et d'Archéologie Alpes Méditerranée, Tome LIV, 2012 Lire en ligne
- Villefranche sur mer : le Comté de Nice en 1850; villefranche murs et linteaux; sites du 18ème Nice est Villefranche; tours à signaux; préfabrication; Desastre de 1516; fondation de Villefranche
- Des campagnes de fouilles sous-marines à la recherche du passé
- À Villefranche-sur-Mer, toujours des découvertes archéologiques
- Épaves modernes La Lomellina (Villefranche-sur-Mer)
- Tour du lazaret
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'Office de tourisme
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- {Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
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