ne
Conventions internationales
Français
Étymologie
- Du latin ne.
Particule
ne \nə\ (n’ \n\ devant une voyelle ou un h muet)
- Négation. Première partie d’un morphème en général à double forme encadrant le verbe et certains pronoms. Parfois appelé discordantiel, ne est complété d’un forclusif : pas, plus, jamais, point, personne, rien, aucun, nul, etc., ou de formules archaïsantes : goutte, mie, mais (n’en pouvoir mais).
- Je ne mange pas.
- Je n’en peux plus.
- Je n’y vois goutte.
- Devant un verbe à l’infinitif, les deux parties ne sont pas séparées.
- Ne pas se pencher au dehors.
- Il s’emploie encore sans la particule pas quand la proposition renferme un pronom, un adjectif ou un adverbe négatifs.
- Il ne sait rien.
- Personne n’est venu.
- Aucun de nous n’y a pensé.
- Il ne dit jamais la vérité.
- Cette mère ne s’occupe guère de ses enfants.
- Bien que nul et ni soient négatifs par eux-mêmes, ils sont aussi toujours construits avec ne.
- Nul ne s’en doute.
- Il n’a nul souci.
- Ni l’or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
- L’ordre est inversé dans le cas où le pronom négatif (personne, rien, aucun, nul) est en position sujet.
- Que personne ne bouge.
- S’emploie seul aussi dans les propositions subordonnées quand la proposition principale est négative ou interrogative.
- Il n’est pas d’homme qui ne désire être heureux.
- Y a-t-il quelqu’un dont il ne médise ?
- Il peut aussi s’employer encore seul avec certains verbes comme cesser, oser, pouvoir, savoir dans un langage soutenu, mais le langage courant ajoute presque systématiquement la particule pas (la seule conservée dans le langage familier) :
- Il ne cesse de parler. (pour : Il ne cesse pas de parler.)
- Je n’ose (Soutenu) (pour : J’oserais bien si je ne craignais pas que cela puisse déplaire et Je n’ose pas)
- Je n’ose vous promettre. (pour : Je n’ose pas vous promettre.)
- Je ne pourrai achever mon travail avant ce soir. (pour : Je ne pourrai pas achever mon travail avant ce soir.)
- Il ne sait que faire. (pour : Il ne sait pas quoi faire.)
- Suffit parfois seul à marquer la négation, à la façon de la langue ancienne, dans les vieux tours ou en langue soutenue, comme :
- N’importe ! (locution figée pour : Cela n’importe pas !)
- N’aie crainte. (locution figée pour : N’aie aucune crainte.)
- Qu’à cela ne tienne ! (locution figée pour : (Il faut) que ceci ne tienne qu’à cela !)
- Il ne dit mot. (Soutenu) (locution verbale figée pour : Il ne dit pas un mot)
- N’en avoir cure. (Soutenu) (locution verbale figée pour : 'N’en avoir aucune cure.)
- N’en pouvoir mais. (Vieilli) (locution verbale figée pour : N’en plus pouvoir.)
- À Dieu ne plaise! (Vieilli) (locution figée pour : (Il faut que ceci) ne déplaise pas à Dieu !)
- Employé seul, il a un sens explétif, dans ce cas il n’a pas de sens négatif, mais signale simplement un contexte négatif.
- Il n’empêche que…
- Qu’à cela ne tienne…
- À Dieu ne plaise…
- Il n’en a cure.
- (Vieilli) S’emploie encore (de façon aujourd’hui optionnelle) dans certains cas archaïques mais encore rencontrés où, bien que la proposition secondaire ait la forme affirmative, la phrase entière renferme une idée négative. Il en est ainsi :
- Après les verbes qui expriment la crainte.
- Je crains qu’il ne vienne. (exprime aussi : Je désire qu’il ne vienne pas.)
- Je redoute qu’il ne nous crée encore quelque difficulté Je souhaite qu’il ne nous crée pas de nouvelles difficultés.
- Après le verbe empêcher.
- Empêche qu’il ne tombe, (exprime aussi : Il ne faut pas qu’il tombe.)
- Dans certaines phrases qui expriment une comparaison, après plus que, moins que, mieux que, autre que.
- Il est plus riche qu’on ne croit. (exprime aussi : Il n’est pas aussi pauvre qu’on le croit.)
- Il est moins riche qu’on ne croit. (exprime aussi : Il n’est pas aussi riche qu’on le croit.)
- Vous écrivez mieux que vous ne parlez. (exprime aussi : vous ne parlez pas si bien que vous écrivez.)
- C’est autre chose que je ne croyais. (exprime aussi : Je ne croyais pas que ce soit ainsi.)
- Après les locutions conjonctives avant que, depuis que.
- Finissez votre ouvrage avant que je ne revienne.
- Vous n’avez pas changé depuis que je ne vous ai vu.
- Après les verbes qui expriment la crainte.
Notes
- À moins que la particule ne soit employée seule, dans des tournures anciennes ou figée par la langue, celle-ci ne marque plus réellement la négation en français, mais s’emploie comme une simple marque (optionnelle) de la réduction de la portée du verbe, et constitue donc un archaïsme conservé dans la langue française uniquement par tradition, bien qu’elle soit encore nécessaire dans tout discours soigné.
- La négation (ou la réduction de portée) est effectivement portée ailleurs par un autre mot (souligné dans les exemples de cette note), que ce soit par la particule de négation pas, ou par l’adverbe de négation jamais, ou par les pronoms et locutions nominales de négation rien, personne, nulle part, etc., ou par la conjonction de négation ni, tous ces mots étant généralement prononcés avec un ton nettement plus prononcé que le verbe ou les autres éléments de la phrase.
- Être ou ne pas être.
- Je ne veux pas le faire.
- Je ne veux rien savoir.
- Je ne veux voir personne.
- Je ne veux aller nulle part.
- Je ne fais jamais ça.
- Je ne m’en souviens plus.
- Je ne veux que ça.
- Je ne veux ni l’un ni l’autre.
- Il n’a aucun souci.
- Il n’a nul souci. (ou plus souvent l’exemple précédent)
- Cette mère ne s’occupe guère d’ses enfants. (Vieilli) (en français courant, on utilise plutôt peu, sans négation)
- Ni l’or ni les grandeurs ne nous rendent heureux.
- La véritable particule de négation pas s’omet totalement dans toutes les propositions niées, en cas d’utilisation de la conjonction de coordination négative ni qui absorbe aussi le sujet mais n’absorbe normalement pas la particule réductrice verbale ne :
- Je ne veux ni ne peux le faire. signifie : Je ne veux pas et je ne peux pas le faire.
- Dans le langage familier, chaque fois que la négation (ou toute autre réduction de portée du verbe) est portée sur un autre mot, la particule réductrice verbale ne est très fréquemment omise car elle n’est pas nécessaire à la compréhension de la négation (ou de la réduction de portée du verbe) et a perdu toute valeur sémantique par elle-même (les autres emplois de ne seul, par exemple explétifs, y sont devenus très rares), et d’autres élisions, notamment des e muets résiduels, peuvent s’ajouter à cette omission (si le groupe de consonnes reste prononçable comme une seule syllabe dans la phonologie française usuelle) :
- Être ou pas être.
- J’veux pas l’faire.
- J’veux rien savoir.
- J’veux voir personne.
- J’veux aller nulle part.
- J’fais jamais ça.
- J’m’en souviens plus.
- J’veux qu’ça.
- Il a aucun souci. (ou L’a aucun souci. )
- Il a nul souci. (ou plus souvent Il a pas d’souci. ou encore l’exemple précédent)
- Cette mère s’occupe guère d’ses enfants. (ou plus souvent Cette mère s’occupe peu d’ses enfants., sans négation)
- J’veux pas et j’peux pas l’faire. (l’usage de ni est évité entre deux propositions si les verbes sont différents.)
- J’veux ni l’’un ni l’autre. (l’usage de ni est conservé, plutôt que J’veux pas l’un et j’veux pas l’autre. avec deux propositions coordonnées de même sujet et de même verbe.)
- Ni l’or ni les grandeurs nous rendent heureux. (ou plus souvent L’or et les grandeurs nous rendent pas heureux.)
Variantes
- n’ (élision devant une voyelle ou un h muet)
Anagrammes
Voir aussi
- La négation en français sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
- Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (ne), mais l’article a pu être modifié depuis.
Afar
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Ancien français
Adverbe
ne \Prononciation ?\
- Ne (indique la négation).
- De sa parole ne fut mie hastifs — (vers 1100 (ms. d’Oxford), La Chanson de Roland, édition de Raoul Mortier)
- Il ne fut pas rapide à parler
- Se cest acorde ne vulez otrier — (idem)
- Si vous ne voulez pas faire cet accord
- De sa parole ne fut mie hastifs — (vers 1100 (ms. d’Oxford), La Chanson de Roland, édition de Raoul Mortier)
Notes
- Contrairement au français moderne, il peut s’utiliser avec un autre adverbe ou non.
Dérivés dans d’autres langues
- Français : ne
Conjonction
ne \Prononciation ?\
- Ni
- Jà n’i entrast chien ne archers — (Gaimar, Estoire des Engleis, c. 1140, vers 6230, édition de Thomas Wright. Manuscrit Ja.)
- Ne les serors ne li cinc frere — (Chrétien de Troyes, Lancelot ou le Chevalier de la charrette, c. 1180)
- Ni les sœurs, ni les cinq frères
- Jà n’i entrast chien ne archers — (Gaimar, Estoire des Engleis, c. 1140, vers 6230, édition de Thomas Wright. Manuscrit Ja.)
Notes
- On trouve souvent ne (ni) suivi de ne (ne).
- Mais ne muet ne ne chancele — (Le Roman de Troie, édition de Constans, tome II, p. 174, c. 1165)
- Mais il ne bouge, ni ne chancèle
- Mais ne muet ne ne chancele — (Le Roman de Troie, édition de Constans, tome II, p. 174, c. 1165)
Dérivés dans d’autres langues
- Français : ni
Ancien occitan
Cette entrée est considérée comme une ébauche à compléter en ancien occitan. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier »). |
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Pronom
ne
- En, de là, d’ici.
Anagrammes
Références
- François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844
Synonymes
Bambara
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Pronom personnel
ne \Prononciation ?\
Brabançon
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Références
- Mathilde Jansen, Nicoline van der Sijs, Fieke van der Gucht, Johan De Caluwe, Atlas van de Nederlandse Taal, Lannoo, 2017, p. 141
Breton
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Anagrammes
Espéranto
Étymologie
- Du russe не, ne (« ne … pas »).
Adverbe
Antonymes
- jes — oui
Dérivés
Proverbes et phrases toutes faites
- ne dankinde ’(de rien)
Prononciation
- (Région à préciser) : écouter « ne [ne] »
- Pays-Bas (partie continentale) (Wijchen) : écouter « ne »
- Brésil : écouter « ne »
- France (Toulouse) : écouter « ne »
Anagrammes
Références
Vocabulaire:
- E. Grosjean-Maupin: Plena Vortaro de Esperanto, SAT, Parizo, 1934 (selon Retavortaro)
- ne sur le site Plena Ilustrita Vortaro de Esperanto (PIV)
- ne sur le site Reta-vortaro.de (RV)
- Racine "ne" présente dans le dictionnaire des racines "Universala Vortaro" (R1 de l’Akademio de Esperanto).
Finnois
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Pronom démonstratif
ne \ne\
Anagrammes
Flamand occidental
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Références
- Piet Huysentruyt, Piet int Westvlams, Lannoo, 2016 ISBN 9789401429788
Flamand oriental
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Variantes
Références
- Mathilde Jansen, Nicoline van der Sijs, Fieke van der Gucht, Johan De Caluwe, Atlas van de Nederlandse Taal, Lannoo, 2017, p. 134
Gagaouze
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Gaulois
Étymologie
Variantes
Références
- [1] : Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, préf. de Pierre-Yves Lambert, Errance, Paris, 2003, 2e éd. ISBN 2-87772-237-6 (ISSN 0982-2720), p. 232
- [2] : Jean-Paul Savignac, Dictionnaire français-gaulois, La Différence, 2004 ISBN 978-2729115296, p. 248
Istro-roumain
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Italien
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Homophones
Kinyarwanda
Étymologie
- Possiblement du proto-bantou -nai.
Kurde
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Forme de verbe
ne \nɛ\
- Pluriel du présent de l’indicatif du verbe bûn (« être ») après une voyelle.
- Ew mamoste ne.
- Ils sont professeurs.
- Ew mamoste ne.
Vocabulaire apparenté par le sens
Latin
Étymologie
- (Adverbe 1) Variante de nae.
- (Adverbe 2) De l’indo-européen commun *h₂en-, apparenté au premier : comme en français, une affirmation forte, « certes », conduit à la négation forte ou… au doute.
- Le Dictionnaire étymologique latin [1] explique :
- La négation s’est successivement exprimée en latin par ne, nec et non. Ne est la forme la plus ancienne : c’est cette forme que nous avons encore dans les composés ne-queo, ne-fas. Il s’est changé en ni sous l’influence de la syllabe suivante, dans ni-si, ni-hil, ni-mis ; il s'est contracté dans nemo, pour *ne-homo, nullus pour *ne-ullus, nunquam pour *ne-unquam, nusquam pour *ne-usquam. De ne est venu ne-que ou ne-c, qui est la négation ordinaire au temps de la Loi des Douze Tables. De même dans les vieilles formules de rituel citées par Caton Mars pater, si quid tibi illisce suovetaurilibus neque satis factum est. Cet emploi de nec s’est continué jusqu’au temps d'Auguste. C’est cette négation qui est restée en composition dans neg-otium, neg-lego, nec-opinus, ainsi que dans le verbe negare (→ voir l’allemand ver-nein-en « nier »). Enfin, en troisième lieu, vient la négation noenum, qui s’abrège en noenu et non. Noenum est un compose de ne et de oinom, unum. Nous avons ici un exemple d’un fait qui s’est continué dans les langues romanes : la négation s’appuyant sur un mot positif, comme en français je n'avance pas, je ne sais point, je n’ai rien. La seconde syllabe de noenum a été d’abord mutilée, puis supprimée : → voir ni-hilum devenu ni-hil. La conjonction ne est pour nei. On la trouve aussi sous la forme ni. Cette particule ne ou ni se trouve en composition dans ne-ve, ne-quiquam, ne-dum, ni-mirum, quid-ni. La locution quidni hoc fiat équivaut à quid impedit ne hoc fiat.
Adverbe 1
ne \Prononciation ?\
- Variante de nae, adverbe d’affirmation souvent lié à un pronom : oui, assurément, vraiment, certes.
- Edepol ne ego vivo miser — (Plaute)
- En vérité, par Pollux, je suis bien malheureux.
- Edepol ne ego vivo miser — (Plaute)
Adverbe 2
ne \Prononciation ?\
- Adverbe de négation forte.
- Consilium quod non est honestum ne utile est quidem.
- Un projet qui n’est pas honnête n’est pas non plus utile.
- Consilium quod non est honestum ne utile est quidem.
- Négation pour exprimer la défense.
- Ne quis exeat.
- Que personne ne sorte !
- Ne quis exeat.
- Négation pour exprimer le souhait ou le regret.
- Utinam ne veniat.
- Pourvu qu’il ne vienne pas ! Si seulement il ne venait pas.
- Utinam ne veniat.
- Négation pour exprimer une concession ou une supposition.
- Ne sit summum malum dolor, malum certe est.
- Admettons que la douleur ne soit pas le mal suprême, ce n’en est pas moins un mal.
- Ne sit summum malum dolor, malum certe est.
Conjonction 2
ne \Prononciation ?\
- Conjonction de subordination suivie d’un verbe au subjonctif (nē) introduisant une proposition complétive.
- Négation de ut pour marquer la volonté, l’intention (parfois ut ne).
- Suadeo ne legas.
- Je te conseille de ne pas lire.
- Impero ne quis exeat.
- J’ordonne que personne ne sorte.
- Suadeo ne legas.
- Négation de ut pour marquer l’effort et l’activité (parfois ut ne).
- Cave ne cadas.
- Veille à ne pas tomber, prends garde de tomber.
- Cave ne cadas.
- S’emploie après les verbes exprimant un empêchement, une opposition, un refus.
- Resisto ne.
- Je m’oppose à ce que.
- Impedio ne proficiscatur.
- Je l’empêche de partir.
- Resisto ne.
- Négation de ut pour marquer la volonté, l’intention (parfois ut ne).
Note :
Anagrammes
Références
- « ne », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
- [1] Michel Bréal et Anatole Bailly, Dictionnaire étymologique latin, Hachette, Paris, 1885 → consulter cet ouvrage
Mohawk
Particule
ne
- Particule introduisant une information, souvent traduisible par un article.
Variantes
Moyen breton
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Références
- Léon Fleuriot, « La découverte de nouvelles gloses en vieux-breton », dans Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1959
Néerlandais
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Prononciation
- (Région à préciser) : écouter « ne [ne] »
Anagrammes
Otomi de Querétaro
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Références
- Anonyme Apprendiendo Hñöhñö, Departamento de Educación Indígena, Querétaro.
Rempi
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Variantes
Références
- Z’graggen, Johannes A. 1980. A comparative word list of the Mabuso languages, Madang Province, Papua New Guinea. (Pacific Linguistics: Series D, 32.) Canberra: Research School of Pacific and Asian Studies, Australian National University. xv+184+10pp. ((Pacific Linguistics D-32)), page 80.
Roumain
Étymologie
- Du latin nos.
Pronom personnel
Pronoms personnels accusatifs | |||
---|---|---|---|
Forme | Masculin | Féminin | Neutre |
Singulier | |||
Première personne | mă | ||
Deuxième personne | te | ||
Troisième personne | îl | o | îl |
Pluriel | |||
Première personne | ne | ||
Deuxième personne | vă | ||
Troisième personne | îi | le | le |
- Pronom personnel de la première personne du pluriel en tant que complément d’objet direct, nous.
Slovaque
Notes
Ne est employé après une préposition. Dans les autres cas, on utilise ich.
Tatar de Crimée
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Anagrammes
Tchèque
Étymologie
- Origine indoeuropéenne.
Adverbe
ne \Prononciation ?\ invariable
- Non.
- Ne, nechci. Non, je ne veux pas.
- Ne… pas ; la négation est proclitique en tchèque.
- Ne, nechci. Non, je ne veux pas.
Prononciation
- République tchèque : écouter « ne [Prononciation ?] »
Turc
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Omaha-ponca
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Vietnamien
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Références
- Free Vietnamese Dictionary Project, 1997–2004 → consulter cet ouvrage
Vieux breton
Étymologie
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Références
- Léon Fleuriot, « La découverte de nouvelles gloses en vieux-breton », dans Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1959
Cet article est issu de Wiktionary. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.