Jean-Claude Casadesus

Jean-Claude Casadesus, né Jean-Claude Probst le à Paris, est un chef d'orchestre français de renommée internationale.

Pour les articles homonymes, voir Famille Casadesus.

Il est le chef fondateur de l'Orchestre national de Lille, qu'il dirige jusqu'en 2016.

Biographie

Jeunesse

Son grand-père Henri Casadesus, assied son petit-fils sur ses genoux, posait les mains de celui-ci sur le clavier et chantait ce qu’il venait de composer. Les influences musicales dont son grand-père lui a transmisse vont de Jean-Sébastien Bach à la valse viennoise en passant par le tango. son grand-père avait le désir qu'il devienne musicien. Son grand-père mit un violon dans les mains de son petit-fils dès l’âge de trois ans et demi avec Pierre Monteux l’un de ses meilleurs amis. Ils avaient décrété que son oreille et son sens du rythme feraient de lui, un chef d’orchestre[1].

À la même époque, il côtoie de grands compositeurs notamment Edgard Varèse, Igor Stravinsky, Darius Milhaud, Francis Poulenc, Arthur Honegger, Henri Sauguet, Alexandre Tansman, Marius Casadesus. Malgré tous les compositeurs, il éprouve un rejet pour son violon, due à de nombreuses crampes dans son bras gauche. L’expérience lui a révélé le désir de devenir musicien[1].Son grand-père décida de lui apprendre le piano. Il est élève à l’école communale de la rue Foyatier puis au cours élémentaire de la Rue d'Orsel en 1942[2]. Il entre à l’âge de quatre à sept ans, il est élève chez Madame Samuel-Rousseau qui donnait le cours de solfège, le plus célèbre de Paris. Cet enseignement suscita un blocage et à l’âge de huit ans il cessa tout apprentissage[1] .Quatre ans plus tard, il rerend le piano tout seul. La musique de son enfance demeure lié à la figure de son grand-père décédé en 1947.Sa grand-mère poursuit son initiation, elle lui fait découvrir l’Orchestre Colonne et l'Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire. Dès ce concert, il eut la révélation de devenir chef-d’orchestre[1]. De retour du concert, il reconstitue mentalement au piano les morceaux qui l’ont marqué. À l’âge de quatorze ans, il joue assez bien du piano, pour interpréter Le Clavier bien tempéré de Bach, alors qu’il sait à peine lire la musique. Il passe l’essentiel de son temps à improviser au piano. Il rencontre le curé de Villiers-le-Bel. Il accepte d’animer quelques messes et en contrepartie de jouer de l’orgue[1].A l’époque où il découvre la musique, Jean-Claude Casadesus est élève au Collège-lycée Jacques-Decour[2].

Par l’entremise de son oncle, Christian Casadesus, il rencontre le compositeur Raymond Legrand, qui était persuadé que Jean-Claude Casadesus deviendrait compositeur de musique de film[1].A l’âge de quinze ans il entreprend d’étudier l’harmonie avec Pierre Lantier qui trouve qu’il devait étudier la musique. Malgré son ignorance musicale, il compose à la manière de Frédéric Chopin, Ludwig van Beethoven, Bach, Georges Gershwin, Johann Strauss, Oscar Peterson .Il compose des valses, sonates, chansons[1].Au lycée, il est de moins en moins attire par les études, mais découvre le jazz tels qu’on le connaissait à Paris avec Sidney Bechet, Claude Luter. Au lycée il rencontre des amis, avec lesquels il créa un orchestre pour jouer dans des surprises-parties. Il est également pianiste de bar,dans des boîtes de nuit ou des thé dansant, pour gagner sa vie[1].

L’année suivante, il est pensionnaire au Lycée Henri-IV. Il continue de faire des escapades et est sauvé par la fille du proviseur, grand amateur de musique[1].Il va composer pour ce dernier. Son cousin, Jean Casadesus, lui conseille de devenir percussionniste car il s’agit du meilleur poste d’observation de l’orchestre afin de devenir chef d’orchestre[1].

Au Conservatoire

Son oncle Christian Casadesus le présente à Félix Passerone, créateur de la classe de percussion du conservatoire et timbalier à l’orchestre de l’Opéra[1]. Ce dernier accepte d'être son professeur particulier pendant huit mois en 1954-1955, pour passer le concours du conservatoire. Il est élève dans sa classe au Conservatoire entre 1955 et 1959[1].La scolarité est amputé de vingt-huit mois de service militaire.A son retour, les études se prolongeront d’un an[1].Il étudie en compagnie de Michel Plasson et Diego Masson (en). il y apprend l’harmonie, le solfège et des instruments notamment (Célesta, Batterie, Caisse claire écossaise, Cymbale, Carillon, Cloche, Xylophone, Vibraphone, Tambour,Triangle, Castagnettes, Tambour de basque, Tambourin à cordes, Sistre, Wood-block , Timbales, Caisse claire, Claves, Maracas)[1].Il joue de la batterie dans des bals de campagne, soirée de l’OTAN, anime des soirées. Son premier engagement professionnel , fut de jouer du triangle dans la 9e symphonie de Beethoven , pour une association symphonique qui tournait dans la périphérie parisienne, alors qu’il est élève du Conservatoire[1].A la suite de cette engagement, Passerone lui réprimande car il refusait qu’il joue en dehors du conservatoire.Il est appelé sous les drapeaux durant 28 mois ce qui entraîne une scolarité rallongée de douze mois à son retour. Il effectue son service militaire en tant que tambour militaire, en fonction des règles édictées par les patries de Napoleon, jouant des Chant militaire, marches militaires, des Musique d'ordonnance et des Diane notamment au Défilé militaire du 14 juillet[1]. Il fait une carrière de caisse-claire, spécialité rare et prisée. Il est reconnu comme « friseur » et « papamamandiste ».Il est promu Sous-lieutenant, Chef de la batterie napoléonienne puis Lieutenant sous chef de la musique de l’orchestre d’harmonie de la Garde républicaine puis Capitaine chef de la musique de l’Orchestre d’harmonie, Commandant chef de musique de l’Orchestre d’harmonie et de l’Orchestre symphonique de la Garde républicaine[1].Il dirige la délégation française qui remporte l'Edinburgh Military Tattoo en 1957[3]. Il est premier prix de percussion au Conservatoire national supérieur de musique de Paris en 1959[1].

Les orchestres symphoniques

Son premier contrat est due à André Jolivet, directeur de la musique de la Comédie-Française pour la Mort de Pompée [1]. Ce jour-là, il fut engagé pour l’enregistrement d’une musique de film. Ce jour-là il s’inscrit au syndicat. Il est successivement engagé dans la fosse de la Gaîté-Lyrique, le Festival d’Avignon, les Chorégies d’Orange, le théâtre Marigny et le Théâtre de l’Odéon sous la direction de Jean-Louis Barrault [1]. La première fois qu’il joue dans un concert symphonique, à vingt-deux ans, sous la baguette de Paul Paray en interprétant la 9e Symphonie de Ludwig van Beethoven au Théâtre des Champs-Élysées. À la fin du concert, Paul Paray le félicita, et décida de l’engager à l’Orchestre Lamoureux pour une tournée en collaboration avec Igor Markevitch[1]. Il réussit le concours de timbalier solo à l’Orchestre Colonne, poste qu’il occupera pendant dix ans[1]. Il est soliste dans le Domaine musical de Pierre Boulez [1].Il joue dans l’Orchestre philharmonique de l'ORTF , l'Orchestre lyrique de l'ORTF et l'Orchestre national de l'ORTF [1]; l'Orchestre Pasdeloup, la Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire et l'Orchestre Lamoureux[1] ;à l’orchestre de l’Opéra sous les directions des chefs Hans Kanappertsbusch, Maurice Le Roux, Adolphe Sibert, Georg Solti, Herbert von Karajan, Pierre Monteux,Claudio Abbado, Kirill Kondrachine, Bruno Maderna, Ernest Bour, Michael Gielen, Albert Wolff, Pierre-Michel Le Conte, Hermann Scherchen, Manuel Rosenthal, André Cluytens, Carl Schuricht, Charles Munch, Pierre Dervaux, Rudolf Kempe, Josef Krips, Karlheinz Stockhausen, John Cage, Luciano Berio, Eugen Joshum , Georg Ludwig Jochum, Carlo Maria Giulini[1].

Les Orchestres d’Opérette et de Variété

Il joue dans les orchestres d’opérettes composées Francis Lopez au Théâtre de la Porte-Saint-Martin, Théâtre des Bouffes Parisiens, Théâtre du Châtelet, Théâtre Mogador, L’Européen, Folies Bergère, et Bobino. Il accompagne André Dassary, Paulette Merval, Marcel Merkès, Dario Moreno, Roger Nicolas, Bourvil, Jean Richard, Georges Guétary, Tino Rossi et Luis Mariano[1].

Musicien pour les Studios d’Enregistrements

il participe à de nombreux enregistrements notamment avec les musiciens et compositeurs Quincy Jones, Lalo Schifrin, Ennio Morricone, Joseph Kosma, Michel Legrand,Michel Colombier, Jean Leccia, Antoine Duhamel, Bernard Herrmann, Vladimir Cosma, Francis Lai, Georges Delerue, Míkis Theodorákis, François de Roubaix, Miklós Rózsa, Maurice Jarre , Michel Portal, Michel Magne, Kenny Klarke, Lester Young, Georges Pludermacher, Idil Biret, Éric Heidsieck, Pierre Barbizet, Jacques Février, Jacqueline Robin, Geneviève Joy[1].

Il collabore aux enregistrements et spectacles de nombreux chanteurs tel que Charles Aznavour, Jacques Brel, Sylvie Vartan, Sheila (l’école est finie), Georges Brassens, Édith Piaf, Charles Trenet, Maurice Chevalier, Franck Sinatra, Gilbert Bécaud, Serge Gainsbourg, et Eddy Mitchell. Il accompagne Johnny Hallyday lors de sa première apparition à la télévision dans l’émission L’École des vedettes du 18 avril 1960[4],[1].

les Commandes comme Arrangeur et Compositeur

Il compose la musique d’un film de François Reichenbach et d’autres courts-métrages[1]. Il compose des musiques de scène pour le théâtre notamment pour la Compagnie Renaud-Barrault, la Comédie-Française, le Théâtre national populaire sous la direction de Georges Wilson, le Berliner Ensemble sous la direction de Ruth Berghaus, le Piccolo Teatro di Milano sous la direction de Paolo Grassi et Giorgio Strehler et pour le Grand Magic Circus sous la direction de Jérôme Savary[1]. Il écrit des arrangements pour des enregistrements de jazz ( Dizzy Gillespie, Count Basie, Sarah Vaughan, Jimmy Smith, Miles Davis, John Coltrane, Bill Evans, Louis Armstrong, Stéphane Grappelli, Cher Baker, Toots Thielemans, Don Byas, Jean-Luc Ponty, Philip Catherine, Tony Coe, Pepper Adams) des chansons (Zizi Jeanmaire, Catherine Sauvage, Henri Salvador, Jacqueline François, Aretha Franklin, Jack Jones, Tereza Kesovija, Ella Fitzgerald, Jessye Norman, Perry Como, Lena Horne, Kiri te Kanawa, Johnny Mathis, Barbara Streisand, Caterina Valente, Frankie Laine, Nana Mouskouri, Frida Boccara, Danielle Licari, Raymond Devos, Diane Dufresne, Guy Marchand, Nicole Croisille, Mireille Mathieu, Claude Nougaro, Pascal Danel, Barbara, Michel Polnareff, Brigitte Fontaine, Nancy Holloway, Éric Charden, Jean-Jacques Debout, Charles Dumont, René-Louis Lafforgue, Herbert Léonard,Marie Laforêt)[1]. Il compose des musique de danse entre autres pour le Ballet du XXe siècle , le Casino de Paris, l'Alhambra, l'Olympia, le Moulin Rouge, l'Opéra de Paris , le Paradis Latin, le Ballet national de Marseille, l’ Alcazar, Festival d’automne de Paris, Théâtre national de Strasbourg, Opéra national du Rhin, Crazy Horse[1]

Les Études de Direction d'Orchestre

Élève de Pierre Dervaux à l’ École normale de musique de Paris, il obtient en 1965, le prix de direction d'orchestre à l’unanimité, avec comme président du jury Charles Munch. Avec son diplôme , il part pour Bâle, poursuit un stage intensif auprès de Pierre Boulez[5],[1].Ses camarades de promotion sont Heinz Holliger, Gilbert Amy, Paul Méfano, Diego Masson, Zoltán Peskó, Parallèlement à l’École normale, il étudie la composition et l’analyse avec Michel Puig qui connaît parfaitement la musique dodécaphonique d’ Arnold Schönberg[1].

Le Théâtre du Châtelet

Maurice Lehmann engage Jean-Claude Casadesus à 30 ans comme directeur musical du Théâtre du Chatelet[6]jusqu en 1968. Il dirige des séances d’enregistrement à la demande des compositeurs ou des éditeurs musicaux comme Jacques Canetti. Il dirige la comédie musicale Monsieur Carnaval[1], Le Prince de Madrid puis L’auberge du Cheval Blanc.

L’Opéra Comique et l’Opéra de Paris

Le Théâtre national de l’Opéra-Comique appelle Jean-Claude Casadesus pour faire des remplacements ce qui implique son absentéisme au Théâtre du Châtelet. Le nouveau directeur du Théâtre du Châtelet, Marcel Lamy, lui demande de choisir entre les deux salles. Il devient le Chef permanent du Théâtre national de l’Opéra-Comique jusqu’à sa fermeture en 1972[1].Parallèlement, il est appelé ponctuellement à diriger l’Orchestre de l’ Opéra de Paris notamment pour Le Sacre du printemps et L’Oiseau de feu sur une chorégraphie de Maurice Béjart, Petrouchka avec Rudolf Noureev[1].

Pierre Dervaux appelle Jean-Claude Casadesus en 1971 pour la création de l’Orchestre national des Pays de la Loire. À partir de 1965, il dirige régulièrement des représentations à l’Orchestre Colonne[1].De 1967 à 1974, il organise avec Maurice Fleuret les Journées de musique contemporaine de Paris, où il rassemble quelque vingt mille personnes dans des cycles consacrés à Luciano Berio, Pierre Boulez ou Pierre Henry[1].

La Fondation de l'Orchestre

En mars 1975, le ministre de la culture Michel Guy, lui propose la direction de l’Orchestre de l’ex ORTF de Lille dont le contrat doit se terminer à la fin de l’année. Il rencontre l’orchestre le 16 avril 1975, qui refuse de travailler sachant leur fin prochaine. Il comprend qu’un véritable projet redonnerait confiance à l’orchestre. Immédiatement il est soutenu par Pierre Mauroy, maire de Lille. Il expose son projet qui peut se résumer en trois principes: la musique est une nourriture vitale, l’émotion est un droit pour tous, seule la qualité lui donnera une crédibilité. Jean-Claude Casadesus demande des moyens financier afin de créer un instrument qui permettrait d’irriguer musicalement toute la région[1],[7].

Après deux mois d’hésitation, les répétitions reprirent avec trente-trois musiciens. Les musiciens ne croyaient pas à la réussite du projet de Jean-Claude Casadesus. Le 14 juin 1975, Jean-Claude Casadesus donne son premier concert avec cette formation devant une cinquantaine de spectateurs pour cinquante-sept musiciens. Le programme comprenait une symphonie de Joseph Haydn, le Concerto pour piano d’Edvard Grieg et L’Oiseau de feu d’Igor Stravinsky[1]. L'orchestre fait beaucoup de concert pour les enfants[8].

En 1976, il fonde l'Orchestre National de Lille, issue de la volonté conjointe de l'ancienne région Nord-Pas-de-Calais, de l’État et de lui-même[9].C'est le premier orchestre financé par une région[10],[11] .le 3 janvier 1976 l'orchestre donne son premier grand concert, peu de temps avant l'officialisation de son nouveau nom d'Orchestre régional de Lille, avec un programme de musique russe, parrainé par Mstitslav Rostropovich[12]. Il est pressenti pour prendre la direction de l'Opéra du Nord lors de sa création en 1979[7].

la Programmation de l'Orchestre

Sous sa direction l’Orchestre interprète le grand répertoire symphonique, le répertoire lyrique grâce à sa collaboration avec l’Opéra de Lille ainsi que la musique de notre temps en accueillant des compositeurs en résidence. Il réalise des projets co produit avec les grandes structures de la région, l’Opéra de Lille, le Théâtre du Nord, le Grand Bleu (équivalent pour les jeunes publics), Centre chorégraphique national Roubaix, dirigé par Carolyn Carlson, Palais des Beaux-Arts de Lille[7].

Dans toutes les facettes de la programmation de Jean-Claude Casadesus, l’Orchestre invite des chefs et solistes internationaux: Yehudi Menuhin, Barbara Hendricks, Teresa Berganza, Jessye Norman, José van Dam, Jean-Philippe Collard, les frères Renaud Capuçon, Gautier Capuçon, Frank Braley[7] ainsi que les jeunes talents pour faire vivre le répertoire : baroque, classique et contemporain[13].

Il programme des cycles de concerts et d’événements tournés vers tous les publics : ciné-concerts, concerts Flash à l’heure du déjeuner, Famillissimo. Chaque année, le Lille Piano(s) Festival propose un temps fort, à la programmation éclectique dédiée à tous les claviers. Il fonde « Les Nuits d’été », un événement estival en juillet[7].

Les Concerts et les Tournées de l'Orchestre

L'orchestre y donne une centaine de concerts par an et effectue de nombreuses tournées, aussi bien dans la région (ex. : Festival de la Côte d'Opale[14] ) , en France (notamment aux Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence, Festival des Arcs[15] , Festival d’Auvers-sur-Oise[16]. Festival Berlioz[17], Festival International de musique de Besançon Franche-Comté[18], Festival de musique de La Chaise-Dieu[19], Festival international de musique de Colmar[20], Festival international de musique du Comminges, Rencontres musicales d’Evian[21], Festival de musique de Saint-Denis[22], La Folle Journée[23], Musique des Lumières (France)[24],Festival de Nohant[25], Nuits de la Citadelle[26], Rencontres artistiques de Bel-Air[27],Festival Saou chante Mozart[28], Un violon sur le sable[29]), à l’étranger dans 32 pays sur 4 continents). Pour l’Europe, il est en Italie (1981), à Salzbourg (1984), en URSS (1988), au Concertgebouv d’Amsterdam, Musikverein, à Saint-Pétersbourg, Moscou, dans d’innombrables salles en Europe centrale, en Yougoslavie (1983), Bulgarie (1984) à Paris (Salle Pleyel, Olympia, Théâtre des Champs-Élysées, Philharmonie de Paris)[7]. Pour l’Asie, au Japon (1982), Il fait trois tournées en Chine à la fin des années 2000, au Liban ou au Kazakhstan. Pour l’ Amérique au Carnegie Hall (1984), en Amérique latine (1994). Il fait une tournée en Afrique (1985)[7],[30]. Il dirige l’orchestre dans des endroits les plus improbables, églises, usine Renault de Douai, (en 1982), aux 3 Suisses (1985), à la maison d’arrêt de Loos, Stade Grimonpresz-Joris, usine Usinor à Denain, chapiteaux de cirque, salles polyvalentes, salles de sport, Nécropole nationale de Notre-Dame de Lorette, Stade Pierre-Mauroy[7].

l’Orchestre rend mélomane la région Nord-Pas-de-Calais

Afin de s’ouvrir au plus grand nombre et de développer la mixité des publics, il propose des formats innovants. il a toujours placé l’auditeur de demain au cœur de son projet en développant des moments adaptés, ludiques et pédagogiques autour de la musique. Des ateliers d’éveil musical pour les tout-petits aux concerts étudiants, c’est ce même esprit d’ouverture qui anime les ateliers proposés pour les personnes porteuses de handicap[7].

Autour des concerts, Jean-Claude Casadesus et l’Orchestre national de Lille proposent de nombreux rendez-vous comme des préludes musicaux et des conférences. Il est à l’initiative de « Si j’étais compositeur... » qui consiste en des rencontres en bord de scène avec les solistes et les chefs d'orchestre [7],[31] par exemple avec Le dessous des quartes : le chef et l’orchestre mettent la Symphonie no 7 de Dvořák à nu, en explorant l’œuvre pendant une heure et demie : choix des rythmes, des mélodies, des mélanges instrumentaux, comme dans l’atelier du compositeur. Il innove avec « L'orchestre déconcertant » : qui consiste en des rencontres avec les artistes, des concerts ou des expériences participatives insolites[7],[31]. Il décide de faire une Dégustation de gaufres et découverte de la création musicale à Lille : Jean-Claude Casadesus et Bruno Mantovani, compositeur en résidence à l’Orchestre national de Lille a invité le public présent à une conférence gastronomique autour du thème de la « Découverte de la création musicale », en improvisant au piano à partir de dégustation des célèbres gaufres de Méert et des impressions du public sur scène[7],[31].Notamment avec les concerts de l'Orchestre dans tous les bars de la région en partenariat avec le collectif Culture Bar-Bars. Mais également avec le premier flash mob de la musique orchestrale en France. L’Orchestre dans les gares : des flashmobs, des concerts participatifs, des moments de musique inattendus… , découvrir la gare autrement et vice versa en partenariat avec le flashmob Lille Europe, une centaine de musiciens ont joué la Farandole, extraite des Suites de l’Arlésienne, de Georges Bizet, en partenariat avec SNCF Gares & Connexions. Les musiciens de l’Orchestre jouent Les Quatre Saisons de Vivaldi dans les trains Eurostar en partenariat avec la Direction Voyage de la SNCF. Il amène l'Orchestre national de Lille dans un lieu insolite : l’atelier du métro : un voyage musical dans l’atelier du métro de Lille : les employés et usagers du métro de Lille se sont vu offrir un trajet en métro jusqu’au dépôt qu’ils ont découvert transformé en salle de concert. Ils ont pu y entendre plusieurs vrais concerts symphoniques par l’orchestre national de Lille[7],[31]. L'orchestre hors les murs, projection et concert symphonique dans une imprimerie : La Voix du Nord. Une expérience unique pour les spectateurs mêlant visite de la salle des rotatives, concert symphonique et projections d’un film d’archives expliquant la fabrication du journal au siècle dernier. Il amène l’Orchestre National de Lille chez Ikea : les musiciens de l'Orchestre national de Lille, sous la direction de leur chef, ont joué dans un lieu qui n’a rien d’une salle de concert ordinaire : un magasin Ikea. En effet, l’orchestre souhaite faire entendre la musique classique au plus grand nombre tout comme l'entreprise veut rendre accessible à tous le design[7],[31].

Il innove avec « L'orchestre des concerts » : des artistes offrent des œuvres du patrimoine ou des créations, des répétitions ouvertes par exemple Geek bagatelles de Bernard Cavanna, pour orchestre et chœur de… smartphones. [31]. Il est à l’initiative de Propos d’avant concert : pour une écoute avertie, le public est invité à assister avant le concert à une présentation du programme par le chef, un musicien ou un mélomane qui décode le choix des œuvres. Pour chacune d'entre elles, l'hôte dévoile les secrets de la composition en présentant le compositeur, en décomposant la structure des œuvres et en les restituant dans leur contexte historique avec ce Concert au chocolat : Serge Prokofiev, Pierre et le Loup. Allier les plaisirs du goût et de l’écoute, en mêlant petits et grands dans la même double dégustation de chocolat et de musique. Ce concert sous la direction de Jean-Claude Casadesus et avec Gisèle Casadesus (récitante), est associé à l’éveil des sens avec dégustation de chocolat autour de ces concerts. Il est l'organisateur des Visites / Portes ouvertes : c'est l'occasion d'entrer dans la salle où se produit la formation et de découvrir ainsi l’orchestre « côté coulisses » en visitant l'arrière-scène, les salles de répétition… Durant les Journées portes ouvertes à Lille, les portes de l’Orchestre national de Lille s’ouvrent le temps d’une journée pour faire découvrir l’univers de l’orchestre. Visites guidées, concerts, projections et démonstrations rythment ce temps d’échange et de découverte. Il est à l'origine des Rencontres avec les artistes qui « font » l'orchestre permet aux enfants comme aux adultes, de mieux comprendre le travail d'interprétation, en désacralisant la figure du musicien classique au profit d'un contact plus complice et naturel. L’orchestre laisse le public choisir la programmation sur le site web et l’invite à l’écouter lors des trois mini-concerts. Il élaboré la création d'ateliers-découverte sont aussi prévus tout au long de la journée. Dans l’église Saint-Maurice de Lille, avec au programme : La légende de Saint Nicolas. Wolfgang Amadeus Mozart, Vêpres pour un confesseur K339 ; Benjamin Britten, Cantate Saint Nicolas, op. 42. Pour tout spectateur qui le souhaite, participation au concert. À l’entrée de l’église, la partition des deux passages du chœur de foule est distribuée avec le programme de salle à tous les spectateurs. Au début du concert, le chef fait répéter le public ou également Le dessous des quartes : le chef et l’orchestre mettent la Symphonie no 7 de Dvořák à nu, en explorant l’œuvre pendant une heure et demie : choix des rythmes, des mélodies, des mélanges instrumentaux, comme dans l’atelier du compositeur. Il établit une prouesse pour attirer les étudiants avec musique au campus : université Lille 3 Charles de Gaulle Villeneuve-d’Ascq. Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto no 20 pour piano et orchestre en ré mineur K 466 ; Antonín Dvořák, Symphonie no 9 en mi mineur « Du Nouveau Monde » op. 95. Il a l'idée de Max et les maxi-monstres, concert pour les maternelles : Texte et illustrations, Maurice Sendak, Musiques de Mozart, Stravinsky, Bartók, etc. La série des concerts maternelles. Ces concerts font l’objet d’un long travail de préparation dans les classes entre octobre et novembre. Ces préparations sont faites par le Conseiller pédagogique d'éducation musicale (CPEM) de Lille, l’objectif étant d’apprendre aux enfants chansons, comptines et gestes : le jour du concert, ils font partie intégrante du « spectacle ». Il établit aussi Répétition générale ouverte : c’est l'occasion de découvrir la face cachée de l'iceberg : le travail de l'orchestre seul dans son « laboratoire ». La répétition générale est la dernière répétition avant la première représentation publique. Le programme est prêt, le chef enchaîne l'interprétation des œuvres et fait d'ultimes « réglages » par quelques remarques avec les répétitions pour répétition pour Lakmé, le Réquiem de Verdi, la symphonie en ut de Bizet. Il est l'instigateuf de Concerts jeune public : spécialement pensés pour donner le goût du concert classique aux plus jeunes. Ils ne durent pas plus de 45 min et permettent une présentation diversifiée d'œuvres représentatives de l'écriture orchestrale, du classique au contemporain. Le chef d'orchestre en personne ou un animateur, commente les œuvres et guide l'écoute du public en herbe notamment avec le un concert famille (L'Histoire de Babar), un concert symphonique et un concert apéritif. Les auditeurs peuvent assister à la générale de Tristan et Isolde de Richard Wagner, Quiz Musical ». Les enfants reçoivent chacun un programme qui est en réalité un questionnaire (questionnaire à choix multiples) ainsi qu’un crayon pour cocher la réponse qu’ils pensent être la bonne. Chaque question, correspondant à un extrait musical joué par l'orchestre, est énoncée et présentée par l’animateur. À la fin du concert, les enfants peuvent « voter » (à main levée) pour l’extrait qu’ils préfèrent. Le mouvement correspondant à l’extrait est joué entièrement par l’orchestre[7],[31]. Il est l'auteur des Ateliers de création musicale : les musiciens comme les compositeurs se prêtent à l'échange lors de ces ateliers où chacun peut participer en jouant ou en chantant notamment avec White Page / Black Page - création pour grand orchestre d’improvisateurs. Il est le concepteur des Concerts participatifs : ces concerts offrent l'occasion de jouer avec l'orchestre. La liste des œuvres est communiquée quelques semaines à l'avance pour permettre aux amateurs, confirmés ou débutants, de travailler leur partition et de la jouer avec l'orchestre « pro », sur la scène avec eux et dans la salle de concert. Le soir du concert, ceux qui le souhaitent peuvent venir jouer avec l'orchestre, d'autres jouent avec le public, que ce soit avec leur instrument s'ils sont musiciens ou simplement en chantant ou tapant des mains notamment avec la création de l’orchestre d'un jour : en un jour, le public monte un orchestre, compose une partition et la joue en concert. Chaque minute compte pour le compositeur en herbe Jean-Claude Casadesus, qui stimulera la créativité de l’audience pour composer une partition[7],[31]. Dans cette voie, il realise comme manifestation entre autres, Musique à l’hôpital, en maison de retraite, dans les centres psychiatriques. Des musiciens professionnels interviennent dans les services de soin au chevet des malades, des enfants aux personnes âgées. Leurs interventions prennent la forme d’ateliers ou de concerts déambulatoires. Avec la musique, c'est la vie qui entre à l'hôpital et des moments de bonheur pour les malades, leur famille et les soignants[7],[31]. Il veut associer l’expérience de l’association Musique et Santé et la volonté des musiciens de l’Orchestre a permis de faire résonner la contrebasse ou le violoncelle au sein d’un service de néonatologie, pour les enfants et leurs parents ainsi que pour le personnel soignant. Il établit le Concert des aînés particulièrement leur relation avec les personnes âgées, par le biais de concerts en maison de retraite, d’ateliers, etc. L’orchestre national de Lille a par exemple organisé un concert pour les personnes de plus de 65 ans. Ce moment privilégié d’écoute a été suivi d’un échange avec les musiciens afin de favoriser le dialogue et la découverte.

Il crée Musique en Prison, les musiciens jouent dans des centres de détention[7],[31]. En collaboration avec les établissements pénitentiaires deloos, l’Orchestre propose, en formation de musique de chambre, un concert-rencontre pour les détenus et le personnel encadrant[31].

Les Enregistrements de l'Orchestre

Au fil des années, il enregistre avec son orchestre une trentaine d’opus salués par la critique et récompensée par de nombreux prix : Grand prix de l'Académie Charles Cros en 1978[32], Prix de l’Académie du disque français, Prix de la SACEM en 1985[33], Grand prix de la Nouvelle Académie du Disque, etc.

Les Locaux de l'Orchestre

Initialement installé à la conservation des Bâtiments de France, l’orchestre des premiers temps a campé dans différents sites l’hôtel Scrive de la rue du Lombard, rue de la Vieille-Comédie, enfin au Grand Séminaire, où a été enregistré le premier disque d’ Henri Dutilleux en 1978. En 1986, tout est regroupé au Nouveau Siècle de Lille. Jusqu’alors, faute de véritable salle de concert, l’orchestre jouait au théâtre Sébastopol, dans une salle de sport du quartier Saint-Sauveur et dans les églises. Il commence à donner des concerts avec son orchestre en 1983. Il emménage définitivement dans cet endroit en 1986. Il s’agit d’une superficie de 11 000 m2 avec un auditorium de 2 000 places entièrement rénovée en 2013. Le Nouveau Siècle abrite le Chœur régional Haut de France[7]. En 2015, l'orchestre s'est doté d'un studio numérique mobile unique en Europe, labellisé French Tech[34].

Le Mécénat de l’Orchestre

Dans la préparation d’une tournée aux Canada et États-Unis en 1984, il mobilise des premiers chefs d’entreprise comptant dans la région (La Redoute, 3 Suisses, Crédit du Nord, Banque Populaire, Banque Scalbert-Dupont, Maison Méert, Matra), qui deviennent les mécènes de l’Orchestre, avec la création d’un club des partenaires, l’Association Arpège. Ce sera le premier orchestre à avoir créé une telle structure. Il décide la création d’un club des amis de l’orchestre, en 2010, se nommant le Cercle, constitué par des particuliers, abonnés à l’orchestre. Il est à l’origine, du Cercle Découverte, destiné pour les 25-45 ans, un public qui n’est pas encore titulaire d’abonnements.[7]

l'Année 2016

Au printemps 2016, il signe un protocole d’action et de coopération territoriale, premier du genre, sous l’égide de l’État et de la Région avec l’Orchestre de Picardie afin de mette en place des partenariats, de développer des synergies pour les saisons à venir. Les deux Orchestres vont travailler vers de nouveaux publics et de nouveaux territoires. [7]

Il restera le directeur artistique jusqu'en 2016, date à laquelle il transmet la baguette au jeune chef Alexandre Bloch[35].

Activités en dehors de l'Orchestre national de Lille

Il intègre par ailleurs le cabinet du Premier ministre Pierre Mauroy en tant que conseiller le 26 décembre 1981[36].il impulse la création de la Fête de la musique , de l'Orchestre national de jazz et du festival Musica, il encourage le développement des chœurs d'enfants (les maîtrises, religieuses aussi bien que laïques, entre autres en permettant la création de classes à horaires aménagés)[37], il favorise l'intégration des musiques traditionnelles aux formations des conservatoires[38], il soutient l’augmentation des subventions en tous genres ou la construction de l’Opéra Bastille ou de la Cité de la musique de la Villette. Il refuse d’entrer en politique malgré les propositions de devenir conseiller régional ou député[7].

Il est le président-fondateur de l'Association française des orchestres (2000-2016) qui organise Orchestres en fête à partir de 2008 Sur le principe de la programmation de l'orchestre national de Lille[7].Il préside la plateforme Accord Majeur (2002-2016), le Réseau européen des orchestres (2003-2015), Pearle (2005-2015) et Culture Action Europe (2006-2015)[39]

En tant que réserviste, il sera le responsable de la création du centre de formation et de perfectionnement des sous-officiers musiciens de l’Armée de Terre en 1965[3], qui deviendra le Conservatoire Militaire de Musique de l’Armée de Terre en 1978[3]. Dès sa création, il en devient le président du conseil d’administration (1978-1996)[3]Promu colonel de réserve, il devient commandant des musiques de l’Armée de Terre en 1978, conseiller technique du Chef d'état-major de l'Armée de terre jusqu’en 1996[3]. Il sera successivement président de la Société française de musique militaire (1978-1993), de la Société européenne de musique militaire (1993-2001) et de la Société internationale de musique militaire (2001-2016)[3].

Autres Directions d'Orchestres

En qualité de chef invité, Jean-Claude Casadesus se produit à la tête de 150 orchestres différents sur les scènes internationales des cinq continents : Moscou, Singapour, Montréal, Baltimore, Séoul, Sao Paulo, Buenos Aires, Philadelphie, Monte Carlo, Saint Pétersbourg ou encore Berlin[40],[41] et s'illustre dans la direction d'opéra[42],[43]. En tant que chef titulaire, il refuse la direction de l’orchestre en Russie, Chine et à Singapour[7].

Pour le compte du Pierre Mauroy, président du conseil régional du Nord-Pas de Calais, il crée, dirigé et reste responsable de la programmation du Festival de la Côte d'Opale[44],[45],[46](1976-2017) et de Tendances Côte d'Opale (1992-2017)[47]. Il sera remplacé par Thérèse Guilbert, maire d'Outreau à la présidence et par un collectif de programmation composé d'acteurs du secteur culturel de la Côte d'Opale[48].

De 2005 à 2008, il est le directeur musical de l'Orchestre français des Jeunes. En 2014, il est le parrain de la Semaine du Son[49], puis en 2015, il dirige les Victoires de la Musique Classiques[50] en direct de l'auditorium du Nouveau Siècle à Lille.

En 2019, Jean-Claude Casadesus dirige l'Ave Maria de Caccini avec l'Orchestre Philharmonique du Maroc, et trois chanteurs de confessions religieuses différentes au Centre de Formation des Imams de Rabat en présence du Pape François et du Roi du Maroc Mohamed VI[51].

Fonctions Actuelles

Jean-Claude Casadesus est actuellement le directeur artistique du Lille Piano(s) Festival[52], héritier des « Rencontres Internationales de Piano Robert Casadesus » fondé en 1996 jusqu’alors dédiées aux lauréats des concours internationaux, et résolument inspiré de La Folle Journée de Nantes, où sont invités Anne Queffélec, Alexandre Tharaud, Cédric Tiberghien Claire-Marie Le Guay, Vanessa Wagner. Il est le président de l'École Supérieure de Musique et de Danse Hauts-de-France - Lille (anciennement : Pole Supérieur d'Enseignements Artistiques) et le président de Musique Nouvelle en liberté[53]. Il est le président de l'Association Robert Casadesus depuis 2011[7].Il est membre du comité d'honneur de la Confédération musicale de France[7].

Vie familiale

Issu d'une famille de musiciens et d'artistes[54], descendante de l'écrivain Paul de Kock[55]. Il est le fils des comédiens Gisèle Casadesus et Lucien Probst. Jean-Claude Casadesus épouse en premières noces Pénélope Copeland, anglaise, venue comme jeune fille au pair, pour s'occuper de son jeune frère Dominique Probst[1], dont il a deux enfants, la soprano Caroline Casadesus, et l'explorateur et photographe Sébastien Copeland (en)[56]; d'une seconde union, avec la danseuse Anne Sevestre, connue au théâtre du Châtelet, lors de la création de L'Auberge du Cheval-Blanc[1], il a un fils, comédien et mannequin, qui fit une courte carrière d'acteur de sitcom, sous le nom de scène d'Olivier Sevestre. Il est le grand-père des musiciens David Enhco et Thomas Enhco.

Œuvres

Discographie

avec l'Orchestre national de Lille[57].

  • Henri Dutilleux, Symphonie No 1, Grand Prix du Disque de l'Académie Charles Cros, Label Forlane,1977. Meilleur enregistrement étranger[58]Edison Award[59]
  • Maurice Ravel, Shéhérazade, Mélodies Hébraïques, Daphnis et Chloé, Pavane pour une Infante défunte, Nadine Denize. Label Harmonia Mundi ,1980. Grammy Awards[60] Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik[59]
  • Hector Berlioz, Symphonie Fantastique, Label Harmonia Mundi, 1981. Meilleur enregistrement étranger[61] Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[59] Meilleur enregistrement étranger, Mention spécial de la nouvelle académie du disque[62]
  • Georges Bizet, Suites de Carmen et de l'Arlésienne, Label Dom ,1985. Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique classique[63], Premio della critica discografica italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grand Prix du disque de l’académie du disque français, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[59]
  • Beethoven, Klavierkonzert no 3, Miguel Angel Estrella, Label Sonatina,1985. Meilleur enregistrement étranger[64], High Fidelity International Record Critic Award, Irca, Mention spécial de la nouvelle académie du disque[59]
  • Gustav Mahler, Symphonie no 4, Margaret Marshall (en), Grand Prix de la Nouvelle Académie du Disque. Label Dom, 1987. Prix mondial du disque de Montreux, Grand Prix du Disque du Canada, Mention spécial de la nouvelle académie du disque [59]
  • Mozart, Musique funèbre maçonnique - Concerto pour clarinette - Concerto pour flûte et harpe, Label Forlane, 1987. Meilleur enregistrement étranger[64] Grand Prix du Disque de l'académie du disque Français, Prix Manuel de Falla, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[59]
  • Pierre Ancelin, Filius Hominis, Opéra Sacré, Mary Shearer, soprano, Rodney Gilfry, baryton, Livret de Raphaël Cluzel, Label Oybella,1989.Meilleur enregistrement étrangerGrand Prix du Président de la République, Académie National du disque français,Grand Prix du disque de l’académie du disque français[61] .
  • Ludwig van Beethoven, Sonates pour violon et piano No 5 'Printemps' et No 9, Collection Masterworks Portrait. 1989, Meilleur enregistrement étranger[58] Edison Award, Grand Prix du disque de l’académie du disque français, High Fidelity Record Critic Award [59],[62]
  • Gustav Mahler, Symphonie no 5, Grand Prix de la Nouvelle Académie du Disque. Label Dom,1990. Prix Juno, Grand Prix de la Nouvelle Académie du Disque, New York Times Best Classical Disc of the Year[62],[59],[64] Preis der Deutschen Schallplattenkritik[59]
  • Gustav Mahler, Symphonie No. 1 en Ré majeur Titan, Label Forlane,1991. Edison Award, Grand Prix de L Académie du Disque Charles Cros, Grand Prix du Disque de l’ Académie du Disque Français, Premio della Critica Discografia Italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, York Times Best Classical Disc of the Year[59],
  • Gustav Mahler (double CD), Symphonie no 2, "Résurrection", Teresa Zylis Gara, Ewa Podles, Stttgarter Oratorienchöre. Label Dom, 1991. Grammy Awards[60] High Fidelity Record Critic Award, Mention Spéciale de L Académie du disque français, Gramophone Record award, Edison Award, Prix Juno, Prix Félix, Prix José Bruyr, Grand Prix du Disque de l’Académie Charles Cros [59], Grand Prix du Disque du Canada, New York Times Best Classical Disc of the Year[62]
  • Groupe des Six/Darius Milhaud, Les Mariés de la Tour Eiffel, Le Bœuf sur le toit, Daniel Mesguich, Hervé Furic, Fernand Iaciu. Label Harmonia Mundi, 1991., Meilleur enregistrement étranger, Grand Prix du disque de l’académie du disque français[61],[59]
  • Arthur Honegger, Le Roi David, Jean-Claude Casadesus, Daniel Mesguich, Alessandra Marc, Sylvie Sulle, Laurence Dale, Martine Pascal, Label Emi, 1993.Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique[63].Grand Prix audio-visuel de l’Europe[59]Prix José Bruyr, grand Prix du disque de l’Académie Charles Cros, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [65]
  • Hector Berlioz, Georges Bizet, Charles Gounod, Grand gala de musique française, label Forlane1993, Meilleur enregistrement étranger[58] Prix Juno , Prix Félix, Orphee du prestige lyrique de l’académie française du disque lyriqueGrand Prix du disque de l’académie du disque français[59],
  • Maurice Ravel, Boléro & Piano Concertos, Harmonia Mundi,1993. Meilleur enregistrement étranger[64], Prix Félix, Grand Prix du Disque du Canada, Mumm Champagne Classical Music Award, Edison Award, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[59]
  • Maurice Ravel, Toute la lumière sur Ravel, Boléro, Ma mère l’oye, Collection Reflets, 1994, Caecilia Prix Musical de la Presse Belge, Grand Prix du Président de la République de l'académie nationale du disque français, Gramophone Award, Premio della Critica Discografia Italiana, Stereo Review award[59]
  • Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour piano no21, Concerto pour violon no5 avec comme interprète Zubin Mehta, George Szell, sous la direction de Jean-Claude Casadesus, Collection Maestro, 1995, Prix du concerto français de l’Académie du disque, Prix Félix, High Fidelity Record Critic Award, Gramophone Award, Grand’ Prix du Disque du Canada[59]
  • Camille Saint-Saëns, Carnaval des animaux - Symphonie No 3 'Avec orgue' - Danse..., Collection Maestro, 1995[62], Prix Juno, Grand Prix de la Nouvelle Académie du disque, Prix Félix, Preis der Deutschen, Laser d’or, Edison Award[59]
  • Ludwig van Beethoven, Sonates 'Printemps' et 'A Kreutzer' - Sonate pour violon..., Collection Maestro,1995, Meilleur enregistrement étranger[61] Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grand Prix du Canada, Stereo Review Award, Mention spéciale académie du disque,New York Times Best Classical Disc of the Year, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [62],[59]
  • Serge Prokofiev, Alexander Nevsky, Lieutenant Kijé, Ewa Podles, Chœur académique d'État Latvija, Label Naxos, 1995.Best Foreign Album Classical Music Fryderyk 1996[7] Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique[63].Prix Félix, Gramophone Award, Priese der Deutschen, New York Times Best Classical Disc of the Year[59]
  • Hector Berlioz, La Mort de Sardanapale, Cantates du Prix de Rome, Michèle Lagrange, Béatrice Uria-Monzon, Daniel Galvez Vallejo. Label Harmonia Mundi,1996. Meilleur enregistrement de l’année[66] Prix Juno, High Fidelity Record Critic Award, Grand’ Prix Académie Charles Cros, Grand Prix du Canada, Prix Mondial du disque de Montreux, Edison Award,Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [59]
  • Claude Debussy, La Mer, Nocturnes, La Damoiselle élue, Harmonia Mundi,1996. Meilleur enregistrement étranger[64]Prix de l Académie du disque français, Prix Juno, Grand Prix du Canada, Premio della Critica Discografia Italiana,Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [59]
  • Claude Debussy, Pelléas et Mélisande, Gérard Théruel, Mireille Delunsch, Armand Arapian, Hélène Jossoud, Gabriel Bacquier, Françoise Golfier, Jean-Jacques Doumène, Chœur régional nord / pas-de-calais. Prix Massenet - Académie du disque lyrique, Label Naxos,1996. Enregistrement lyrique de l’année. victoire de la musique classique[63]. Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik [67],[59]
  • Francis Poulenc, La Voix Humaine, Françoise Pollet, Prix Gabriel Fauré, Fondation Canteloube, Académie du disque lyrique. Label Harmonia Mundi,1997.Meilleur enregistrement étranger[61]Orphée du prestige lyrique de l’Académie française du disque lyrique, Edison Award,High Fidelity Record Critic Award, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[59]
  • Hector Berlioz, L’Enfance du Christ, Michèle Lagrange, Jean-Luc Viala, Michel Piquemal,Fernand Bernadi, Antoine Garcin, Étienne Vandier, Jean-Louise Serre, Chœur Régional d'Ile-de-France, Maîtrise de Radio France, Label Naxos, 1998. Meilleur enregistrement étranger[64]Grand Prix de lAcademie Charles Cros, Grand Prix du Canada, Prix mondiale de Montreux, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grand Prix du disque de l’académie du disque français[59]
  • Artango, Un soir, suite pour orchestre, piano et bandonéon, Fabrice Ravel-Chapuis, Jacques Trupin. Label Virgin Classics, 1999. Meilleur enregistrement étranger[58] Gramophone Award, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[62]
  • Francis Poulenc, Suite française, Concert champêtre, Concerto pour orgue, Label Naxos,1999. Concert de musique classique ou représentation d’opéra. Victoire de la musique classique, Enregistrement de musique classique de l’année[63] Grand’ Prix de |’Académie Charles Cros, Grand prix de l Académie du disque français, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français.[59]
  • Hector Berlioz, La Damnation de Faust, Label Naxos, 2001, Meilleur enregistrement étranger de l’année[68],[69]Palmarès des Palmarès [59], Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik [67],[59]
  • Hector Berlioz, Quatre cantates pour le Prix de Rome, Herminie, La mort de Cléopâtre, La mort de Sardanapale, La mort d'Orphée, Michèle Lagrange, Béatrice Uria-Monzon, Daniel Galvez-Vallejo, Chœur Régional Nord/Pas de Calais. Label Naxos,2003. Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique classique[63]. Meilleur enregistrement étranger[61] Edison Award, Gramophone Award, Grand Prix du Canada[62], Grand Prix de l’Académie Charles Cros[59]
  • Jules Massenet, Werther, Label Naxos,2003. Meilleur enregistrement de l’année[66]Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik [67],[59]
  • Gustav Mahler, Coffret Mahler, Symphonies no 1, 2, 4, 5, José Van Dam, Label Dom, 2004. Grand Prix de l’Académie du disque, Edison Award, Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik[59]
  • Joseph Canteloube, Chants d'Auvergne, Label Naxos, 2004, Meilleur enregistrement étranger[58] Grand Prix de l Académie du disque, Grand Prix Académie Charles Cros,Mention spécial de la nouvelle académie du disque [59]
  • Hector Berlioz, Nuits d'Eté, Chausson : Poème de l'amour et de la mer, Dukas : La péri (poème pour orchestre), Elsa Maurus, Mezzo-Soprano. Label Naxos,2005. Prix de lAcademie française du disque français, Grand Prix de l Académie Charles Cros, Grand Prix du disque de l’académie du disque français[59]
  • Igor Stravinski, Petrouchka, L'oiseau de feu, Label Forlane,2005. Meilleur enregistrement étranger de l’année [68] Laser d’Or académie du disque français, Grand Prix du Canada, Edison Award, High Fidelity Record Critic Award, Mention spécial de la nouvelle académie du disque [59]
  • Darius Milhaud, La Création du monde, Le Bœuf sur le toit, Suite Provençale, L'Homme et son Désir, Label Naxos, 2005 Meilleur enregistrement étranger[64] Stereo Review, New York Times Best Classical Disc of the Year, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [59]
  • Serge Prokofiev, Alexander Nevsky (Cantata), Lieutenant Kijé (Suite), Label Naxos, 2006, Grand Prix du Canada, Premio della Critica Discografia, Prix Caecilia de lUnion de la Presse Musicale Belge,Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [62],[59]
  • Hector Berlioz, La Damnation de Faust, Label Naxos, 2006. Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique classique[63].enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik [67],[59]
  • Joseph Canteloube, Chants d'Auvergne II, Chants de France, Triptyque, Serge Baudo, Véronique Gens, Soprano. Label Naxos, 2007. Meilleur enregistrement[70] Grand’ Prix Académie Charles Cros Grand prix du Canada,New York Times Best Classical Disc of the Year, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français,Grand Prix du disque de l’académie du disque français [59],[62]
  • Thierry Escaich, Miroir d'ombres, Paul Polivnick, Renaud Capuçon, Violon, Gautier Capuçon, Violoncelle, Vertiges de la Croix, Mishiyoshi Inoue, Chaconne, Label Accord,2007. Création de l’année. Victoire de la musique classique,High Fidelity Record Critic Award, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[63] .
  • Ludwig van Beethoven, Concerto pour violon, Romances no 1 et 2, Jean-Pierre Wallez, Violon. Label Dom,2007, Meilleur enregistrement de l’année[66] Meilleur enregistrement étranger, New York Times Best Classical Disc of the Year, Grand Prix du disque de l’académie du disque français,Mention spécial de la nouvelle académie du disque [58]
  • Gustav Mahler, Des Knaben Wunderhorn, Rücker Lieder, Kindertotenlieder, avec José van Dam, Label Forlane,2007. Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik,Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [60]
  • Camille Saint-Saëns, César Franck, Maurice Ravel, Concerto no4, Variations Symphonique, Concerto pour la main gauche avec Robert Casadesus au piano, label Musiks for Freaks, 2008, Grand Prix du disque de l’académie du disque français, Mention spécial de la nouvelle académie du disque
  • George Gershwin, Rhapsody In Blue, Piano Concerto In F & Porgy & Bess: A Symphonic Picture, avec Bruno Fontaine et David Wroe, Transart,2009. Enregistrement de musique classique de l’année m. Victoire de la musique classique[63]. Grammy Awards[60] Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik [71]
  • Georges Bizet, Clovis et Clotilde - Te Deum, Label Naxos - Abeille Musique, 2010, Meilleur enregistrementNew York Times Best Classical Disc of the Year, Stereo Review Award,Grand Prix du disque de l’académie du disque français , Mention spécial de la nouvelle académie du disque [70]
  • William Walton, Symphonies no 1 et 2, Owain Arwell Hughes. Label Bis, 2010. Meilleur enregistrement étranger de l’année,Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français [68]
  • Richard Wagner, Ouvertures et monologues célèbres, Le Vaisseau fantôme, Tannhaüser, Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg, La Walkyrie, avec José van Dam, Label Forlane,2010, Grand Prix du disque de l’académie du disque français, Mention spécial de la nouvelle académie du disque
  • Bernard Cavanna, Shanghai Concerto, Noémi Schindler, Violon, Emmanuelle Bertrand, Violoncelle, Trois Strophes, Hélène Desaint, Alto, Ensemble 2e2m, Karl Koop Konzert, Pascal Contet, Accordéon. Label AEON,2011. Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique classique, High Fidelity Record Critic Award,Grand Prix du disque de l’académie du disque français,Mention spécial de la nouvelle académie du disque[63] .
  • Benjamin Britten, Diversion pour piano main gauche et orchestre, Erich Wolfgang Korngold, Concerto pour piano, main gauche en ut dièse, op. 17, Paul Polivnick, Nicolas Stavy, Piano. Label Hortus,2014.Enregistrement de musique classique de l’année m. Victoire de la musique classiqueNew York Times Best Classical Disc of the Year, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français.[63]
  • Julie Fuchs (Yes !), Répertoire qui se chantait à Paris au début du Xxème siècle, Poulenc, Ravel, Weill, Messager,… Samuel Jean. Label Deutsche Grammophon,2015. Meilleur enregistrement étranger, Stereo Review Award, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français, Grand Prix du disque de l’académie du disque français[59]
  • Carl Orff,Carmina Burana, Yeree Suh, Soprano, Jakob Huppmann, Contre-Ténor, Ales Jenis, Baryton, Chœur Régional Nord/Pas-de-Calais, Chœur Nicolas de Grigny. Métropole Européenne de Lille,2015., Meilleur enregistrement étranger, High Fidelity Record Critic Award,Grand Prix du disque de l’académie du disque français [64]
  • Gustav Mahler, Symphonies, Label Forlane, 2016, Meilleur enregistrement de l’ année, High Fidelity Record Critic Award, Grand Prix du disque de l’académie du disque français
  • Guillaume Houzé, Dofus, livre 1 : Julith - La Bande originale, Ankama,2016. Meilleur enregistrementNew York Times Best Classical Disc of the Year, Mention spécial de la nouvelle académie du disque
  • Richard Strauss, Ein Heldenleben, Albéric Magnard, Chant funèbre, Label Naxos,2017.Enregistrement de musique classique de l’année m. Victoire de la musique classique,High Fidelity Record Critic Award, Grand Prix du disque de l’académie du disque français.[63]
  • Henri Dutilleux, Symphonie no 1, Métaboles, Les Citations, Cyril Cibaud, Hautbois, Kasia Tomczak-Feltrin, Harpsichord, Mathieu Petit, Contrebasse, Romain Robine, Percussions. Label Naxos,2018., Meilleur enregistrement étranger de l’année, Stereo Review Award[59]
  • Jean-Claude Debussy, Debussy Impressionniste, Alain Planès, Jean-Guihen Queyras, Cédric Tiberghien, Claude Helffer et Hakon Austbo, Philippe Bernold, Gérard Caussé, Isabelle Moretti. Label Harmonia Mundi,2018, Meilleur enregistrement de l’annéeNew York Times Best Classical Disc of the Year,Grand Prix du disque de l’académie du disque français, Mention spécial de la nouvelle académie du disque [66]
  • Mahler, Das Lied von der Erde. Jean-Claude Casadesus et l'Orchestre National de Lille, Violeta Urmana mezzo, Clifton Forbis tenor. Label Evidence, 2019 Grammy Awards[60] AwardMeilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français[58],

Autres orchestres

  • Robert Casadesus, Gaby Casadesus, Jean-Claude Casadesus, Jean-Pierre Drouet, Béla Bartòk, Sonate pour deux pianos et percussion ; Claude Debussy, Sonate pour violoncelle ; Sonate pour violon ; Erik Satie, Trois morceaux en forme de poire (1963). Prix Juno pour Meilleur enregistrement étranger [69]
  • Henryk Wieniawski, Concerto pour violon et orchestre no 1, op 14 et no 2, op 12 ; Camille Saint-Saëns, Concertos pour violon et orchestre no 2, op. 58 et no 4 « Inachevé », op 62 – Ivry Gitlis, violon ; Orchestre national de l’Opéra de Monte-Carlo, dir. Jean-Claude Casadesus (1969). Grammy Awards[60]
  • Tomaso Albinoni, Georg Philipp Telemann, Concertos pour Trompette avec Guy Touvron . The English Chamber Orchestra sous la direction de Jean-Claude Casadesus, 1978. Meilleur enregistrement étranger, Stereo Review Award[59]
  • Maurice Ravel, Concerto pour piano ; Gabriel Fauré, Ballade, op.19 ; César Franck, Les Djinns, Variations SymphoniquesRoyal Philarmonic Orchestra, dir. Jean-Claude Casadesus. High Fidelity Record Critic Award, Grand Prix du Président de la République, Académie National du disque français, Mention spécial de la nouvelle académie du disque[59]
  • Maurice Ravel, Moussorgsky/Ravel : Tableaux d'une exposition – Royal Philarmonic Orchestra, dir. Jean-Claude Casadesus. 2003. Enregistrement de musique classique de l’année. Victoire de la musique classique[63], Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik[59]
  • Franz Liszt, Les plus belles œuvres – France Clidat, Orchestre symphonique Radio Télé Luxembourg, dir. Jean-Claude Casadesus (1983). Grammy Awards, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Meilleur enregistrement étranger, Orphée du prestige lyrique de l’académie française du disque lyrique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Mention spécial de la nouvelle académie du disque, Gramophone Award, New York Times Best Classical Disc of the Year, High Fidelity Record Critic Award, Stereo Review Award, Grand prix du Canada, Prix Félix, Prix Juno, Premio della Critica Discografia italiana, Prix Caecilia de l’Union de la Presse Musicale Belge, Grammy Award, London/Decca Award, Preis den Deutschen Schallplattenkritik[59]

Vidéographie[57]

  • Jean-Claude Casadesus et l'Orchestre national de Lille, le Goût des Autres, Variations autour du Sacre du Printemps de Stravinsky, Skopia Films, 2015.
  • Jean-Claude Casadesus et l'Orchestre national de Lille, Milhaud les Choéphores, Poulenc, Gloria, Arte France-Ozango/3 Cafés prod/Seppia/o.n.l.
  • Jean-Claude Casadesus et l'Orchestre national de Lille , Carmen de Bizet, Coproduction LGM/Opéra de Lille/France Télévision, Opéra de l’année et DVD de l’année, Victoire de la musique classique 2013[63]Meilleur opéra étranger[72]
  • Jean-Claude Casadesus et l'Orchestre national de Lille, Tableaux d'une exposition entre musique et peinture promenade dans le chef-d'œuvre de Modeste Moussorgski, Orchestration de Maurice Ravel, o.n.l. Destiné aux enseignants du primaire et du secondair, o.n.l.
  • Jean-Claude Casadesus et l’Orchestre national de Lille, Symphonie no2 de Mahler, o.n.l.,2016 Victoire de la musique classique DVD de l’année[63].

Publications[57]

  • Jean-Claude Casadesus, Le Plus Court Chemin d'un cœur à l'autre, Paris, Stock, 1997
  • Jean-Claude Casadesus, La partition d'une vie, Entretiens avec Frédéric Gaussin, Paris, Écriture, 2012

Galerie de photos

Distinctions

Décorations Françaises

Décorations Étrangères

(Grande-Bretagne)[7]

[7]Prix

En 2004, les Victoires de la musique classique lui décernent une victoire d'honneur.

Documentaires

Bibliographie

  • Patrick Cabanel, « Jean-Claude Casadesus », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 586-587 (ISBN 978-2846211901)
  • Jean-Marie Duhamel, Orchestre national de Lille - Une région en mode majeur, Editions la Voix, 2016 (ISBN 978-2843931932)
  • Frédérick Casadesus, la Famille Casadesus, éditions du Cerf, Paris, 2022, 213 pages, (ISBN 978-2204131766)

Hommages

En 2021, il fait son entrée dans la nouvelle édition du Petit Larousse illustré[73].

  • École de musique municipale Jean-Claude Casadesus de Dechy est inauguré en sa présence le 12 juin 2022[74]
  • École de musique municipale Jean-Claude Casadesus à Orchies[75]

Articles connexes

Références

  1. Jean-Claude Casadesus, Le plus court chemin d’un cœur à un autre, Paris, Stock, , 276 p. (ISBN 2-234-04754-4)
  2. Jean-Claude Casadesus et Frédéric Gaussin, la partition d'une vie, Paris, Ecriture, , 351 p. (ISBN 978-2-3590-5079-0)
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  83. « Orchestre National de Lille / Région Hauts-de-France | Découvrez la programmation (concerts symphoniques, ciné concerts, événements Famillissimo….) et les actions menées par l’Orchestre National de Lille dirigé par Alexandre Bloch ! » (consulté le )

Liens externes

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