Robert De Niro
Robert De Niro (prononcé en anglais : /ˈɹɑbəɹt də ˈnɪəɹoʊ/[1]), né le à Manhattan (New York), est un acteur, réalisateur et producteur de cinéma américain naturalisé italien.
Pour les articles homonymes, voir De Niro.
Ne doit pas être confondu avec Robert De Niro (peintre).
Nom de naissance | Robert Anthony De Niro |
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Naissance |
Manhattan, New York |
Nationalité |
Américaine Italienne (depuis 2006) |
Profession |
Acteur Producteur Réalisateur |
Films notables |
Le Parrain, 2e partie Taxi Driver Raging Bull Il était une fois en Amérique Les Affranchis Heat Casino |
Il commence sa carrière dans les années 1960 en collaborant avec des réalisateurs de renom, tels Brian De Palma et Martin Scorsese. De Niro compte une riche filmographie incluant de grands succès internationaux, notamment Mean Streets (1973), Le Parrain 2 (1974), Taxi Driver (1976), 1900 (1976), Voyage au bout de l'enfer (1978), Raging Bull (1980), La Valse des pantins (1983), Il était une fois en Amérique (1984), Brazil (1985), Mission (1986), Angel Heart (1987), Les Incorruptibles (1987), Midnight Run (1988), Les Affranchis (1990), L'Éveil (1990), Les Nerfs à vif (1991), La Liste noire (1991), Backdraft (1991), Hollywood Mistress (1992), Il était une fois le Bronx (1993), Blessures secrètes (1993), Frankenstein (1994), Heat (1995), Casino (1995), Sleepers (1996), Le Fan (1996), Simples Secrets (1996), Jackie Brown (1997), Des hommes d'influence (1997), Copland (1997), Ronin (1998), Mafia Blues (1999), The Score (2001), Limitless (2011), Happiness Therapy (2012), Joker (2019) et The Irishman (2019), avec certains films devenus « cultes ».
Depuis le début de sa carrière, il a tourné avec, entre autres, Martin Scorsese, Brian de Palma, Michael Cimino, Francis Ford Coppola, Elia Kazan, John Frankenheimer, Terry Gilliam, Tony Scott, Ron Howard, Quentin Tarantino, Michael Mann, Barry Levinson, Roger Corman, David O. Russell ou encore les italiens Sergio Leone et Bernardo Bertolucci, les britanniques Alan Parker et Kenneth Branagh ainsi que les français Marcel Carné, Agnès Varda et Luc Besson.
De Niro remporte de nombreuses récompenses au cours de sa carrière, notamment l'Oscar du meilleur acteur pour son rôle de Jake LaMotta dans un drame biographique, Raging Bull (1981), ainsi que deux Golden Globes. En 2016, Barack Obama lui remet la Médaille présidentielle de la liberté. Depuis 1992, il participe occasionnellement au Saturday Night Live, jouant récemment le procureur Robert Mueller. D'origine italienne par son père, il devient citoyen italien en 2006[2],[3].
Biographie
Jeunesse
Né à Greenwich Village, dans l'arrondissement de Manhattan à New York[4], Robert Anthony De Niro (Robert de Niro Junior) est le fils du peintre Robert De Niro (Senior) et de Virginia Holton Admiral, peintre et poète[5]. Son père d'origine italienne venant de la région du Molise est de confession catholique, et sa mère d'origines irlandaise, anglaise, allemande, française et néerlandaise est de religion presbytérienne[6],[7],[8].
Les parents de Robert Junior qui se sont rencontrés au cours de peinture de Hans Hofmann, à Provincetown, dans le Massachusetts, se séparent alors qu'il a trois ans (mais ne divorceront effectivement que neuf ans plus tard) et leur jeune fils est élevé par sa mère dans le quartier de Little Italy, à Manhattan, et à Greenwich Village. Son père vit à proximité et en grandissant Robert passe beaucoup de temps avec lui[9]. Robert De Niro est scolarisé au PS 41, une école primaire publique à Manhattan jusqu'à sa sixth grade[note 1], puis poursuit ses études à la Elisabeth Irwin High School pour sa seventh grade et sa eighth grade[note 2] de la Little Red School House[10]. Il est accepté au High School of Music and Art pour sa ninth grade[note 3], mais n'y reste que peu de temps avant d'être transféré dans un autre collège[11]. Il entre au lycée à la McBurney School[12], puis dans le secteur privé à la Rhodes Preparatory School[13], bien qu'il n'ait jamais été diplômé ni de l'une ni de l'autre[14].
Durant sa jeunesse dans Little Italy, au cours de laquelle il est surnommé « Bobby Milk » du fait de sa pâleur, il traîne avec un groupe de jeunes de rue dont certains sont restés ses amis de toujours[15]. Son avenir prend forme lors de ses débuts sur scène, à dix ans, quand il interprète le lion peureux dans une production scolaire du Magicien d'Oz[4],[16]. Il y découvre une façon de vaincre sa timidité en jouant, De Niro est également fasciné par le cinéma : il abandonne l'école à seize ans pour entamer une carrière d'acteur[15]. Il prend des cours au Stella Adler Conservatory, puis à l'Actors Studio de Lee Strasberg[14].
Ascension fulgurante et consécration (années 1970-1980)
À 20 ans, il obtient son premier rôle dans The Wedding Party, de Brian De Palma (1963), aux côtés de son amie Jill Clayburgh[17]. Il est découvert par De Palma lors d'un casting ouvert organisé à Greenwich Village avec l'acteur William Finley[18]. De Niro impressionne Brian De Palma en improvisant avec Finley alors qu'il n'a pas 20 ans et ne peut même pas signer lui-même son contrat (la majorité étant alors à 21 ans)[18]. Tourné en plusieurs fois entre 1963 et 1965[18], le film ne sort en salles qu'en 1969[19].
En 1965, il apparaît dans Trois chambres à Manhattan de Marcel Carné, puis en 1968, dans Greetings à nouveau réalisé par De Palma. Ses rôles suivants restent peu connus du public.
C'est en 1973 qu'il commence à travailler avec Martin Scorsese sur le film Mean Streets. Il enchaîne avec Francis Ford Coppola sur Le Parrain 2, préquelle dans laquelle il prête ses traits au personnage de Vito Corleone, incarné par Marlon Brando dans le premier opus, Le Parrain. Pour sa performance, le jeune acteur remporte l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle. En 1976, il partage la vedette avec Gérard Depardieu dans la longue saga de Bernardo Bertolucci : 1900.
Par la suite, il entame une fructueuse collaboration avec Scorsese, dont découlent plusieurs classiques hollywoodiens : c'est d'abord Taxi Driver, qui, en 1976, l'intronise comme une révélation majeure, et qui lui donne une notoriété mondiale. Il enchaîne en 1977 avec le musical New York, New York, puis le drame sportif Raging Bull en 1980, qui lui vaut l'Oscar du meilleur acteur. Et, en 1983, La Valse des pantins l'amène sur le terrain de la comédie noire.
Après ces cinq longs-métrages, l'acteur s'émancipe de Scorsese pour tourner quelques chefs-d'œuvre : en 1984, Sergio Leone le dirige dans l'ambitieuse fresque historique Il était une fois en Amérique ; en 1985, il fait partie de la distribution principale de l'expérimental et acclamé Brazil, de Terry Gilliam, où il prête ses traits à Archibald « Harry » Tuttle ; en 1987, il retrouve Brian De Palma pour le polar Les Incorruptibles, aux côtés de Kevin Costner et Andy Garcia, où il incarne Al Capone.
Il forme également des couples de cinéma fameux : en donnant la réplique à Meryl Streep pour la romance Falling in Love, d'Ulu Grosbard, en 1984 ; puis dans le registre de la buddy comedy pour Charles Grodin dans le culte Midnight Run, de Martin Brest, en 1988.
Il collabore aussi avec des cinéastes européens : Roland Joffé pour le drame britannique Mission, en 1986, avec Jeremy Irons ; Alan Parker pour le thriller Angel Heart : Aux portes de l'enfer en 1987 ; David Jones pour le drame Jacknife, en 1989 ; et l'Irlandais Neil Jordan l'amène à la comédie pure avec Nous ne sommes pas des anges, qui constitue un rare échec pour cette décennie, âge d'or de sa carrière.
Cette même année, il co-fonde sa société de production, Tribeca Productions, du nom de TriBeCa, le quartier de New York dans lequel il vit.
Les années 1990 s'annoncent moins constantes, mais encore riches en productions majeures.
Confirmation et passage à la réalisation (années 1990)
L'année 1990 marque ses retrouvailles avec Martin Scorsese pour leur sixième collaboration, Les Affranchis, un classique instantané ; suivi dès 1991 des Nerfs à vif, qui lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur acteur.
Parallèlement, il continue à partager l'affiche avec des acteurs issus d'univers différents : Jane Fonda pour la romance Stanley & Iris, de Martin Ritt, cependant un échec critique ; et le drame L'Éveil, de Penny Marshall, avec Robin Williams.
Son aura lui permet ensuite de porter des projets risqués : il est dirigé par Irwin Winkler dans deux drames noirs : La Liste noire, en 1991, et La Loi de la nuit en 1992. Il s'aventure aussi sur le terrain de la comédie dramatique avec Hollywood Mistress, de Barry Primus, puis Mad Dog and Glory, de John McNaughton ; et en 1993, il participe au drame Blessures secrètes, de Michael Caton-Jones, où il côtoie un jeune Leonardo DiCaprio.
Il s'aventure également sur des terrains inédits : il tient un rôle secondaire dans la grosse production Backdraft, de Ron Howard ; prête ses traits à la créature dans Frankenstein, de Kenneth Branagh, en 1994. Et surtout passe derrière la caméra : il réalise et joue dans le drame Il était une fois le Bronx. Cet essai est acclamé par la critique.
Après ce cycle lucratif, il retrouve Martin Scorsese pour la septième fois : la fresque Casino, où il prête ses traits à Sam « Ace » Rothstein, et est entouré de Sharon Stone et Joe Pesci. C'est un nouveau succès critique et commercial. Mais cette année 1995 est aussi marquée par la sortie du polar urbain Heat, de Michael Mann, où il est confronté pour la première fois à un autre acteur désormais iconique, Al Pacino. Un autre succès.
En 1996, il enchaîne trois productions différentes : il porte le thriller Le Fan, de Tony Scott, puis est entouré de Dustin Hoffman, Jason Patric et Brad Pitt pour le controversé drame judiciaire Sleepers, de Barry Levinson, et retrouve Leonardo DiCaprio et Meryl Streep dans le drame Simples Secrets, où il se contente d'un rôle plus secondaire.
En 1997, il enchaîne trois œuvres différentes : le crépusculaire Copland, de James Mangold, porté par Sylvester Stallone ; retrouve Barry Levinson et Dustin Hoffman pour la comédie Des hommes d'influence ; et fait partie de la distribution quatre étoiles réunie par Quentin Tarantino pour son polar Jackie Brown.
L'année 1998 marque un tournant : il est dirigé par Alfonso Cuarón dans son second film américain, le polar De grandes espérances ; donne la réplique à Jean Reno dans le thriller d'action Ronin, de John Frankenheimer, et enfin entame le tournage d'une comédie annonçant le virage de la décennie suivante.
En effet, en 1999 sort Mafia Blues, mis en scène par le vétéran de la comédie Harold Ramis, et dont il partage l'affiche avec Billy Crystal. En parrain dépressif, il livre une interprétation comique surprenante, multipliant les références aux performances les plus emblématiques de sa carrière. L'échec critique et commercial de la comédie dramatique Personne n'est parfait(e), de Joel Schumacher, passe du coup inaperçu.
Échecs successifs et virage comique (2000-2011)
De même en 2000 avec le drame Les Chemins de la dignité de George Tillman Jr. qui déçoit la critique[20] et qui n'est qu'un succès commercial modéré[21]. Cependant, la comédie potache Mon beau-père et moi connait un succès critique et commercial international[22]. Le long-métrage réalisé par Jay Roach lui permet de jouer une nouvelle fois de son image, en interprétant un beau-père vétéran dur à cuire martyrisant un Ben Stiller dont le numéro de souffre-douleur est quasi-éclipsé.
Il connaît ensuite une série d'échecs commerciaux : en 2001 le thriller 15 minutes de John Herzfeld est un flop[23], tout comme en 2002 la satire Showtime[24] de Tom Dey, pour laquelle il partage l'affiche avec Eddie Murphy. Quant au drame Père et Flic, pour lequel il retrouve Michael Caton-Jones, il passe inaperçu. La suite de Mafia Blues, Mafia Blues 2 : La Rechute, connaîtra le même sort[25].
Seul parvient à émerger le film de braquage The Score de Frank Oz, dont il partage l'affiche avec Edward Norton[26].
Par la suite, il se met donc en retrait : en 2004, il intègre les distributions chorales du film fantastique Godsend, expérience interdite de Nick Hamm, et Le Pont du roi Saint-Louis de Mary McGuckian. Ces deux films déçoivent au box-office. Il accepte tout de même de retrouver son rôle désormais culte de Jack Byrnes pour la suite Mon beau-père, mes parents et moi. Si les critiques ne suivent pas, le public répond présent[27]. Son caméo vocal dans le blockbuster d'animation Gang de requins, où il double le personnage de Don Lino, s'inscrit dans cette même veine auto-parodique.
En 2005, le film fantastique Trouble Jeu de John Polson est un nouvel échec. L'année suivante, sa seconde tentative de réalisation est moins convaincante, sur le plan critique comme commercial : l'ambitieux drame historique qu'est Raisons d'État lui donne néanmoins la possibilité de diriger Matt Damon, mais également de sortir exceptionnellement Joe Pesci de sa retraite.
En 2007, il fait partie de la distribution de stars des années 1990 réunies par Matthew Vaughn pour son blockbuster fantastique Stardust, le mystère de l'étoile, qui lui permet de retrouver les faveurs de la critique.
Mais en 2008, La Loi et l'Ordre de Jon Avnet, qui reforme son tandem avec Al Pacino, est un échec[28]. Tandis que ses retrouvailles avec Barry Levinson passent inaperçues : la satire indépendante Panique à Hollywood sort dans un circuit limité de salles.
En 2010, il s'aventure de nouveau dans le rôle d'un patriarche dépassé pour la comédie dramatique Everybody's Fine, de Kirk Jones, un nouvel échec. Mon beau-père et nous reçoit des critiques encore plus mauvaises que le précédent opus, mais le public répond présent pour suivre la conclusion de la trilogie, cette fois mise en scène par Paul Weitz. En revanche, le polar Stone, de John Curran, marquant ses retrouvailles avec Edward Norton, est un autre échec cuisant au box-office.
Son année 2011 poursuit sur cette lancée : le thriller d'action Killer Elite, avec Jason Statham et Clive Owen, est un nouvel échec critique et commercial ; sa participation à la comédie romantique chorale Happy New Year, de Garry Marshall, est couronnée par un succès commercial, mais une défection critique quasi-totale. Il accepte de tenir un second rôle de luxe dans le thriller de science-fiction Limitless, de Neil Burger, porté par Bradley Cooper.
Malgré ce déclin critique, il reste un acteur respecté : en , il reçoit un Cecil B. DeMille Award aux Golden Globes, qui récompense l'ensemble de sa carrière. En mai, il préside le jury de la 64e édition du Festival de Cannes[29], vingt-quatre ans après avoir été président du jury du 15e festival international du film de Moscou (1987).
Seconds rôles et regain critique (depuis 2012)
L'année 2012 marque le début d'une collaboration avec le cinéaste David O. Russell qui lui permet de regagner les faveurs de la critique. Cependant, il continue à tourner beaucoup, et pas toujours des projets de premier plan.
En effet, en 2012, la comédie dramatique Happiness Therapy, où il seconde le tandem formé par Bradley Cooper et la révélation Jennifer Lawrence, est accueilli comme une renaissance artistique. L'acteur décroche ainsi une nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, plus de vingt ans après Les Nerfs à Vif.
O'Russell continue à le diriger dans ses prochains projets : s'il se contente d'un petit rôle dans la satire American Bluff, sorti en 2013, le biopic Joy, sorti fin 2015 avec Jennifer Lawrence dans le rôle-titre, lui permet d'hériter une partition plus développée.
L'année 2013 est marquée par la sortie de plusieurs films : la comédie dramatique Un grand mariage, de Justin Zackham. Il y joue un patriarche aux côtés de Diane Keaton, mais le film est un flop. L'acteur revient au thriller d'action avec Face à face, de Mark Steven Johnson, qui l'oppose à John Travolta. Un autre flop critique et commercial. Il joue aussi un parrain de la mafia retraité dans la comédie d'action Malavita, réalisée par Luc Besson et produite par Martin Scorsese, aux côtés de Michelle Pfeiffer et Tommy Lee Jones. Enfin, dans la comédie dramatique Last Vegas, réalisée par Jon Turteltaub, il côtoie d'autres « vétérans » du cinéma américain : Michael Douglas, Morgan Freeman et Kevin Kline.
L'année 2014 lui permet de jouer dans un duo de vieux boxeurs avec Sylvester Stallone dans Match retour, de Peter Segal. Il joue aussi dans un thriller de série B, L'Instinct de tuer, porté par John Cusack et Rebecca Da Costa.
En 2015, l'acteur retrouve le succès critique et commercial en jouant de nouveau d'une alchimie paternelle avec une jeune actrice : il accompagne Anne Hathaway dans la comédie Le Nouveau Stagiaire, écrite et réalisée par Nancy Meyers. Le long-métrage connait un joli succès commercial. Mais la même année, il joue dans le film d'action Bus 657, face à Jeffrey Dean Morgan.
Il ne renonce pas pour autant à des projets plus ambitieux : le , il annonce ainsi qu'il va incarner le rôle du constructeur automobile Enzo Ferrari, dans un film qu'il va coproduire et dont il souhaite que Clint Eastwood assure la mise en scène. Mais à la fin de la même année, Michael Mann est annoncé à la réalisation d'un projet similaire, avec Hugh Jackman dans le rôle-titre. Le projet n'avance pas.
En 2016, il renoue avec la comédie potache en tenant le rôle-titre de Dirty Papy, face à la vedette des adolescents Zac Efron. Il revient aussi vers l'univers de la boxe pour Hands of Stone, de Jonathan Jakubowicz, où il prête ses traits au légendaire Ray Arcel. C'est Edgar Ramirez qui incarne son élève Roberto Durán. Enfin, il est la tête d'affiche de la comédie dramatique The Comedian, de Taylor Hackford. Il y a pour partenaires Leslie Mann et Harvey Keitel.
En 2017, il partage l'affiche du téléfilm prestigieux The Wizard of Lies, de Barry Levinson, où il prête ses traits à Bernie Madoff, et retrouve Michelle Pfeiffer comme partenaire de jeu.
L'année 2019 le voit mener la comédie The War with Grandpa, face à Uma Thurman et Jane Seymour. Il joue également un rôle secondaire dans l'acclamé Joker avec Joaquin Phoenix. Mais surtout, il retrouve Martin Scorsese pour une neuvième collaboration[30] mise en ligne exclusivement sur la plateforme Netflix. Ce polar intitulé The Irishman est un projet de très longue date qui marque aussi le retour à l'écran du retraité Joe Pesci. De Niro y prête ses traits à Frank « The Irishman » Sheeran, face à Al Pacino dans le rôle de Jimmy Hoffa. Un projet prévu pour 2022 intitulé Killers of the Flower Moon lui permettra de retrouver le cinéaste et de jouer avec Leonardo DiCaprio[31]. Mais en raison du confinement et d'une réécriture du scénario, le tournage est interrompu et reporté, obligeant l'acteur à être remplacé par Jeremy Irons dans Gucci de Ridley Scott où il devait retrouver Al Pacino pour la cinquième fois.
Vie privée
Avec sa première épouse, l'actrice américaine Diahnne Abbott, ils ont eu un fils en 1976, Raphael, nommé d'après l'hôtel à Rome où il a été conçu, et De Niro adopte Drena, la fille de Diahne née en 1971 d'un précédent mariage.
Puis, avec la mannequin et actrice Toukie Smith (en) ils ont, par mère porteuse, les jumeaux Julian et Aaron en 1995.
De Niro rencontre dans une boîte de nuit londonienne en 1987, Grace Hightower, une philanthrope, mondaine, actrice et chanteuse américaine, et l'épouse en 1997 ; ils ont un fils, Elliot, né en 1998, autiste, ainsi qu'une fille, Helen, née d'une mère porteuse en [réf. souhaitée] ; ils se séparent en 2018.
De Niro est âgé de 60 ans lorsque son médecin Esma Mint lui découvre un cancer de la prostate, détecté à temps. Après une prostatectomie et plusieurs séances de radiothérapie, De Niro reprend sa carrière au cinéma.
Engagements
À la suite des attentats du 11 septembre 2001 à New York, il participe à une séquence filmée des rues de sa ville natale pour l'ouverture du documentaire New York : 11 septembre (2002), attentats vus par les yeux des pompiers du FDNY. En 2011, à l'occasion d'une nouvelle version du documentaire pour commémorer les dix ans des attaques, une nouvelle séquence est tournée, cette fois-ci depuis le mémorial, au centre du chantier du nouveau complexe du World Trade Center.
En , sa fortune personnelle est estimée à environ 310 millions de dollars[32].
En , il fait l'objet d'une controverse en décidant de promouvoir une campagne anti-vaccination avec Robert F. Kennedy Jr, récemment nommé par Donald Trump à la tête d'une commission pour vérifier la sûreté des vaccins. En effet, lors d'une conférence de presse, les deux hommes décident d'offrir la somme de 100 000 $ à qui pourrait prouver que le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons était totalement sans danger pour la santé. Une telle attitude de la star réside dans le fait que De Niro est convaincu que l'autisme de son fils est imputable à un vaccin[33].
Le , lors de son speech au cours de la cérémonie des Tony Awards, Robert De Niro s'en prend violemment au président Donald Trump (en prononçant : « Fuck Trump »). Ses prises de position lui vaudront d'être la cible d'un colis piégé lors de l'affaire des colis piégés d'octobre 2018 aux États-Unis.
Lors de l'arrestation de l'homme d'affaires Peter Nygård pour crimes sexuels, il est exposé que De Niro était un de ses proches et aurait visité sa luxueuse résidence, « Nygård Cay » aux Bahamas, à plusieurs reprises.[34]
Style de jeu
Plutôt discret dans sa communication, De Niro est généralement considéré comme un fin observateur psychologique des personnages et un grand perfectionniste. Il est également connu pour son engagement dans ses différents rôles et son travail d'interprétation physique de ses personnages : il prend près de 30 kg et apprend à boxer pour son interprétation de Jake LaMotta dans Raging Bull ; il apprend également à jouer du saxophone pour New York, New York. En outre, pour Taxi Driver, il se prépare en conduisant un taxi de nuit des semaines durant. Comme tous les acteurs qui ont suivi les cours de Stella Adler (Marlon Brando, Benicio del Toro…), il s'est toujours efforcé de « défictionnaliser » la fiction.
Robert De Niro est souvent comparé à Al Pacino, un acteur de la même génération que lui avec qui il a en commun des origines italiennes et une formation à l'Actors Studio. Ils tiennent tous deux la vedette du Parrain 2, mais n'ont dans ce film aucune scène en commun, leurs personnages évoluant à des époques différentes. Les deux comédiens se retrouvent en 1995 dans Heat de Michael Mann, où ils partagent cette fois deux scènes, puis en 2008 dans La Loi et l'Ordre de Jon Avnet puis en 2019 dans The Irishman de Martin Scorsese.
Filmographie
Années 1960
- 1965 : Trois Chambres à Manhattan de Marcel Carné : un client au diner (figuration)
- 1965 : Encounter de Norman C. Chaitin : le neveu (court-métrage)
- 1968 : Les Jeunes Loups de Marcel Carné : un client chez Popov (figuration)
- 1968 : Greetings de Brian De Palma : Jon Rubin
- 1969 : Sam's Song de Jordan Leondopoulos : Sam Nicoletti (remonté en un film différent en 1979 sous le titre The Swap)
- 1969 : The Wedding Party de Brian De Palma : Cecil (ce film tourné en 1964 est le premier de Robert De Niro)
Années 1970
- 1970 : Bloody Mama de Roger Corman : Lloyd Barker
- 1970 : Hi, Mom! de Brian De Palma : Jon Rubin
- 1971 : Jennifer on My Mind de Noel Black : Mardigian
- 1971 : Né pour vaincre (Born to Win) d'Ivan Passer : Danny
- 1971 : The Gang That Couldn't Shoot Straight de James Goldstone : Mario Trantino
- 1973 : Le Dernier Match (Bang the Drum Slowly) de John D. Hancock : Bruce Pearson
- 1973 : Mean Streets de Martin Scorsese : John « Johnny Boy » Civello
- 1974 : Le Parrain 2 (The Godfather: Part II) de Francis Ford Coppola : Vito Corleone jeune
- 1976 : Taxi Driver de Martin Scorsese : Travis Bickle
- 1976 : 1900 (Novecento) de Bernardo Bertolucci : Alfredo Berlinghieri
- 1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) d'Elia Kazan : Monroe Stahr
- 1977 : New York, New York de Martin Scorsese : Jimmy Doyle
- 1978 : Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter) de Michael Cimino : Michael Vronsky
Années 1980
- 1980 : Raging Bull de Martin Scorsese : Jake LaMotta
- 1981 : Sanglantes confessions (True Confessions) d'Ulu Grosbard : Des Spellacy
- 1983 : La Valse des pantins (The King of Comedy) de Martin Scorsese : Rupert Pupkin
- 1984 : Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America) de Sergio Leone : David « Noodles » Aaronson
- 1984 : Falling in Love d'Ulu Grosbard : Frank Raftis
- 1985 : Brazil de Terry Gilliam : Archibald « Harry » Tuttle
- 1986 : Mission (The Mission) de Roland Joffé : Rodrigo Mendoza
- 1987 : Angel Heart : Aux portes de l'enfer (Angel Heart) d'Alan Parker : Louis Cyphre
- 1987 : Les Incorruptibles (The Untouchables) de Brian De Palma : Al Capone
- 1988 : Midnight Run de Martin Brest : Jack Walsh
- 1989 : Jacknife de David Jones : Joseph « Jacknife » Megessey
- 1989 : Nous ne sommes pas des anges (We're No Angels) de Neil Jordan : Ned
Années 1990
- 1990 : Stanley & Iris de Martin Ritt : Stanley Everett Cox
- 1990 : Les Affranchis (Goodfellas) de Martin Scorsese : Jimmy Conway
- 1990 : L'Éveil (Awakenings) de Penny Marshall : Leonard Lowe
- 1991 : La Liste noire (Guilty by Suspicion) d'Irwin Winkler : David Merrill
- 1991 : Backdraft de Ron Howard : Donald « Shadow » Rimgale
- 1991 : Les Nerfs à vif (Cape Fear) de Martin Scorsese : Max Cady
- 1992 : Hollywood Mistress (Mistress) de Barry Primus : Evan M. Wright
- 1992 : La Loi de la nuit (Night and the City) d'Irwin Winkler : Harry Fabian
- 1993 : Mad Dog and Glory de John McNaughton : Wayne « Mad Dog » Dobie
- 1993 : Blessures secrètes (This Boy's Life) de Michael Caton-Jones : Dwight Hansen
- 1993 : Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale) de lui-même : Lorenzo Anello
- 1994 : Frankenstein de Kenneth Branagh : La Créature
- 1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : Le mari de la star-fantasme en croisière
- 1995 : Casino de Martin Scorsese : Sam « Ace » Rothstein
- 1995 : Heat de Michael Mann : Neil McCauley
- 1996 : Le Fan (The Fan) de Tony Scott : Gil Renard
- 1996 : Sleepers de Barry Levinson : Le père Bobby
- 1996 : Simples Secrets (Marvin's Room) de Jerry Zaks : Le Dr Wally
- 1997 : Copland de James Mangold : Le lieutenant Moe Tilden
- 1997 : Des hommes d'influence (Wag the Dog) de Barry Levinson : Conrad Brean
- 1997 : Jackie Brown de Quentin Tarantino : Louis Gara
- 1998 : De grandes espérances (Great Expectations) d'Alfonso Cuarón : Arthur Lustig
- 1998 : Ronin de John Frankenheimer : Sam
- 1999 : Mafia Blues (Analyze This) de Harold Ramis : Paul Vitti
- 1999 : Personne n'est parfait(e) (Flawless) de Joel Schumacher : Walt Koontz
Années 2000
- 2000 : Les Aventures de Rocky et Bullwinkle (The Adventures of Rocky & Bullwinkle) de Des McAnuff : Chef Sans-Peur (voix)
- 2000 : Les Chemins de la dignité (Men of Honor) de George Tillman Jr. : Le maître principal Leslie Sunday
- 2000 : Mon beau-père et moi (Meet the Parents) de Jay Roach : Jack Byrnes
- 2001 : 15 minutes (15 Minutes) de John Herzfeld : L'inspecteur Eddie Flemming
- 2001 : The Score de Frank Oz : Nick Wells
- 2002 : Showtime de Tom Dey : L'inspecteur Mitch Preston
- 2002 : Père et Flic (City by the Sea) de Michael Caton-Jones : Vincent LaMarca
- 2002 : Mafia Blues 2 : La Rechute (Analyze That) de Harold Ramis : Paul Vitti
- 2004 : Godsend, expérience interdite (Godsend) de Nick Hamm : Richard Wells
- 2004 : Gang de requins (Shark Tale) d'Éric Bergeron : Don Lino (voix)
- 2004 : Mon beau-père, mes parents et moi (Meet the Fockers) de Jay Roach : Jack Byrnes
- 2004 : Le Pont du roi Saint-Louis (The Bridge of San Luis Rey) de Mary McGuckian : L'archevêque de Lima
- 2005 : Trouble Jeu (Hide and Seek) de John Polson : David Callaway
- 2006 : Raisons d'État (The Good Shepherd) de Robert de Niro : Bill Sullivan
- 2006 : Arthur et les Minimoys (Arthur and the Invisibles) de Luc Besson : Le roi des Minimoys (voix)
- 2007 : Stardust, le mystère de l'étoile (Stardust) de Matthew Vaughn : Le capitaine Shakespeare
- 2008 : La Loi et l'Ordre (Righteous Kill) de Jon Avnet : Le lieutenant Tom « Turk » Cowan
- 2008 : Panique à Hollywood (What Just Happened?) de Barry Levinson : Ben
Années 2010
- 2010 : Everybody's Fine de Kirk Jones : Frank Goode
- 2010 : Mon beau-père et nous (Little Fockers) de Paul Weitz : Jack Byrnes
- 2010 : Machete de Robert Rodriguez et Ethan Maniquis : Le sénateur McLaughlin
- 2011 : Killer Elite de Gary McKendry : Hunter
- 2011 : Stone de John Curran : Jack Mabry
- 2011 : Limitless de Neil Burger : Carl Van Loon
- 2011 : L'amour a ses raisons (Manuale d'amore 3) de Giovanni Veronesi : Adrian
- 2011 : Happy New Year (New Year's Eve) de Garry Marshall : Stan Harris
- 2012 : Monsieur Flynn (Being Flynn) de Paul Weitz : Jonathan Flynn
- 2012 : Red Lights de Rodrigo Cortés : Simon Silver
- 2012 : Unités d'élite (Freelancers) de Jessy Terrero : Le capitaine Joe Sarcone
- 2012 : Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) de David O. Russell : Pat Solitano Sr.
- 2013 : Un grand mariage (The Big Wedding) de Justin Zackham : Don Griffin
- 2013 : Face à face de Mark Steven Johnson : Benjamin Ford
- 2013 : Malavita (The Family) de Luc Besson : Fred Blake
- 2013 : Last Vegas de Jon Turteltaub : Paddy
- 2013 : American Bluff (American Hustle) de David O. Russell : Victor Tellegio (caméo)
- 2014 : Match retour (Grudge Match) de Peter Segal : Billy « The Kid » McGuigan
- 2014 : L'Instinct de tuer (The Bag Man) de David Grovic : Dragna
- 2015 : Le Nouveau Stagiaire (The Intern) de Nancy Meyers : Ben Whittaker
- 2015 : Bus 657 (Heist) de Scott Mann : Francis « The Pope » Silva
- 2015 : Joy de David O. Russell : Rudy, le père de Joy
- 2015 : Ellis, réalisé par JR, écrit par Éric Roth
- 2016 : Dirty Papy (Dirty Grandpa) de Dan Mazer : Dick Kelly
- 2016 : Hands of Stone de Jonathan Jakubowicz : Ray Arcel
- 2016 : The Comedian de Taylor Hackford : Jackie Burke
- 2019 : Joker de Todd Phillips : Murray Franklin
- 2019 : The Irishman de Martin Scorsese : Frank « The Irishman » Sheeran
Années 2020
- 2020 : Mon grand-père et moi (The War with Grandpa) de Tim Hill : Ed
- 2020 : Arnaque à Hollywood (The Comeback Trail) de George Gallo : Max Barber
- Prochainement (Dates sujettes à modification)
- 2022 : Wash Me in The River de Randall Emmett : Sheriff Church (en postproduction)
- 2022 : Amsterdam de David O. Russell
- 2022 : Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese : William Hale (en tournage)
Télévision
- Téléfilms
- 1977 : Le Parrain (The Godfather: A Novel for Television) de Francis Ford Coppola : Vito Corleone jeune
- 2017 : The Wizard of Lies (téléfilm) de Barry Levinson : Bernard Madoff
- Publicités
Cinéma
- 1989 : Nous ne sommes pas des anges (We're No Angels) de Neil Jordan
- 1991 : Les Nerfs à vif (Cape Fear) de Martin Scorsese
- 1992 : Cœur de tonnerre (Thunderheart) de Michael Apted
- 1992 : Hollywood Mistress (Mistress) de Barry Primus
- 1993 : Chassé-croisé (The Night We Never Met) de Warren Leight
- 1993 : Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale) de lui-même
- 1994 : Frankenstein de Kenneth Branagh
- 1995 : Panther de Mario Van Peebles
- 1996 : Faithful de Paul Mazursky
- 1996 : Simples Secrets (Marvin's Room) de Jerry Zaks
- 1997 : Des hommes d'influence (Wag the Dog) de Barry Levinson
- 1999 : Entropy de Phil Joanou
- 1999 : Personne n'est parfait(e) (Flawless) de Joel Schumacher
- 2000 : Les Aventures de Rocky et Bullwinkle (The Adventures of Rocky & Bullwinkle) de Des McAnuff
- 2000 : Mon beau-père et moi (Meet the Parents) de Jay Roach
- 2001 : Prison Song de Darnell Martin
- 2002 : Pour un garçon (About a Boy) de Chris Weitz et Paul Weitz
- 2004 : Stage Beauty de Richard Eyre
- 2004 : Mon beau-père, mes parents et moi (Meet the Fockers) de Jay Roach
- 2005 : Rent de Chris Columbus
- 2006 : Raisons d'État (The Good Shepherd) de lui-même
- 2008 : Panique à Hollywood (What Just Happened?) de Barry Levinson
- 2009 : Public Enemies de Michael Mann
- 2010 : Mon beau-père et nous (Little Fockers) de Paul Weitz
- 2012 : Unités d'élite (Freelancers) de Jessy Terrero
- 2019 : The Irishman de Martin Scorsese
- 2019 : Artemis Fowl de Kenneth Branagh
Télévision
- 1993 : TriBeCa
- 1998 : La Famille trahie (Witness to the Mob) de Thaddeus O'Sullivan
- 2000 : Holiday Heart de Robert Townsend
- 2012 : NYC 22
- 2013 : The 4th Reich
- 2017 : The Wizard of Lies (téléfilm) de Barry Levinson
Cinéma
- 1993 : Il était une fois le Bronx (A Bronx Tale)
- 2006 : Raisons d'État (The Good Shepherd)
Distinctions
Le , il pose ses empreintes devant le Grauman's Chinese Theatre sur Hollywood Boulevard, inaugurées 10 jours plus tard.
Le , Barack Obama lui décerne la médaille présidentielle de la Liberté[35].
Récompenses
- 1974 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour Mean Streets
- 1974 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans pour Mean Streets
- Oscars 1975 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Le Parrain 2
- Los Angeles Film Critics Association Awards 1976 : Meilleur acteur pour Taxi Driver
- 1977 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur pour Taxi Driver
- 1977 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur pour Taxi Driver
- 1978 : Fotogramas de Plata du meilleur acteur étranger pour Taxi Driver
- 1978 : Sant Jordi Awards de la meilleure performance dans un film étranger pour Le Dernier Nabab (The Last Tycoon), pour Mean Streets, pour New York, New York, pour 1900 (Novecento), pour Taxi Driver
- Hasty Pudding Theatricals 1979 : Lauréat du Prix de l’homme de l’année
- Los Angeles Film Critics Association Awards 1980 : Meilleur acteur pour Raging Bull
- National Board of Review Awards 1980 : Meilleur acteur pour Raging Bull
- 1980 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur pour Raging Bull
- Boston Society of Film Critics Awards 1981 : Meilleur acteur pour Raging Bull
- Golden Globes 1981 : Meilleur acteur pour Raging Bull
- Oscars 1981 : Meilleur acteur pour Raging Bull
- Mostra de Venise 1981 : Lauréat du Prix Golden Phoenix du meilleur acteur dans un drame pour Sanglantes confessions (True Confessions) partagé avec Robert Duvall
- 1986 : Sant Jordi Awards de la meilleure performance dans un film étranger pour Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America) et pour Falling in Love
- National Board of Review Awards 1990 : Meilleur acteur pour L'Éveil (Awakenings)
- New York Film Critics Circle Awards 1990 : Meilleur acteur pour L'Éveil (Awakenings) et pour Les Affranchis (Goodfellas)
- 1992 : Jupiter Award du meilleur acteur international dans un thriller pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- New York Women in Film & Television 1993 : lauréat du prix Muse
- Mostra de Venise 1993 : lauréat du prix Lion d'or pour la carrière
- 1997 : Christopher Awards du meilleur film pour Simples Secrets (Marvin's Room) partagé avec Jerry Zaks (Réalisateur), Scott McPherson (Scénariste), Scott Rudin (Producteur), Jane Rosenthal (producteur), Tod Scott Brody (Producteur exécutif) et Lori Steinberg (Producteur exécutif)
- Festival international du film de Moscou 1997 : lauréat du prix d’honneur pour sa contribution au monde du cinéma
- Online Film & Television Association Awards 1998 : lauréat du prix OFTA Film Hall of Fame
- 2000 : Blockbuster Entertainment Awards du duo comique préféré partagé avec Billy Crystal dans une comédie pour Mafia Blues
- Festival de Saint-Sébastien 2000 : lauréat du prix Donostia pour l’ensemble de sa carrière
- Gotham Independent Film Awards 2001 : lauréat du prix pour l’ensemble de sa carrière
- 2001 : MTV Movie Awards de la meilleure ligne de dialogue dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi
- American Film Institute Awards 2003 : lauréat du prix pour l’ensemble de sa carrière
- 2003 : Christopher Awards du meilleur film pour Pour un garçon (About a Boy) partagé avec Paul Weitz (Réalisateur/Scénariste), Chris Weitz (Réalisateur/Scénariste), Peter Hedges (scénariste), Jane Rosenthal (Producteur), Brad Epstein (Producteur), Tim Bevan (Producteur), Eric Fellner (producteur), Debra Hayward (coproducteur), Liza Chasin (Coproducteur), Hardy Justice (Coproducteur), Nicky Kentish Barnes (Coproducteur), Nick Hornby (producteur exécutif) et Lynn Harris (Producteur exécutif)
- Golden Eagle Awards 2006 : Lauréat du Prix Golden Eagle pour sa contribution au monde du cinéma
- Berlinale 2007 : Meilleure contribution technique pour Raisons d'État (The Good Shepherd) partagé avec John Sessions, Oleg Shtefanko, Martina Gedeck, Michael Gambon, John Turturro, Keir Dullea, Eddie Redmayne, Mark Ivanir, Timothy Hutton, Joe Pesci, Lee Pace, Matt Damon, Gabriel Macht, Alec Baldwin, Angelina Jolie, Billy Crudup, William Hurt et Tammy Blanchard
- Golden Camera 2008 : lauréat du prix Golden Camera pour l’ensemble de sa carrière
- Festival international du film de Karlovy Vary 2008 : Lauréat du Prix Spécial pour sa contribution au monde du cinéma
- BAFTA/LA 2009 : Lauréat du Prix pour l’ensemble de sa carrière
- 2009 : Festival du film de Hollywood du meilleur acteur pour Everybody's Fine
- 2009 : Yoga Awards du pire acteur étranger pour La Loi et l'Ordre partagé avec Al Pacino
- AARP Movies for Grownups Awards 2010 : Lauréat du Prix pour l’ensemble de sa carrière
- Festival du film de Taormine 2010 : Lauréat du Prix Taormina Arte
- Golden Globes 2011 : Lauréat du Prix Cecil B. DeMille Award pour l'ensemble de sa carrière
- 2012 : Capri de la meilleure distribution pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) (2012) partagée avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Jacki Weaver, Chris Tucker et Julia Stiles
- Detroit Film Critics Society Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- 2012 : Festival du film de Hollywood du meilleur acteur de l’année dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Made in NY Awards 2012 : Lauréat du Prix d’Honneur partagé avec Meryl Streep et Whoopi Goldberg
- Australian Academy of Cinema and Television Arts Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- 2013 : Gold Derby Awards de la meilleure distribution pour Happiness Therapy partagée avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Anupam Kher, Dash Mihok, John Ortiz, Julia Stiles, Chris Tucker, Jacki Weaver et Shea Whigham
- Festival international du film de Santa Barbara 2013 : Lauréat du Prix Kirk Douglas pour l’excellence dans ses films
- 2014 : Gold Derby Awards de la meilleure distribution dans un drame pour American Bluff partagée avec Amy Adams, Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Christian Bale, Louis C.K., Jack Huston, Alessandro Nivola, Michael Peña, Jeremy Renner et Elisabeth Röhm
- Festival du film de Hollywood 2015 : Lauréat du Prix pour l’ensemble de sa carrière
- GLAAD Media Awards 2016 : Lauréat du Prix de l'excellence dans les médias
- 2016 : Festival du film de Hollywood du meilleur acteur de l’année dans une comédie pour The Comedian
- Festival du film de Sarajevo 2016 : Lauréat du Prix d’Honneur Heart of Sarajevo
- Film Society of Lincoln Center 2017 : Lauréat du Prix Gala Tribute
- Satellite Awards 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
Nominations
- 1974 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur pour Mean Streets
- 1974 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame pour Le Parrain 2
- British Academy Film Awards 1976 : Meilleur nouveau venu dans un rôle principal dans un drame pour Le Parrain 2
- British Academy Film Awards 1977 : Meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver
- Golden Globes 1977 : Meilleur acteur dans un drame pour Taxi Driver
- 1977 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur pour Le Dernier Nabab (The Last Tycoon)
- Oscars 1977 : Meilleur acteur pour Taxi Driver
- Golden Globes 1978 : Meilleur acteur pour New York, New York
- Los Angeles Film Critics Association Awards 1978 : Meilleur acteur pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- 1978 : New York Film Critics Circle Awards du meilleur acteur pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- Golden Globes 1979 : Meilleur acteur pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- 1979 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- Oscars 1979 : Meilleur acteur pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- British Academy Film Awards 1980 : Meilleur acteur pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- 1981 : David di Donatello Awards du meilleur acteur étranger pour Raging Bull
- 1981 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur pour Raging Bull
- 1981 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré pour Voyage au bout de l'enfer (The Deer Hunter)
- British Academy Film Awards 1982 : Meilleur acteur pour Raging Bull
- 1982 : Fotogramas de Plata du meilleur acteur étranger pour Raging Bull
- 1982 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré pour Raging Bull
- British Academy Film Awards 1984 : Meilleur acteur pour La Valse des pantins
- Syndicat national des journalistes cinématographiques italiens 1984 : Meilleur acteur principal pour La Valse des pantins (The King of Comedy)
- Syndicat national des journalistes cinématographiques italiens 1987 : Meilleur acteur principal pour Mission (The Mission)
- Saturn Awards 1988 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Angel Heart
- 1989 : American Comedy Awards de l'acteur le plus drôle dans un rôle principal pour Midnight Run
- Golden Globes 1989 : Meilleur acteur pour Midnight Run
- 1991 : Awards Circuit Community Awards du meilleur acteur principal pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- British Academy Film Awards 1991 : Meilleur acteur pour Les Affranchis (Goodfellas)
- Chicago Film Critics Association Awards 1991 : Meilleur acteur pour L'Éveil (Awakenings)
- David di Donatello 1991 du meilleur acteur étranger pour Les Affranchis (Goodfellas)
- 1991 : National Society of Film Critics Awards du meilleur acteur pour L'Éveil (Awakenings) et pour Les Affranchis (Goodfellas)
- Oscars 1991 : Meilleur acteur pour L'Éveil (Awakenings)
- 1991 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré dans un drame pour Les Affranchis (Goodfellas)
- Golden Globes 1992 : Meilleur acteur pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 1992 : David di Donatello Awards du meilleur acteur étranger pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 1992 : MTV Movie Awards de la meilleure performance masculine pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 1992 : MTV Movie Awards du meilleur vilain pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 1992 : MTV Movie Awards du meilleur baiser partagé avec Juliette Lewis pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- Oscars 1992 : Meilleur acteur pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 1993 : People's Choice Awards de l’acteur de film préféré pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 1994 : Fangoria Chainsaw Awards du meilleur acteur pour Frankenstein
- 1995 : Awards Circuit Community Awards de la meilleure distribution pour Casino partagé avec Sharon Stone, Joe Pesci, James Woods, Don Rickles et Kevin Pollak
- Saturn Awards 1995 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Frankenstein
- 1997 : MTV Movie Awards du meilleur vilain pour Le Fan (The Fan)
- Screen Actors Guild Awards 1997 : Meilleure distribution dans un drame pour Simples Secrets (Marvin's Room) partagé avec Meryl Streep, Leonardo DiCaprio, Diane Keaton, Hume Cronyn, Gwen Verdon, Hal Scardino et Dan Hedaya
- Boston Society of Film Critics Awards 1998 : Meilleur acteur dans un second rôle pour De grandes espérances (Great Expectations)
- 1998 : Russian Guild of Film Critics du meilleur acteur étranger pour Des hommes d'influence (Wag the Dog)
- 1999 : MTV Movie Awards de la meilleure séquence d’action partagé avec Natascha McElhone pour Ronin
- Golden Globes 2000 : Meilleur acteur pour Mafia Blues
- 2000 : American Comedy Awards de l'acteur le plus drôle dans un rôle principal dans une comédie pour Mafia Blues
- 2001 : American Comedy Awards de l'acteur le plus drôle dans un rôle principal pour Mon beau-père et moi
- 2001 : Blockbuster Entertainment Awards de l’acteur préféré dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi
- Golden Globes 2001 : Meilleur acteur pour Mon beau-père et moi
- 2001 : MTV Movie Awards du meilleur duo à l’écran partagé avec Ben Stiller dans une comédie romantique pour Mon beau-père et moi
- Satellite Awards 2001 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Les Chemins de la dignité (Men of Honor)
- Razzie Awards 2003 : Pire couple à l’écran pour Showtimepartagé avec Eddie Murphy
- 2006 : St. Louis Film Critics Association Awards du meilleur réalisateur pour Raisons d'État (The Good Shepherd)
- Alliance of Women Film Journalists Awards 2008 : Prix de la plus grande différence d'âge entre deux acteurs pour La Loi et l'Ordre partagé avec Carla Gugino
- 2010 : AARP Movies for Grownups Awards du meilleur acteur pour Everybody's Fine
- 2012 : 20/20 Awards du meilleur acteur pour Les Nerfs à vif (Cape Fear)
- 2012 : Awards Circuit Community Awards de la meilleure distribution pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) partagé avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Jacki Weaver, Chris Tucker, Anupam Kher, John Ortiz et Julia Stiles
- 2012 : Awards Circuit Community Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- 2012 : Golden Schmoes Awards du meilleur acteur de l’année dans un second rôle dans une comédie dramatique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Gotham Independent Film Awards 2012 : Meilleure distribution pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) partagé avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Jacki Weaver, Chris Tucker, Anupam Kher, John Ortiz, Julia Stiles, Shea Whigham et Paul Herman
- 2012 : Indiewire Critics' Poll du meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- People's Choice Awards 2012 : Icône de film préféré dans un drame romantique pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Phoenix Film Critics Society Awards 2012 : Meilleure distribution pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) partagé avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Chris Tucker, Jacki Weaver, John Ortiz, Anupam Kher, Julia Stiles, Paul Herman, Dash Mihok et Shea Whigham
- Phoenix Film Critics Society Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Satellite Awards 2012 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- 2013 : AARP Movies for Grownups Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Central Ohio Film Critics Association Awards 2013 : Meilleure distribution pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) partagé avec Bradley Cooper, Anupam Kher, Jennifer Lawrence, Chris Tucker et Jacki Weaver
- Critics' Choice Movie Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Denver Film Critics Society Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Georgia Film Critics Association Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- 2013 : Gold Derby Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Iowa Film Critics Association Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Oscars 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- Screen Actors Guild Awards 2013 : Meilleure distribution pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook) partagé avec Bradley Cooper, Anupam Kher, Jennifer Lawrence, Chris Tucker et Jacki Weaver
- Screen Actors Guild Awards 2013 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Happiness Therapy (Silver Linings Playbook)
- 2014 : MTV Movie Awards du meilleur caméo dans un drame pour American Bluff (American Hustle)
- 2016 : AARP Movies for Grownups Awards du meilleur acteur dans un second rôle pour Joy
- Critics' Choice Movie Awards 2016 : Meilleur acteur dans une comédie pour Le Nouveau Stagiaire (The Intern)
- 2016 : Jupiter Award du meilleur acteur international pour Le Nouveau Stagiaire (The Intern)
- People's Choice Awards 2016 : Acteur comique préféré pour Le Nouveau Stagiaire (The Intern)
- Alliance of Women Film Journalists Awards 2017 : Prix de la plus grande différence d'âge entre deux acteurs dans une comédie pour Dirty Papy partagé avec Aubrey Plaza
- 2017 : Gold Derby Awards du meilleur acteur principal dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
- 2017 : Online Film & Television Association Awards du meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
- Primetime Emmy Awards 2017 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
- Primetime Emmy Awards 2017 : Meilleure mini-série pour The Wizard of Lies partagé avec Jane Rosenthal (Productrice exécutive), Berry Welsh (Productrice exécutive), Barry Levinson (Producteur exécutif), Tom Fontana (Producteur exécutif), Jason Sosnoff (Coproducteur exécutif) et Joseph E. Iberti (Producteur)
- Razzie Awards 2017 : Pire acteur dans une comédie pour Dirty Papy
- Critics' Choice Movie Awards 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
- 2018 : PGA Awards du meilleur producteur d'un téléfilm pour The Wizard of Lies partagé avec Jane Rosenthal, Berry Welsh, Barry Levinson, Tom Fontana, Jason Sosnoff et Joseph E. Iberti
- Golden Globes 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
- Screen Actors Guild Awards 2018 : Meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm dans le rôle de Bernard Madoff pour The Wizard of Lies
Voix francophones
Pour les versions françaises, Jacques Frantz est la voix régulière de Robert De Niro en 1986 jusqu'à sa mort en 2021. Dans Arnaque à Hollywood sorti la même année, c'est Patrick Messe qui lui succède.
Il a également été doublé par Michel Creton dans Voyage au bout de l'enfer, Sanglantes confessions, le premier doublage de Il était une fois en Amérique et Un Grand Mariage, par Maurice Sarfati dans Taxi Driver, Le Dernier Nabab et Raging Bull [36] ainsi que par Patrick Descamps dans Everybody's Fine et Malavita et Sylvain Joubert dans Jackie Brown.
Au Québec, Hubert Gagnon, décédé en 2020, et Jean-Marie Moncelet sont les voix françaises de l'acteur dans la majorité de ses films[37].
- Versions françaises
- Jacques Frantz (*1947 - 2021) dans Il était une fois en Amérique (2e doublage), Les Incorruptibles, Les Affranchis, Casino, Heat, etc.
- Versions québécoises
- Hubert Gagnon dans Jackie Brown[37], etc.
- Jean-Marie Moncelet dans Tension[37], La Correction[37], etc.
Notes et références
Notes
- Le sixth grade est l'équivalent de la classe de sixième au collège en France.
- Ce sont les équivalents des classes de cinquième et quatrième au collège en France.
- La ninth grade est l'équivalent de la classe de troisième au collège en France.
Références
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API. Son patronyme provient de l'Italie [de ˈniːro].
- « International Rome Film Festival - De Niro: "I have an Italian passport, I have finally come home" », (consulté le )
- « De Niro Will Get Italian Citizenship » (consulté le )
- Inside the Actors Studio, 1998.
- (en) « Robert De Niro Biography », filmreference.com (consulté le )
- (en) « Robert De Niro Biography », contactmusic.com (consulté le )
- Andy Dougan, Untouchable : a biography of Robert De Niro, Da Capo Press, , 400 p. (ISBN 1-56025-469-6, lire en ligne), p. 145.
- (en) « Biography for Robert De Niro », imdb (consulté le )
- Dougan, p. 10.
- Dougan, p. 12–13.
- Dougan, p. 13–14.
- John Baxter, De Niro : A Biography, HarperCollins, , 404 p. (ISBN 978-0-00-257196-8), p. 37–38.
- Baxter, p. 37.
- Dougan, p. 17–18.
- Dougan, p. 17.
- Dougan, p. 15.
- (en) Kevin Dolak, « Actress Jill Clayburgh Dead at 66 », sur ABC News, (consulté le ).
- Samuel Blumenfeld et Laurent Vachaud, Brian de Palma : Entretiens avec Samuel Blumenfeld et Laurent Vachaud, Paris, Calmann-Lévy, , 214 p. (ISBN 2-7021-3061-5), p. 23.
- « The Wedding Party (1969) », sur imdb.com.
- « Men of Honor 2000 », sur metacritic.com.
- « Men of Honor », sur boxofficemojo.com.
- « Meet the Parents », sur boxofficemojo.com.
- « 15 Minutes », sur boxofficemojo.com.
- « Showtime », sur boxofficemojo.com.
- « Analyze That », sur boxofficemojo.com.
- « The Score », sur boxofficemojo.com.
- « Meet the Fockers », sur boxofficemojo.com.
- « Righteous Kill », sur boxofficemojo.com.
- « Robert de Niro, président du jury du 64e Festival de Cannes », festival-cannes.com, 6 janvier 2011
- Interview Dany Jucaud, « Martin Scorsese, Netflix, Donald Trump... Robert De Niro se confie à Paris Match », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
- Leonardo DiCaprio retrouvera Martin Scorsese pour une sixième collaboration, www.lesinrocks.com, 19 juillet 2017.
- bilan.ch.
- « De Niro promet 100 000 dollars à qui prouvera que les vaccins sont sans danger », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- (en-US) Dan Adler, « Peter Nygard Is the Latest Multimillionaire With a Gated Island Estate to Whom Things Seem to Have Caught Up », sur Vanity Fair (consulté le )
- « Barack Obama a remis ses dernières médailles de la Liberté », parismatch.com, 23 novembre 2016.
- « Comédiens ayant doublé Rober De Niro en France » sur RS Doublage.
- « Comédiens ayant doublé Robert De Niro au Québec » sur Doublage.qc.ca.
Voir aussi
Bibliographie
Documentaires
- Luc Lagier, « C'est quoi, Robert De Niro ? », sur Blow Up, Arte, .
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (en) American Film Institute
- (en) British Film Institute
- (de + en) Filmportal
- (en) Internet Movie Database
- (en) LUMIERE
- (en) Oscars du cinéma
- (en) Rotten Tomatoes
- Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- (en) Carnegie Hall
- (en) MusicBrainz
- (en) Muziekweb
- Ressources relatives au spectacle :
- (en) Internet Broadway Database
- (en) Playbill
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à plusieurs disciplines :
- (en) Metacritic
- Ressource relative à la bande dessinée :
- (en) Comic Vine
- Ressource relative à la vie publique :
- (en) C-SPAN
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Brockhaus Enzyklopädie
- Deutsche Biographie
- Enciclopedia italiana
- Enciclopedia De Agostini
- Encyclopædia Britannica
- Encyclopædia Universalis
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