Armorial des comtes de l'Empire
Cet article présente et décrit les armoiries des comtes sous le Premier Empire.
Comtes archevêques
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Jean Baptiste de Belloy de Morangles (1709 ✝ 1808), Évêque de Glandèves, puis Évêque de Marseille (1755), puis Archevêque de Paris (1801), membre du Sénat conservateur (1802), Cardinal (1805),
De gueules à quatre losanges d'argent (3 et 1) ; au franc-canton brochant des Comtes Archevêques.[1],[2] | |
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Jean-Armand de Bessuéjouls de Roquelaure ( - Lassouts ✝ - Paris), chanoine du chapitre de Saint-Denis, Abbé commendataire de Saint-Germer-de-Fly, premier aumônier de Louis XV et de Louis XVI, conseiller d'État, dernier Évêque de Senlis (1754-1801), archevêque de Malines (1802), membre de l'Académie française (Fauteuil 35) () fauteuil qu'il conserve à l'organisation de 1803, membre de la Classe de langue et littérature française de l'Institut de France (1803), Commandeur de l'Ordre du Saint-Esprit (chapelle du château de Versailles, le ), Comte de Roquelaure et de l'Empire,
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Jérôme Marie Champion de Cicé (1735 ✝ 1810), Evêque de Rodez (1770), puis Archevêque de Bordeaux (1781), puis Archevêque d'Aix (1802), Grand Officier de la Légion d’honneur (1805), Comte de l'Empire (1808),
Ecartelé : au I, du quartier des Comtes Archevêques ; aux II et III, d'azur à trois écussons d'argent à trois bandes de gueules ; au IV de gueules à la fasce d'hermine.[1] |
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Étienne André François de Paul de Fallot de Beaumont de Beaupré ( - Avignon (Vaucluse) † - Paris), Évêque de Vaison (1786-1790), Évêque de Gand (1802-1807), Évêque de Plaisance (1807-1817), Archevêque de Bourges (1813-1815), Premier aumônier de l'empereur Napoléon Ier ( (Cent-Jours)), Baron de l'Empire (), Comte de l'Empire (), Pair de France ( (Cent-Jours)), Officier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre de la Réunion, Commandeur de l'Ordre sacré et militaire constantinien de Saint-Georges (),
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Gaspard-André Jauffret ( - La Roquebrussanne ✝ - Paris), évêque de Metz[7] (1806-1823), archevêque d'Aix-en-Provence[7] (1811-1816), aumônier de Napoléon Ier, baron de l'Empire (), puis comte de l'Empire (),
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Antoine Éléonor Léon Leclerc de Juigné (Paris, – Paris, ), ancien archevêque de Paris, membre du chapitre impérial de Saint-Denis, comte Le Clerc de Juigné et de l'Empire (lettres patentes du , signées à Bayonne, avec transmission à l'un de ses neveux),
D'argent à la croix engrelée de gueules cantonnée de quatre coqs à ailes ouvertes de sable becqués et onglés de gueules ; quartier des comtes-archevêques brochant sur le tout.[8],[6] |
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Claude Le Coz (Plonévez-Porzay, - Villevieux, ), archevêque métropolitain de Besançon (1802-1815), comte de l'Empire,
Coupé : parti des comtes-archevêques et de gueules à la crosse d’or ; d’or au coq d’azur crêté, barbé et onglé de gueules, accosté de 2 étoiles du même. |
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Ferdinand Maximilien Mériadec de Rohan-Guéméné (Paris, 7 novembre 1738 - Paris, 31 octobre 1813), archevêque de Bordeaux (primat d'Aquitaine, 1769-1781), archevêque-duc de Cambrai (1781-1801), comte de l'Empire lettres patentes signées à Bayonne le ),
Parti au premier de gueules à neuf mâcles d'or posés 3, 3 et 3 ; au second d'argent aux mouchetures d'hermines de sable ; au quartier des comtes-archevêques[8]. |
Comtes ministres
Comte ancien ministre
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Adrien Twent (nl) (, Delft – , Wassenaar), ministre de l'Intérieur de Hollande (1808-1809), comte de Rozenbourg (), comte de l'Empire (), membre du conseil général des Bouches-de-la-Meuse (1811), grand-croix de l'ordre de l'Union (), chevalier de la Légion d'honneur (), grand dignitaire de l'ordre royal des Deux-Siciles (), grand-croix de l'ordre de la Réunion ()[17].
Écartelé, au premier de sinople à trois vaches, deux en chef arrêtées et une en pointe couchée, d'or ; au deuxième d'argent à la fasce de gueules surmontée de trois croissants du même ; au troisième d'argent à trois fasces de sable ; au quatrième d'argent à deux pals de gueules, celui à dextre chargé de deux quintefeuilles, celui à sénestre d'une tour, le tout d'argent ; franc-quartier des comtes d'anciens ministres, qui est échiqueté d'azur et d'or à la bordure engrelée de sable ; pour livrées : les couleurs de l'écu, le verd en bordure seulement[18]. |
Comtes conseillers d'État
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Théophile Berlier ( - Dijon † - Dijon), président de la Convention nationale (), président du Conseil des Cinq-Cents ( - ), conseiller d'État (en service ordinaire du 4 nivôse an VIII à 1814, rattaché à la section de législation, promu conseiller d'État à vie en 1806), président du Conseil des prises (5 thermidor an VIII), comte de l'Empire (1809), commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Parti : au 1, de sable, au bélier d'argent ; au 2, d'argent, à un mât de pourpre ; franc-quartier de comte conseiller d'État.[2] |
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Antoine Brignole-Sale ( - Gênes † 1863 - Gênes), maître des requêtes au Conseil d'État, comte Brignole-Sale et de l'Empire (institution de majorat attaché au titre de comte au profit de Antoine, Jean-François, Marie, Ignace, Louis Brignole-Sale, accordée par lettres patentes du , à Compiègne), Légionnaire (), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Commandeur de l'Ordre impérial de la Réunion (1813),
Écartelé au premier des comtes pris dans notre Conseil d'État, au deuxième d'azur à l'arbre de sinople terrassé du même, fruité de gueules et sénestré d'un lion contrerampant de gueules, au troisième d'or au lion de gueules tenant entre ses pattes une croix haussée du même, au quatrième d'or, à trois pals de sable.[8]
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Joseph de Caffarelli du Falga (Falga, – Lavelanet-de-Comminges (Haute-Garonne), ), conseiller d'État (-1811, -), Préfet du 3e arrondissement maritime (Brest) (-), comte de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Rambouillet le ), Légionnaire (9 vendémiaire an XII : ), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Grand'croix de l'Ordre de la Réunion (1813),
Parti : au premier d'argent, au lion de sable lampassé de gueules ; au deuxième coupé, le premier taillé, le deuxième tranché d'argent et de gueules ; le tout surmonté d'un comble, franc-quartier de comte conseiller d'État (échiqueté d'azur et d'or), brochant au neuvième de l'écu.[8],[19] |
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Pierre Antoine Noël Mathieu Bruno Daru ( - Montpellier ✝ - Château de Becheville, Les Mureaux, inhumé au Cimetière du Père-Lachaise), commissaire des guerres, inspecteur aux revues, membre du Tribunat (6 germinal an X), conseiller d'État (), intendant général de la maison militaire de Napoléon Ier (), Commissaire général de la Grande Armée (1806), ministre de France à Berlin, ministre-secrétaire d'État (1811-1815), ministre directeur de l'administration de la guerre ( - 1er avril 1814, Cent-Jours), 1er comte Daru et de l'Empire (), Légionnaire (4 frimaire an XII), puis, Commandeur (25 prairial an XII), puis, Grand aigle de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (), grand-croix de l'ordre de l'Aigle blanc du duché de Varsovie, et commandeur de l'ordre de Saint-Henri de Saxe, Pair de France (Baron-pair le , lettres patentes du ), Membre de l'Institut de France (Académie des sciences (membre libre, ), membre de l'Académie française (1806)),
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Charles Jacques Nicolas du Chastel de La Morlière (puis Duchâtel) ( - Tinchebray ✝ - Mirambeau), député de la Gironde au Conseil des Cinq-Cents (25 vendémiaire an IV ()), conseiller d'État (), député de la Charente-Inférieure (), 1er comte Duchâtel et de l'Empire (1808), Légionnaire (9 vendémiaire an XII), puis, Commandeur (25 prairial an XII), puis, Grand officier (), puis, membre du comité de la Grande chancellerie de l'Ordre (1809), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), pair de France (),
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Antoine François Fourcroy ( - Paris ✝ - Paris, inhumé au Cimetière du Père-Lachaise), Chimiste, entomologiste, Membre de l'Académie royale des sciences (), Membre de l'Institut de France (Académie des sciences : ), député de Paris à la Convention nationale, député de la Sarthe au Conseil des Anciens (novembre 1795 - mai 1797), Conseiller d'État (décembre 1799), comte de l'Empire (), Légionnaire (9 vendémiaire an XII), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
D'azur, chargé d'un écu d'or surchargé d'un écu de sable, à la lampe d'or allumée de gueules et accompagnée en chef à sénestre d'une étoile d'or ; au canton brochant des Comtes Conseillers d'État.[3],[1] |
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Antoine Français de Nantes ( - Beaurepaire, Dauphiné ✝ - Paris), conseiller d'État à vie, directeur général des droits réunis et octrois, Comte Français et de l'Empire (lettres patentes du , Bayonne), Légionnaire (9 vendémiaire an XII), puis, Commandant (25 prairial an XII), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Commandeur de l'Ordre de la Réunion (1813),
Franc-quartier de conseiller d'État, de gueules, chargé de trois besans d'argent.[8] |
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Nicolas Thérèse Benoît Frochot ( - Dijon ✝ - Arc-en-Barrois, inhumé au Cimetière du Père-Lachaise), député au États généraux de 1789 puis à l'Assemblée constituante, député de la Côte-d'Or au Corps législatif (4 nivôse an VIII), préfet de la Seine ( - 1812), Conseiller d'État (8 prairial an XII), préfet des Bouches-du-Rhône (Cent-Jours), chevalier Frochot et de l'Empire (), 1er comte Frochot et de l'Empire (), Commandeur de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), grand officier de la Légion d'honneur (),
D'azur à une navette d'or posée en bande ; au canton des Comtes Conseillers d'État brochant.[1] |
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Pierre Gaétan Galli della Loggia (né le à Milan), membre du gouvernement provisoire de la Nation piémontaise, conseiller d'État, comte de la Loggia et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Paris le , majorat par lettres patentes du [8]), commandant de la Légion d'honneur.
Coupé au premier des comtes pris dans le Conseil d'État, au deuxième bandé de sable et d'or de six pièces, au comble du second chargé d'un coq aussi de sable, à la bordure componée d'or et de sable, parti d'azur fascé d'argent, de six pièces au comble d'or chargé d'un lion de sable tenant une clé du même, le pennon accompagné d'un vol ouvert aussi de sable[8]. |
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Jean Jacques Basilien de Gassendi ( - Digne † - Nuits), général de brigade (27 ventôse an VII), général de division (brumaire an XIII), conseiller d'État (29 pluviôse an XIV ()), sénateur (), comte de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Grand-croix de l'Ordre de la Réunion (), Pair de France (, (Cent-Jours), , sans lettres patentes),
D'azur, semé d'étoiles d'argent[4] ; franc-quartier de comte conseiller d'État brochant sur le tout.[2] |
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Jean-Baptiste-Moïse Jollivet ( - Turny (Yonne) ✝ au Melun), Député de ce département à l'Assemblée législative (), conservateur général des hypothèques (1er thermidor an III : 19 juillet 1795), Conseiller d'État (3 nivôse an VIII (), Commissaire général pour l'organisation des quatre nouveaux départements de la rive gauche du Rhin (la Roer, la Sarre, Rhin-et-Moselle et le Mont-Tonnerre), Préfet du Mont-Tonnerre (5e jour complémentaire an VIII (), il entre en fonction le 8 brumaire an IX), Ministre du Trésor du Royaume de Westphalie (), Comte de l'Empire (), Légionnaire (9 vendémiaire an XII), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (décret impérial du 25 prairial an XII),
Écartelé : au I, du quartier des Comtes Conseillers d'État ; au II, de gueules à la tête de lion coupée d’or ; au III, de gueules à la tête de taureau d’argent en rencontre ; au IV, d’azur au chevron d’or.[9] |
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Louis Jullien (, Lapalud – , Lapalud), général de brigade (1803), préfet du Morbihan (1801-1814), conseiller d'État (1804), maire de Lapalud (1830-1831), comte de l'Empire (lettres patentes du ), légionnaire (1803), puis, commandeur de la Légion d'honneur (1804).
Écartelé : au 1, de gueules, au lion d'or ; au 2, d'or, à un ours rampant de sable, posé en bande ; au 3, d'or, à un palmier de sinople ; au 4, d'hermine plein ; au canton des comtes conseillers d'État brochant sur la partition[4],[22]. |
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Alexandre Louis Joseph de Laborde ( - Paris ✝ - Paris), archéologue et géographe, auditeur (1808), puis maître des requêtes au Conseil d'État (1818), puis conseiller d'État (1830), député du département de la Seine (), préfet de la Seine ( - ), maire de Méréville (1805-1814), comte de l'Empire (), 4e marquis de Laborde (1833), chevalier de la Légion d'honneur (1809), Officier de la Légion d'honneur (1813), commandeur de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (1814), commandeur de l'Ordre de Saint-Étienne de Hongrie, Membre de l'Institut de France (Académie des inscriptions et belles-lettres (), Académie des sciences morales et politiques ()),
D'azur, au chevron d'or accompagné en chef de deux roses d'argent et en pointe d'une gerbe de blé d'or (armes anciennes)[4],[1] ; au canton des Comtes Conseillers d'État brochant.[3] |
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Jean Philibert Maret ( - Dijon ✝ - Dijon), ingénieur des ponts et chaussées, Grand-voyer de Dijon, Commissaire du Directoire exécutif près l’administration centrale de la Côte-d'Or (6 brumaire an VIII), Préfet du Loiret (11 ventôse an VIII () - 11 germinal an XIV ()), Conseiller d'État (, Membre du Conseil d'État à vie en 1812), Directeur général des subsistances, Chevalier Maret et de l'Empire (lettres patentes du ), Comte Maret et de l'Empire (lettres patentes du ), Officier de la Légion d'honneur,
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Philippe-Antoine Merlin de Douai ( - Arleux ✝ - Paris), Président de l'Assemblée nationale constituante (1790), , Président de la Convention nationale (1794), Ministre français de la Justice (1795-1796 et 1796-1797), Ministre français de la Police (1796), Directeur (1797-1799), membre de l'Académie française (1803-1816)conseiller d'État à vie, chevalier de l'Empire (1808), comte de l'Empire (1810), grand officier de la Légion d'honneur (1810) et commandeur de l'Ordre de la Réunion
D'hermine, mantelé d'azur[4] ; au franc-quartier de comte conseiller d'État.[2],[6] |
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Mathieu Louis Molé ( - Paris ✝ - Château de Champlâtreux), auditeur au Conseil d'État (), maître des requêtes (juin 1806), préfet de la Côte-d'Or (novembre 1806-1809), conseiller d'État (1809), directeur général des Ponts et Chaussées (1809), Ministre de la Justice (1813-1814), ministre de la Marine et des Colonies (1817-1818), Ministre des Affaires étrangères (1830, 1836-1839), Président du Conseil des ministres ( - , ), Pair de France ( (Cent-Jours), , comte-pair le , sans majorat), comte de Champlâtreux (1794), comte Molé et de l'Empire (), Grand-croix de la Légion d'honneur, Commandeur de l'Ordre de la Réunion,
Écartelé au premier et quatrième de gueules au chevron d'or, accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant de même ; et au second et troisième d'argent au lion de sable armé et lampassé d'or ; le franc-quartier des comtes conseillers d'État brochant sur le premier au neuvième de l'écu.[8],[24],[2] |
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René Mouchard de Chaban (, Paris[25] – , Hambourg), sous-préfet de Vendôme (5 floréal an VIII), préfet de Rhin-et-Moselle (16 floréal an XI), préfet de la Dyle (12 pluviôse an XIII), membre de la junte extraordinaire de Toscane (), conseiller d'État (), intendant de l'intérieur et des finances dans les départements hanséatiques (), chevalier de l'Empire (), comte de l'Empire (décret du et lettres patentes du ), légionnaire (25 prairial an XII) puis officier de la Légion d'honneur (),
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Jean Pelet de la Lozère ( - Saint-Jean-du-Gard † - Paris), préfet de Vaucluse (11 ventôse an XIII), conseiller d'État (27 fructidor an X), comte de l'Empire (), Légionnaire (9 vendémiaire an XII) puis Commandeur de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Commandeur de l'Ordre de la Réunion (1813), pair de France (, Pelet prêta serment à la monarchie de Juillet),
D'azur à trois bandes d'or, au lion d'argent lampassé de même, rampant sur la bande inférieure, bordure de sinople ; franc-quartier de comte conseiller d'État.[2],[20] |
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Joseph Marie Portalis ( - Aix-en-Provence † - Passy (Seine) (aujourd'hui Paris XVIe)), maître des requêtes en service ordinaire au Conseil d'État (), conseiller d'État (en service extraordinaire le , en service ordinaire et rattaché à la section de l'intérieur (1808-1809)), Premier président de la Cour impériale d'Angers ( - ), chevalier de l'Empire (), 1er comte Portalis et de l'Empire (), Légionnaire (1807), puis Officier (), puis Grand officier (), puis Grand-croix de la Légion d'honneur, Pair de France (Baron-pair le , lettres patentes du ),
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Jean Claude Redon de Beaupréau ( - Thouars ✝ - Paris, inhumé au Cimetière du Père-Lachaise), Commissaire de la marine au Havre (1757) et à la Martinique, contrôleur de la marine à Rochefort (1777), commissaire général et intendant du port de Brest (1784), membre de la commission exécutoire de la marine et des colonies ( - ), conseiller d'État attaché à la section de la marine, puis président du conseil des prises (germinal an VIII : ), Préfet maritime de Lorient (), Sénateur (), comte de l'Empire (), Légionnaire le 25 prairial an XII puis Commandeur de la Légion d'honneur (), Pair de France (),
Écartelé : au 1, du quartier des Comtes conseiller d'État de l'Empire ; au 2, d'argent à une ancre de sable ; au 3 de sable, à la tour d'argent; au 4 d'azur, à l'étoile d'argent.[29] Écartelé: aux 1 et 4, du quartier des Comtes conseiller d'État de l'Empire ; au 2, d'argent, à une ancre de sable ; au 3, d'argent, à un olivier de sinople, terrassé du même.[4] |
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Nicolas François Sylvestre Régnier ( - Nancy ✝ - Château de Moncontour, Vouvray (Indre-et-Loire)), Auditeur au Conseiller d'État (thermidor an XI : ), Sous-préfet du Château de Salins (), Préfet de l'Oise (, installé le , démissionne aux Cent-Jours), Préfet du Cher (), 1er Comte de Gronau et de l'Empire (1811), 2e Duc de Massa (), Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), Pair de France[12] (, duc-pair le , lettres patentes du ),
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Pierre-Louis Roederer (15 février 1754 - Metz ✝ 17 décembre 1835 à Bois-Roussel (Bursard, Orne), Sénateur, Conseiller d'État, ministre plénipotentiaire, comte d'Empire (1808), Légionnaire (2 octobre 1803), puis, commandant (14 juin 1804), puis grand officier de la Légion d'honneur (6 décembre 1807), Pair de France ( (Cent-Jours) et ),
Ecartelé : au I, d'azur, chargé d'un miroir d'or où se mire un serpent d'argent ; au II, de gueules, chargé d'une tête de lion arrachée d'argent ; au III, d'argent au saule arraché de sinople[31] ; au IV, échiqueté d'or et d'azur.[4],[3] Ecartelé : au I, du quartier des Comtes Sénateurs ; au II, du quartier des Barons ministres employés à l'extérieur ; au III, d'argent au saule arraché de[31] ; au IV, du quartier des Comtes conseillers d'État.[4],[3] | |
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Louis-Philippe de Ségur ( - Paris † - Paris), maréchal de camp (), marquis de Ségur, 1er Comte de Ségur et de l'Empire (), grand-maître des cérémonies (sous l'Empire), Légionnaire (9 vendémiaire an XII ()), puis, Grand aigle de la Légion d'honneur (14 pluviôse an XIII ()), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (), député de l'Isère au Corps législatif (1801-1813), conseiller d'État (), Membre de l'Académie française (Fauteuil 22 : ), sénateur ( - 1814), Pair de France ( (Première Restauration), (Cent-Jours), révoqué de sa dignité de pair le , réintégré le (Seconde Restauration)),
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Antoine Claire Thibaudeau ( - Poitiers † - Paris), préfet de la Gironde (11 ventôse an VIII), conseiller d'État (5e jour complémentaire an VIII), préfet des Bouches-du-Rhône (3 floréal an XI), chevalier de l'Empire (), comte de l'Empire (), Commandeur (25 prairial an XII), puis, grand officier de la Légion d'honneur (1852), Pair de France (2 juin 1815 (Cent-Jours)),
De gueules, à la colonne d'or accolée d'un lion d'argent, armé et lampassé de sable ; franc-quartier de comte conseiller d'État.[2] |
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Jean-Baptiste Treilhard (2 ou - Brive-la-Gaillarde ✝ - Paris, inhumé au Panthéon (caveau III)), juriste, député du Tiers aux États généraux de 1789, Président de l’Assemblée nationale constituante (), Président de la Convention nationale ( - ), ambassadeur à Naples (1796), ministre plénipotentiaire au congrès de Rastadt (1797), Président du Conseil des Cinq-Cents, membre du Directoire(26 floréal an VI ()), président du Directoire du 24 août au , vice-président () puis président () du tribunal d’appel du département de la Seine, président la section de législation au Conseil d'État (1802), ministre d'État (), Grand officier de la Légion d'honneur le , comte de l'Empire le ,
D'azur à trois palmes d'or, ordonnées 2 et 1, posées en bande ; au canton des Comtes Conseillers d'État brochant.[4],[1] |
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Antoine Philippe Fiacre Ghislain de Visscher de Celles ( - Bruxelles ✝ - Paris), baron de Celles, maire de Hever (vers 1800), membre du conseil municipal de Bruxelles (décret impérial du 5 brumaire an XIII), du conseil général et du conseil électoral du département de la Dyle, Auditeur au Conseil d'État (), maître des requêtes (11 juin de la même année), Préfet de Loire-Inférieure (, arrive à Nantes le - 1810), Préfet du Zuyderzée (, arrive à Amsterdam le - ), Membre du Congrès national de Belgique (1830), Ministre plénipotentiaire de Belgique, Conseiller d'État, (1834), comte de Celles et de l'Empire (lettres patentes du ), chevalier de la Légion d'honneur (1809),
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Comtes présidents du corps législatif
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Jean-Pierre Louis de Fontanes ( - Niort † , inhumé au cimetière du Père-Lachaise à côté du maréchal Ney), Législateur, professeur de belles-lettres au Collège des Quatre-Nations, membre de l'Académie française en 1803, membre de l'Institut, ministre d'État, député au Corps législatif (14 pluviôse an X (1802) - 1810, président (1804 - fin 1808)), premier Grand maître de l'Université (), sénateur (), Comte de l'Empire (), Légionnaire (4 frimaire an XII), Grand cordon de la Légion d'honneur, pair de France (, Marquis-pair le , lettres patentes du , sans majorat),
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Comtes officiers de la maison de l'Empereur
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Marc Étienne Gabriel de Beauvau-Craon ( - Paris † ), 3e prince de Beauvau et du Saint-Empire (1793), grand d'Espagne de 1re classe, marquis de Craon en Lorraine, de Harouël et de Novion, baron d'Autrey, Turquestang, Saint-Georges, Fréville, etc., Chambellan de l'Empereur, comte de Beauvau et de l'Empire (lettres patentes du ), Pair des Cent-Jours (,
D'argent cantonné de quatre lions rampants de gueules; franc-quartier de comte officier de la maison de S. M. l'Empereur.[2] |
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Louis Marie Joseph de Brigode ( - Lille ✝ - Bourbonne-les-Bains), Conseiller général du Nord (1801), Maire de Lille (arrêté du 14 vendémiaire an XII (1803) - ), Président du collège électoral de l'arrondissement de Lille (, ), Pair de France (, comte-pair le , lettres patentes du 18 février 1818), Chevalier de l'Empire (), Comte de l'Empire (sous majorat, ), Commandeur de la Légion d'honneur (), Chambellan de l'Empereur (1804), Commandant (nominal) en Chef de la Garde d'honneur de Lille (1809),
Ecartelé au 1 et 4 d’or à trois étoiles de sable, au 2 et 3 d’azur au cygne d’argent (de Brigode) ; au canton des comtes officiers de la Maison de l'Empereur.[37] |
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Charles-Félix de Choiseul-Praslin (Paris, - Paris, ), chambellan de l'Empereur, membre du conseil général et du collège électoral de Seine-et-Marne, 1er comte de Choiseul-Praslin et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Paris le [8]), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (),
D'azur à la croix d'or, cantonnée en chef à dextre et à sénestre de cinq billettes en sautoir et en pointe à dextre et à sénestre de quatre billettes deux et deux le tout d'or, ombré de gueules : franc quartier des comtes officiers de Notre Maison[8]. |
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Martin-Roch-Xavier Estève (1772 ✝ 1853), Payeur général de l'armée d'Orient, Trésorier général de la Couronne, Administrateur-général des finances et domaines des pays conquis au-delà de l’Elbe (1806), Comte de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur, Trésorier de la 1re cohorte de la Légion d'honneur,
Écartelé : au 1 du quartier des Comtes Officiers de la Maison de l'Empereur ; au 2, de gueules, à une étoile d'argent ; au 3, de gueules, à une levrette passant, colletée et contournée d'argent ; au 4, d'azur, à une tête d'ibis (« ou d'Isis ») d'or.[23],[38],[4],[20] |
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Alexandre Léon Luce de Galard de Brassac de Béarn[39],[40] ( - Paris † - Paris), marquis de Brassac, baron de la Rochebeaucourt, chambellan[41] de l'Impératrice Joséphine (1809), président du collège électoral de l'arrondissement d'Angoulême, maire de Boves (1818), comte de l'Empire (), chevalier de la Légion d'honneur, Grand-croix de l'Ordre impérial de Léopold d'Autriche,
Écartelé : aux première quatrième d'or chargés de trois corneilles, deux et une de sable, becquées et membrées de gueules (de Galard) ; aux deuxième et troisième d'or, chargé de deux vaches passant l'une sur l'antre, de gueules, accornées, accolées et clarinées d'azur (de Béarn) ; franc-quartier de comte officier de la Maison de l'Empereur, brochant au neuvième de l'écu.[2] |
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Emmanuel de Gramont (, Paris – , Paris), chambellan de l'empereur (), sous-lieutenant au 5e de cuirassiers, comte de l'Empire (), légionnaire ().
D'or, au lion d'azur ; au franc-quartier des comtes officiers de la maison de l'empereur. |
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Philippe-Gabriel de Marmier (1783-1845), chambellan de l'Empereur, maire de Ray (Haute-Saône), Comte de Marmier et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le ), Chevalier (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, pair des Cent-Jours,
Écartelé au premier des comtes officiers de notre maison ; au deuxième de gueules à la marmotte debout d'argent (de Marmier) ; au 3e de gueules à la roue d'argent ; au quatrième d'azur à la croix d'or cantonnée de vingt b[e]llettes (billettes) du même (de Choiseul) et chargée d'un écusson d'argent à la croix ancrée de gueules (Stainville)[8]. |
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Auguste-Jean Germain de Montforton ( - Paris † - Paris), Préfet de Saône-et-Loire ( - ), Préfet de Seine-et-Marne ( - ), Pair de France (baron-pair le , lettres patentes du ), Comte de Montforton et de l'Empire (, avec constitution de majorat), Comte héréditaire par lettres patentes du , confirmées par ordonnances royales du , Officier de l'Ordre royal de la Légion d'honneur,
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François Joseph Charles Marie de Mercy-Argenteau ( ✝ ), chambellan de Sa Majesté l'Empereur et Roi, comte de Mercy-Argenteau et de l'Empire (Lettres patentes du 25 mars 1810, avec érection d'un majorat), Chevalier de la Légion d'honneur,
D'azur à la croix d'or, chargée de quatre coquilles de gueules, accompagnée en chef, à dextre, du canton des Comtes Officiers de la Maison de l'Empereur ; et dans les trois autres cantons de la croix, de cinq croix recroisetées d'or, posées en sautoir, et sur le tout d'or à la croix d'azur.[36] |
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Pierre Arnauld de La Briffe ( - Paris † - Arcis-sur-Aube), Capitaine de cavalerie (avant la Révolution), Officier supérieur des chevau-légers de la Maison du Roi (première Restauration), Colonel des dragons de la Manche (seconde Restauration), Maréchal de camp (), Chambellan de Napoléon Ier, Député de l'Aude, Pair de France (ordonnance du ), Seigneur d'Arcis-sur-Aube avant la Révolution française, Comte de l'Empire le , Grand dignitaire de l'Ordre des Deux-Siciles, Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis,
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Emmanuel de Las Cases ( - près de Revel, Tarn ✝ - Passy-sur-Seine), Maître des requêtes au conseil d'État,chambellan de l'Empereur (1810), Marquis (sous l'Ancien Régime), Baron (majorat particulier du ) puis Comte d'Empire (),
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Claude Louis Michel Le Duc[44] (né le - Paris), marquis de Lillers, Comte de l'Empire, Chambellan de l'Empereur, Commandeur de l'Ordre du mérite civil de la Couronne de Bavière[45],
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Aimé Jacques Marie Constant de Moreton de Chabrillan ( - Paris † ), Sous-lieutenant de cavalerie (, Lieutenant de cavalerie à Moscou (), Capitaine à Smolensk (), Chef d'escadron (1813), Comte de l'Empire (lettres patentes du ), Chevalier de la Légion d'honneur (fin 1812), Chambellan de Napoléon Ier (1809) (décret du ), Gentilhomme honoraire de la chambre du roi Charles X (ordonnance du ),
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Aymard-François de Nicolaï ( - Paris ✝ - Paris), 6e marquis de Goussainville, comte de Nicolaÿ et de l'Empire (), maire de Goussainville (1807-1812), membre du collège électoral du département de Seine-et-Oise, chambellan de S. M. l'empereur Napoléon Ier (1811-1813), pair de France ( (Cent-Jours), ), commandeur de la Légion d'honneur, grand-croix de l'Ordre de la Réunion,
D'azur, au lévrier courant d'argent accolé de gueules et bouclé d'or ; franc-quartier de comte officier de la maison de S. M. l'Empereur.[2],[20] |
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Antonin Claude Dominique Just de Noailles ( - Paris ✝ - Paris), chambellan de Napoléon Ier, ambassadeur de France en Russie (1814-1819), député de la Meurthe (1824-1827), Comte de l'Empire (lettres patentes du ), 7e Prince de Poix, 4e Duc espagnol de Mouchy et 3e duc français de Mouchy et duc de Poix (1834), Grand d'Espagne de 1re classe, Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit (), Chevalier de l'ordre de la Toison d'or,
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Victor Louis Victurnien de Rochechouart de Mortemart (Colmesnil-Manneville, - Paris, ), gouvernement du palais de Rambouillet (1808), comte de Mortemart et de l'Empire (institution de majorat attaché au titre de comte de Mortemart au profit de Anne, Victurnien, René, Roger de Rochechouart de Mortemart, accordée par lettres patentes du , signées à Gand), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (),
Fascé nébulé de gueules et d'argent ; franc-quartier des comtes officiers de Notre Maison.[8] |
Comtes officiers de la maison des Princes
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Paul-Félix Ferri-Pisani (, Ajaccio – , Padoue), député de Lopigna à la Consulte générale de Corte (), député au parlement anglo-corse (), membre du Tribunal criminel extraordinaire (1801), chambellan du roi Joseph, ministre des Postes du royaume de Naples, conseiller d'État espagnol (président de la section des finances), préfet de la Vendée ( (Cent-Jours)), conseiller d'État français (1830), comte de Saint-Anastase (Royaume de Naples, 1810), comte de l'Empire (), commandeur de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre des Deux-Siciles, chevalier de l'ordre de la Couronne de fer.
Écartelé : au I, du quartier des comtes officiers de la maison des princes ; au II de sable à cinq fers de lances d'or ; au III d'azur à la bellete d'argent tenant dans sa gueules une branche d'olivier de gueules; au IV d'or au chevron de gueules accompagné de trois étoiles du même.[5],[38] |
Comtes ministres employés à l'extérieur
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Jean-Antoine-Michel Agar de Mercuès de Mosbourg ( - Mercuès ✝ - Paris), professeur de Belles-Lettres à l'École Centrale du Lot, commissaire près du Gouvernement provisoire de Toscane (1er frimaire an IX), président du conseil général du Lot, député du département du Lot au Corps législatif (2 fructidor an XII - 1806) puis à la Chambre des députés (1830-), ministre des finances du Grand-Duc de Berg et de Clèves Joachim Murat (1806), Comte de Mosbourg et de l'Empire (1808), ministre des finances du Roi de Naples Joachim Murat (1808), Pair de France (), Officier de la Légion d'honneur (1804), dignitaire de l'Ordre des Deux-Siciles
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Pierre Raymond Hector d'Aubusson de La Feuillade (1765-1848), ambassadeur, chambellan de sa majesté l'impératrice Josephine, pair des Cent-Jours, comte d'Aubusson de La Feuillade et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Paris le ().
D'or à la croix ancrée de gueules franc-quartier des comtes ministres à l'extérieur[8]. |
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Théodore Charles de Hédouville ( - Laon ✝ - Paris), ministre plénipotentiaire près du prince primat de la Confédération du Rhin (1806-1813), comte Hédouville et de l'Empire (lettres patentes du , Paris), légionnaire (), puis, officier de la Légion d'honneur (),
Coupé le premier parti d'azur au signe des comtes ministres employés à l'extérieur et d'azur au lion rampant d'argent, lampassé de gueules le deuxième d'or.[8] |
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Alexandre-François de La Rochefoucauld (Paris (paroisse Saint-Suplice), – Paris Xe, ), ambassadeur près du roi de Hollande, comte de La Rochefoucauld et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Paris le )[8],[6], Légionnaire (9 vendémiaire an XII), puis, Commandant (25 prairial an XII ()), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), autorisé, au cours de l'année 1808, à accepter et à porter la décoration de l'ordre de l'Aigle noir de Prusse,
Écartelé : au premier d'azur à la tête de lion arrachée d'argent qui est le signe des ministres employés à l'extérieur, au deuxième et troisième de gueules plein. Au quatrième burelé d'argent et d'azur à trois chevrons de gueules brochant sur le tout. Le premier écimé.[8],[6] |
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Pierre-Alexandre Le Camus (° - Martinique † - château du Grand Chesnay, Le Chesnay), ministre secrétaire d'État et des relations extérieures du royaume de Westphalie, comte de Fürstenstein ([49], par diplôme de Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie), comte de Fürstenstein et de l'Empire (lettres patentes du ), Grand-commandeur de l'ordre de la Couronne de Westphalie (), faisant provisoirement les fonctions de grand-chancelier[50], Ordre de Saint-Hubert (Bavière)[50], Ordre de l'Éléphant[50], Grand cordon de l'ordre royal de Hollande[51], Ordre de l'Aigle noir[50], Ordre des Séraphins[50], Ordre de l'Aigle d'or[50],
Écartelé : au 1er des comtes ministres des puissances confédérés ; au 2e de gueules au cheval cabré d'argent ; au 3e de gueules au phare d'argent soutenu d'un rocher du même, issant d'une mer d'azur ; au 4e, contre-écartelé de sable et d'argent ; sur-le-tout, d'azur à une ancre en barre d'argent.[8],[49],[6] |
Comtes préfets
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Jean-Louis Leclerc (° - Pontoise † - Château de Montiers), préfet de la Meuse (29 germinal an XII ()), comte Leclerc et de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres patentes du , signées à Paris), légionnaire (25 prairial an XII : ), puis, officier de la Légion d'honneur (),
Écartelé au premier de comtes pris pami les préfets, au deuxième d'azur à la pensée d'or, surmontée d'un soleil levant, cantonné à dextre en chef du même, au troisième d'argent à la tête de maure de sable tortillée et colletée d'or ; au quatrième d'azur à trois têtes de cheval d'argent.[8],[6] |
Comte maire
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Constant Duval (, Leuze – , Mons), maire de Mons, comte de Beaulieu et de l'Empire (lettres patentes du , avec érection d'un majorat).
Écartelé : au premier et au quatrième quartier d'argent à la croix de gueules, chargée en abîme d'un lion rampant d'or, au deuxième d'or à trois loups rampants de sable, deux en chef un en pointe, et au troisième de sable à la licorne assise d'argent ; au canton des comtes maires brochant.[36] |
Comtes présidents du collège électoral
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Gabriel d'Arjuzon ou Darjuzon (1761-1851), président du collège électoral de l'Eure (), grand officier de la couronne de Hollande, chevalier d'honneur de la reine de Hollande, comte Darjuzon et de l'Empire (lettres patentes signées à Paris le ), Chevalier de l'ordre royal du Mérite de Hollande (), puis, Premier Grand-croix de l'ordre de l'Union (), Grand-croix de l'ordre de la Réunion, Grand-croix de l'ordre du Mérite civil, dit de la Couronne de Bavière (dès le Premier Empire), Chevalier (), puis, Officier de la Légion d'honneur (),
D'azur au chevron d'argent, accompagné de trois fers de lances de même, à la bordure d'or ; franc-quartier des comtes présidents des collèges électoraux qui est d'azur aux trois fusées d'or posées en fasce[8]. |
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Auguste Laurent de Rémusat ( - Valensole ✝ - Paris), Avocat général à la Cour des aides de Provence, à Aix-en-Provence (Ancien Régime), Préfet du Palais (1802), Surintendant des théâtres impériaux (1807), Préfet de la Haute-Garonne (, - ), Préfet du Nord ( - ), 1er Comte de Rémusat et de l'Empire (par lettres patentes du ), Légionnaire, puis, Officier de la Légion d'honneur, Grand-croix de l'Ordre de Saint-Hubert de Bavière, Premier Chambellan de Napoléon Ier, Grand maître de la garde-robe de l'Empereur,
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Comtes membres du collège électoral
Comtes propriétaires
Figure | Nom du comte et blasonnement |
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Carlo-Alberto di Savoia-Carignano ( - Turin (Italie) ✝ - Porto (Portugal)), Prince de Piémont (1800), Comte de l'Empire (1814 : l'usage des armes de la Maison de Savoie lui fut défendu par les autorités impériales), Roi de Sardaigne et Duc de Savoie sous le nom de Charles-Albert de Sardaigne (1831-1849), Grand-maître de l'Ordre de l'Annonciade, [Grand-maître de l'Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare,
De gueules au cheval effaré d'argent[52], le canton des Comtes Propriétaires brochant.[53] |
Comtesses de l'Empire
Comtesses attachées aux Maisons impériales
Figure | Nom de la comtesse et blasonnement |
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Anne-Marie-Gasparde-Vincente Pieri (1765-1815), veuve du sieur Brignole Sale, dame du palais de l'Impératrice Joséphine (1804-1810), dame pour accompagner Pauline Bonaparte princesse Borghèse (1810), dame du palais de l'Impératrice Marie-Louise (1810-1814), comtesse de l'Empire (décret du , lettres patentes du , Saint-Cloud).
Ecartelé, au premier et quatrième d'azur à l'arbre de sinople terrassé du même, [senestré] d'un lion contre rampant de gueules ; au deuxième d'or au lion de gueules tenant une croix haussée du même en pal ; au troisième d'azur à la fasce d'argent chargée de trois roses de gueules, sommée d'un griffon naissant d'or, armé d'une épée de sable et soutenue d'une molette d'argent. Sur le tout d'azur au signe distinctif des comtesses attachées à notre maison.[8] |
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Françoise-Joséphine-Marie-Philippine de Sales ( - Turin † - Turin), veuve du sieur Bens de Cavour, dame d'honneur (1re dame) de Pauline Bonaparte princesse Borghèse (1810), comtesse de l'Empire (décret du , lettres patentes du , Paris).
Coupé, le premier d'azur à deux étoiles surmontées d'un croissant d'argent ; et de gueules à trois coquilles en fasce d'or sur le tout, au signe distinctif de comtesses attachées aux maisons des princes de notre famille, qui est d'azur au portique ouvert à deux colonnes d'or.[8] |
Comtesses, veuves de militaire
Figure | Nom de la comtesse et blasonnement |
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..., sur le tout, au signe distinctif de comtesse veuve de militaire de l'Empire, qui est un écusson d'or à l'épée renversée en pal de sable. L’écu accompagné de deux palmes d’or, nouées en sautoir, d’un ruban d’azur, entourant l’écu. |
Autres comtesses
Figure | Nom de la comtesse et blasonnement |
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..., sur le tout, au signe distinctif de comtesse d’Empire, qui est un écusson en abîme d'or plein. L’écu accompagné de deux palmes d’or, nouées en sautoir, d’un ruban d’azur, entourant l’écu. |
Notes et références
- Source : www.heraldique-europeenne.org
- Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne)
- Source : Armorial de l'Empire français - par M. Alcide Georgel - 1870. L'Institut, L'Université, Les Écoles publiques. Texte téléchargé depuis le site de la Bibliothèque Nationale de France.
- Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
- Nobiliaire de Provence : Armorial général de la Provence, du Comtat Venaissin, de la Principauté d'Orange..., de René Borricand, Éditions Borricand, Aix-en-Provence, 3 vol. : 1974-1976, (ISBN 2853970027) (ISBN 9782853970020) (ISBN 2-85397-002-7) (ASIN B0000E7KFZ).
- Vicomte Albert Révérend (1844-1911), Armorial du Premier Empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, vol. 3, Paris, (4 vol. in 2) Au bureau de L'Annuaire de la noblesse, (lire en ligne)
- Nommé par l'Empereur, mais non reconnu par Pie VII.
- publication_d0e2252&qid=sdx_q0&fmt=tab&idtoc=BB_29_Test publication-pleadetoc&base=fa&n=1&ss=true&as=true&ai=second|standard| PLEADE (C.H.A.N. : Centre historique des Archives nationales (France)).
- Source : lesapn.forumactif.fr, Les Amis du Patrimoine Napoléonien
- « www.heraldique-blasons-armoiries.com », L'armorial de la noblesse du Premier Empire (consulté le )
- Champmol : nom d'une terre acquise en Côte-d'Or en 1791 et ancienne chartreuse, actuellement absorbée par Dijon. L'hôpital psychiatrique de la chartreuse de Champmol en marque l'emplacement.
- Source : Armory of the French Hereditary Peerage (1814-30) sur www.heraldica.org
- « Jean-François-Aimé Dejean (1749-1824) Comte de l'Empire », sur www.napoleon-empire.net (consulté le )
- « jean françois aimé DEJEAN castelnaudary 1749 - paris 1824 comte de l'Empire - général de division du genie - pair de france », sur napoleon-monuments.eu (consulté le )
- « Jean-François Aimé Dejean », sur roglo.eu (consulté le )
- La noblesse d'Empire sur http://thierry.pouliquen.free.fr
- « Mr. A.P. Twent van Raaphorst », sur parlement.com (consulté le ).
- http://chan.archivesnationales.culture.gouv.fr/sdx-23b1-20090531-chan-pleade-2/pl/toc.xsp?id=BB_29_1er_EMPIRE_d0e217954&qid=sdx_q0&fmt=tab&idtoc=BB_29_1er_EMPIRE-pleadetoc&base=fa&n=11&ss=true&as=true&ai=second%7Cstandard%7C
- Alphonse Brémond, Nobiliaire toulousain, (lire en ligne)
- Louis de La Roque, Armorial de la noblesse de Languedoc, Généralité de Montpellier, vol. 1-2, F. Seguin, (lire en ligne)
- Source : roglo.eu
- (es) « Jullien », sur FranceGenWeb, (consulté le ).
- Héraldique napoléonienne et symbolisme maçonnique, de Jacques Declercq, d'après L’héraldique napoléonienne, de Philippe Lamarque Ed. du Guy.
- « Mathieu-Louis Molé (1781-1855), comte de l'Empire », sur www.napoleon-empire.net (consulté le )
- Né à La Rochelle selon Fastes de la Légion-d'honneur: biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre.
- Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Par la Société archéologique de Touraine, Publié en 1866
- Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 8, L'auteur, (lire en ligne)
- "Portalis", LA FAMILLE AUJOURD'HUI sur www.portalis.info
- Histoire généalogique et héraldique des pairs de France: des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, Par Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, publié par L'auteur, 1827.
- Source : www.luz-herald.net, Le site du blason
- Brisé des armes de son grand-père Toussaint Gravelotte du Saulcy, avocat au Parlement de Metz
- Grand Armorial de France, Henri Jougla de Morena, 1934-1952.
- Traité d'héraldique, Michel Pastoureau.
- Source : www.szlachta.org
- Trésor héraldique, d'après d'Hozier, Ménétrier, Boisseau, etc. Par A. de La Porte, Membre de plusieurs sociétés historiques et archéologiques, 1864.
- Listes des titres de noblesse, chevalerie, et autres marques d'honneur accordées par les souverains des Pays-Bas, depuis 1659 jusqu'à 1794 : précédées d'une notice historique, Publié par Vandale, 1847
- Source : www.lillempire.fr : Lille et le Nord, du Consulat au Second Empire
- Source : www.labanquedublason2.com
- Alexandre Léon de Galard de Brassac de Béarn sur roglo.eu
- Alexandre Léon Luce de Galard de Brassac de Béarn, marquis de Brassac, Comte de Béarn, fut chambellan de l'Empereur Napoléon qui lui confia plusieurs missions intimes, notamment en Italie et à Vienne (Autriche) où il reçut le cordon de Grand-croix de Saint-Léopold d'Autriche. Il s'était uni en 1796 à Pauline de Sourche de Tourzel, fille de la Duchesse de Tourzel, gouvernante des enfants de France. Pauline de Tourzel, amie particulière de Madame la Dauphine, Duchesse d'Angoulême, partagea la captivité de la famille royale au Temple et échappa par miracle aux massacres de Septembre.
- Source
- Louis Pierre d'Hozier, Armorial général de la France, vol. 7, Firmin-Didot, (lire en ligne)
- « [...] Ce fut lui qui remit la lettre par laquelle Très haut et Très puissant Seigneur, Messire Alexandre-Léon-Luce de Galard de Béarn, marquis de Brassac, comte de Béarn, baron de la Rochebeaucourt, sollicitait la clef de chambellan. »
- Source
- Frédéric Masson, Joséphine imperatrice et reine, P. Ollendorff, , 8e éd., 464 p. (lire en ligne)
- Fiche de Auguste Jean Germain de Montforton sur roglo.eu
- Source : Généalogie des Germain de Monforton sur www.genea-bdf.org
- Source : Annuaire des titulaires de la Légion d'Honneur (archive)
- Almanach royal, Publié par Testu et cie, 1830.
- Source : racineshistoire.free.fr
- ARMORIAL DU PREMIER EMPIRE, Par Philippe LAMARQUE, Index armorum : Michel POPOFF, Iconographie : Gregor JAKUBOWSKI – BARTHEL de WEYDENTHAL, Éditions du Gui, page 141
- Source : www.armorial-general.org
- Philippe Lamarque, La figure héraldique du cheval, Editions Cheminements, , 292 p. (ISBN 978-2-84478-076-8, présentation en ligne)
- Almanach royal de Westphalie : pour l'an M. DCCC. XIII., Cassel, Imprimerie royale (lire en ligne)
- (en) Clive Parry, The Consolidated treaty series, vol. 61, Oceana Publications, (ISBN 978-0-379-13000-3, lire en ligne)
- « Le cheval effaré d'argent » semble être une reprise des armes de Basse-Saxe, que les Ducs de Savoie avaient ajouté aux leurs, prétendant, depuis le XVIe siècle, être issus de la Maison de Saxe. Voir Armorial de la maison de Savoie
- Napoleonic Heraldry sur www.heraldica.org.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes et sources
- www.heraldique-europeenne.org :
- Voir le système héraldique napoléonien, les couronnes et toques en héraldique napoléonienne, les maisons princières ou ducales des Premier et Second Empires et les Maréchaux d'Empire) ;
- Armorial des rues de Paris sur heraldique-europeenne.org
- Héraldique napoléonienne et symbolisme maçonnique de Jacques Declercq
- Jacques Jourquin, Dictionnaires des Maréchaux de Napoléon, Christian, 1999
- Jacques Jourquin, Dictionnaire des maréchaux du Premier Empire, 1986
- Thierry Lentz, Dictionnaires des Ministres de Napoléon, Christian, 1999
- Quintin, Dictionnaire des Colonels de Napoléon, SPM, 1996
- Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959 (Rééd. en 1999 par l'Intermédiaire des chercheurs et des curieux)
- Philippe Lamarque, Armorial du Premier Empire, Édition du Gui, 2008, (ISBN 978-2-9517417-7-5)
- Armorial des Chevaliers de L'ORDRE DE LA RÉUNION - par M. ALCIDE GEORGEL (1869)
- ARMORIAL DE L'EMPIRE FRANÇAIS (L'INSTITUT. - L'UNIVERSITÉ. - LES ÉCOLES PUBLIQUES) - par M. ALCIDE GEORGEL - 1870
- ARMORIAL DE L'EMPIRE FRANÇAIS (Médecins et chirurgiens) - par M. ALCIDE GEORGEL - 1869
- Armorial du premier Empire de Philippe Lamarque Réf AR1E, février 2008, 640 pages
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