Les médecins prescrivent souvent des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou des benzodiazépines (BZD) pour traiter les crises de panique. Cependant, certains de ces médicaments peuvent créer une dépendance (comme les BZD) ou d'autres effets secondaires indésirables. Certaines personnes sont tout à fait contre ce genre de médicaments alors que d'autres les prennent déjà tout en cherchant à supplémenter leur traitement avec des remèdes naturels. Quelle que soit votre situation, sachez qu'il est tout à fait possible de soigner vos crises de panique naturellement par le moyen de traitements non pharmaceutiques, de techniques cognitivo comportementales, de techniques de relaxation, de remèdes à base de plantes, d'un mode de vie focalisé sur le maintien d'une bonne santé et en vous informant continuellement sur les nouveaux traitements disponibles.

Méthode 1
Méthode 1 sur 6:
Combattre des crises de panique sans l'aide de médicaments

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    Écartez toute possibilité d'un problème médical. Parfois, les crises de panique peuvent indiquer la présence d'une autre maladie. Il est donc très important que vous consultiez un professionnel de la santé. Il pourra vous examiner et écarter la présence possible d'autres maladies favorisant l'apparition de crises de panique ou les aggravant [1] .
    • La première étape consiste à prendre rendez-vous avec votre médecin traitant pour qu'il vous examine. Si nécessaire, il vous fera faire des analyses qui lui permettront de vérifier que vos crises de panique ne cachent pas une autre maladie.
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    Envisagez un traitement pour la santé mentale. Si vos crises de panique perturbent votre vie, nuisent à vos relations avec les autres ou vous empêchent d'accomplir certaines tâches à votre travail ou chez vous, une psychothérapie pourrait vous aider.
    • Consultez un thérapeute du couple et de la famille, un assistant social ou un psychologue pour qu'il évalue votre santé mentale. Beaucoup de ces professionnels sont formés pour soigner les troubles mentaux comme le trouble panique ou les crises de panique.
    • Les thérapies cognitivo comportementales sont particulièrement utiles pour traiter les crises de panique [2] [3] . Celles-ci ont pour but de vous aider à modifier la façon dont vous voyez vos crises de panique pour changer vos sentiments de peur et d'anxiété ainsi que vos comportements.
    • Certains traitements dispensés sur Internet sont également efficaces pour soigner les personnes souffrant de crises de panique [4] [5] .
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    Faites-vous entourer. En parlant avec des personnes atteintes du même trouble que vous, vous aurez plus l'impression de prendre le contrôle de la situation. Cela vous permettra aussi de trouver des moyens utiles de gérer les crises. Les membres du groupe peuvent partager les techniques qu'ils utilisent pour faire face à leur peur ou leur anxiété et gérer ces sentiments ainsi que leurs réussites. Durant ces réunions, vous pourrez aussi discuter avec des professionnels de la santé spécialisés dans les crises de panique.
    • Vous pouvez également vous joindre à un groupe d'entraide ou à une thérapie de groupe pour recevoir plus de soutien. En France, il existe diverses associations pour les personnes souffrant du trouble panique, d'anxiété ou de dépression [6] . Utilisez votre moteur de recherches pour trouver celle qui vous convient.
    • Informez les membres de votre famille et vos amis que vous souffrez de crises de panique. De cette façon, si cela vous arrive en leur présence, ils comprendront ce qui est en train de se passer et pourront vous aider à garder votre calme.
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Méthode 2
Méthode 2 sur 6:
Utiliser les techniques cognitivo comportementales

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    Acceptez la crise de panique. Les personnes qui souffrent de ce trouble ont plus de mal à accepter leurs émotions et par conséquent, elles risquent plus d'essayer de les éviter [7] . La thérapie cognitivo comportementale est un traitement contre les crises de panique basé sur l'expérience et l'observation. Elle poursuit l'objectif de changer la façon de penser du patient par rapport à ses crises de panique dans le but de réduire son anxiété générale et donc de diminuer la probabilité d'une nouvelle crise de panique [8] . En conséquence, en acceptant la crise de panique, vous l'empêcheriez peut-être de se reproduire [9] .
    • Engagez le dialogue avec votre crise de panique au lieu de la combattre [10] . Cela vous paraitra peut-être contreproductif, mais ça marche !
    • Pensez ainsi : « Je suis en train de faire une crise de panique et j'accepte cette situation. Je sais qu'il s'agit tout simplement d'une réaction de mon corps. »
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    Pensez de façon réaliste. Souvenez-vous qu'une crise de panique se déclenche à la suite d'une situation « perçue » comme une menace. Cependant, bien que nous pensions, ressentions ou agissions comme si nous étions en danger, ce n'est pas du tout le cas [11] .
    • Souvenez-vous que vous faites une crise de panique et qu'elle finira par s'arrêter. Elle ne vous blessera pas. Pensez ainsi : « Je suis en train de faire une crise de panique. Il s'agit d'une réaction de mon corps et je ne suis pas en train de mourir. Ça va aller. »
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    Concentrez-vous et observez la panique ou l'anxiété que vous ressentez. Après vous être rendu compte que vous n'êtes pas vraiment en danger, vous pouvez focaliser votre attention sur ce qui se passe en vous. Au lieu de céder à la terreur, devenez un observateur objectif de ce que vous ressentez. Concentrez-vous sur les sentiments et les sensations qui se déferlent sur vous. Paradoxalement, le fait d'« observer » vos sentiments au lieu de les « combattre » vous permettra de diminuer votre taux de stress et d'apaiser les conflits faisant rage dans votre cerveau.
    • Observez. Ce processus est essentiel, car il fait appel au côté rationnel de votre esprit. Durant une crise de panique, le côté émotionnel prend normalement le dessus jusqu'à la disparition des symptômes. L'esprit rationnel brille par son absence !
    • Le fait de devenir un observateur objectif vous permet donc de faire fonctionner votre côté rationnel. Comme il est très difficile pour le côté émotionnel de dominer votre esprit lorsque vous pensez rationnellement, les symptômes de la crise de panique disparaissent peu à peu.
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    Gérer les éléments déclencheurs. Lorsqu'une personne fait une crise de panique pour la première fois, il est fort probable qu'elle en refasse une. En effet, son esprit pourrait réagir à des éléments déclencheurs similaires à ceux qui étaient présents lors de la première attaque. Par exemple, votre première crise de panique a pu se produire pendant que vous étiez en train de conduire. Il est fort probable qu'elle se soit déclenchée à la suite d'une accumulation graduelle de stress et non du fait que vous étiez en train de conduire. Cependant, votre cerveau se souvient que la crise est apparue lorsque vous conduisiez et établit un lien entre les deux situations. En conséquence, le fait de conduire devient l'élément déclencheur de la crise suivante.
    • Sachez reconnaitre les éléments déclencheurs de vos crises et préparez-vous à les gérer. Tenez-vous prêt en décidant à l'avance soit d'éviter les éléments déclencheurs de vos crises (par exemple, évitez de vous retrouver avec des personnes qui vous rendent nerveux ou anxieux) soit de faire appel à des mécanismes de défense (comme respirer profondément, des techniques de relaxation, un loisir créatif, etc.).
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Méthode 3
Méthode 3 sur 6:
S'entrainer à développer sa capacité à se détendre et à utiliser d'autres techniques

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    Essayez la méditation en pleine conscience. Cette technique vous permet de vous concentrer intentionnellement sur le moment présent. Elle peut être particulièrement utile aux personnes qui souffrent d'anxiété ou de crises de panique [12] . Au lieu de vous inquiéter d'être victime d'une autre crise de panique ou de penser à vos crises de panique passées, concentrez-vous seulement sur ce dont vous êtes conscient (ce que vous voyez, entendez et ressentez).
    • Commencez par vous placer dans un environnement reposant puis essayez un exercice basique de pleine conscience. L'un d'entre eux consiste à manger lentement et très délibérément un petit morceau de fruit. Soyez attentif à son apparence, à son toucher et à son gout.[13]
    • Vous pouvez réaliser ce genre d'exercice n'importe où, même la pièce dans laquelle vous vous trouvez actuellement. Choisissez simplement un objet dans la pièce et concentrez-vous dessus. Regardez-le bien et faites quelques observations à son propos. De quoi a-t-il l'air ? Vous plait-il ? De quelle couleur est-il ? Observez bien tous ses petits détails et toutes ses formes. Dirigez-vous ensuite vers l'objet et touchez-le. Que ressentez-vous en le touchant ? Quelle est sa texture ? Est-il froid ou chaud ? La réalisation de cet exercice vous entraine à vous focaliser sur une chose réelle dans le moment présent et vous permet de vivre pleinement ce moment.
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    Détendez vos muscles. La relaxation musculaire progressive est une autre technique qui vous enseigne à contrôler la relaxation des muscles de tout votre corps [14] . Cet exercice peut vous être particulièrement utile lorsque vous passez par un moment de grande anxiété ou lorsque vous êtes très stressé. En effectuant cet exercice, vous pouvez réduire la probabilité de faire d'une crise de panique.
    • Placez-vous dans un endroit sûr et confortable, de préférence couché avec les yeux fermés. Commencez par tendre vos pieds et vos doigts de pied pendant environ 5 secondes, puis relâchez pendant 10 à 15 secondes. Contractez ensuite vos mollets puis relâchez. Continuez de cette façon en contractant puis en relâchant au fur et à mesure tous les muscles de votre corps.
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    Respirez profondément. Le fait de s'exercer à respirer profondément peut être très efficace pour réduire l'anxiété liée aux crises de panique [15] . Cette technique aide également à diminuer la pression [16] .
    • Si vous essayez cette technique pour la première fois, allez dans un endroit calme et reposant puis réalisez l'exercice simple suivant. Concentrez-vous sur votre respiration, inspirez profondément par le nez et expirez par la bouche. Il est important que vous expiriez lentement et que vous expulsiez tout l'air de vos poumons avant d'inspirer de nouveau.
    • Entrainez-vous à respirer profondément en soufflant de grosses bulles à l'aide d'un appareil et d'un bâton à bulle. Vous devrez arriver à contrôler et à stabiliser votre respiration pour fabriquer les grosses bulles.
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    Utilisez des exercices de sophrologie. Le raccordement à la terre (« grounding » en anglais) permet de gérer l'anxiété ou la panique. Ceux-ci sont utiles lorsque vous ressentez d'intenses émotions ou que vous êtes victime de puissantes réactions physiologiques comme une crise de panique. Ils vous permettent de focaliser votre attention sur autre chose pour vous aider à gérer les émotions violentes et la douleur [17] . Il existe différents types d'exercices de raccordement à la terre, dont des techniques mentales et physiques.
    • Les exercices mentaux de raccordement à la Terre se réalisent dans votre esprit en pensant à quelque chose de particulier. Par exemple, un exercice très utile consiste à faire une liste mentale de tous les animaux que vous connaissez. Un autre exercice simple qui marche très bien est de compter jusqu'à 10.
    • Les exercices physiques de raccordement à la Terre se réalisent avec les sens et le corps. Par exemple, il faut faire des grimaces, secouer les jambes ou mettre ses mains sous un robinet d'eau chaude ou d'eau froide.
    • De nombreux exercices de ce genre sont disponibles sur Internet. N'hésitez pas à essayer de nouvelles techniques [18] .
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Méthode 4
Méthode 4 sur 6:
Prendre des remèdes à base de plantes ou des suppléments vitaminés

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    Renseignez-vous sur la médecine kampo. Avant de prendre un remède à base de plantes, consultez votre médecin pour vous informer sur les effets secondaires possibles. Demandez-lui également si le remède pourrait interagir avec les médicaments que vous prenez déjà. Les médicaments kami-shoyo-san et hange-koboku-to (TJ-16) sont connus pour soulager les crises de panique et l'anxiété [19] .
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    Envisagez de prendre du kava. Cette plante polynésienne est connue pour ses effets apaisants et s'est révélée bénéfique aux personnes légèrement ou modérément anxieuses. Consultez votre médecin avant de prendre tout supplément alimentaire ou remède à base de plantes.
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    Envisagez de prendre de l'inositol. Cet hydrate de carbone disponible en poudre est bénéfique aux personnes souffrant de crises de panique. Ne prenez pas ce supplément sans avoir préalablement consulté votre médecin.
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Méthode 5
Méthode 5 sur 6:
S'occuper de sa santé physique

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    Suivez un bon programme d'exercice physique. L'exercice physique, en particulier les exercices cardiovasculaires réduisent les crises de panique et l'anxiété [20] . Il sert d'exutoire et permet de libérer tant les tensions physiques que les tensions émotionnelles.
    • De nombreux sports sont à votre disposition : la randonnée, la course, la natation, la danse aérobique (comme la Zumba), le Pilates, le vélo, le kayak, l'aviron, le patin à roulettes, la corde à sauter et des sports comme le football ou le basketball.
    • Des personnes souffrant de crises de panique ont pu réduire leur anxiété ainsi que l'activité de leur système sympathique en pratiquant le yoga [21] .
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    Régulez votre cycle de sommeil. Les troubles du sommeil sont très courants chez les personnes souffrant de crises de panique [22] . Si vous avez du mal à vous endormir ou si vous vous réveillez plusieurs fois pendant la nuit, l'anxiété peut être l'un des facteurs qui y contribuent.
    • Ayez un cycle du sommeil régulier. Décidez de l'heure à laquelle vous devez aller vous coucher et tenez-vous-en à cet horaire. Programmez votre alarme à l'heure à laquelle vous devez vous réveiller le lendemain matin. La plupart des adultes ont besoin de 8 heures de sommeil par nuit pour fonctionner de façon optimale.
    • Essayez les exercices de respiration profonde ou de relaxation progressive des muscles (décrits ci-dessus). Si votre trouble du sommeil persiste malgré tout, consultez votre médecin.
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    Limitez la prise de stimulants. La caféine, la nicotine et la cocaïne sont des stimulants qui peuvent accroitre votre anxiété et favoriser les crises de panique [23] . Consommez-en le moins possible ou arrêtez complètement d'en prendre.
    • D'autres types de stimulants qui sont prescrits sous ordonnance comprennent le méthylphénidate (commercialisé sous différentes marques), Adderall (sels d'amphétamines) et d'autres médicaments utilisés pour soigner d'autres troubles comme le trouble déficitaire de l'attention. Discutez toujours avec votre médecin avant d'arrêter de prendre un médicament qu'il vous a prescrit ou de réduire les dosages.
    • Certaines substances illégales sont des stimulants. Elles comprennent l'éphédrine, l'ecstasy (MDMA) et la méthamphétamine. Ces substances sont non seulement illégales, mais elles peuvent aussi engendrer de graves effets secondaires et mettre en jeu le pronostic vital de ceux qui les consomment. Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé mentale si vous avez développé une dépendance à ce genre de substances.
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    Limitez votre consommation d'alcool. Si vous êtes sujet aux crises de panique, il est risqué de prendre de l'alcool, car en tant que dépresseur il semble vous calmer et faire décroitre votre anxiété. Cependant, les effets sont temporaires et ne peuvent vous offrir une solution à long terme. Les personnes souffrant de crises de panique et d'anxiété sont plus enclines à développer une dépendance, notamment à l'alcool et peuvent devenir alcooliques [24] .
    • Si vous buvez de l'alcool tous les jours, parlez-en à votre médecin avant d'essayer de réduire votre consommation. Une grave dépendance à l'alcool nécessite parfois une cure de désintoxication.
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Méthode 6
Méthode 6 sur 6:
S'informer sur les crises de panique

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    Qu'est-ce qu'une crise de panique ? L'un des pires aspects d'une crise de panique est le sentiment de perdre le contrôle. Les symptômes d'une crise de panique peuvent inclure : une augmentation du rythme cardiaque ou des palpitations, une sensation désagréable dans la poitrine, de la transpiration, des nausées, des vertiges, des frissons froids ou des bouffées de chaleur, des picotements ou des engourdissements, manquer de souffle, la sensation de s'étrangler, des tremblements ou de l'agitation, la sensation d'être à l'extérieur de son corps et la peur de la mort [25] . Souvent, les personnes angoissent ou pensent qu'elles sont en train de faire une crise cardiaque.
    • Celles-ci se sentent d'autant plus angoissées qu'elles sont incapables de contrôler leur crise de panique. À quel moment arrivera la prochaine crise ? Où sera-t-elle ? Sera-t-elle capable de la gérer ? Ce genre d'inquiétudes peut avoir un effet Pygmalion.
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    Sachez que vous n'êtes pas seul(e). L'Institut national de la santé mentale estime qu'une personne sur 20 souffre de crises de panique. Ce chiffre n'est peut-être qu'une sous-évaluation, car beaucoup de personnes ne sont pas diagnostiquées correctement ou ne se font pas soigner.
    • Le fait de savoir que vous n'êtes pas tout seul à souffrir peut vous aider. Cependant, il s'agit juste de la première étape pour soigner ce trouble.
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    Comprenez le concept du combat-fuite. Lorsque le mécanisme de réaction de lutte ou de fuite s'enclenche dans votre corps, la crise de panique s'ensuit. En règle générale, la première crise de panique d'une personne apparait lors d'un évènement très stressant ou lorsqu'elle passe par des moments particulièrement stressants dans sa vie.
    • Le fond du problème est que le subconscient réagit de manière excessive à une situation qu'il perçoit comme une menace. Le mécanisme combat-fuite s'enclenche dans notre corps dans le but de nous protéger. Par le passé, cela aurait pu nous aider à nous enfuir si nous nous étions retrouvés face à face avec un tigre à dents de sabre. Malheureusement, nos cerveaux ont du mal à faire la différence entre une accumulation quotidienne de stress dans notre vie et une question de vie ou de mort.
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À propos de ce wikiHow

Trudi Griffin, LPC, MS
Coécrit par:
Conseillère professionnelle
Cet article a été coécrit par Trudi Griffin, LPC, MS. Trudi Griffin est conseillère professionnelle agréée dans le Wisconsin, spécialisée dans les dépendances et la santé mentale. Elle propose des thérapies en matière de santé mentale aux personnes qui luttent contre les dépendances et les traumatismes dans les établissements de santé communautaires et les cabinets privés. Elle a obtenu son master de consultation clinique en santé mentale à l'université de Marquette en 2011. Cet article a été consulté 11 820 fois.

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